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Projet P.I.E. Brita Brown, M.Sc., Organisatrice communautaire Kareen Nour, Ph.D. Chercheure principale Nona Moscovitz, M.Sc., Chef administration de programme.

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1 Projet P.I.E. Brita Brown, M.Sc., Organisatrice communautaire Kareen Nour, Ph.D. Chercheure principale Nona Moscovitz, M.Sc., Chef administration de programme Santé mentale Marijo Hébert, Assistante de recherche

2 Projet P.I.E. Présentation du projetPrésentation du projet Évaluation du projetÉvaluation du projet

3 Projet P.I.E. Présentation du projetPrésentation du projet

4 La santé mentale chez les aînés 20% des personnes âgées souffre d’un problème de santé mentale.20% des personnes âgées souffre d’un problème de santé mentale. En 2030, elles seront deux fois plus nombreuses.En 2030, elles seront deux fois plus nombreuses. 50% d’entre elles ne reçoit pas les services requis en lien avec leur situation.50% d’entre elles ne reçoit pas les services requis en lien avec leur situation. Elles sont parmi les plus vulnérables de la société et représentent un des groupes les plus à risque.Elles sont parmi les plus vulnérables de la société et représentent un des groupes les plus à risque. Leur état de santé précaire a un impact plus grand sur les coûts associées aux services de soins requis.Leur état de santé précaire a un impact plus grand sur les coûts associées aux services de soins requis. Leur qualité de vie est compromise.Leur qualité de vie est compromise.

5 Les trois volets du projet P.I.E. PréventionPrévention Outiller la communauté.Outiller la communauté. InterventionIntervention Offrir de l’information et un accompagnement.Offrir de l’information et un accompagnement. ÉducationÉducation Contrer les préjugés.Contrer les préjugés.

6 Objectifs principaux Rejoindre et dépister les personnes âgées vulnérables et/ou isolées qui vivent dans la communauté, qui présentent un problème de santé mentale avec ou sans perte physique ou cognitive en co-morbidité, et qui hésitent à demander les services dont elles ont besoin.Rejoindre et dépister les personnes âgées vulnérables et/ou isolées qui vivent dans la communauté, qui présentent un problème de santé mentale avec ou sans perte physique ou cognitive en co-morbidité, et qui hésitent à demander les services dont elles ont besoin. Former des sources de références non-traditionnelles afin qu’elles puissent orienter et accompagner la clientèle cible vers les services appropriés.Former des sources de références non-traditionnelles afin qu’elles puissent orienter et accompagner la clientèle cible vers les services appropriés.

7 Résultats escomptés Pour la clientèle visée:Pour la clientèle visée: –Maintenir l’autonomie –Améliorer la qualité de vie –Prévenir une crise potentielle –Prévenir une hospitalisation prématurée et/ou un placement à long terme Pour la communauté:Pour la communauté: –Favoriser, par une plus grande implication, une solidarité sociale

8 Modèle « Gatekeeper » Origine du modèleOrigine du modèle Développé à Spokane, Washington en 1978. Développé à Spokane, Washington en 1978. Caractéristiques Caractéristiques Mise sur des sources de références non traditionnelles: les gatekeepers. Mise sur des sources de références non traditionnelles: les gatekeepers. Dépistage proactif.Dépistage proactif. Reconnaissance du modèle (meilleure pratique)Reconnaissance du modèle (meilleure pratique) L’évaluation réalisée de ce modèle a démontré que 41% des références faites aux services pour personnes âgées provenait des Gatekeepers. L’évaluation réalisée de ce modèle a démontré que 41% des références faites aux services pour personnes âgées provenait des Gatekeepers. Personnes âgées référées par les Gatekeepers: femmes célibataires, vivant seules, avec un réseau de soutien réduit et ne recevant aucun services, étaient différentes de celles référées par les services dits traditionnels. Personnes âgées référées par les Gatekeepers: femmes célibataires, vivant seules, avec un réseau de soutien réduit et ne recevant aucun services, étaient différentes de celles référées par les services dits traditionnels.

9 Adaptation du modèle Système de santé et des services sociaux québécois.Système de santé et des services sociaux québécois. Réalité urbaine (contexte d’anonymat).Réalité urbaine (contexte d’anonymat). Implication de bénévoles pour la formation des sources de références non-traditionnelles ou appelées ici liaisons communautaires.Implication de bénévoles pour la formation des sources de références non-traditionnelles ou appelées ici liaisons communautaires. −Les bénévoles reçoivent une formation par le CSSS afin de remplir leur rôle de formateurs. Mode de référence en place qui vise l’empowerment (par l’autoréférence).Mode de référence en place qui vise l’empowerment (par l’autoréférence).

10 Les liaisons communautaires Qui sont-elles ? Des membres de la communauté qui sont en contact avec la clientèle cible par le biais de leur emploi ou de leurs activités quotidiennes (pharmaciens, personnel de banque, concierges, épiciers, postiers, coiffeurs, etc.).Des membres de la communauté qui sont en contact avec la clientèle cible par le biais de leur emploi ou de leurs activités quotidiennes (pharmaciens, personnel de banque, concierges, épiciers, postiers, coiffeurs, etc.). −Contacts fréquents et/ou réguliers, ou encore, lien particulier avec la population cible. −Reconnaissent ou sont capables de dépister les signes ou comportements à risque chez la clientèle cible et qui acceptent d’avoir une formation par des bénévoles afin de pouvoir l’orienter et l’accompagner.

11 Des personnes âgées qui ne demandent pas d’aide Pourquoi ? Se sentent embarrassées par leur situation.Se sentent embarrassées par leur situation. Ont peur de devoir quitter leur domicile par l’éviction ou par le placement.Ont peur de devoir quitter leur domicile par l’éviction ou par le placement. Veulent éviter d’être un fardeau pour leur famille, leurs amis ou leurs voisins.Veulent éviter d’être un fardeau pour leur famille, leurs amis ou leurs voisins. Ont peur de perdre le peu d’indépendance qui leur reste.Ont peur de perdre le peu d’indépendance qui leur reste. Minimisent ou nient le fait d’être malades ou d’avoir besoin d’assistance.Minimisent ou nient le fait d’être malades ou d’avoir besoin d’assistance. Sont victimes d’une forme d’abus.Sont victimes d’une forme d’abus. Sont en dépression ou vivent des pertes significatives.Sont en dépression ou vivent des pertes significatives. Ne savent pas que l’aide est disponible.Ne savent pas que l’aide est disponible.

12 Les comportements à risque Négligence de soi:Négligence de soi: –Signes: hygiène personnelle négligée, dénutrie, vêtements inappropriés pour la saison, etc. Déni face à sa situationDéni face à sa situation –Signes: refuse de l’assistance malgré les signes apparents d’incapacité. Abus de substance (drogues, alcool, médicaments)Abus de substance (drogues, alcool, médicaments) –Signes: nombreuses bouteilles vides de médicaments, d’alcool, renouvellement fréquent de prescriptions, etc.

13 Les comportements à risque Sécurité compromiseSécurité compromise –Signes: hostilité, retrait social, insalubrité du logement, etc. Changements significatifs et/ou rapides sur le plan des comportements et des attitudesChangements significatifs et/ou rapides sur le plan des comportements et des attitudes –Signes: agression verbale ou physique envers soi-même ou les autres, agitation, retrait, etc. Détresse émotionnelleDétresse émotionnelle –Signes: perte d’appétit, de sommeil, s’isole plus, etc.

14 Les comportements à risque Comportements suicidairesComportements suicidaires –Signes: la personne parle de ses idées suicidaires, de son plan, donne ses effets personnels, etc. Victime de mauvais traitementsVictime de mauvais traitements –Signes: retrait social, la personne est victime d’insultes, d’intimidation, retraits bancaires plus importants qu’a l’habitude, etc. –Signes corporelles: coupures, ecchymoses, fractures, etc. Sécurité financièreSécurité financière –Signes: difficulté à gérer ses affaires, dépenses excessives, comptes impayés, etc.

15 Les liaisons communautaires Leur rôle: Servir de lien entre les personnes âgées vulnérables et/ou isolées et le CSSS.Servir de lien entre les personnes âgées vulnérables et/ou isolées et le CSSS. − Informer de l’existence des services. − Aborder la question de l’aide requise. − Encourager l’auto référence et, au besoin, soutenir et accompagner les personnes dans le processus de référence.

16 Le processus de référence 1. Auto référence A.La liaison communautaire remet à la personne une carte d’affaire du projet P.I.E. B.La personne téléphone au numéro indiqué sur la carte P.I.E. ou encore, se présente à l’accueil psychosocial du CLSC. −Si la personne se présente au CLSC, l’intervenant à l’accueil psychosocial demande si la personne est référée via le projet P.I.E. −L’intervenant à l’accueil recueille des données nominatives puis évalue la situation. C.Le dossier est transféré vers un programme du CSSS.

17 2. Référence faite par la liaison communautaire avec le consentement de la personne. A.Appelle au numéro de téléphone indiqué sur la carte d’affaire P.I.E. Elle peut aussi contacter l’accueil du CLSC ou s’y présenter avec la personne en mentionnant qu’elle fait une référence en lien avec le projet P.I.E. B.Fournit le nom, l’adresse et le numéro de téléphone de la personne. C.Explique ses inquiétudes et décrit les comportements à risque. D.Spécifie si la personne à un réseau de soutien tel que des amis, de la famille, voisins, dans la mesure où ce réseau existe. E.Donne son nom et son numéro de téléphone ou encore, spécifie qu’elle souhaite demeurer anonyme. F.L’intervenant évalue la situation et le dossier est transféré vers un programme du CSSS.

18 Consentement Le consentement de la personne âgée est requis lorsque l’on communique des informations sur sa situation mais on peut déroger dans les situations où: -Un danger potentiel existe pour la personne ou pour autrui -Le consentement ne peut se donner à cause d’une incapacité

19 Confidentialité La liaison communautaire et la personne âgée vulnérable et/ou isolée ont toutes les deux le droit d’exiger que toute information communiquée les concernant soit gardée confidentielle.

20 Considérations éthiques Les personnes âgées vulnérables et/ou isolées ont le droit d’être informées des alternatives qui existent qui peuvent les aider.Les personnes âgées vulnérables et/ou isolées ont le droit d’être informées des alternatives qui existent qui peuvent les aider. Les liaisons communautaires respectent la vie privée des personnes et évitent d’être intrusives.Les liaisons communautaires respectent la vie privée des personnes et évitent d’être intrusives. Les liaisons communautaires ne forcent pas les personnes à contacter les services; elles respectent leur choix de s’y référer ou non.Les liaisons communautaires ne forcent pas les personnes à contacter les services; elles respectent leur choix de s’y référer ou non. Les liaisons communautaires peuvent en tout temps servir de lien entre les personnes et le CSSS.Les liaisons communautaires peuvent en tout temps servir de lien entre les personnes et le CSSS.

21 Projet P.I.E. L’évaluation L’évaluation

22 Historique de l’évaluation Il existe peu de cadres de référence pour l’évaluation de programmes de dépistage.Il existe peu de cadres de référence pour l’évaluation de programmes de dépistage. Trois écrits majeurs nous ont inspiré:Trois écrits majeurs nous ont inspiré: –American Academy of Pediatrics, 1993; Propose huit critères pour qu’un programme de dépistage des problèmes de santé chez les enfants soit un succès.Propose huit critères pour qu’un programme de dépistage des problèmes de santé chez les enfants soit un succès. –Agence nationale de l’accréditation et d’évaluation en santé de France, 2004; Propose sept critères pour l’évaluation d’un programme de dépistage en santé.Propose sept critères pour l’évaluation d’un programme de dépistage en santé. –Contandriopoulos et al., 2000. Pionnier au Québec en évaluation de programmes et particulièrement sur l’évaluation dans le domaine de la santé.Pionnier au Québec en évaluation de programmes et particulièrement sur l’évaluation dans le domaine de la santé.

23 Les critères de dépistage retenus Les critères de dépistage retenus 1.La maladie: importance du problème: 20% des p.â. vit avec un problème de santé mentale.20% des p.â. vit avec un problème de santé mentale. Elles sont vulnérables et peuvent représenter un danger pour elles-mêmes et pour les autres.Elles sont vulnérables et peuvent représenter un danger pour elles-mêmes et pour les autres. 2.Le traitement: présence et accessibilité à un traitement suite au dépistage du CSSS Cavendish. Programme de santé mentale 60 ans et plus.Programme de santé mentale 60 ans et plus. Programmes du CSSS si problème physique.Programmes du CSSS si problème physique.

24 3.Le test de dépistage: efficience du projet P.I.E. à détecter les personnes âgées isolées et/ou vulnérables vivant avec un problème de santé mentale. 4.Le dépisteur: capacité des liaisons communautaires à dépister (formations - rayonnement). 5.La population cible: dépistage pour une population dans le besoin. 50% des p.â. qui ont un problème de S.M. ne reçoivent pas de services en lien avec leur situation. 50% des p.â. qui ont un problème de S.M. ne reçoivent pas de services en lien avec leur situation. Barrières sociales ou émotives, physiques, économiques ou organisationnelles. Barrières sociales ou émotives, physiques, économiques ou organisationnelles. Stabiliser ou empêcher la venue des situations problématiques. Stabiliser ou empêcher la venue des situations problématiques.

25 6. L’efficacité du traitement: Le programme de Santé Mentale 60 ans et plus du CSSS Cavendish Programme novateur : approche par comportements à risque et équipe multidisciplinaire.Programme novateur : approche par comportements à risque et équipe multidisciplinaire. Efficacité : aucune évaluation rigoureuse mais littérature supporte ce type d’intervention.Efficacité : aucune évaluation rigoureuse mais littérature supporte ce type d’intervention. 7. Le ratio coût efficacité: efficacité à dépister les personnes âgées vulnérables et/ou isolées vivant avec un problème de santé mentale versus les coûts liés au projet. 8.L e maintien du programme: révisions périodiques afin de statuer sa valeur.

26 Étude Cette évaluation s’effectue à travers une étude exploratoire longitudinale qui a débuté en mars 2007 et qui se terminera en mai 2008.Cette évaluation s’effectue à travers une étude exploratoire longitudinale qui a débuté en mars 2007 et qui se terminera en mai 2008.

27 Objectif 1 Évaluer l’efficacité du projet P.I.E. quant à l’identification des personnes âgées vulnérables et/ou isolées qui ont un problème de mentale. Moyens: A.Dénombrer le nombre de personnes à risque référées par le projet P.I.E. B.Connaître leur profil sommaire au niveau sociodémographique et médical.

28 A.Personnes à risque référées : n=12 1. Auto-référence, n = 6 –Via le poste téléphonique P.I.E. = 3 –En personne au CSSS = 3 2. Référence par une liaison communautaire, n=6 –Via le poste téléphonique P.I.E.= 1 –Via le poste téléphonique P.I.E. mais sans le consentement=5

29 B.Information en lien avec les modes de référence L’information qualitative recueillie par les intervenantes à l’accueil psychosocial démontrent l’existence d’entraves à la référence dont les suivantes:L’information qualitative recueillie par les intervenantes à l’accueil psychosocial démontrent l’existence d’entraves à la référence dont les suivantes: –Certaines références sont sous-reportées comme étant des appels ou des déplacements en personne P.I.E. (la source de référence n’est pas mentionnée lors de l’évaluation initiale) –Les individus référés par les liaisons ne vivent pas nécessairement sur le territoire desservi par le CSSS Cavendish.

30 C.Information démographique et profil de santé Âge: 60 ans et plus = 66,6 %Âge: 60 ans et plus = 66,6 % Sexe:Sexe: –hommes = 42 % femme = 58 % Statut civil:Statut civil: –Marié ou conjoint de fait = 20% –Célibataire = 60% –Veuf(ve) = 20% Mode d’habitation:Mode d’habitation: –Seul(e) = 70 % –En couple = 20 % –Avec une autre personne = 10%

31 C. Information démographique et profil de santé…suite Profil clinique majeur:Profil clinique majeur: –Physique = 18 % –Psychologique = 72 % –Physique et psychologique = 10 % Programme de services CSSS:Programme de services CSSS: –Programme Santé mentale = 36% –PALV= 36% –Autre = 28 % (counselling court terme - santé mentale)

32 Objectif #2 Documenter l’implantation du Projet P.I.E.Documenter l’implantation du Projet P.I.E. Comment: A.Sessions de formation. B.Réponse de la communauté face au projet.

33 A. Sessions de formation 1) Individus formés: Formateurs = 9Formateurs = 9 Liaisons communautaires formées = 169Liaisons communautaires formées = 169 Liaisons formées ayant répondu aux questionnaires = 149Liaisons formées ayant répondu aux questionnaires = 149 Liaisons communautaires formées ayant répondu aux questionnaires trois mois plus tard = 46 (75 % des participants sont rendus cette étape)Liaisons communautaires formées ayant répondu aux questionnaires trois mois plus tard = 46 (75 % des participants sont rendus cette étape)

34 Sessions de formation: 2) Logistique de mise en place

35 Sessions de formation: 3) Contenu

36 Sessions de formation: 4) Requête pour de l’information additionnelle

37 B. Réponse de la communauté face au projet Organisation qui ont accepté une formation = 40Organisation qui ont accepté une formation = 40 Formations offertes à date = 31Formations offertes à date = 31 –Personnes âgées qui fréquentent les lieux de façon régulière = 66.5 % Organisations qui ont refusé une formation = 28Organisations qui ont refusé une formation = 28

38 1. Type de lieux qui ont reçu une formation

39 2. Raisons motivant un refus des lieux ciblés

40 3. Secteurs géographiques des lieux sur le territoire CSSS NDG = 18NDG = 18 Snowdon Ouest = 2Snowdon Ouest = 2 Côte Saint-Luc = 8Côte Saint-Luc = 8 Montréal Ouest = 4Montréal Ouest = 4 Hampstead = 1Hampstead = 1 4.Formateurs qui ont reçu la formation Total = 9 Total = 9 Bénévoles = 3Bénévoles = 3 Étudiants = 3Étudiants = 3 Employés = 3Employés = 3

41 Objectif #3 Documenter le sentiment de solidarité sociale ressenti par les acteurs principaux du Projet P.I.E. (formateurs et liaisons communautaires).Documenter le sentiment de solidarité sociale ressenti par les acteurs principaux du Projet P.I.E. (formateurs et liaisons communautaires).

42 Sentiment de solidarité

43 Liaisons communautaires Sentiment d’être un partenaire du CSSS

44 Prochaine étape Implantation du projet P.I.E. dans les différents CSSS du QuébecImplantation du projet P.I.E. dans les différents CSSS du Québec Évaluation de l’implantation et des effets des projetsÉvaluation de l’implantation et des effets des projets

45 Pour information CSSS Cavendish, installation René-Cassin 514-488-3673 Brita Brown, organisatrice communautaireBrita Brown, organisatrice communautaire –Poste 1353 Kareen Nour, chercheureKareen Nour, chercheure –Poste 1472 Marijo Hébert, assistante de rechercheMarijo Hébert, assistante de recherche –Poste 1340

46 Fin de la présentation Questions ?Questions ? Commentaires ?Commentaires ?


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