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Lilymage présente Volet 1.

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1 Lilymage présente Volet 1

2 Fontenay-Le-Comte Vendée France

3 Océan atlantique

4 Fontenay-le-Comte est une commune française, sous-préfecture du département de la Vendée dans la région Pays de la Loire. Ses habitants sont les Fontenaisien(ne)s. Les premiers peuplements du site de Fontenay-le-Comte datent de la préhistoire et s'expliquent sans doute par la présence d'un gué permettant la traversée de la Vendée. Une fontaine, vitale pour la cité, lui donnera son nom. Durant la période gallo-romaine, cette ville, comme toute la Vendée actuelle, appartenait au Poitou. Pendant le Moyen Âge, la ville est fortifiée par les comtes de Poitiers qui élèvent dans la ville un château fort. En 1242, Fontenay-le-Comte devient la capitale du Bas-Poitou. Elle connaît un développement économique important dès le Moyen Âge grâce à l'industrie du drap et du cuir. La ville est fortement ébranlée pendant la guerre de Cent Ans. La Renaissance est pour Fontenay-le-Comte une époque de splendeur avec la construction des plus beaux édifices de la ville. Mais Fontenay-le-Comte, ville protestante, est assiégée huit fois pendant les guerres de religion Au XVIIe siècle, le déclin économique s'amorce et s'accélère avec la révocation de l'édit de Nantes qui ruine les industries protestantes de la ville.

5 Le pont des Sardines a été le premier pont fontenaisien érigé
Le pont des Sardines a été le premier pont fontenaisien érigé. En 1666, il a été reconstruit mais une inondation, survenue au début du siècle, l’a emporté et il ne prit son visage actuel qu’en 1910.

6 La rue de la République est l’une des rues commerçantes de Fontenay-Le-Comte.

7 En 1922, le presbytère de l’église Notre-Dame accueille un musée témoignant de l'effervescence intellectuelle de Fontenay le Comte depuis la Révolution Française. Après des travaux d'aménagements, de 1922 à 1924, il ouvre au public le 19 octobre sous le nom de Musée Vendéen. Emile Boutin, le premier conservateur du musée, a eu pour ambition de donner au musée une dimension départementale.

8 Au cours du XVIIIe siècle, la vieille ville se transforme : travaux d'urbanisme, création de larges artères, canalisation de la Vendée. La Révolution française marque un tournant pour la ville. En 1790, le Bas-Poitou disparaît avec la création du département de la Vendée, dont Fontenay-le-Comte devient le chef-lieu. En 1793, la Convention, souhaitant faire disparaître toute trace de l'Ancien Régime, débaptise la ville et la renomme Fontenay-le-Peuple. Cette même année, les Vendéens prennent les armes contre la République. Fontenay-le-Peuple, républicaine et chef-lieu de la Vendée, est la cible des insurgés. Elle est prise le 25 mai 1793, puis abandonnée trois jours plus tard. Fontenay reste républicaine et constitue un point d'appui des républicains dans la Guerre de Vendée. En 1804, Napoléon Ier, jugeant Fontenay trop excentrée et souhaitant pacifier la Vendée, transfère la préfecture de Fontenay dans la ville nouvelle de Napoléon : La Roche-sur-Yon. Fontenay-le-Peuple redevient Fontenay-le-Comte. Au début du XXe siècle, le chemin de fer dessert la cité mais hélas, la gare doit annuler ses activités pour manque de fréquentation. Il semble évident que l’essor économique de Fontenay est en déclin car de très nombreux commerces ont fermé leurs portes. Cependant, c’est une ville pleine de charme qui possède un patrimoine architectural très intéressant. Un lieu qui mérite un détour. Cette cité est classée ville d’art et d’histoire et, en 2007, a été récompensée de trois fleurs au concours des Villes et Villages fleuris.

9 En 1846, une crypte des IX-Xe siècles est mise à jour.
L’église Notre-Dame L'édifice actuel, plus vaste, de style gothique flamboyant date, en majeure partie, du XVe siècle. Lors des guerres de religion du XVIe siècle, notamment suite à sept sièges de la ville par les Catholiques ou les Protestants, le bâtiment est fortement endommagé. Seuls subsistent les murs, deux piliers et le clocher. La flèche de ce dernier est restaurée en Elle culmine à plus de 80 mètres et domine la ville et ses alentours. Pendant la révolution française, l'édifice est devenu "temple de l'Être suprême". Les voûtes en pierre ne furent restaurées qu'au XIXe siècle. En 1846, une crypte des IX-Xe siècles est mise à jour. En 1862, tout l’ensemble est classé ‘Monument historique’.

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11 Le clocher et la flèche présentent un ensemble gothique très harmonieux et impressionnant par sa majesté, la pureté de ses lignes et la noblesse de son architecture. La flèche octogonale, entourée de 4 clochetons est « une des plus élégantes » de France. Elle s’élance hardiment jusqu’à 82,50m. Elle est l’œuvre de François Le Duc, « de Toscane », architecte du Roi, en 1700.

12 L’église est dotée d’une chaire datant de 1787, faisant face à un monumental Christ en bronze, don de la famille Vallette-Esnard.

13 La chaire placée dans l’église en 1787 n’a heureusement pas souffert du saccage de la Révolution.
Elle est l’œuvre du talentueux et renommé architecte de l’époque de Louis XVI : De La Fosse. Elle a été exécutée en noyer. Un puissant atlas porte la chaire sur son dos. Au centre de la cuve, un médaillon représente Moïse avec les Tables de la Loi. Sur le dossier, un ange découvre le symbole de la Trinité. L’abat-voix supporte un groupe extraordinaire : la Religion écrase l’Hérésie.

14 Le retable englobe tout le chevet
Le retable englobe tout le chevet. Il fut exécuté, vers 1720, par l’artiste flamand Van Gheluwen. C’est un bel exemple de style « Jésuite » importé d’Italie. En 1903, on a failli le détruire mais faute de ressources on le laissa. Cinq ans plus tard, en 1908, il fut classé ‘monument historique’ ! De chaque côté, deux toiles de M.de Rieg, une descente de croix et une annonciation, au centre, une grande œuvre de Robert Le Fèvre, terminée en 1828, ornent ce retable.

15 Tous les vitraux datent du XIXe siècle.

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17 Ce grand orgue, appelé Marie Reine du Ciel, a été construit dans les ateliers de Dominique Oberthür, à Saintes, entre octobre 1993 et la fin de l’année Son inauguration dans l’église Notre-Dame a eu lieu le 5 novembre 1995.

18 Les reliques de saint Urbain.
Les fonts baptismaux. Les reliques de saint Urbain.

19 La crypte est classée ‘monument historique’ en 1862.

20 Cette crypte a été découverte en 1846, lors des réparations du dallage de l’église.

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22 Cet édifice est le prieuré, nommé « hôtel de Grimoüard de Saint-Laurent », bâti au XVIIIe siècle.

23 Cette belle demeure du XVIIe siècle est connue sous le nom de Palais des Evêques, inscrite aux ‘monuments historiques’ en 1988.

24 Ancien Palais de Justice
Cette façade, élevée probablement dans les années 1540, a été profondément remaniée à la fin du XIXe siècle. L’élévation originelle comportait en effet deux tours semi-circulaires encadrant le large portail d’entrée en anse de panier. C’est actuellement le seul vestige d’un des édifices publics les plus intéressants pour la vie fontenaisienne de la Renaissance. L’activité économique florissante de cette période entrainait de multiples transactions, donc d’innombrables litiges réglés par un nombre grandissant de juristes renommés.

25 L’Hôtel, dit de Rivaudeau
Malgré l’amputation récente de son aile gauche et la transformation radicale du logis du fond, l’hôtel de Rivaudeau est un jalon essentiel de l’architecture locale. C’était, en effet, un des premiers exemples poitevins d’hôtel Renaissance à plan en U entre cour et jardin. Cet hôtel doit son nom à une illustre famille fontenaisienne de cette époque : les Rivaudeau, dont l’un, André, fera paraitre, en 1566 et 1567, une tragédie et une traduction d’Epictète. Rien ne prouve pourtant que cette demeure fut la sienne.

26 Le portail de Château-Gaillard porte un ensemble sculpté mythologique représentant le prêtre troyen Laocoon et ses fils, encadrés par Hercule et Diane. C’est une copie, de la fin XVIIIe, de l’œuvre antique exposée au Vatican. Ces sculptures ont été restaurées en 2012.

27 La maison Billaud (XVIe s.) C’est une propriété privée.
Refaite au XVIIIe siècle, la façade actuelle dissimule une demeure qualifiée de « joyau de la Renaissance fontenaisienne ». Celle-ci est constituée de deux logis séparés par une cour intérieure. En 1983, cet édifice voit plusieurs de ses éléments classés ‘monuments historiques’ : façade sur cour, escalier, salle voûtée. Puis en 1987, suivront la façade et la toiture sur rue. C’est une propriété privée.

28 L’hôtel de la Pérate (XVIe s.)
Cet immeuble, propriété privée, est inscrit aux ‘monuments historiques’ depuis 1944.

29 Au pied du château-fort, une fontaine est édifiée sur une source captée depuis le Moyen âge. En 1542, cet édifice public est reconstruit dans le style Renaissance, tel un petit temple « à l’antique » avec son fronton et ses colonnes. C’est l’une des toutes premières fontaines « classiques » du royaume de France. Elle est inscrite aux ‘monuments historiques’ depuis 1926.

30 Derrière la fontaine se trouve l’ancien fossé du château-fort
Derrière la fontaine se trouve l’ancien fossé du château-fort. La tour-maitresse du XIIe siècle est encore conservée dans sa partie basse.

31 En 1595, Jacques Gobin, receveur des Tailles (percepteur), fait construire cette vaste demeure, nommée la Sénéchaussée, près des remparts. La tour d’escalier lui donne cette allure de petit château. L’architecture simple est agrémentée par le décor sculpté de la Renaissance. L’édifice sert de demeure noble puis d’hôpital et de prison. Le monument restauré abrite le Trésor Public à partir de 1997 mais ses services viennent d’être transférés. Il est inscrit aux ‘monuments historiques » depuis 1988.

32 Arrière de la Sénéchaussée adossée aux remparts.

33 Tribunal d’Instance

34 Le couvent des Filles de Notre-Dame a été fondé dans les années 1630
Le couvent des Filles de Notre-Dame a été fondé dans les années Après la Révolution, le site devient bien national. En 1870, des bâtiments vétustes sont démolis. La construction actuelle, élevée entre 1874 et 1888, est l’œuvre d’Arsène Charrier, architecte de la ville, puis maire. Il a su créer ici une œuvre caractéristique de cette fin du XIXe siècle. Elle est nommée le collège Viète depuis 1930.

35 Les bâtiments conventuels se situent juste derrière le collège.

36 Cette petite chapelle latérale jouxte les bâtiments conventuels.

37 Cette volée de marches grimpe à l’assaut de trois hectares de verdure installés sur l’emplacement de l’ancienne forteresse seigneuriale. Des érables, des marronniers, des tilleuls séculaires ornent les douves du château.

38 En 1996, La ville a reçu le Prix national de l'Art de Vivre et a obtenu le prix Ville Lumière en 2002 récompensant son plan d'éclairage architectural du centre historique..

39 Informations prises à l’Office du tourisme et sur le Net.
Conception, réalisation, photos : L. Cavallari. Musique : Greensleeves interprétée par André Rieu. Date : Août 2014 Mes diaporamas sont hébergés sur les site de :

40 Au Revoir Les remparts de la ville.


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