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Présentation au sujet: "vous présente un projet"— Transcription de la présentation:

1 vous présente un projet
Khoudja Med Ali ET Fekih Slimene Hédi vous présente un projet à propos la tolérance

2 Dans ce projet on va faire conscience des différentes types d’intolérance existant dans le monde après avoir bien définir la tolérance et l’intolérance et vous présenter quelques actes contre ce dernier phénomène qui ne cesse de détruire notre vie et de menacer la sécurité des peuples.

3 I/ Qu'est ce que c'est la tolérence ?
La tolérance, du latin tolerare (supporter), est la vertu qui porte à accepter ce que l'on n'accepterait pas spontanément. C'est aussi la vertu qui porte à se montrer vigilant tant envers l'intolérance qu'envers l'intolérable.1 En d'autres termes, c'est une notion qui définit le degré d'acceptation face à un élément contraire à une règle morale, civile ou physique particulière. Plus généralement, elle définit la capacité d'un individu à accepter une chose avec laquelle il n'est pas en accord. Et par extension moderne, l'attitude d'un individu face à ce qui est différent de ses valeurs. La notion de tolérance s'applique à de nombreux domaines : la tolérance sociale : attitude d'une personne ou d'un groupe social devant ce qui est différent de ses valeurs morales ou ses normes ; la tolérance civile : écart entre les lois et leurs applications et l'impunité ; la tolérance selon John Locke : « cesser de combattre ce qu'on ne peut changer » ; la tolérance religieuse : attitude devant des confessions de foi différentes ; la tolérance en technique : marge d'erreur acceptable, ou capacité de résistance à une agression.

4 Toute liberté ou tout droit implique nécessairement, pour s'exercer complètement, un devoir de tolérance et de respect. Autre définition de la tolérance Selon certains moralistes, la notion de tolérance est associée à la notion absolue de bien et de mal. La tolérance s'exerce lorsqu'on reconnait qu'une chose est un mal, mais que combattre ce mal engendrerait un mal encore plus grand. La tolérance peut alors conduire à une abstention volontaire dans le combat contre un mal identifié comme tel. Cette abstention n'est pas motivée par une relativisation des notions de bien et de mal, mais au contraire par la pleine conscience d'un mal qui ne peut malheureusement pas être combattu sans produire un autre mal plus grave encore. C'est en ce sens, par exemple, que le terme de maison de tolérance, était encore usité au début du XXe siècle.

5 II/ qu'est ce que c'est l'intolérance
Défaut de tolérance, disposition à violenter, à persécuter ceux avec lesquels on diffère d'opinions. Il se dit surtout en Matière de religion et de politique. Son intolérance lui fit beaucoup d'ennemis. Le fanatisme et l'intolérance ont été la cause de beaucoup de troubles civils. En termes de Médecine, L'intolérance de l'estomac, L'inaptitude de l'estomac à digérer tel ou tel aliment, tel ou tel remède.

6 III/ Quelques types d'intolérance
1/ l’ xénophobie Etymologie : du grec xenos, étranger et phobos, peur, effroi. Au sens littéral, la xénophobie est la peur irraisonnée, maladive de ce qui est étranger. Dans le sens courant, le terme "xénophobie" est plutôt utilisé pour caractériser un sentiment envers d'autres êtres humains. La xénophobie désigne les sentiments systématiques de crainte, d'hostilité, voire de haine envers les étrangers, c'est-à-dire de ceux qui n'ont pas la même nationalité que soi ou qui n'appartiennent pas au même groupe (culture, religion, langue...). L'étranger est perçu comme une menace pour l'équilibre de vie et, donc comme un ennemi, ce qui entraîne des réactions de peur ou d'hostilité, ou les deux. Dans les formes extrêmes, la xénophobie peut dégénérer en haine ou en violence.

7 Les sentiments xénophobes se développent souvent dans les périodes de crise économique dont l'étranger devient le bouc émissaire ou lorsque deux cultures différentes doivent cohabiter. Lorsque la xénophobie s'applique à des individus en raison de leur appartenance à une autre ethnie, on emploie abusivement le terme de racisme alors qu'il s'agit plutôt d'ethnophobie. La xénophobie trouve son origine dans une différence ou une confrontation, tandis que le racisme contient l'idée de supériorité d'un groupe par rapport à un autre, sur des critères d'apparence physique.

8 2/L’antisémitisme L’antisémitisme (originellement écrit anti-sémitisme) est le nom donné à la discrimination, l'hostilité ou les préjugés à l'encontre des Juifs. Les manifestations de l'antisémitisme peuvent aller de la haine personnelle à des persécutions populaires et violentes ou idéologiques et institutionnalisées. Outre les pogroms localisés, il y eut des formes de grande ampleur, à l'échelle d'un pays comme l'édit d'expulsion des Juifs d'Angleterre en 1290, l'Inquisition espagnole et l'éviction des Juifs d'Espagne en Il y en eut aussi à l'échelle d'un continent, lors de la Seconde Guerre mondiale, où la Shoah, Solution Finale d'Adolf Hitler à la « question juive » en Europe, causa la mort de quelque 6 millions1 de personnes désignées comme juives. Ceux-ci représentaient les trois quarts des Juifs de l'Europe occupée, les deux tiers de ceux du Vieux Continent et plus du tiers de la population juive mondiale. En dépit de l'étymologie du terme qui suggère que l'antisémitisme est dirigé contre tous les peuples sémites, Juifs et Arabes, en pratique il est exclusivement utilisé pour faire référence à l'hostilité envers les Juifs comme groupe « religieux », « racial » ou « ethnique »

9 3/ l’hémophobie Le terme d'« homophobie » désigne l'hostilité explicite ou implicite envers les homosexuels. Cette hostilité relève de la peur, de la haine, de l'aversion ou encore de la désapprobation envers l'homosexualité. Par extension, l'homophobie désigne les préjugés et la discrimination anti-homosexuels. Bien que le mot ait été forgé par un psychologue, homophobie n'est pas un terme de psychiatrie. Il n'existe pas d'« homophobie pathologique ». Pour la théorie analytique, une homophobie profonde pourrait cependant être liée à une homosexualité refoulée, c'est-à-dire des sentiments homosexuels contrariés. Certains estiment que le terme d'homophobie, étymologiquement inexact (ce n'est en effet pas la peur de l'identique mais la peur de l'homo(sexualité) ; voir plus bas), constitue plutôt un terme utilisé par les associations homosexuelles pour désigner toute attitude d'agression ou de rejet à l'encontre des homosexuels ou de l'homosexualité. En ce sens, l'homophobie peut être apparentée à la xénophobie. Le terme homophobie peut donc sembler être politiquement campé et non pas une définition officielle en psychologie.

10 L'homophobie n'a pas non plus de définition légale dans tous les pays
L'homophobie n'a pas non plus de définition légale dans tous les pays. En France, la loi de modernisation sociale votée sous la gauche début 2002 a interdit officiellement toute discrimination à l'embauche ou dans le monde du travail (déroulement de carrière, harcèlement...) basée sur le rejet des homosexuel(le)s. Depuis, deux amendements à des lois anti-discriminations existantes ont été adoptées le 31 décembre 2004, réprimant les propos homophobes tenus publiquement (au même titre que les propos xénophobes, racistes, sexistes, handiphobes, etc.) La loi ne précisant pas le terme "homophobe", doit être compris comme tel tout propos qu'un jugement aura déclaré être homophobe. Les adversaires de cette législation accusent les homosexuels de censure. Au Canada, le député homosexuel Svend Robinson tenta en 2002 de faire introduire une loi (C-250) interdisant toute publication négative envers les homosexuels, notamment certains passages de la Bible, du Coran et de la Torah. Les défenseurs des libertés civiles ont néanmoins empêché cette législation jugée répressive. Cette loi a été entérinée au Sénat canadien en mai 2004 avec amendements.

11 4/ L’âgisme L'âgisme est à l'âge ce que le sexisme est au sexe, le racisme aux "races", etc. Si le terme agisme faisait, lors de sa création (en 1969, aux Etats-Unis, par le gérontologue Robert Butler), surtout référence aux discriminations touchant les personnes âgées, il est employé aujourd’hui quel que soit l’âge des personnes qui en sont victimes. De nombreuses manifestations de l’âgisme touchent en effet les jeunes. A l'instar de certaines formes de racisme ("les Noirs sont..."), de xénophobie ("tous les étrangers sont...") ou de sexisme ("les femmes sont..."), l’âgisme repose le plus souvent sur des stéréotypes généralisants et caricaturaux : "les vieux sont tous conservateurs..." ; "les jeunes sont tous violents..." ; "les plus de 50 ans sont technophobes..." ; "les jeunes sont inconstants...", etc. D’autres types de préjugés peuvent aisément conduire à des formes particulières d’âgisme. Entre autres le "jeunisme", qui estime que les jeunes personnes sont plus aimables et possèdent plus de qualité que les vieilles personnes, ou le "gérontocratisme", qui établit comme principe que les vieilles personnes sont plus qualifiées que les jeunes pour occuper le pouvoir.

12 Parmi les manifestations les plus inquiétantes de l’âgisme contemporain, les discriminations dans le domaine de l’emploi (trentenaires jugés "trop jeunes", quadragénaires jugés "trop vieux" !), de l’accès à la formation continue (plus difficile dès la quarantaine), de l’accès à certaines aides (une personne handicapée de plus de 60 ans disposera de moins d’aides qu’une personne handicapée de moins de 60 ans) ou à certains soins (par exemple, temps d’attente aux urgences beaucoup plus long pour les personnes très âgées ; certains services hospitaliers refusant des personnes malades à cause de leur âge

13 IV/ Quelques actes contre l'intolérance
1/ Le 21 mars fût proclamé Journée Internationale pour l'Elimination de la Discrimination Raciale en 1966 par l'Assemblée Générale des Nations Unies, en commémoration du 21 mars 1960 où, à Sharpeville (Afrique du Sud), 69 personnes furent tuées lors d'une manifestation pacifique contre les lois relatives aux laissez-passer imposées par l'apartheid. L'Assemblée Générale vota également une résolution engageant la communauté internationale à redoubler d'efforts pour éliminer toutes les formes de discrimination raciale [résolution 2142 (XXI)]. En 2001, la "Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance qui y est associée", qui s'est tenue à Durban (Afrique du Sud), a préconisé en particulier une lutte sur trois fronts : une meilleure prévention des actes de discrimination, une répression plus sévère des délits de racisme et un soutien plus efficace aux victimes dans leur lutte pour la dignité, l'équité et la justice.

14 2/ Le 21 mars fût proclamé Journée Internationale pour l'Elimination de la Discrimination Raciale en 1966 par l'Assemblée Générale des Nations Unies, en commémoration du 21 mars 1960 où, à Sharpeville (Afrique du Sud), 69 personnes furent tuées lors d'une manifestation pacifique contre les lois relatives aux laissez-passer imposées par l'apartheid. L'Assemblée Générale vota également une résolution engageant la communauté internationale à redoubler d'efforts pour éliminer toutes les formes de discrimination raciale [résolution 2142 (XXI)]. En 2001, la "Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance qui y est associée", qui s'est tenue à Durban (Afrique du Sud), a préconisé en particulier une lutte sur trois fronts : une meilleure prévention des actes de discrimination, une répression plus sévère des délits de racisme et un soutien plus efficace aux victimes dans leur lutte pour la dignité, l'équité et la justice.

15 COMMISSION EUROPÉENNE CONTRE LE RACISME ET L’INTOLÉRANCE (ECRI)
Approche pays par pays   Le 8 juin 2004, l’ECRI a publié quatre rapports pays par pays concernant respectivement l’Allemagne, la Grèce, la Hongrie et la République tchèque. Ces rapports avaient pour objet d’examiner si les recommandations faites par l’ECRI dans des rapports précédents ont été suivies et pour quels résultats. La Commission prend note des mesures prises dans chaque État pour mettre en place un organisme de lutte contre les discriminations, conséquence de la directive communautaire 2000/43/CE. Même si, dans l’ensemble, des progrès ont été fait, il subsiste certains points préoccupants dans chacun des pays. En Allemagne, l’ECRI demeure préoccupée par les violences subies par les demandeurs d’asile et les communautés juives, rom et sinti et les discriminations, notamment à l’encontre de personnes appartenant à une minorité « visible ». Des progrès restent à faire dans l’intégration des immigrés dans la société allemande. En République tchèque, l’ECRI s’alarme de la situation des Roms qui continuent à être exclus de la société, subissent des discriminations et des violences policières. Les enfants roms sont encore trop souvent scolarisés dans des établissements spécialisés pour handicapés mentaux et séparés de leur famille pour être placés dans des institutions publiques ou des familles d’accueil. Ce constat sur la communauté rom est partagé par le Comité pour l’élimination de toutes les formes de discriminations raciales (CERD), organe des Nations- Unies, dans ses conclusions du 18 août La Commission reste également vigilante sur la situation des demandeurs d’asile et des migrants, et plus précisément sur la question préoccupante de la rétention des enfants. Elle pointe également la mauvaise application au niveau local des décisions prises pour lutter contre les inégalités.

16 Pour la Grèce, la Commission relève les progrès à faire pour l’intégration des immigrés et la lutte contre les discriminations subies par les groupes minoritaires, notamment la communauté rom, certaines minorités religieuses, en particulier la minorité musulmane de la Thrace occidentale. Elle recommande le renforcement de l’arsenal juridique pour lutter contre les discriminations et les actes racistes. Quant à la Hongrie, la Commission souligne que, certes des mesures non négligeables ont été adoptées, mais il reste beaucoup de progrès à faire. La minorité rom demeure exclue dans beaucoup de domaines de la vie sociale et cette ségrégation touche en particulier les enfants. Rappelons que l’espérance de vie des Roms est huit à dix ans inférieure à celle de la moyenne de la population. Les droits des réfugiés et des demandeurs d’asile sont à améliorer. La Commission souligne l’importance de la mise en oeuvre au niveau local des initiatives nationales visant à lutter contre le racisme et l’intolérance. Elle appelle en outre la Hongrie à renforcer son dispositif pénal contre le racisme.

17 Recommandations de politique générale
  La période sous examen est riche en la matière puisque ce ne sont pas moins de deux recommandations de politique générale qui ont été publiées. La première, la Recommandation n° 8, vise à « lutter contre le racisme tout en combattant le terrorisme ». Elle rappelle que, si les mesures de lutte contre le terrorisme sont légitimes, les États doivent être attentifs à ce que ces mesures n’aient pas pour conséquences des discriminations. Ceux-ci doivent continuer à combattre avec la plus grande vigueur les actes de racisme. En outre, la Commission rappelle que les mesures de lutte contre le terrorisme ne doivent pas porter atteinte au droit de demander l’asile. La Recommandation n° 9 est quant à elle consacrée à la lutte contre l’antisémitisme. La Commission note la banalisation des propos, actes, agressions antisémites. Leurs auteurs n’ont pas toujours conscience de la gravité de leur comportement. La Commission appelle à une prise de conscience de l’ensemble des acteurs de la société. Elle demande à ce que la lutte contre l’antisémitisme soit une priorité, que l’arsenal juridique, notamment répressif, soit renforcé (en tenant compte des moyens modernes de communication) et que les organisations ou partis politiques au discours antisémite soient dissous ou ne soient plus financés par des fonds publics. Le dialogue, l’éducation, la formation doivent être en outre au coeur de cette priorité.

18 COMITÉ EUROPÉEN POUR LA PRÉVENTION DE LA TORTURE ET DES PEINES OU TRAITEMENTS INHUMAINS OU DÉGRADANTS (CPT)   Les rapports périodiques publiés dans la période sous examen concernent « l’ex-République yougoslave de Macédoine », l’Arménie, la Bulgarie, la Finlande (visitée en septembre 2003), Saint-Marin (visité en juin 1999). Ces rapports illustrent les grandes disparités existant entre les États visités. Ainsi, le Comité juge que les conditions de détention en Finlande (que ce soit dans les locaux de police ou les prisons) sont globalement satisfaisantes. En revanche, en Bulgarie (pays qui a suscité également une visite ad hoc), visitée en avril 2002, le Comité souligne le surpeuplement des centres de détention et le manque de travail et d’autres activités pour les détenus. La visite du Comité avait également donné lieu à un nombre considérable de plaintes de mauvais traitements dans les locaux de police. Le Gouvernement indique qu’après enquête, des sanctions disciplinaires ont été prononcées. En « ex-république yougoslave de Macédoine » visitée en novembre 2002, le Comité dénonce les mauvais traitements par les forces de l’ordre et l’inefficacité des recours juridiques pour s’en plaindre, ainsi que les mauvaises conditions dans les centres d’arrêts. En Arménie, visitée pour la première fois en octobre 2002, le Comité souligne les risques importants de mauvais traitements pour les personnes détenues par la police, le surpeuplement carcéral et le manque d’activités pour les détenus dans les prisons, ainsi que les très mauvaises conditions de détention dans les établissements de Noubarashen.

19 Le Comité a également procédé à plusieurs visites ad hoc qui ont donné lieu à la publication d’un rapport dans la période sous examen. L’objet de la visite en Bulgarie (décembre 2003) était l’examen des établissements spécialisés pour handicapés mentaux. Il en ressort que deux des trois centres visités se sont révélés inaptes à prodiguer les soins nécessaires à leurs pensionnaires. Le rapport ad hoc sur la Turquie (visitée en septembre 2003) porte sur le traitement des personnes lors de leur détention par les forces de l’ordre, et celui sur la Hongrie (visitée en mai/juin 2003) sur les conditions des prévenus, souvent détenus pendant de longs mois dans les locaux de la police. Le CPT a rendu public le 21 septembre 2004 son 14e Rapport général d’activités. Dans ce dernier, le Comité souligne qu’il ne doit exister aucune exception à l’interdiction des mauvais traitements. A l’instar de l’ECRI pour les actes racistes, le Comité précise que si la lutte contre les actes terroristes est légitime, « il ne faut jamais permettre à la lutte contre le terrorisme de dégénérer en actes de torture ou en traitements inhumains ou dégradants. Un tel abandon des valeurs fondamentales reconnues universellement ne pourrait que miner les bases des sociétés démocratiques respectueuses de la prééminence du droit. S’abstenir de recourir à de tels actes - et prendre des mesures actives pour les éradiquer lorsqu’ils se font jour - est l’un des signes distinctifs d’un État démocratique ». Le Comité insiste surtout sur l’importance de la lutte contre l’impunité et la sanction de tous les agents publics auteurs de mauvais traitements.

20 Merci de bien vouloir nous entendre !
Cette attention portée à la lutte contre l’impunité se retrouve dans les normes du CPT qui ont été mises à jour et où un chapitre est consacré à cette question. Ces normes sont publiées pour indiquer aux autorités nationales la position du Comité sur la manière dont les personnes privées de liberté doivent être traitées. Merci de bien vouloir nous entendre !


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