Départ pour la Marche. Départ pour la Marche.

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2 Départ pour la Marche

3 Chapelle Ste Marguerite La Stele du depart Brouennou

4 Chapelle de Brouennou (appelée aussi Chapelle St Eveltoc)
Deux pierres portant les dates de 1605 (dans la cour) et 1608 (mur ouest de l’enclos) permettent de dater la construction de l’église qui précéda la chapelle actuelle. Après le rattachement de Brouënnou à Landéda, l’église se dégrada. Dans les années 1830, le conseil municipal décida que l’église soit érigée en chapelle comme annexe de l’église paroissiale de Landéda. Peu à peu délaissée, la chapelle menaça de tomber en ruines, la commune décida sa reconstruction qui fut réalisée au XIXe siècle, en réemployant le clocheton, le petit œil de bœuf du pignon et la fenêtre Est "Vers le Vième siècle, Tavayoc (ou EVELDOC ) venant de Grande-Bretagne s'y établit. Le lieu devait alors être consacré à un culte païen (fontaine, aujourd'hui dans la grêve, pierres phalliques) consacré à ANA la déesse de la fertilité, mère des dieux celtes. La christianisation du site fut marquée par l'édification d'une chapelle et l'homonymie aidant, ANA devint ANNE, [...]d'où CROAS ANES".

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6 La CHAPELLE BROUENNOU vue du Ciel

7 CHAPELLE de BROENNOU

8 Château de Jane Birkin

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11 Le GROUPE de MARCHE

12 Chapelle Sainte Marguerite
Ce petit édifice rectangulaire qui domine l’anse des Anges possède un maître-autel du XVIIIe siècle et une statue de sainte Marguerite du XVIe siècle. Elle est représentée ici avec un dragon à ses pieds La chapelle se trouve au point le plus haut (20 m) de la presqu'île, en un lieu nommé CLEGUER MEUR ("le grand rocher" en celte) ou l'on célébrait autrefois un culte païen à des idoles de pierres (phalliques) symboles de fertilité et donc invoquées contre la stérilité. Dans le but de remplacer ce culte, la christianisation du lieu passa par l'instauration  du culte de Ste Marguerite, vierge martyrisée à Antioche selon plusieurs sources Initialement située sur l'île Tariec, la chapelle Sainte Marguerite fut rebâtie en 1852 sur la terre ferme à la place d’une plus ancienne. Cette dernière (en état de "décence et de sûreté convenable" en 1804) avait, selon le cadastre de 1842 la forme d'une croix grecque (à 4 branches égales), ce qui n'était pas banal. Cette forme pourrait avoir été inspirée par le Sieur de Troménec, croisé en 1248, qui se rappelait les chapelles chrétiennes de Turquie. L'édifice actuel a un plan rectangulaire allongé avec sacristie en hors-oeuvre à l'Est La chapelle contient la statue en bois de Saint Tariec (fêté le 20 janvier). Représenté en abbé, à côté duquel il y a des galets arrondis, ce saint est paraît-il invoqué contre les empiètements de la mer, détail très intéressant dans ce contexte d'ensablement du littoral.

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14 CHAPELLE SAINTE MARGUERITE

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17 P L O U G U E R N E A U L I A

18 Feu de L’ile Wrac’h

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21 L I A Ile Vierge Greve de Kervenny Ile Wrac’h Lilia Plage de St Cava
Castel Ach Ile Wrac’h Lilia Plage de St Cava L I A

22 La VIERGE et L’ENFANT

23 - Les statuettes : 40 Saints
LES PETITS SAINTS DE PLOUGUERNEAU Une longue histoire. Des processions..une marche Les « petits saints de Plouguerneau « sont des statuettes de dévotion plantées sur une hampe que l'on porte en procession. Ils sont présentés dans deux vitrines dressées dans le fond de l'église. Les 40 petits saints sont des statuettes de bois polychrome dont la taille varie entre 30 à 40 cm. Le privilège de les porter en procession était naguère mis aux enchères, une pratique qui a disparu dans les années d'après-guerre. Le prix payé comportait le droit à l'acquéreur de conserver le petit saint jusqu'à l'année suivante. La coutume des « petits saints » remonte, selon la tradition , à une épidémie de peste qui sévit dans le pays pagan vers 1640. Le voeu émis à cette occasion incluait trois processions annuelles , le jour de l'Ascension, le dimanche qui suivait cette fête et le lundi de Pentecôte selon des itinéraires différents. - Les statuettes : 40 Saints On remarque tout d'abord qu'aucun « saint breton », ni aucun saint local ne figure dans la série ancienne, mis à part saint Yves.. En revanche, douze des personnages sont mentionnés dans l'antique litanie des saints et constituent des groupes cohérents. La Vierge, saint Joseph et les saints archanges Michel, Gabriel et Raphaël, ce dernier doublé par l'ange gardien qui mena Tobie au pays de ses ancêtres. Viennent ensuite trois apôtres, Pierre, Paul et Jean l'évangéliste. Puis les premiers martyrs Etienne, Laurent,, et le fondateur du monachisme chrétien. Antoine Parmi les autres qui constituent la série fondamentale Quatre, sont des intercesseurs honorés partout en Occident au Moyen-Age Christophe, Eloi, Barbe et Marguerite,. Deux autres sont des «saints modernes » : François de Sales, canonisé en 1665, 43 ans après sa mort, et Vincent de Paul, béatifié en 1729, canonisé en 1737

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25 Les Petits SAINTS en promenade

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27 Eglise de LILIA

28 Ce phare construit par le service
des Phares et Balises vient remplacer le feu allumé jusqu'alors au clocher de Plouguerneau pour signaler l'entrée du port de l'Aber-Wrac'h. Le triangle rouge fluorescent à son sommet indique l'entrée du chenal de l'aber.

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31 Un peu d'histoire... Les "Récollets", premiers gardiens de l'île Vierge Les premiers gardiens de l’île Vierge furent des moines. Peut-être orientés par la paroisse de Tréménac’h toute proche, et elle-même d’origine monastique, Ces moines débarquent en 1445 sur cet îlot de désolation. Disciples de St François d’Assise, ces franciscains réformés se nommaient : «les Récollets» et désiraient retrouver la pureté originelle de leur Maître François, le «Poverello» ... Ainsi ils baptisèrent ce lieu de désolation l’île de la Vierge en l’honneur de l’extraordinaire dévotion médiévale pour Marie

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33 Petit phare de l’île Vierge (sur la photo a gauche du Grand phare)
Le petit phare de l’île Vierge est un phare de troisième catégorie (ou troisième ordre) destiné à marquer l’entrée des passages et les écueils à l’approche des côtes. Mis en service en 1845, c’est une tour carrée de granit surplombant l’habitation des gardiens, le tout d’une hauteur de 33 mètres. La portée de son feu, fonctionnant à l’huile de colza, avait une portée de 14 milles. Remplacé en 1902 par le grand phare, il abrite toujours les gardiens et porte la corne de brume, signal sonore en cas de brouillard. Grand phare de l’île Vierge  Le grand phare de l’île Vierge est construit de 1897 à 1902. Il est le plus haut d’Europe avec ses mètres de haut et le phare en pierre le plus haut du monde. La tour cylindrique en granit et en pierre de Kersanton est habillée à l’intérieur d’un manteau d’opaline, pierre fine à reflets irisés, constituée de silice hydratée. L’escalier en colimaçon de 365 marches mène à la coupole qui abrite un feu d’une portée de 27 miles par temps clair (52 km). Le phare porte un feu éclair à éclat blanc toutes les cinq secondes. Electrifié en 1956, l’énergie était fournie au départ par deux éoliennes ; actuellement par un groupe électrogène

34 Les Phares le petit a gauche Le grand a droite

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41 Le dolmen de Lila Du breton dol, table et men, pierre

42 Du breton dol, table et men, pierre
Le dolmen de Lila Du breton dol, table et men, pierre C’est un monument constitué de blocs de pierres dressés verticalement pour soutenir la table de pierre horizontale. A l’origine, les dolmens étaient enfouis sous des tertres de pierres constituant des cairns, pour servir de sépultures. Le dolmen de Lila, en partie affaissé, présente un bel ensemble de 9 m de développement. Lilia lui doit peut-être son nom, lia désignant un mégalithique en vieux celtique.

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44 Iliz Koz en 2 Et en haut la Chapelle Saint Michel et la cellule de Dom Michel Le Nobletz

45 Iliz Koz. En français, la vieille église
Commençons par le commencement. Non, pas Adam et Eve. Mais le village de Tréménac’h, anciennement Tremeneckh et dédiée à la Sainte Trinité. L’étymologie du nom signifie le village des moines. Autrefois, l’enceinte de l’enclos comptait une église, une chapelle, un ossuaire, un calvaire, un cimetière et un presbytère. Au milieu du XVIe siècle, et là je vous jure Marie-Thérèse que nous ne sommes pas dans le film "L’Age de glace", mais donc en cette période se produit un phénomène atypique : une microglaciation. Celle-ci provoque un ensablement qui s’aggrave en 1660. L’ensablement de l’église et de ses alentours ne fait que s’accentuer jusqu’en 1730, année où l’église est finalement abandonnée au sable Aujourd’hui, on a retiré le sable du site, et on voit apparaitre la nécropole médiévale. Plus de 100 dalles funéraires. La légende attribue l’ensablement d’Iliz Koz à un chat noir emmitoufflé dans un linge, que trois enfants auraient voulu faire baptiser. Le recteur, un non voyant, entendant le soit-disant enfant miauler, aurait jeté la malédiction sur cette paroisse finistérienne..

46 Iliz Koz. la vieille église.
Une église avec une histoire elle fut au coeur d’un ensablement avec les maisons voisines, qu’on a mis à jour, plus récemment, une nécropole médiévale

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49 Trémenech-Plouguerneau à droite la cellule de Dom Michel
Chapelle Saint-Michel, en Trémenech-Plouguerneau à droite la cellule de Dom Michel Dom Michel Le Nobletz ( ) fut au début du XVII e siecle le premier et l'un des plus vigoureux missionnaires de la Reforme catholique dans le royaume. Actif dans l'ouest de la Bretagne il développa pour nourrir son propos des méthodes pédagogiques nouvelles, et inventa notamment l'usage de cartes peintes – appelées aujourd'hui taolennou ou tableaux de mission dont il reste de nombreux exemplaires. L’Eglise le déclara vénérable en 1897. L'évêque de Léon ouvrit son procès en béatification en 1701, mais elle est toujours en attente.

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52 Chapelle de Saint Michel

53 Cellule de Dom Michel

54 Chair de prédication pour les pardons

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