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Les rapports sociaux de sexe dans le secteur de la petite enfance

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Présentation au sujet: "Les rapports sociaux de sexe dans le secteur de la petite enfance"— Transcription de la présentation:

1 Les rapports sociaux de sexe dans le secteur de la petite enfance
Marina Pietri, Psychologue du travail / Entrelacs 2013

2 Identité sexuées et professionnels de la petite enfance
De quelle façon les professionnels de la petite enfance sont-ils impliqués dans la construction et le maintien des identités sexuées ? Sont-ils eux aussi producteurs de différences ? Les professionnels de la petite enfance sont-ils eux-mêmes agis par ces représentations et, dans l’affirmative, quels sont les impacts du genre sur leurs pratiques professionnelles et leur vécu au travail ?

3 Plan 1. Le genre : définition du concept, intérêt, législation
2. Genre et Petite Enfance : quelques chiffres, la production du genre dans le secteur 3. Genre au travail : les implications sur l’identité au travail 4. Les liens avec le terrain : production par les participants et échanges 5. Le genre et les implications sur l’enfant 3

4 Définition : sexe biologique
et genre sexué Classiquement, on oppose le sexe comme ce qui relève du biologique et le genre comme ce qui relève du social. >> En biologie, la différenciation est l’acquisition de propriétés fonctionnelles différentes par des cellules semblables. L’humanité fait partie des espèces à reproduction sexuée et a donc deux sexes anatomiques qui ont pour fonction sa perpétuation physique. La caractéristique des humains est la perte de l’oestrus (coïncidence chez les femelles animales entre excitation sexuelle et période féconde). D’où, pour les femmes, la possibilité de désir et de coït hors risque de grossesse et inversement, de grossesse hors désir sexuel. Coaching, & bilan de compétences 4

5 Sexe biologique et genre sexué
Les sociétés humaines surdéterminent la différenciation fonctionnelle biologique en assignant aux deux sexes des fonctions différentes (divisées, séparées et hiérarchisées) dans le corps social tout entier. >> Ce qui n’est qu’une différence dans un domaine (le biologique au service de la reproduction de l’espèce) amène à penser l’espèce en termes de différences des sexes, comme division globale où sexe et genre coïncident, chaque sexe-genre étant exclusif de l’autre >> Un type féminin est imposé culturellement à la femelle pour en faire une femme, principalement orientée vers les activités de reproduction >> Un type masculin est imposé au mâle pour en faire un homme, principalement orienté vers les activités de production Coaching, & bilan de compétences 5

6 Définition du « genre » Face à ces constats, naissance du concept de genre dans les années 1970 par des anthropologues féministes américaines Le genre est la construction sociale des différences sexuelles et non seulement la construction sociale des sexes >> L’enfant intériorise des rôles sociaux et des positionnements qui orienteront sa vie d’adulte >> Les rôles sexués sont complémentaires et hiérarchisés >> Les rôles masculins sont socialement et économiquement valorisés

7 Education en fonction du sexe biologique
Expérience de 1979 de Condry et Condry : entre colère et peur, des émotions actives (colère) ou passives (peur) assignées à un bébé de 9 mois selon que l’on pense qu’il est garçon ou fille >> Les comportements diffèrent en fonction du sexe et les représentations imprègnent les interrelations d’un sujet durant toute sa vie. Coaching, & bilan de compétences

8 Evolution législative en France vers
l’émancipation des femmes et l’égalité des sexes Sous l’ancien Régime (de la Renaissance à la Révolution de 1789) Les fils seuls ont le droit à l'héritage. Les filles sont seulement "dotées", selon le bon vouloir des parents. Le mariage, acte religieux, est soumis à l'autorisation du père, quel que soit l'âge des futurs époux. Le mariage est indissoluble; le divorce et même la séparation de corps sont impossibles. Le mari seul a le droit de gérer les biens du couple et les biens de sa femme. Les lois de la révolution (1789) Les filles ont le même droit à l'héritage que les fils. Le mariage, acte civil, n'est plus soumis à l'autorisation parentale. Le divorce est autorisé dans certains cas La femme a le droit d'accomplir certains actes juridiques, mais le mari garde " la suprématie" dans l'administration des biens. Le code Napoléonien (1804) Il consacre l'incapacité juridique de la femme mariée : la femme, considérée comme mineure, est entièrement sous la tutelle de ses parents, puis de son époux. 1816 : suppression totale du divorce

9 Evolution législative vers l’émancipation des femmes et l’égalité des sexes
1850 : Ouverture de l’école primaire aux filles. 1882 : Lois Jules Ferry : l'école primaire est obligatoire et gratuite pour les filles comme pour les garçons. 1907 : La femme mariée qui travaille a le droit de disposer de son salaire (mais pas de gérer ses autres biens). 1938 : Loi qui met fin à l’incapacité civile de la femme mariée (CC 1804) 1944 : droit de vote et éligibilité des femmes 1946 : Principe de l'égalité des droits entre hommes et femmes posé dans le préambule de la Constitution Coaching, & bilan de compétences 9

10 Evolution législative vers l’émancipation des femmes
et l’égalité des sexes 1965 : loi sur les régimes matrimoniaux, la femme peut gérer ses biens, ouvrir un compte en banque, exercer une profession sans l'autorisation de son mari, suppression de l’intervention du mari sur les biens propres de la femme 1967 : Loi Neuwirth autorise la vente de contraceptifs 1972 : Egalité de salaire entre hommes et femmes 1975 : Interdiction de toute discrimination sexiste à l’embauche 1975 : Réforme du divorce. L’adultère est supprimé comme cause. Principe du divorce par consentement mutuel 1975 : Loi Veil légalise l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) Coaching, & bilan de compétences

11 Evolution législative vers l’émancipation des femmes
et l’égalité des sexes 1980 : Loi interdisant le licenciement d’une femme enceinte 1983 : Egalité professionnelle qui interdit toute discrimination en raison du sexe dans la vie professionnelle 1985 : Loi sur l’égalité des époux dans la gestion du patrimoine, droit de transmission du nom de la femme à l’ enfant, en plus de celui du père Mai 2013 : autorisation du mariage pour tous, qui va sans doute influencer encore les rapports sociaux de sexe Coaching, & bilan de compétences 11

12 Evolution législative vers l’émancipation
des femmes et l’égalité des sexes L'idée que les femmes ont les mêmes droits que les hommes est toute récente. Auparavant, comme pour toute discrimination, on s'appuyait sur leurs différences, de nature, de fonction, pour justifier le fait qu'elles étaient privées d'un certain nombre de droits. De plus, on les a le plus souvent considérées comme inférieures, incapables de réflexion, de logique, de maturité. Éternelles mineures, elles devaient se cantonner aux charges du foyer. Sauf lorsqu'elles étaient pauvres : on les exploitait alors autant et même plus que les hommes... Aujourd'hui, si dans les textes, les femmes ont les mêmes droits que les hommes, dans la réalité bien des inégalités subsistent : elles occupent encore majoritairement les emplois subalternes, donc moins bien payés; elles sont, plus que les hommes, victimes du chômage et de la précarité; et elles sont, encore aujourd'hui, trop souvent écartées du pouvoir, dans les partis politiques, au Parlement, au gouvernement... Coaching, & bilan de compétences 12

13 Rapport entre sexe et genre
Trois courants actuellement : Féminisme : critique d’une société androcentrée (masculine) et oppression / exploitation des femmes par les hommes Conscience de genre : l’homme et la femme sont différents. Les critiques portent sur les modalités de la construction du genre, conçu comme élaboration culturelle de la différence sexuelle et dénoncent les inégalités afin de réaménager équitablement les contenus des deux genres Les sexes ne sont pas des catégories biosociales, mais des classes (au sens marxien) : le genre construit le sexe et occulte l’aspect politique et économique de cette construction, avec les rapports de pouvoir qui le constituent. L’hétérosexualité est le système fondateur de la définition prescrite des « femmes », par une relation obligatoire de dépendance aux hommes Coaching, & bilan de compétences 13

14 Débats autour du rapport entre sexe et genre
La féminisation du langage : si on le sur-sexualise, le risque serait de bloquer la possibilité d’évolution vers une abolition du genre à terme La parité dans la représentation politique hommes-femmes : pour l’instituer il faudrait donner le sexe comme catégorie légale de la représentation politique, alors qu’il n’y aurait pas de spécificité sexuée des valeurs, de la pensée et de l’action car la nature différente des hommes et des femmes ne serait qu’une question de genre La différence des sexes au sein de la famille à abolir : ce débat est maintenant entériné avec la loi sur le mariage homosexuel de mai 2013 Coaching, & bilan de compétences 14

15 Sexe, genre et petite enfance : quelques données
Emplois occupés par des femmes dans la Petite Enfance : 94 % (Enquête Credoc chiffres de toujours en augmentation depuis 1970 – contre 62 % dans le secteur des adultes et familles en difficulté et 72 % dans le secteur social dans son ensemble – chiffres DRESS 2003) 4% d’étudiants hommes EJE en formation initiale en 2004 Les hommes EJE dans les crèches accèdent rapidement à un poste de direction * *Source : «Nouvelle donne dans le placement familial» Anne Olivier et Claire Weil, in «Les assistants familiaux, de la formation à la professionnalisation», sous la direction de claire Weil, l’Harmattan sept 2010 Coaching, & bilan de compétences 15

16 Sexe, genre et petite enfance : quelques données
Des représentations professionnelles et des pratiques singulières* chez les femmes et les hommes assistant familial, dans leurs relations avec l’équipe technique : ils souhaitent être associés aux décisions concernant l’évolution de l’enfant (position d’analyse et de prise de décision), alors que les femmes se perçoivent essentiellement comme pourvoyeuses d’informations (position de service) La majorité des assistants familiaux accueillent des adolescents et pré-adolescents alors que l’essentiel des effectifs féminin dans ce métier est dédié aux enfants en bas âge *Source : «Nouvelle donne dans le placement familial» Anne Olivier et Claire Weil, in «Les assistants familiaux, de la formation à la professionnalisation», sous la direction de claire Weil, l’Harmattan sept 2010 Coaching, & bilan de compétences 16

17 Conséquences de ce constat*
Prendre des tout petits est un domaine encore réservé aux femmes et l’accès en est dénié à la plupart des hommes Ces métiers de la petite enfance souffrent d’une « naturalisation » des compétences : douceur et sollicitude sont des qualités habituellement attribuées aux femmes et seraient une donnée féminine L’activité de « care » est une compétence forte qui nécessite apprentissage dans la durée et investissement constant, et dont la technicité complexe est encore à faire reconnaître *Source : «Nouvelle donne dans le placement familial» Anne Olivier et Claire Weil, in «Les assistants familiaux, de la formation à la professionnalisation», sous la direction de claire Weil, l’Harmattan sept 2010 Coaching, & bilan de compétences 17

18 Rapports sociaux de sexe et pratiques professionnelles
L’identité féminine au travail : le féminin n’est pas une essence immuable, mais une construction sociale basée sur la différenciation, c’est-à-dire sur des processus secondaires à la socialisation, dont le travail (domestique ou salarié) s’avère un espace majeur de renforcement. Il en est de même pour les hommes. Le travail participe prioritairement à cette construction sociale de genre. La féminité est une exigence de travail mobilisée spécifiquement par certaines activités dévolues aux femmes. Cette exigence de travail nécessite une communauté de sensibilité fondée dans la connaissance pathique de la souffrance, l’aveu de sa propre vulnérabilité (compatible avec la féminité et avec l’attention à autrui) et la capacité d’empathie (se mettre à la place de l’autre). C’est l’activité de care (ou sollicitude) basée sur les valeurs compassionnelles. Les influences du genre sur le travail : savoir-faire discrets et invisibilité des compétences compassionnelles. Evaluation d’une partie visible du travail sur le respect des normes et de la sécurité de l’enfant, etc. Coaching, & bilan de compétences 18

19 Rapports sociaux de sexe et pratiques professionnelles
Les défenses genrées dans le secteur de la petite enfance : >> l’enjolivement de la réalité* : certaines dimensions de l’activité sont ainsi tenues cachées vis-à-vis de l’extérieur (comme l’irritation produite par les enfants, ou les sentiments négatifs – hormis la peur) >> la dérision pour dédramatiser et tenir dans un travail compassionnel, et qui permet de ne pas opposer un déni à la réalité de l’autre Dans d’autres métiers et secteurs, les conduites «viriles » , piliers de la domination masculine, constituent entre hommes une défense mobilisée pour lutter contre la souffrance au travail. Elles entraînent le mépris du danger et/ou le mépris des autres et interdisent aux hommes l’accès à leur vulnérabilité, leur fragilité et leur souffrance. La virilité constitue une figure majeure de l’aliénation Le travail crée donc le genre *développé par Virginie Sadock, « L’enjolivement de la réalité, une défense féminine ? Etude auprès des auxiliaires de puériculture, in Revue Travailler, 2003, n°10 Coaching, & bilan de compétences 19

20 Rapports sociaux de sexe et pratiques professionnelles
Les résistances vis-à-vis des hommes dans le secteur : Dans le secteur, la mixité comme renforcement de la «complémentarité des genres ». La mixité est légitimée aujourd’hui par : le fait qu’un homme, assimilé à l’autorité, saurait faire preuve d’autorité auprès de l’enfant si besoin l’augmentation des foyers monoparentaux pensés en termes de foyer mère-enfant(s) On demande parfois aux hommes dans certaines structures de ne pas changer l’enfant ou de ne pas assurer les soins du corps. Cette discrimination sexiste est peu pensée. Dans certains départements, un homme assistant maternel doit s’entretenir avec un€ psychologue. Une femme, non. Coaching, & bilan de compétences 20

21 Les professionnels producteurs de différences
La place de l’homme en crèche* et la construction de l’identité de père au travers des échanges avec les professionnels : >> Peu de sollicitations des pères pour leur participation à la période d’adaptation, alors que la présence des mères est formulée comme indispensable au bien-être de l’enfant durant cette phase, quitte à adapter le rythme de l’adaptation aux disponibilités des mères, ce qui est très rarement proposé aux pères. Les mères vivent donc majoritairement ce moment et nouent des relations privilégiées avec les professionnel(le)s, devenant ainsi les principales interlocutrices. Les pères deviennent alors, au cours de l’année suivante, moins sollicités sur d’autres registres et donc eux-mêmes moins demandeurs. >> Cela participe dans l’élaboration d’un rôle paternel à part entière et dans le processus circulaire de reproduction des identités sexuées, tant dans la relation aux adultes qu’aux enfants. * Source : article issu d’une recherche action dans plusieurs crèches parisiennes «Le rôle des crèches dans la construction des identités de père» in «Sexe, genre et travail social», sous la direction d’Anne Olivier, l’Harmattan décembre 2010 Coaching, & bilan de compétences 21

22 Les professionnels producteurs de différences
L’impact de la socialisation différenciée des filles et des garçons en crèche : >> Davantage d’incitation aux activités : motrices ou de construction pour le garçon, calmes autour d’une table pour les filles >> Jouets et trains offerts à Noël aux garçons (même si les référentes observent que le garçon joue aussi avec un poupon), poupons pour les filles >> Des animaux offerts à tous, mais des animaux domestiques aux filles (moutons, cochons, etc.) et des animaux sauvages ou des dinosaures aux garçons, etc. Un travail à faire auprès des parents pour déconstruire les représentations et trouver pertinent d’offrir une poupée au petit garçon, comme un camion de pompier à la petite fille * Source : article issu d’une recherche action dans plusieurs crèches parisiennes «Le rôle des crèches dans la construction des identités de père» in «Sexe, genre et travail social», sous la direction d’Anne Olivier, l’Harmattan décembre 2010 Coaching, & bilan de compétences 22

23 Conclusion « Ce qui fait ma singularité, c’est la manière dont je cherche, tantôt à me conformer aux catégories auxquelles j’appartiens, tantôt à m’en affranchir. L’important est la façon dont je parviens, ou non, à être libre. […]. Que l’identité soit tributaire des autres ne signifie pas qu’elle nous soit donnée par le social. L’identité est une conquête singulière.» Pascale Molinier Pour authentiquement devenir ce à quoi nous aspirons le plus, il s’agit pour chacun de nous de dépasser le cadre social des injonctions liées au sexe biologique et au genre sexué, notamment dans et par notre travail. La finalité en est notre liberté. 23 23

24 Bibliographie Sous la direction de Anne Olivier, Sexe, Genre et travail social, L’Harmattan, 2010 Sous la direction de claire Weil, Les assistants familiaux, de la formation à la professionnalisation, l’Harmattan sept 2010 Molinier P, L’énigme de la femme active, Payot, 2003. Sous la direction de Héléna Hirata, Françoise Laborie, Hélène Le Doaré, Danièle Senotier, Dictionnaire critique du féminisme, PUF, 2000 Virginie Sadock, « L’enjolivement de la réalité, une défense féminine ? Etude auprès des auxiliaires de puériculture », in Revue Travailler, 2003, n°10 24

25 Travaux de sous-groupes
Chacun(e) se répartit en un sous-groupe en fonction du thème que l'on souhaite traiter, avec un maximum de 15 participant(e)s par sous-groupe. 10 sous-groupes sont constitués. Chaque sous-groupe travaille pendant environ une heure sur son thème. Dans chaque sous-groupe, une personne prend des notes, une autre gère le temps. La consigne est d'abord de lister sans censure tout ce qui vient à l'esprit sur le thème choisi, puis de sélectionner les idées en groupe et de réfléchir à la structure de présentation. Il s'agit de répondre à la consigne et de citer au moins trois exemples provenant notamment de la pratique professionnelle pour illustrer. Durant ce travail préparatoire, un rapporteur est proposé (sur la base du volontariat) par le groupe. Il viendra ensuite, pendant 10 mn maximum, présenter le travail du sous-groupe à la salle et répondre aux éventuelles questions provenant du public.

26 1. Représentations relatives à ce qu’est (les comportements, traits de caractère, réactions, attributs classiques) le féminin / le masculin Et, les attendus de genre féminin conséquences, intérêts, limites dans le métier d'assistante maternelle 2. Les attendus de genre féminin ; conséquences, intérêts, limites dans le métier d’auxiliaire 3. Les attendus de genre féminin ; conséquences, intérêts, limites dans le métier de puéricultrice-infirmière 4. Les attendus de genre féminin ; conséquences, intérêts, limites dans le métier d'éducatrice 5. Dans le secteur de la petite enfance, dans le métier, les attendus de genre dans la relation au père (de la professionnelle vers le père, du père vers la professionnelle) 6. Dans le secteur de la petite enfance, dans le métier, les attendus de genre dans la relation à la mère (de la professionnelle vers la mère, de la mère vers la professionnelle) 7. Les attendus de genre (des professionnel(le)s) par rapport à l'enfant de sexe féminin et les conséquences sur les pratiques professionnelles 8. Les attendus de genre (des professionnel(le)s) par rapport à l'enfant de sexe masculin et les conséquences sur les pratiques professionnelles 9. Les conséquences du genre féminin au niveau du travail dans les crèches : les techniques de travail, la reconnaissance du travail, les caractéristiques des fonctionnements en collectif, l'organisation du travail, ou aussi du hors-travail. Comment sortir des attendus de genre sexué dans le secteur et au sein de la crèche ? Sur quoi agir globalement pour sortir des injonctions liées au genre sexué ? 10. Décrivez la chambre d'un enfant fille et d'un enfant garçon que vous connaissez. Quelles sont leurs caractéristiques ? Leurs différences ? Qu'en déduiriez-vous sur les rôles sociaux pouvant être intériorisés par l'enfant du fait de son environnement global et de l'environnement pédagogique des crèches ?

27 Merci de votre attention


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