Prix et qualité du service public déchets ménagers

Présentation au sujet: "Prix et qualité du service public déchets ménagers"— Transcription de la présentation:

1 Prix et qualité du service public déchets ménagers
Rapport annuel 2014 Prix et qualité du service public déchets ménagers

2 Compétences et territoire
Le Syndicat Centre Hérault assure la collecte en apport volontaire et le traitement des déchets Il valorise et recycle les matériaux déposés aux points tri et en déchetterie. Il composte les biodéchets et les déchets verts. Il traite par enfouissement les matériaux non valorisables Il prend en charge la maîtrise d’ouvrage des inertes et la réhabilitation des décharges. Il met en œuvre une politique locale de prévention des déchets

3 Compétences et territoire
76 communes 74841 habitants

4 Les évènements marquants
Rapport annuel 2014 Les évènements marquants

5 Le nouveau mandat Michel Saintpierre, le nouveau Président et les nouveau élus gardent le cap avec pour objectifs la maîtrise de la pression fiscale et la validation de la filière de traitement qui doit succéder à l’ISDND actuelle à l’horizon 2022. Un film pour mieux s’approprier la gestion des déchets destiné aux nouveau élus et aux habitants

6 Inondations : une gestion imprévue
La solidarité du SCH avec les communes sinistrées : mise à disposition de bennes pour l’évacuation des encombrants et inertes. 249 t collectées. 550 t de tout-venant 0-31,5 livrés Les sites du SCH touchés par les inondations

7 Sites de traitement : optimiser les process
Des changements bénéfiques dans le process de compostage : abaissement des quantités d’Eléments Traces Métalliques (ETM) avec augmentation du rendement Une étude est en cours sur le conditionnement du compost en sacs pour un meilleur confort et sa présentation en granulés pour faciliter l’épandage.

8 Sites de traitement : optimiser les process
Test concluant pour filtrer les lixiviats avec le procédé de coagulation-floculation : A la plateforme de compostage : clarifier l’eau d’arrosage A l’ISDND : filtrer les lixiviats à forts concentrats du bassin pour enfouir des flocs séchés et un rejeter les eaux en milieu naturel

9 Sites de traitement : maintien des certifications
Audit de renouvellement (tous les 3 ans) : ISO pour la gestion et l’exploitation de l’Installation de Stockage des déchets Non dangereux de Soumont, ISO pour la gestion des déchets sur le site d’Aspiran ISO pour la production et vente de compost. Le nouvel auditeur du Bureau Véritas a souligné l’engagement du SCH vis à vis du respect de la réglementation et de l’environnement, la formation des auditeurs internes, la richesse des données et informations récoltées, un plan de formation important, la maîtrise opérationnelles sur le terrain et l’implication des agents, ainsi que la propreté des sites.

10 Déchèteries : rationalisation du maillage et innovation
Maîtriser les coûts de réhabilitation : fermeture des déchèteries de Saint-André-de-Sangonis, Cabrières et Saint-Jean-de-la-Blaquière. Optimiser le service avec l’augmentation des jours d’ouvertures des autres déchèteries Innover pour optimiser le service : création d’un nouveau modèle de déchèterie avec les déchèteries de Gignac et Le Pouget conçues en casiers

11 Valoriser les textiles et chaussures
Nouveau Lancement de la collecte des textiles avec l’installation de colonnes en déchèterie Une communication colorée : habillage des colonnes et dépliants d’information remis aux usagers des déchèteries

12 Le vente des produits issus de la valorisations des inertes
La gamme s’élargit en 2014, passant de 2 à 7 produits pour répondre aux attentes des professionnels Une insertion publicitaire dans le journal « Le messager du Bâtiment et des travaux » de la CAPEB Hérault pour informer les professionnels.

13 Prévention et communication
70 grammes par hab. pour atteindre les objectifs du Grenelle de l’environnement : une campagne de communication dans le journal du SCH et sur les camions Installation de composteurs partagés à Clermont l’Hérault (résidence Jean Moulin), à Lodève (quartier des Carmes et à Celles) et au camping du Mas de Riri Des animations d’été dans les supermarchés, marchés et manifestations pour sensibiliser les habitants

14 La promotion des filières biodéchets
Lancement du label ASQA conçu par le réseau CompostPlus : 36 exigences pour garantir aux agriculteurs et professionnels la qualité et la traçabilité des composts à usage agricole. Un guide méthodologique sur la collecte séparée des biodéchets conçu par le réseau CompostPlus pour les élus. Mission d’expertise technique et financière faite par le SCH sur le territoire de Saint-Pierre-et-Miquelon.

15 Les indicateurs techniques
Rapport annuel 2014 Les indicateurs techniques

16 La valorisation des déchets
Un taux de valorisation de 45,74 % en 2014

17 La production des déchets
De 2013 à kg/habitant de production d’ordures ménagères : effet inondation Encore 9 kg pour atteindre les objectifs du Grenelle de 312 kg/habitant

18 Les opérations de collecte
Gestion de la base de données des équipements en bacs 2 147 foyers ou professionnels équipés en bacs et environ changements ou compléments de bacs soit ordres d’intervention Equipements de collecte en apport volontaire 11 déchetteries Mise en place des colonnes textiles 320 points tri

19 Recyclage matière issu des points tri
Hausse des quantités de verre (+ 1,99 %) et baisse des quantités de papier (- 0,35 %) : effet conjoncturel + effet Stop PUB Baisse des EMR valorisés (- 15,33 %) liées au changement de centre de tri (augmentation des refus de tri : + 89%)

20 Zoom sur les tonnages EMR triés par produits
2014 2013 On constate que la quantité d’Emballages en acier, aluminium, briques ou plastiques sont en augmentation ou stables Les papiers et cartonnettes eux diminuent. Une partie du flux est désormais considérée comme des refus en raisons des contraintes techniques du nouveau centre de tri

21 Recyclage matière issu des déchèteries
Hausse de la quantité de ferraille collectée (+ 18 %) : collecte en grappin, sécurisation du site d’Aspiran, Service Sécurité des biens et des personnes du SCH Augmentation des flux des DDS (+ 23 %) et des DEEE (+ 11%). La règle du 1 pour 1 ne fonctionne pas en magasin. Les containers « Ressourcerie » mis en place en déchèteries ont permis d’augmenter la collecte (+ 102 %). La bonne fréquentation des déchèteries se poursuit * * mise en place de la collecte du mobilier usagé en déchèterie avec Eco-mobilier pour détourner des déchets des encombrants

22 La collecte des Textiles, Linge et Chaussures (TLC)
Nouveau 8 colonnes textiles mises en place dans 7 déchèteries 35 t de textiles collectés 1,13 t de refus 33,95 t de textiles valorisés

23 La compostage à la plateforme
La collecte Diminution de la collecte des biodéchets depuis 3 ans (- 4,9 %), soit environ 50 à 100 t de moins par an. Les déchets verts collectés sont en hausse (+ 6,2 % sur 3 ans). En 2014 : Audit de renouvellement des deux certifications pour la gestion de la plateforme et la vente du compost : ISO et ISO 9 001

24 La compostage à la plateforme
Hausse des ventes de compost issu de la collecte des biodéchets (+50 %) et des ventes de bois de paillage (+203 %). De nouvelles conventions de vente signées en 2014 : avec Languedoc Roussillon Aménagement (achat de 749 t pour le chantier du PRAE Michel Chevalier sur Le Bosc) avec l’EARL LES MONTARELS (achat de 200 t de produits sur 3 ans) Composts certifiés « Matière fertilisante utilisable en agriculture biologique » Les ventes

25 Le concassage sur le site d’inertes
La collecte Soit en 2014 : 58 kg/ habitant/an La quantité des gravats collectés a augmenté de 0,7 % de 2013 à Nombre d’apports enregistrés sur le site d’inertes en 2014 : dont apports de professionnels. L’opération de concassage est effectuée sur site par un prestataire extérieur.

26 Le concassage sur le site d’inertes
Les ventes En 2014 : t de produits vendus au total Diminution des ventes sur l’année 2014 (-55,5 %) : rupture de stock de septembre à avril 2014. Ventes relancées à partir de septembre 2014 puis auprès des communes sinistrées par les inondations. Elargissement de la gamme de 2 à 7 produits pour s’adapter aux besoins des professionnels

27 Le traitement des déchets non valorisés
Augmentation des Ordures Ménagères Résiduelles (OMR) + 4,7 % entre 2013 et 2014 => Effet inondation ? / geste de tri Diminution de l’enfouissement des encombrants à l’ISDND : filières de valorisation et REP Augmentation des Déchets d’Activité Economiques à l’ISDND : 400 t en Ce service est facturé par le SCH.

28 2014 : des inondations à fort impact
On estime à près de 300 tonnes la quantité de déchets générés dans les bacs gris liés aux inondations. Soit un équivalent de 4kg/habitant

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30 Les indicateurs financiers
Rapport annuel 2014 Les indicateurs financiers

31 Les modalités d’exploitation
Les dépenses de fonctionnement 2014 ont été exécutées à 94,5 % du budget primitif et à 85 % des prévisions budgétaires totales. La Taxe Générale sur les Activités Polluante représente 9 % du budget total de fonctionnement. Le tarif de la TGAP 2014 est de 24 € la tonne grâce à la certification ISO obtenue sur l’ISDND au lieu de 30 € Depuis 2011, les modalités de répartition des participations des Communautés de Communes, ont été révisées : la TGAP et la part liée à la l’enfouissement sont réparties aux tonnages enfouis. La participation d’Eco-Emballages est attribuée en fonction de la qualité du tri. La vente de produits valorisables (fer, acier, alu, plastiques, cartons…) a augmenté par rapport à 2013 en raison notamment de la mise en œuvre de la collecte au grappin et la mise en place d’un service Sécurité contre les vols (+18% de métaux collectés). En 2014, le SCH a investi dans l’achat de matériels : broyeur lent, camion, chargeuse, colonnes, blocs béton, bâtiment préfabriqué, bennes et caissons…

32 Répartition des globales par type de déchet

33 Couverture des charges par les recettes (hors participation)

34 Répartition des dépenses par service

35 L’évolution du coût de 2003 à 2013
Le coût par habitant hors TGAP est de 65,18 €. Il a diminué de 7,3 % en 4 ans.

36 L’évolution des tonnages valorisés depuis 2002
Le taux de valorisation est supérieur à 45% depuis 2008.