Avancez manuellement La visite virtuelle de la mine commence dans ce bâtiment. Parcours spectacle « la Fièvre de l’Argent ». Un système audio-guide permet.

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2 Avancez manuellement

3 La visite virtuelle de la mine commence dans ce bâtiment. Parcours spectacle « la Fièvre de l’Argent ». Un système audio-guide permet à chacun de suivre l’extraordinaire épopée qui s’est jouée ici même il y a un peu plus de 4 siècles.

4 Pour mieux comprendre le dur métier de mineur, des explications sont données par un « téléphone guide » qui nous amène d’une station numérotée à une autre nous racontant l’histoire de cette mine Saint-Jean.

5 Wagonnet sur rails en bois Instruments utilisés et petite chapelle

6 L’hôpital des mineurs accueille les blessés ou les invalides et leur dispense des soins gratuits. Ses ressources proviennent de la caisse de secours mutuels, alimentée par les cotisations des mineurs et d’un droit d’aubaine: il hérite des biens de ses morts. Cette caisse de secours mutuels peut également servir à soutenir les veuves et enfants de mineurs comme à Sainte-Marie-aux-Mines. Dans les plus grands centres miniers, elle pouvait payer le salaire d’un instituteur, d’un prêtre, d’un apothicaire et subvenir aux besoins des mineurs dans la pauvreté et qui n’avaient pas trouvé de travail. Cela témoigne d’une solidarité professionnelle organisée, qui contient les prémices des régimes spéciaux de sécurité sociale.

7 Chapelle

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9 Les pompes à manivelles, comme celle de l’illustration de gauche, sont actionnées à la force des bras. Elles servent à entraîner des pistons pour faire remonter l’eau et l’évacuer de la mine. Les machines à roues à augets de l’illustration de droite utilisent l’énergie hydraulique pour remonter l’eau dans les grandes outres. Le conducteur de machines, situé dans un abri au-dessus du puits, alimente alternativement les deux moitiés de la roue en eau pour entrainer le tambour dans un sens ou dans l’autre, qui descend les outres à vide et les remonte pleine d’eau. Les grandes quantités d’eau qui parcourent la montagne ont conduit à l’invention de machines très variées et très ingénieuses.

10 A l’origine, le Thaler est essentiellement frappé dans l’atelier monétaire de Jouchimsthal en Bohême, dont il tire son nom. L’atelier monétaire d’Ensisheim, crée en 1583, frappait avec l’argent extrait des mines de Ribeaupierre, des Thalers (florin d’argent) à l’effigie de Ferdinand d’Autriche. Contenant entre 28 et 29 grammes d’argent pur, le Thaler devint au 16 e siècle la monnaie de référence pour les échanges commerciaux dans le Saint Empire et dans le monde entier. Adopté par les Etats-Unis d’Amérique après la guerre d’Indépendance, le Thaler donna naissance au dollar.

11 Les femmes n’étaient pas admises à la mine, par contre, elles lavaient les pierres amenées à la surface dans les wagonnets.

12 Avant d’entrer dans la mine, un équipement nous est fourni: une coiffe (protection), un casque muni d’une lampe et un ciré. Un parcours guidé de 850 mètres dans les galeries (XVIIème, XVIIIème et XXème siècles) de la mine St.-Jean Engelsbourg.

13 Le parcours commence par un passage obligé devant la statue de Sainte-Barbe, patronne des mineurs (également des pompiers et artificiers).

14 Notre guide.

15 Le parcours est bien sécurisé avec des gravillons sur le sol, afin de ne pas avoir les chaussures mouillées !

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18 Passage étroit et courbe (pas facile pour passer).

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22 A la fin de leur journée de travail, les mineurs posaient les planches du chariot sur ces rebords.

23 Les chariots, à roues fixes, sont poussés sur des planches en bois.

24 Planches pour le passage des chariots Passage pour descendre d’étage en étage

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27 Endroit en brique où les mineurs prenaient leurs repas à l’abri et en même temps, se réchauffer.

28 Par une galerie verticale, le tracé suivait tout naturellement le filon de minerai

29 La taille des galeries se faisait en deux temps: une première équipe, la partie supérieure et la deuxième, la partie du bas. Le travail se faisait avec un marteau et une pointerolle à raison de 2 à 3 centimètres par jour ! Chaque mineur s’éclairait avec une lampe de suif.

30 Pour faire sauter la roche, les mineurs utilisaient de la poudre noire, stockée dans un local bien gardé. Le seul endroit avec des portes.

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32 Plus les galeries étaient profondes, jusqu’à – 200 mètres, plus l’infiltration posait des problèmes: une galerie spéciale avait été creusée pour évacuer l’eau et qui pouvait servir à plusieurs mines.

33 Exemple de l’eau qui arrive dans le passage de la roche creusée.

34 Photos personnelles et création de Rosemarie Septembre 2011 Musique: Michel Tirabosso et Sophie Blanchart Cintec din Ardeal Informations prises sur place et sur Internet Mes diaporamas sont hébergés sur le site de : www.imagileonation.com