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1 MG 2013. I. Fonctionnement de base du flash II. Flash à grande vitesse III. Flash Stroboscopique 2    MG 2013.

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1 1 MG 2013

2 I. Fonctionnement de base du flash II. Flash à grande vitesse III. Flash Stroboscopique 2    MG 2013

3 Analogie Charge du condensateur Décharge du condensateur 3 MG 2013

4 Pendant la durée de l’éclair, la puissance varie, la réserve d’énergie se vide progressivement. Mais toute cette énergie lumineuse participe à l’exposition du sujet Flux lumineux Temps D’après les expérimentations de Jeremy Stein   4 Les mesures du flux en fonction du temps ont l’aspect ci-dessous MG 2013

5 Conclusion  Conclusion : si l’on veut des temps d’exposition courts, Il est intéressant de diminuer la puissance du flash Conclusion  Conclusion : si l’on veut des temps d’exposition courts, Il est intéressant de diminuer la puissance du flash Si l’on a besoin de moins d’énergie… on coupe le courant D’après les expérimentations de Jeremy Stein 5 MG 2013

6 Problème : L’obturateur doit rester ouvert durant la totalité de l’éclair On rappelle ci-dessous son fonctionnement aux faibles vitesses et aux grandes vitesses La vitesse de synchronisation correspond à la plus grande vitesse qui laisse les deux rideaux ouvert simultanément 6 Faible vitesse Grande vitesse Ouverture 1 er rideau Fermeture 2 ème rideau Ouverture 1 er rideau Suivie du 2 ème rideau MG 2013

7   L’obturateur reste ouvert durant la totalité de l’éclair ou plus longtemps.  7 MG 2013 Avec filé ou sujet peu mobile

8 Les grandes vitesses d’obturation sont obtenues en faisant démarrer la fermeture du deuxième rideau avant que le premier ne soit entièrement ouvert. Image obtenue suivant la vitesse de l’éclair On verra la solution dans quelques diapos… 8 MG 2013

9 9  Distance du flash (F) au sujet (S) Si l’on double la distance, l’énergie reçue est divisée par 4 FSS’ f/2.8 f/4  Ouverture Elle laisse passer une plus ou moins grande quantité d’énergie Grande ouverture petite ouverture Quand l’on passe d’une ouverture à la suivante (ex: le « nombre d’ouverture » passe de 2.8 à 4) la surface et l’énergie reçue sont divisées par 2  Puissance du flash ( ou Niveau d’intensité… En fait énergie) 1/ Permet d’éclairer plus loin. Les autres réglages étant identiques, pour éclairer un objet deux fois plus loin il faut une puissance 4 fois supérieure. 2/ Permet de fermer le diaphragme  Plus grande souplesse de réglages 3/ Permet de modeler la lumière  Réflecteurs, diffuseurs… MG 2013

10 10 Photographier des sujets rapides ; Nuit américaine ; Améliorer le bokeh (flou d'arrière plan) en augmentant l'ouverture (N plus petit) ; MG 2013

11 11 Photo de voiture de course de Jacques Henri Lartigue   … Un beau filé mais pas assez rapide pour la voiture … et trop pour le fond ! MG 2013

12 12 Sujet en pleine action de jour MG 2013

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14 14 … et le résultat : MG 2013

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16 16 On utilise la synchronisation ultra -rapide Au lieu d'un seul éclair, le flash produit, durant la totalité de l'exposition, une succession d'éclairs de faible intensité. MG 2013

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18 18 Synchronisation ultra –rapide Nécessite de répartir l'énergie sur la totalité de l'exposition  Diminution du nombre guide Exemple pour la vitesse de 1/500 Baisse d'un incrément pour le doublement de la vitesse MG 2013

19 19 De nuit, une alternative pour photographier des sujets rapides, consiste à diminuer l'intensité. ( De toute façon la synchro à grande vitesse diminue le nombre guide. ) En effet, on a vu que : Données fabricant (approximatives) MG 2013

20 20 Voir : Flash et mouvements rapides - mesure sur unVentilateur.pdf Voir : Flash et mouvements rapides - mesure sur unVentilateur.pdf   Résumé d’essais effectués en 2012 Utilisation d'un ventilateur pour matérialiser les déformations d'images. Conditions : Ventilateur Arrêt Vitesse 1 Vitesse 2 Flash Asservi Permet de rapprocher le flash du sujet et ainsi de détacher le fond qui reste sombre. Même résultats dans le principe avec le flash intégré. MG 2013

21 21 Hautes vitesse mais balayage du capteur à la vitesse de synchro Conditions : Ventilateur – vitesse 1 Flash – asservi, mode TTL vit. 1/500vit. 1/2000 vit. 1/8000 Haute vitesse (vitesse synchro 1/250) Courbure de la ligne identique Courbure de la ligne identique Le flou diminue avec la vitesse d'obturation Le flou diminue avec la vitesse d'obturation Photos recadrées MG 2013

22 22 Conditions : Ventilateur – vitesse 2 Flash – asservi, mode TTL vit. 1/8000 La courbure est fonction de la vitesse du sujet et de la vitesse maxi de balayage par les rideaux. Hautes vitesse mais balayage du capteur à la vitesse de synchro MG 2013

23 23 Conditions : Ventilateur – vitesse 2 Flash – asservi, mode M 1/32 vit. 1/250 Vitesse d'obturation  vitesse de synchro Intensité du flash réduite Le sujet est figé par un éclair très court Problème : 1/ La puissance réduite nécessite de rapprocher le flash du sujet et/ou d'augmenter l'ouverture ( Nb plus petit ) et/ou d'augmenter la sensibilité (ISO) 2/ Impossible si la lumière ambiante est trop forte MG 2013

24 24 figer un mouvement baisser la puissance Si l'on souhaite figer un mouvement en utilisant un flash, la meilleure solution consiste à baisser la puissance. Cette baisse de puissance revient à diminuer la durée de l'éclair. Pour que l'éclairage soit correct, il sera par conséquent nécessaire de rapprocher le flash du sujet photographié. Le mode TTL ou le mode Manuel peuvent convenir. haute vitesse L'utilisation du flash à haute vitesse (au-delà de la vitesse de synchronisation) permet :  faible profondeur de champ 1/ D'avoir une plus grande ouverture (nombre plus petit)  faible profondeur de champ. 2/ De prendre des photos de jour en sous-exposant le décor ambiant pour simuler des photos de nuit où le sujet est éclairé au flash (Nuit américaine) MG 2013

25 Exemple d’un pendule : On souhaite visualiser les positions successives. On peut faire des photo à intervalles réguliers afin de mettre en évidence la vitesse variable durant l’oscillation … Ou enregistrer les différentes positions sur une seule image, en éclairant par plusieurs éclairs pendant que l’obturateur est ouvert. 25 MG 2013

26 26  L’objectif est de saisir les différentes position du sujet Pour obtenir de bons résultats, il faut faire des essais (nombreux !) ou des calculs  Calculs Durée totale T de l’action que l’on souhaite décomposer ?  1/ Durée totale T de l’action que l’on souhaite décomposer ? La durée d’exposition doit être égale ou supérieure à T.  On choisit une vitesse disponible répondant à ce critère. Exemple 1 : T = 2,2 s  réglage vitesse sur 2,5’’ Exemple 1 : T = 2,2 s  réglage vitesse sur 2,5’’ T = 0,11s  réglage vitesse sur 8 (soit 1/8 e s = 0,125s) exemple : T = 2,2 s, n = 10  f = 4,55 réglage disponibles 4 ou 5 Hz (à 4 Hz, 10 éclairs soit 9 intervalles en 2,25s et à 5 Hz, 10 éclairs en 1,8s) MG 2013

27 27  Une fois choisie la mise en scène, on règle l’exposition, pour cela : 1.Mesure de la distance D f du flash au sujet intensitésensibilité l’ouverture 2.Réglage de l’ intensité du flash, de la sensibilité ISO et de l’ouverture sur l’appareil photo (vitesse supposée inférieure ou égale à la vitesse de synchronisation). Plusieurs méthodes suivant la configuration : Utilisation du flash intégré. Flash cobra monté sur la griffe. Calculs avec le nombre guide. MG 2013

28 28 Utilisation du flash intégré Des tables sont données dans le manuel de l’appareil photo. exemple exemple : ce que l’on veut  distance D f = 1,5m, fréquence 5 Hz, 10 éclairs en 1,8s On règle sur l’appareil photo le nombre d’éclairs ainsi que la fréquence, cela oblige à choisir une intensité, ici entre 1/16 et 1/128 afin de produire 10 éclairs. Il reste à choisir la sensibilité ISO ainsi que le diaphragme MG 2013

29 29 Les tables données dans le manuel de l’appareil photo ne sont pas toujours explicites ! En particulier on ne dispose pas toujours de l’influence de l’intensité. exemple de table A savoir Pour garder la même exposition ou A savoir : Pour garder la même exposition, si l’on divise par 2 l’intensité, il faut multiplier par 2 la sensibilité ou augmenter le diaphragme d’une valeur ( ex: 11  8 ). Donnée pour l’intensité maxi. Dans notre exemple D f = 1,5m Dans notre exemple : distance D f = 1,5m, fréquence 5 Hz, 10 éclairs. il y a assez d’énergie avec une intensité entre 1/128 et 1/16. Choisissons 1/32. Diaphragme-Sensibilité Ensuite on choisit une combinaison Diaphragme-Sensibilité en fonction de la profondeur de champ et du risque de bruit. MG 2013

30 30 Après avoir configuré le flash en mode stroboscope (ou répétition), choisir : intensité l’ intensité (1/2, 1/4, …, 1/128) ; nombre d’éclairsfréquence Le nombre d’éclairs et la fréquence. Les possibilités dépendent de l’intensité choisie. sensibilité ouverturefocale Le flash communique avec l’appareil photo qui lui transmet les informations de sensibilité, d‘ ouverture et éventuellement de la focale. Le processeur du flash calcule.  Distance d’éclairage optimale Si ces informations ne sont pas transmises, il faut faire les calculs. Ajustement de la distance Ajustement de la distance La modification de la sensibilité ou de l’ouverture sur l’appareil photo se traduisent directement par un nouveau calcul de la distance sur l’écran du flash. MG 2013

31 31 On utilise le nombre guide du flash Le nombre-guide ( NG ) caractérise l’énergie maximale de l'éclair d'un flash. Suivant la sophistication du flash, il varie avec la focale, le ou les filtres, les diffuseurs… Et, bien sûr, le réglage de l’intensité. un sujet gris neutre Il permet de connaître la distance maximale à laquelle un sujet gris neutre (!) sera correctement exposé. Il permet d’effectuer les réglages nécessaires. Remarque : Remarque : si l’on utilise un flash extérieur possédant le mode stroboscope, il est certainement capable de faire tous les calculs nécessaires… Au Boulot… NG = D istance en mètres  N ombre d’ouverture ou D istance = NG  N Le nombre-guide est presque toujours donné pour 100 ISO Exemple Exemple : Flash avec un nombre guide de 20, pour une ouverture de 4, La distance optimale sera de 20/4  5m MG 2013

32 32 Déroulement d’un calcul (à ISO 100) … Le sujet est à une distance dd = 2m Et NG est le nombre guide du flash NG = 20 L’ouverture N à choisir est N = NG  d20  2  N = 10 Si l’ouverture peut être réglée par tiers d’IL on trouve cette valeur d’ouverture sinon on choisira 8 ou 11. N peut être trop grand ou trop petit pour l’objectif ; ou ne convient pas pour la profondeur de champ souhaitée. On peut alors ajuster le nombre guide de deux manière : En augmentant ou réduisant la sensibilité ISO. Sensibilité  2  NG  1,41 Sensibilité  4  NG  2 En faisant varier l’intensité du flash. Intensité  2  NG  1,41 Intensité  4  NG  2 MG 2013

33 33 Velours noir trajectoire 0,7m 1,55m Velours noir trajectoire 1,7m 0,55m Avec une lumière ambiante, apparition des trajectoires 1"f 6,3 ISO 25046 mm Flash : 1/325 écl 5 Hzdiff. gd angle Flash 1"f 6,3 ISO 16085 mm Flash : 1/325 écl 5 Hzf = 85 mm Images développées avec exposition +0,73 MG 2013

34 Lorsque l'on à une superposition des différentes positions du sujet, il faut gérer les expositions (intensité, diaphragme ou sensibilité) pour contrôler les surexpositions locales tout en gardant une bonne compréhension de l'image. 34 Mickael Fischer 1/2"f 4 ISO 80042 mm 3 écl MG 2013

35 35 Voir document : Flash Stroboscopique.pdf   Résumé d’essais effectués en 2012 Dans le cas ou il y a de nombreux éclairs, le fond, même en velours noir, risque d'apparaitre trop clair et en même temps de rendre les images confuses. On peut faire des corrections en post production MG 2013

36 36 Voir document : Flash Stroboscopique.pdf Résumé d’essais effectués en 2012 au club lors de séances techniques Afin de modifier les distances relatives Flash-Sujet / Flash Fond Changer la position appareil et flash Utiliser la commande à distance du flash. (voir notice de l'appareil et du flash et bon courage…)  Quelques exemples  MG 2013

37 37 Voir document : Flash Stroboscopique.pdf Résumé d’essais effectués en 2012 au club lors de séances techniques 1 - Appareil en A1, flash SB 910 sur l'appareil Fond très présent … Fond très présent, relativement peu éloigné. La balle est superposée à un fond éclairé par n éclairs 1,25 m 2,25 m Photo brute MG 2013

38 38 Voir document : Flash Stroboscopique.pdf Résumé d’essais effectués en 2012 au club lors de séances techniques 2 - Appareil en A1, flash SB 910 en F1 Fond bien noir … Fond bien noir C'est le différentiel de distance du flash aux objet qui compte. Ce cas nécessite la commande à distance du flash. 1,25 m 0,75 m Photo brute MG 2013

39 39 Voir document : Flash Stroboscopique.pdf Résumé d’essais effectués en 2012 au club lors de séances techniques 3 - Appareil en A2, flash sur l'appareil … Fond bien noir, plan de la table bien (trop !) éclairé. Photo brute 1,25 m 0,75 m MG 2013

40 40 Bien définir le problème du point de vue temporel Bien définir le problème du point de vue temporel. Nombre de positions à saisir (nombre d'éclairs) Fréquence (nombre de positions par seconde) Durée totale de la pose La gestion de l'éclairage du fond est difficile Même un fond en velours noir risque d'apparaitre gris si il est trop éclairé. Remarque : d2 d Remarque : 4 éclairs exposant correctement chaque position du sujet mobile à la distance d, éclaireront correctement un fond situé à 2 d …  le plus éloigné possible ou traitement en post production Connaitre son matériel Connaitre son matériel. Profiter des possibilités de commande à distance, en particulier pour modifier les distances relatives flash/sujet et flash/fond MG 2013


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