LE MODELE RESSOURCES-COMPETENCES Prahalad 1990 3. AVANTAGE CONCUR. marchés imparfaits, rente organisationnelle durable 4. ACTIFS STRATEGIQUES: opportunités, spécifique à une firme dans une industrie. 2. POLES COMPETENCES processus, information, spécifique, tangible/tacite 5. APPRENTISSAGE insuffisances, actions, sélection des routines RESSOURCES ORGA. disponible, échangeable contrôlable, convertible
LES POLES DE COMPETENCES Combinaisons: de métiers, de savoirs, de procédés (dépassent la compétence d’un individu). Invisibles: relations de causalité ambiguës entre Input-Output , entre facteurs et résultats. Crée un avantage concurrentiel durable par des barrières à l’imitation . Durables, peu nombreux, et essentiels à la survie CT et LT. Socle de base, permettant de construire des Pôles-Produits et des Activités-Produits.
L’ARCHITECTURE DES COMPETENCES Niveau supérieur Compétences générales: Processus de coordination, de décision, d’incitations.. Compétences inter-fonctions: Produits nouveaux, service Client, gestion de qualité Niveau intermédiaire fonctionnel: R.et D., Production, Marketing.. Niveau élémentaire: savoirs, savoir-faire, connaissances..
LA PLATE-FORME STRATEGIQUE (B.C.G. 1991) LES ACTIVITES, COMME CROISEMENT ENTRE: Compétences métiers: assemblage unique de savoir-faire et d’expériences, difficiles à imiter (expertise indus., connaissance des clients, des canaux, gestion d’une marque..) Capacités organisationnelles: collectives, ancrées dans la culture (la capacité de réponse ou d’apprentissage, l’acuité, la polyvalence..)
L’APPRENTISSAGE ORGANISATIONNEL LA THEORIE EVOLUTIONNISTE Les compétences sont des ensembles de routines Les routines sont des programmes permanents, des modèles d’activité, des procédures de résolution, assurant le lien entre les individus. La variation des comportements et des connaissances des individus génèrent la diversité. La sélection des mutations dépend de l’environnement de la firme (marchés, centralisation/décentralisation..)