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Système d’information

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Présentation au sujet: "Système d’information"— Transcription de la présentation:

1 Système d’information
Formation académique Gérard Dubail – Pascal Parisot

2 SI et référentiels Occurrences de l’expression « système d’information » dans quelques référentiels : AG PME-PMI : 6 fois CI : 19 fois NRC : 21 fois MUC : 36 fois Assistant manager : 36 fois par exemple : 2.4. Contribuer à la qualité du système d’information Participer à l’évolution du système d’information Participer à la sécurité du système d’information Le système d’information : définition, rôles du SI : aide à la décision, aide à la communication et aide à la gestion des connaissances, représentation des flux d’information. 5.4 Prendre en charge un dossier spécialisé Le système d’information : processus métier : définition, système d’information et informatique, applications métier : progiciels de gestion intégré (PGI ou ERP), gestion de la relation client (GRC ou CRM), applications en mode hébergé (FAH ou ASP) Se limiter à la présentation des applications métiers, l'utilisation de ces logiciels se faisant principalement à l'occasion des stages.

3 Quelques termes du domaine
GED GEIDE Infogérance Outsourcing KM MERISE CRM Interopérabilité B2B ERP PGI BPM GRC GRH Workflow ASP EDI

4 Sommaire Notion d’information Notion de SI Rôles du SI
Urbanisation des SI Exemples de solutions techniques Conséquences possibles SI et nouveaux métiers Quelques liens utiles

5 1.10-Notion d’information
Une information, c’est une donnée qui a un sens pour celui qui en a besoin. Le modèle est connu, l’interprétation donne du sens aux données Le modèle est inconnu, le sens est plus difficile à percevoir ou incomplet Pour donner du sens à une donnée, il faut disposer du modèle d’interprétation qui s’y rattache, sans le modèle, l’interprétation pourra être différente, erronée ou incomplète.

6 1.11-Un exemple plus complexe
Les coordonnées du fournisseur : Le nom de votre fournisseur et ses coordonnées postales,le numéro de téléphone du service client et tout autre mode de contact (fax, ...) Les coordonnées du service de dépannage d’urgence, joignable 24h/24 Les références du client, Spécifique à chaque fournisseur, il permet d'identifier votre contrat L'historique de votre consom-mation au cours des derniers mois, exprimée en kilowattheures (kWh) Les chiffres en gras correspondent aux consommations relevées, en maigres aux estimations de consommation. La provenance de l’énergie commercialisée par votre fournisseur :pourcentage d'énergie nucléaire, renouvelable,  fioul, gaz, etc... Votre adresse de facturation Le lieu de réception de votre courrier Votre adresse de consommation Le montant de votre facture Toutes taxes comprises (TTC), en euros. Il est repris au verso de votre facture Le mode de calcul de votre consommation : Selon une estimation, ou à partir d'un relevé de compteur (consommation réelle)   La date du prochain relevé de votre compteur et de votre prochaine facture Votre mode de paiement et la date limite de règlement de votre facture  Un document chargé de très nombreuses informations dont certaines n’ont de sens qu’avec les explications complémentaires données par le fournisseur. L’objectif est d’apporter un maximum d’informations au client mais le document est-il encore lisible et accessible à tous ?

7 1.2-L’information est un facteur de production presque comme les autres
L’information a une valeur, variable selon son importance, son ancienneté… L’information doit être extraite, stockée, traitée, maintenue… c’est la tâche du système d’information ! Quelques illustrations : Valeur de l’information : les bases de données commerciales ont une valeur considérable et sont échangées pour des montants de plus en plus importants. Extraction : les moteurs de recherche permettent par exemple d’extraire des informations et pas seulement sur internet, de nombreuses applications proposent des outils d’extraction de données Stockage : moyens de plus en plus importants consacrés à l’archivage, l’indexation des données Traitement : les données brutes contenues dans les bases de données diverses sont traitées pour produire des résultats intelligibles pour le récepteur Maintenance : la veille informationnelle permet de maintenir à jour les données techniques propres à un secteur particulier (flux RSS par exemple)  L’information a également un coût qui dépend des efforts nécessaires pour l’obtenir, la conserver, l’exploiter…

8 1.3-L’information est omniprésente
L’ordinateur n’est qu’un élément parmi beaucoup d’autres. Tout élément est susceptible de produire, consommer ou véhiculer de l’infor-mation ! La convergence des technologies rapproche de plus en plus : l’informatique es télécommunications l’audiovisuel qui ont désormais de plus en plus recours à la numérisation de l’information Les spécificités propres à chacun des domaines et l’expertise nécessaire dans chacun des domaines ne rendent pas la convergence aussi rapide ni aussi simple qu’on le lit souvent. Les innovations spécifiques freinent ou cassent parfois la convergence (nouveaux standards, nouveaux formats non compatibles…) car elles sont produites indépendamment les unes des autres, au mieux sans concertation, au pire pour préserver un avantage concurrentiel ! Lisez un article intéressant sur le sujet s’il vous intéresse :

9 1.4-Différentes formes de l’information
Niveau utilisateur Niveau application Un exemple : Au niveau physique, la machine ne traite que des séries de 0 et de 1 qui sont de l’information binaire. Au niveau application, le langage manipulé par le navigateur est ici de type XML, accessible à l’homme, s’il connaît le modèle d’interprétation. Au niveau utilisateur, le navigateur affiche un écran compréhensible.  Il s’agit pourtant toujours de la même matière première !  L’information est le dénominateur commun de notre environnement : tout ou presque peut être numérisé, texte, image, son, processus, expériences… Niveau physique Illustration extraite du cas Flore des Alpes d’Elisabeth Jeanneret

10 2.1-Notion de système d’information
contraintes Système de pilotage Flux de décisions Système d’information Flux d’informations Les flux d’entrées et de sorties peuvent être des flux physiques, monétaires, immatériels… selon le secteur d’activité concerné. L’information au sens large pourra faire partie des flux d’entrées et de sortie. Un flux d’information représente toujours un flux physique (au sens large : bien ou service) Le système d’information collecte, traite et distribue les informations aussi rapidement que possible et sous la forme appropriée au récepteur, de manière à faciliter la prise de décision. Les contraintes sont aussi des informations, externes (législation, normes…) ou des règles propres au groupe et qui s’imposent à l’organisation. Un système d’information est en relation avec son environnement et donc avec d’autres SI, ce qui pose souvent des problèmes de compréhension mutuelle. Système opérationnel Sorties Entrées

11 2.2-Les parties prenantes du SI
Personne, machine, logiciel… producteur ou consommateur d’information Le gestionnaire du SI L’informaticien (interne ou externe) Interne Externe Simple opérateur Cadre Directeur Actionnaire Propriétaire Client Fournisseur Administration Organisme financier Responsable de la cohérence du SI, de son évolution, de la sécurité, de la formation des utilisateurs, des procédures, de l’interopérabilité… Analyse des besoins Programmation Déploiement des solutions Tout élément en relation avec le SI, membre de l’entreprise ou non, est en position : de producteur d’information ou de consommateur d’information (parfois les deux) la gestion du SI peut être externalisée ou non, on parle parfois d’infogérance ou Outsourcing les applications peuvent être locales ou en mode hébergé

12 2.3-Différents niveaux d’utilisation d’une même information
SP SI EDI Exemple simplifié d’une opération de vente de marchandises 1 Un opérateur saisit le bon de commande (il peut aussi être numérisé ou provenir d’un formulaire…) 2 La commande est préparée à l’entrepôt, l’inventaire est mis à jour, l’information stockée est complétée, 3 Un contrôle est effectué, la commande est vérifiée, l’information est complétée 4 La commande est préparée pour l’expédition, un bon de livraison est établi, l’information est complétée 5 La comptabilité a connaissance de l’expédition, la facture est générée, le compte de tiers, les comptes de vente et de TVA sont mouvementés, le grand-livre est donc mis à jour 6 La direction Marketing extrait les statistiques de ventes du mois, du trimestre, d’un représentant… l’information synthétique est exploitée 7 Le directeur Financier suit la trésorerie, prépare le budget de trésorerie, l’information synthétique est exploitée 8 Le Conseil d’Administration est informé des résultats de l’exercice, l’information synthétique est exploitée 9 L’administration des impôts reçoit la déclaration de TVA par EDI, l’information synthétique est exploitée SO

13 3.1-SI, pour quoi faire ? Différentes missions du SI
Collecter (sources externes et internes) Saisie, numérisation Extraction, veille Stocker Supports divers et multiples Indexation, mots clés, thesaurus… Maintenir en état d’utilisation sur une période longue Traiter Produire des informations sous la forme appropriée aux besoins de l’utilisateur Restituer, diffuser (sous différentes formes) Électronique ou papier Importance des formats de fichiers Supports de communication (filaire, non-filaire…) Pour assurer ses missions, le SI fait appel à des moyens humains, techniques (dont le système informatique qui n’est qu’un aspect du SI), organisationnels

14 3.2-SI et fonctions de l’entreprise
Le SI est omniprésent bien entendu ! En guise d’application : - rattacher les différents modules des applications qui vous sont présentées plus loin avec les fonctions évoquées ici, - rechercher les exemples de B to A, B to B et B to C Source :

15 3.3-SI, processus métier et workflow
Le SI sert de support de communication entre les différentes fonctions de l’entreprise mais aussi avec ses partenaires La recherche d’une standardisation, normalisation aboutit au découpage des tâches en tâches élémentaires appelées processus métier (ou opérationnel) Les processus, une fois modélisés, pourront être pris en charge par un moteur de workflow qui permettra d’automatiser certaines tâches en fonction d’événements prédéterminés BPM = Business Process Management, il s’agit d’outils permettant la modélisation des processus métier puis leur prise en charge automatisée au travers des applications utilisées par l’entreprise. Ces outils intègrent donc un moteur de workflow permettant de suivre l’ETAT des différents processus en cours à un moment donné et le déclenchement des actions prévues.

16 3.4-SI et partenaires : le B to ?
Type B to A B to B B to C Business to Administration Business to Business Business to Consumer Exemples D’entreprise à administration D’entreprise à entreprise Peugeot et ses sous-traitants, ses agents… D’entreprise à particulier e-commerce Caractéris-tiques 2 types principaux EFI : saisie au moyen de formulaires en ligne EDI : échange de données informatisées  l’administration impose ses choix techniques L’entreprise qui a le plus de poids impose ses choix techniques à ses partenaires. Du personnel détaché peut être présent dans les locaux du donneur d’ordre. L’entreprise offre des services en ligne utilisant des formats standards pour toucher le plus grand nombre. Site web le plus souvent. On parle aussi de B to B to C lorsque des entreprises produisent des biens ou des services à destination d’autres entreprises qui les commercialiseront elles-mêmes.

17 4.1-Urbanisation des SI L'urbanisation consiste à découper le SI en modules autonomes, de taille de plus en plus petite : les zones, les quartiers (et les îlots si nécessaire), les blocs (blocs fonctionnels). Entre chaque module (zone, quartier, îlot, bloc) se dessinent des zones d’échange d’informations qui permettent de découpler les différents modules pour qu'ils puissent évoluer séparément tout en conservant leur capacité à interagir avec le reste du système. Plus particulièrement, l’urbanisation vise : à renforcer la capacité à construire et à intégrer des sous-systèmes d'origines diverses, à renforcer la capacité à faire interagir les sous-systèmes du SI et les faire interagir avec d’autres SI (interopérabilité), à renforcer la capacité à pouvoir remplacer certains de ces sous-systèmes (interchangeabilité). et de manière générale pour le SI à : favoriser son évolutivité, sa pérennité et son indépendance, renforcer sa capacité à intégrer des solutions hétérogènes (progiciels, éléments de différentes plates-formes, etc.). A titre d'illustration, une partie du découpage du système d'information d'une banque : ensemble des zones d'activités opérationnelles zone production bancaire quartier gestion des crédits îlot gestion des crédits immobiliers bloc fonctionnel gestion d'un impayé L'analyse du système métier peut s'appuyer sur les techniques de BPM (Business Process Management ou Gestion des processus métier) qui visent à : modéliser les processus de façon transversale à l'entreprise, dans le cadre d'une gestion de programme, outiller ces processus pour faciliter une exécution fluide workflow, moteur de règles ou d'exécution), piloter l'activité de ces processus au moyen d'indicateurs (gestion de qualité, performance). L'un des objectifs du BPM est de porter un diagnostic sur les processus de l'entreprise et de déterminer ainsi dans quels secteurs les évolutions du SI offriront le meilleur retour sur investissement.  La standardisation des processus permettra de les réutiliser dans d’autres contextes Source :

18 4.2-Un SI non optimisé L’effet spaghetti
« De très nombreuses entreprises souffrent aujourd'hui du syndrome des applications "spaghetti", c'est-à-dire à ce point liées, voire même emmêlées, entre elles, qu'il est devenu très difficile de les gérer et de les faire évoluer sans risque » Des applications entremêlées qui ont de plus en plus de mal à communiquer entre elles, développées séparément pour satisfaire des besoins des différents et dont les interconnexions ont été établies a posteriori. B2A = Business to Administration : échange avec les administrations publiques (Net-entreprises.fr, teletva, tdfc…) B2B = Business to Business : échange avec les clients et les fournisseurs B2C = Business to Consumer : échange avec les consommateurs A2A = Application to Application, dialogue d’application à application, souvent mis en place a posteriori  Il devient quasiment impossible de modifier un élément sans remettre en cause l’ensemble du système ! Source :

19 4.3-Deux solutions pour y remédier
L’intégration (EAI-ESB) Mise en place d’une interface de communication unique entre les différentes applications, de manière à les faire communiquer entre elles plus facilement Les PGI (ou ERP) On remplace les applications disparates par une seule applicable capable de prendre en charge toutes les fonctions de manière cohérente IAE pour Intégration d’Applications d’Entreprise (ou EAI Enterprise Application Integration) C’est une architecture logicielle qui s’intercale entre les différentes applications en place pour permettre à des applications hétérogènes de gérer leurs échanges en temps réel. On la place dans la catégorie des technologies informatiques d'intégration métier (Business Integration) et d’urbanisation. Il s’agit en fait de masquer la complexité des technologies à l’utilisateur. De nombreuses solutions d’EAI utilisent le langage XML pour assurer l’échange des données dans un format standard entre les différentes applications. En pratique, on peut distinguer différents niveaux d’intégration : l’intégration d’applications (le serveur d’intégration se charge de la communication entre n serveurs d’applications) l’intégration de données (le serveur d’intégration se charge de l’accès aux n sources de données pour les transmettre au serveur d’application unique) l’intégration de plates-formes (faire communiquer entre elles des applications différentes fonctionnant sur des machines différentes et sous différents systèmes d’exploitation)  Les applications peuvent continuer à évoluer indépendamment les unes des autres (sous réserve du respect des normes de communication) sans remettre en cause l’ensemble du SI.  Une nouvelle forme d’EAI se développe : l’ESB (Entreprise Service Bus). Il s’agit de s’affranchir des solutions propriétaires développées traditionnellement pour proposer une intégration via une interface de services web beaucoup plus standard, basée en général sur la technologie XML et ses dialectes dérivés.

20 4.30-EAI, une solution plus cohérente
Source :

21 4.31-PGI - Une solution plus cohérente
L’offre CEGID Des modules prenant en charge différentes fonctions de l’entreprise, articulés autour d’une base de données unique

22 5-Le choix d’une solution
Degré de spécialisation « métier » Aspects du SI pris en charge Durée d’intégration, complexité d’installation Application généraliste Application verticale spécialisée Quelques chiffres : source 01 Informatique 2/11/07 [En matière de PGI], « le marché des grands comptes est saturé, tandis que les analystes d’IDC relèvent que seule la moitié des sociétés de 100 à 2000 salariés ont mis en place un logiciel de ce type. »….   « Les PME qui décident d’installer un PGI (plutôt que de composer leur système d’information avec les composants jugés les plus adéquats) recherchent des produits adaptés aux budgets, dotés d’une palette fonctionnelle complète, avec un temps d’intégration le plus court possible. Pour réduire cette durée, certains utilisateurs optent pour des logiciels verticaux, conçus pour leur domaine d’activité, car ils visent d’abord des outils opérationnels, plutôt qu’une vue stratégique de leur activité» Application généraliste : type PGI (ERP) par exemple TinyERP en version libre, nombreuses fonctionnalités mais paramétrage complexe pour adapter le produit à ses besoins Application verticale : application adaptée à un secteur d’activité (garages, BTP…) mais dont les fonctionnalités sont souvent limitées à certains aspects du SI (gestion commerciale, comptabilité, paie…)  Les solutions hébergées prennent une place de plus en plus importante sur le secteur en proposant des versions plus ou moins adaptées à un secteur d’activité spécifique, elles ne prennent toutefois pas encore en charge tous les aspects du SI mais se bornent en général aux besoins critiques : GRC, GRH, Comptabilité…

23 5.1-Le marché des EAI Pas de statistiques récentes disponibles
Les acteurs principaux du marché Webmethods (Software AG) SeeBeyond (Sun) Oracle BEA SAP Sybase

24 5.2-Le marché des PGI Source 01 Informatique 2/11/2007 Libres (application ouverte, parfois gratuite, services éventuels payants) ERP5, (Compiere)… TinyERP Solutions commerciales SAP Oracle SAGE (toutes les versions ne sont pas des PGI) CEGID

25 5.3-Exemples concrets simplifiés
Plusieurs documents, une même base Voir exemple bcf Une application sous Access Voir base Les comptoirs Un PGI commercial CEGID Un PGI libre Illustration avec TinyERP Démo en ligne avec TinyERP TinyERP (consulter pour le mot de passe) Dolibarr

26 6-Conséquences possibles
Sur l’organisation Dématérialisation des documents Gestion des flux d’informations (BPM, workflow) Dossier Médical Partagé, SIG… Sur la technique Numérisation Standardisation : des langages de représentation de l’information : langage XML par exemple, des outils (clients légers lorsque c’est possible), langage SQL pour les extractions BD unique (ERP/PGI) Modules multiples Usages multiples d’une information synthétique et centralisée Plus grande vulnérabilité des données, souvent ouvertes à de nombreux utilisateurs internes et externes Sur les métiers Modification des habitudes et nouveaux métiers

27 6.1-La dématérialisation
Pour connaître les acteurs de la dématérialisation, voir la page : Tiers de confiance : Autorité de certification Autorité d’enregistrement Opérateur de certification Tiers horodateur et archiveur Tiers horodateur Tiers archiveur Huissier électronique Réseau à valeur ajoutée (RVA) Fournisseurs de passerelle EDI Plate-forme de dématérialisation Plate-forme d’acquisition et d’expédition Source : et /?p=55

28 6.2-L’entreprise virtuelle
Poussée à l’extrême, la dématérialisation conduit à l’entreprise virtuelle Le client n’est plus en contact avec le producteur, il commande en ligne sur la base d’un catalogue en ligne, paie en ligne, se forme en ligne… Exemple : Créer votre boutique en 5 minutes avec Zlio Des particuliers se lancent dans la commercialisation en ligne, sans aucune connaissance en gestion, en fiscalité, sans même avoir conscience des obligations qui leur incombent….

29 6.3-Les obstacles L’environnement L’histoire de l’entreprise
Les partenaires de l’entreprise ne sont pas toujours des partenaires sur le plan technologique L’histoire de l’entreprise développement progressif de solutions non compatibles pour satisfaire des besoins ponctuels Les habitudes Le coût Les contraintes techniques, légales

30 6.4-Un exemple d’échec Faire évoluer le SI n’est pas une chose facile, cela a aussi des conséquences sur les conditions de travail Vidéo à consulter en ligne.

31 6.5-Le mythe de la dématérialisation
Il y a toujours un support La dématérialisation est un terme fréquent à propos du monde numérique, utilisé explicitement ou pas : il y a la « dématérialisation des procédures administratives », il y a « la musique dématérialisée », le « bulletin de paie électronique », la « Facture Sur le Net » ou « le livre électronique ». Chaque fois, la « matérialité » semble disparaître : plus de formulaire papier, plus de CD Audio, plus de billet, de facture ou de livre en papier... Alors, fin du monde matériel ? Non. Les supports habituels ne sont plus utilisés, certes, mais le document en question est bien stocké en un lieu et sur un support : disque dur personnel ou serveur, baladeur, clé USB, téléphone portable... Et au support physique (avec son format), s'ajoute le format numérique des fichiers. Finalement, c'est un double problème de format : celui des supports, celui des fichiers. Sans oublier pour l'un et l'autre le souci de conservation et de pérennité de l'archivage. A rapprocher également des problèmes de compatibilité et d’interopérabilité. Source :

32 7-SI et nouveaux métiers
Directeur de SI Intégrateur : chargé d’adapter une solution logicielle à la réalité de l’entreprise Architecte, urbaniste de SI Chef de projet sécurité des SI ….

33 Glossaire ASP = FAH Application Server Provider ou Fournisseur d’Applications Hébergées BPM Business Process Management ou Gestion des processus métiers B to n Business To A, B, C… CRM = GRC Customer Relation Management ou Gestion de la relation client Datamining Technique d’exploitation des masses de données du SI EAI Enterprise Application Integration ou Intégration des applications de l’entreprise EDI Échange de données informatisées EFI Échange de formulaires informatisés ERP = PGI Entreprise Resource Planning ou Progiciel de gestion intégré ESB Enterprise Service Bus, nouveau type d’outils d’intégration des applications GEIDE Gestion électronique de l’information et des documents de l’entreprise Infogérance Ou Outsourcing Interopérabilité Voir ici ou là, pour ne pas confondre avec la compatibilité KM Knowledge Management ou Management des connaissances Merise Méthode d’analyse et de conception des SI Portail Porte d’entrée vers les données du SI, déclinable en EAP, EIP, EEP Workflow Flux de travail, modélisation des tâches associées à un processus métier

34 Quelques liens utiles Système d’information Urbanisation informatique
Urbanisation informatique Dématérialisation vidéo intéressante sur le sujet schémas intéressants sur l’EDI/DGI et e-commerce EAI-ESB


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