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Eric Schwartzentruber / Bénédicte Stephan Cellule des vigilances DSPE

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Présentation au sujet: "Eric Schwartzentruber / Bénédicte Stephan Cellule des vigilances DSPE"— Transcription de la présentation:

1 Eric Schwartzentruber / Bénédicte Stephan Cellule des vigilances DSPE
Journée régionale des référents en antibiothérapie du Languedoc-Roussillon Eric Schwartzentruber / Bénédicte Stephan Cellule des vigilances DSPE

2 CONTEXTE et ENJEUX Plan stratégique national de prévention des infections associées aux soins 3ème plan antibiotique : Plan national d’alerte sur les antibiotiques Colloque « Une seule santé » appliquée à l’antibiorésistance en médecine humaine et vétérinaire Paris – 14 novembre Bilan LIN : ICATB2 : Indice composite de bon usage des antibiotiques reflète le niveau d’engagement de l’établissement en matière de bon usage des antibiotiques. Contexte réglementaire de désignation d’un référent en antibiothérapie dans tous les établissements de santé Le plan prévoit le bon usage des AB Depuis 1995, les actions menées par le ministère de la santé s’inscrivent dans le cadre d’un plan national de lutte contre les infections nosocomiales (LIN) avec l’objectif de réduire la fréquence des infections nosocomiales et le portage des bactéries multirésistantes aux antibiotiques (BMR) dans les établissements de santé. Le 3ème plan d’alerte sur les AB prend la suite de deux plans nationaux pour préserver l’efficacité des antibiotiques ( et ), qui visaient à maîtriser et rationaliser la prescription des antibiotiques. Ce troisième plan a pour titre « plan national d’alerte sur les antibiotiques ». Derrière ce titre se profile une menace de santé publique majeure : un nombre croissant de situations d’impasse thérapeutique contre des infections bactériennes, du fait du développement des résistances aux antibiotiques. Cette menace appelle une mobilisation déterminée et durable de l’ensemble des acteurs impliqués dans le cycle de vie des antibiotiques, afin de concilier des objectifs individuels (qualité de la prise en charge des patients) et collectifs (préservation d’une ressource rare, précieuse et difficile à renouveler). Le 3e plan d’alerte sur les antibiotiques fixe un objectif de réduction de la consommation pour la durée du plan, celui-ci pourrait être de l’ordre de 25% sur cinq ans comme le préconisent les experts. Et pour la première fois, ce nouveau plan comprend aussi un plan de “réduction des risques d’antibiorésistance en médecine vétérinaire”.

3 La place du référent en antibiothérapie renforcée dans un décret et dans l’indicateur ICATB
Décret du 20/9/2013 sur les CME et la politique du médicament Les établissements de santé doivent se doter d’un référent en antibiothérapie qui « assiste la CME dans la proposition des actions de bon usage des antibiotiques et l’élaboration des indicateurs de suivi de mise en œuvre de ces mesures ; il organise le conseil thérapeutique et diagnostique dans l’établissement. Une même personne peut assurer cette fonction au sein de plusieurs établissements de santé dans le cadre d’une action de coopération » Valorisation par l'ICATB2 d’un ratio temps de référent/nombre de lits 0,3ETP/400 lits MCO et 0,1 ETP/400 lits SSR/SLD/psy) sur le temps dédié Jusque là, l’action du référent reposait sur une circulaire de Or, une circulaire est non opposable, à l’inverse d’un décret Les établissements de santé vont donc devoir désigner un référent (dont le niveau de diplôme et de compétence devrait être défini par une nouvelle circulaire). Si l'on ajoute ça à la valorisation par l'ICATB2 d’un ratio temps de référent/nombre de lits 0,3ETP/400 lits MCO et 0,1 ETP/400 lits SSR/SLD/psy) sur le temps dédié, il devrait être (un peu) moins difficile de mener une politique ATB active dans nos hôpitaux.

4 Pourquoi organiser une journée régionale ?
Une évaluation des attentes et des besoins des référents en antibiothérapie des établissements de santé a été réalisée au niveau national et dans la région Languedoc-Roussillon. Au niveau national : sur les 108 professionnels de santé ayant participé à la journée des référents en antibiothérapie à Clermont-Ferrand, 44 % ont répondu à un questionnaire. De cette évaluation, il ressort : -que 40% se sentent isolés -que 35 % déclarent ne pas avoir assez de temps pour effectuer convenablement leurs missions et 34% ont des difficultés pour inciter la demande, impliquer et faire participer les prescripteurs de leur établissement

5 Pourquoi organiser une journée régionale ?
Au niveau régional : -identification des référents en antibiothérapie des établissements de santé par l’ARS -évaluation des attentes et des besoins : retours assez superposables aux données nationales BILAN LIN : les contrôles réalisés en 2013 dans les établissements de santé de la région Languedoc-Roussillon par Eric Schwartzentruber et Bénédicte Stéphan de l’ARS ont permis de constater que les difficultés d’assurer les nouvelles missions d’expertise et de conseil pour certains référents en antibiothérapie sont réelles.

6 La démarche a permis de repérer
des attentes et des difficultés pour assurer les nouvelles missions d’expertise et de conseil des besoins de formation (clinique, thérapeutique, juridique, pédagogique et en matière d’évaluation), de manière interactive en ateliers (partage d’expérience et rencontre avec des experts) au niveau régional et national. En lien avec les infectiologues du Languedoc-Roussillon, l’ARLIN, l’OMEDIT et l’ARS, il a été décidé d’organiser une première rencontre régionale des référents en antibiothérapie et d’en structurer le programme adapté aux attentes

7 Rôle du référent en antibiothérapie en pratique
JOURNEE DU 20 mai 2014 Accueil des participants à partir de 9H45, autour d’un café 10h - Accueil Dr Martine Aoustin, Directeur Général ARS LR 10h15 - Présentation des résultats de l’évaluation des besoins et attentes et de la journée 10h30-12h15 - Travail en atelier (1 atelier au choix / 2 ; Préinscription nécessaire) Atelier 1  Rôle du référent en antibiothérapie en pratique Animateurs : Catherine Lechiche, Gilles Benistand Atelier 2 Formation et ressources des référents : quelles solutions en pratique ? David Morquin, Thibaut Fraisse Repas libre 12h30-13h30 (cafétéria sur place, repas à la charge des participants) 13h30- 15h15 - Travail en atelier (1 atelier au choix / 2 ; Préinscription nécessaire) Atelier 3 Maîtrise de l’émergence des BMR : bon usage des antibiotiques et prévention de la transmission croisée Cécile Mourlan, Anne Lotthé Atelier 4  Comment être convaincant ? (ou convaincre) ? Animateurs : Aurelia Eden, Pascal André 15h h - Retour en Plénière Points forts de chaque atelier 10 mn + Actualités-Mise au point (« Best Of » sur le thème de l’atelier 10 mn + 5 mn discussion) + Evaluation

8 MERCI aux infectiologues, à l’ARLIN, à l’OMEDIT et aux référents


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