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Economie Publique Introduction. Economie Publique u Etudie les causes et les conséquences de l’intervention publique dans la sphère économique. u Acteur.

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1 Economie Publique Introduction

2 Economie Publique u Etudie les causes et les conséquences de l’intervention publique dans la sphère économique. u Acteur crucial: l’ autorité publique (Etat, conseil régional, conseil général, mairie, etc.). u Différent d’autres catégories d’acteurs considérés traditionnellement en économie (e.g. firmes et ménages). u Autorité publique: un peu comme une firme (un réseau complexe de relations contractuelles entre des individus (politiciens, bureaucrates, etc.) qui produit certains outputs à partir d’inputs.

3 L’autorité publique est-elle une firme ? (1) u Question importante. u La ligne de partage entre ce qui est produit dans le secteur public et ce qui est produit dans le secteur privé (fut-il à but non-lucratif) a été très fluctuante (à la fois dans l’histoire et entre les pays) u Ex: Enseignement supérieur et recherche: produit principalement dans le secteur public en France, et principalement dans le secteur privé (à but non-lucratif) aux Etats-Unis. u Services de santé: produits largement dans le secteur privé aux Etats-Unis ou en Suisse, largement dans le secteur public au Canada, au Royaume Uni ou en France.

4 L’autorité publique est-elle une firme ? (2) u Il y a cependant au moins un “bien” qui n’est nulle part (et n’a jamais été) produit par le secteur privé. u L’élaboration des lois et des règles qui gouvernent la vie sociale des communautés humaines. u D’autres biens sont également presque toujours exclusivement produits dans le giron public (routes (au moins dans les villes, éclairage public, police, armée). u Que sont les caractéristiques du secteur public qui le rendent relativement plus efficace à produire les biens qu’il tend à produire exclusivement ? u Que sont les caractéristiques des biens qui justifient leur production publique, plutôt que privée ?

5 Le Monopole de la violence légale u « Un état est une communauté humaine qui revendique avec succès le monopole de l’usage légitime de la force physique sur un territoire donné” (Max Weber). u L’autorité publique: force les individus à payer leurs impôts ou à s’engager dans l’armée, exproprie, punit (parfois de mort)… u L’autorité publique est le seul acteur qui dispose de ce pouvoir sur un territoire. u Pourquoi l’exercice d’un tel monopole de la violence légale peut-il être socialement utile ?

6 Pourquoi un monopole de la violence légale ? u Réponse (donnée par Hobbes au XVIIe siècle): u Pour éviter l’ “état de nature” qui serait (d’après lui) caractérisé par “la guerre de tous contre tous”. u En effet, la propension naturelle des humains à poursuivre leur intérêt étant ce qu’elle est, il paraît peu probable qu’une vie sociale sophistiquée puisse émerger sans un tel monopole de la violence légale. u Sans loi, les individus humains sont rivaux dans l’accès aux ressources et aux biens. u Illustrons en effet à quoi pourrait ressembler un état de nature “Hobbesien”.

7 L’état de nature ? (1) u Imaginons une forêt primitive sans autorité publique ni loi (et par conséquent sans droits de propriété). u Imaginons deux chasseurs/cueilleurs/ pêcheurs: François et Valérie. u François a récolté des fruits, et Valérie a pêché des truites. u Chacun a des préférences convexes. François aimerait donc manger des truites avant de déguster ses fruits et Valérie apprécierait pouvoir compléter son repas carnivore avec quelques fruits. u Que feront-ils s’ils se rencontrent ?

8 L’état de nature ? (2) u 2 types d’interaction viennent spontanément à l’esprit. u 1) Le vol brutal ou u 2) L’échange paisible. u Si les deux individus optent pour la 1 ère solution, ils se battront. u Supposons les de force égale. u Si les 2 individus adoptent des attitudes différentes, celui qui est agressif obtient l’objet de son agression gratuitement, et l’autre se fait flouer. u Si les deux individus adoptent la seconde attitude, ils procèdent tous les 2 à un échange mutuellement bénéfique. u Cet échange est cependant moins avantageux pour chaque individu que ce qu’il (elle) pourrait obtenir par le vol simple.

9 L’état de nature ? (3) u Voici une illustration schématique de l’interaction: FrançoisValérierésultat steal Combat stealdealFrançois obtient les truites gratis dealstealValérie obtient les fruits gratis deal Échange à un taux mutuellement accepté

10 L’état de nature ? (4) u Les préférences de ces 2 individus pour ces résultats sont (par ordre décroissant): FrançoisValérie François obtient les truites gratis Valérie obtient les fruits gratis Echange à un taux mutuallement accepté Combat Valérie obtient les fruits gratis François obtient les truites gratis

11 L’état de nature ? (5) u Quel est le résultat vraisemblable de cette interaction ? DealSteal Deal EchangeFruits gratis pour Valérie Steal Truites gratis pour François Combat François Valérie

12 L’état de nature ? (5) u “steal” est une stragégie dominante pour chacun! DealSteal Deal EchangeFruits gratis pour Valérie Steal Truites gratis pour François Combat François Valérie

13 L’état de nature ? (5) u Donc, personne ne dealera! DealSteal Deal EchangeFruits gratis pour Valérie Steal Truites gratis pour François combat François Valérie

14 L’état de nature ? (5) u Le combat (guerre de tous contre tous) prévaudra! DealSteal Deal EchangeFruits gratis pour Valérie Steal Truites gratis pour François combat François Valérie

15 L’état de nature ? (5) u Remarquons que cette situation est inefficace! DealSteal Deal EchangeFruits gratis pour Valérie Steal Truites gratis pour François combat François Valérie

16 L’état de nature ? (5) u Tous sont d’accord pour dire que l’échange serait préférable DealSteal Deal EchangeFruits gratis pour Valérie Steal Truites gratis pour François combat François Valérie

17 Solution: monopole de la violence légitime ? u L’inefficacité de la guerre de tous contre tous est sévère. u Imaginons qu’un “Etat” apparaisse. u L’Etat: définit et protège des “droits de propriété” sur les ressources. u Droit de propriété: droit donné au propriétaire de la ressource d’exclure autrui de l’usage de la ressource. u Exclusion: Réalisée (en cas de litige) par des forces de police et un système judiciaire qui poursuivre et punir les violateurs avérés de ces droits de propriétés. u L’appareil policier et judiciaire est couteux et est financé par des impôts (prélèvements obligatoires)

18 Interaction avec un “Etat” (1) FrançoisValérieConséquence steal Combat (avec impôt) stealdealFrançois est puni dealstealValérie est punie deal Echange marchand (avec impôt)

19 Interaction avec un “Etat” (2) u Il semble plausible que les préférences de ces deux individus soient: FrançoisValérie Echange marchand (avec impôt) Punition de ValériePunition de François Combat (avec impôt) Punition de FrançoisPunition de Valérie

20 Interaction avec un “Etat” (3) u Quel est le résultat vraisemblable de l’ interaction ? DealSteal Deal Echange (avec impôt) Punition de Valérie Steal Punition de François combat (avec impôt) François Valérie

21 Interaction avec un “Etat” (4) u “deal” devient la stratégie dominante!!! DealSteal Deal Echange (avec impôt) Punition de Valérie Steal Punition de François combat (avec impôt) François Valérie

22 Monopole de la violence légitime  lorsqu’utilisé à bon escient, permet aux individus d’exploiter les possibilités de gains mutuels résultant de la coopération (dont l’échange) et d’éviter la « guerre de tous contre tous » u suppose l’efficacité de la protection policière et du fonctionnement judiciaire à coût faible. u Le monopole de la violence est important.

23 Interprétation de la parabole u Ne prétend pas décrire le processus historique de création de l’« Etat ». u Les processus historiques de constitution des états ont été ceux de la force brute (domination d’un individu ou d’un groupe sur les autres). u La fonction d’établissement autoritaire de la loi a été si utile aux communautés humaines que l’organe la remplissant s’est maintenu et renforcé. u Processus historique: lent encadrement, par les sujets devenus ensuite citoyens, du dangereux (mais nécessaire) monopole de la violence afin que celui-ci soit exercé « à bon escient ».  2 outils principaux: Constitution (limite et circonscrit ex ante the pouvoir de l’Etat), et concurrence politique (élections, opposition) qui assure le caractère « temporaire » de ce monopole.

24 Biens publics et collectifs u L’élaboration et la mise en œuvre des « règles du jeu » social est un exemple d’un bien public. u Autres: ondes Hertziennes, routes, parcs publics, éclairage, connaissances. u Deux caractéristiques des biens publics u Non-rivalité (au moins dans une certaine mesure): la consommation du bien par un agent n’empêche pas un autre agent d’en profiter u Impossibilité ou difficulté d’exclusion u Ces propriétés fournissent la typologie suivante des biens.

25 Typologie de biens rivalitéexclusion Biens privés (pommes, chaussettes, etc.) oui Biens public purs (qualité de l’air, loi, éclairage des rues) non Communs (forêts, lacs, ressources minières etc.) ouinon Biens de clubs (autoroutes, piscines, télévision, théorèmes…) nonoui

26 L’autorité publique u A un avantage comparatif dans la production de biens publics par rapport aux firmes privées. u Avantage: lié à la possibilité/désirabilité de l’exclusion. u Si l’exclusion est possible ou désirable, les marchés (concurrentiels) constituent un mécanisme efficace (sens de Pareto) d’allocations et de production de biens.

27 L’Etat ou le marché ? (1) u Echange marchand: échange de droits de propriété (d’exclusion) sur l’usage de biens. u Lorsque cet échange s’établit sur des bases concurrentielles, il conduit à l’efficacité. u Bases concurrentielles: chaque agent individuel (vendeur ou acheteur) est « infinitésimal » par rapport à l’ensemble. u 1 er théorème du bien être: si toutes les choses importantes aux humains étaient des biens privées, alors le recours aux marchés concurrentiels pour produire et distribuer ces biens conduirait à une allocation efficace des ressources (épuisement des possibilités existantes de gains unanimes)

28 L’Etat ou le marché ? (2) u Le 1 er théorème du bien être: les marchés concurrentiels, lorsqu’ils régissent tout ce qui importe aux humains, sont efficaces. u Etant données les préférences des individus, il est impossible de trouver une allocation de biens (et d’efforts de travail, etc.) que tous les individus jugent préférables au résultat du marché. u Efficacité Parétienne: critère normatif nécessaire (?) mais pas suffisant. u Amartya Sen: « une société peut être Pareto-efficace et néanmoins parfaitement dégoutante ». u L’efficacité Parétienne est en effet compatible avec des situations très inégales, ou très « injustes » eut égard à plusieurs conceptions plausibles de justice sociale. u Ouvre un champ d’intervention publique: celui des corrections des « injustices » résultant du fonctionnement concurrentiel des marchés.

29 L’Etat ou le marché ? (3) u 2 ème théorème du bien être: sous des conditions plus strictes que le premier, n’importe quelle allocation efficaces de ressources peut être obtenue comme résultat du fonctionnement concurrentiel des marchés si une redistribution forfaitaire de la richesse initiale des individus est effectuée. u Redistribution forfaitaire: redistribution « sans fuite » au moyen d’impôts et de transferts dont les montants ne dépendent pas de décisions prises par les individus qui les reçoivent ou qui les paient.

30 L’Etat ou le marché ? (4) u Les deux théorèmes du bien être: les marchés devraient être utilisés comme outils privilégiés d’allocation des ressources si ces marchés pouvaient être concurrentiels et si ces marchés pouvaient porter sur tous les biens qui importent aux humains. u Dans cette vision « marchande » du monde, le rôle de l’Etat devrait se borner à : u 1) permettre aux marchés de fonctionner de manière concurrentielle (en assurant notamment le respect des droits de propriété, et l’ouverture à la concurrence) u 2) transférer aux marchés la production du plus grand nombre de biens possibles (privatiser) u 3) corriger les éventuelles « injustices » du marché par de la fiscalité redistributive.

31 L’Etat ou le marché ? (5) u Les biens publics (non-désirabilité ou impossibilité d’exclusion) ne peuvent (doivent) pas être l’objet d’échanges concurrentiels. u Des raisons physiques ou informationnelles empêchent certains marchés concurrentiels de voir le jour, quand bien même on le voudrait. u 1) Effets externes (ex: usage des pesticides réduit l’activité des abeilles). u 2) asymétrie ou incomplétude d’information empêche des marchés importants de voir le jour (notamment des marchés d’assurance). u 3) Monopoles ou oligopoles « naturels » (dont celui sur la connaissance (peut il y avoir « plusieurs vérités concurrentes » ?).

32 L’Etat ou le marché ? (6) u Biens incontestablement publics (non-rivaux et non-excluables) (dont la loi et la règle commune): produits dans le giron public partout! u Biens incontestablement privés dont la production peut être concurrentielle: produits par des firmes privées et distribués sur le marché (de plus en plus, sauf en Corée du Nord) u Autres biens « hybrides » (avec effets externes, produits sur des marchés imparfaitement concurrentiels, ou assortis d’asymétries d’information importantes): produits et alloués dans le giron public ou privé, suivant les lieux et les circonstances.

33 Les champs de l’intervention publique u Cadre juridique, loi, ordre et protection militaire. u La fourniture des biens publics (routes, ponts, parcs, etc.) u L’aide aux plus démunis et la « protection sociale » (retraite, assurance chômage, assurance maladie) (biens privés, parfois « assuranciels », dont la distribution est jugée importante pour la justice sociale. u Education et santé (biens privés ou publics ?)

34 Quelques statistiques sur le secteur public u Il est intéressant de regarder comment se fait le partage public – privé dans différents pays et à différents moments. u Variable: part du PIB occupée par les dépenses du secteur public. u Sous-estime l’importance du secteur public (l’effet des lois et des règlementations peut être très important, même si la production et la mise en œuvre de ces lois mobilisent très peu de ressources). u Il est également intéressant de regarder comment les partages public-privé diffèrent suivant le type de bien considéré.

35 suède France Corée Australie Canada R. Uni Allemagne E.-U. Evolution de la part du PIB représentée par les dépenses publiques, 1990-2010, quelques pays de l’OCDE

36 Evolution longue période: France Australie

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38 Conjecture de Wagner ?

39 Biens collectifs ou biens individuels ?

40 Missions régaliennes de l’Etat

41 Les dépenses de protection sociale u Un aspect d’importance variable. u Allocations familiales, assurance maladie, assurance chômage, retraites, minima sociaux, etc. u Partage public-privé est particulièrement divers dans ce domaine u Cette diversité est celle des vues sur la justice sociale.

42 Dépenses de protection sociale, quelques pays de l’OCDE

43 La Santé u L’assurance maladie est une composante importante des dépenses de protection sociale. u La santé est souvent produite en partie (variable) dans le secteur public. u Dans une large mesure (épidémies et vaccination mises à part), la santé est un bien « privé ». u L’assurance santé est entachée d’asymétrie d’information (qui est un bon médecin, chirurgien ?). u Souci d’équité et de justice distributive pour un bien jugé comme important pour l’épanouissement des individus.

44 Part des secteurs publics et privé dans les dépenses de santé (2007)

45 L’éducation u L’éducation est souvent produite, en grande partie au moins, dans le secteur public. u Education est en grande partie un bien « privé » (l’individu peut exclure autrui du bénéfice de son éducation) u Il y a un monopole naturel de la « validité » de l’information transmise par l’éducation u La composante « privée » de l’éducation croît avec le niveau de celle-ci.

46 Dépenses publiques et privées d’éducation élémentaire et secondaire

47 Dépenses publiques et privées d’éducation supérieure

48 Les prélèvements obligatoires u La particularité du financement des dépenses publiques tient au caractère obligatoire des contributions individuelles. u Impôt: cotisations sociales, impôt sur le revenu, taxation indirecte, impôt sur la propriété et le patrimoine, impôt sur les entreprises. u Effet de l’impôt sur l’activité économique. u Caractère redistributif (ou non) de l’impôt (progressivité-régressivité) u Incidence fiscale (qui paie l’impôt in fine ?) u On paie maintenant ou plus tard (dette publique) ?

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50 La régressivité de la taxation indirecte

51 On paie maintenant ou plus tard ?

52 Le caractère multi-juridictionnel de l’action publique u Les biens publics (et l’action de l’autorité publique) sont localisés (plus ou moins finement). u Echelon: local (éclairage, assainissement), régional, national, mondial. u Problème: toujours pas d’autorité au niveau mondial. u Au sein des nations, juxtaposition de juridictions (communes, départements, régions, nation). u L’autorité publique à un pouvoir spécifique sur chaque juridiction. u Il y a des liens entre les juridictions (fédéralisme). u Les individus sont (plus ou moins) mobiles entre les juridictions.

53 Conséquences de la territorialité – multijuridictionalité de l’action publique u Concurrence fiscale (course au moins disant fiscal, contraintes sur la fiscalité). u Adaptation de l’offre des biens publics aux préférences des individus par le mécanismes de « votes par les pieds » (Tiebout) u Formation endogène des juridictions (regroupement affinitaires, ségrégation?) u Migrations u Construction Européenne, Intercommunalité, Gouvernance mondiale ?

54 Répartition multi-juridictionnelle de l’intervention publique, 2000 France

55 Répartition multi-juridictionnelle de l’intervention publique, 2010 France

56 Deux approches de l’économie publique u Approche « positive »: étudie l’intervention publique telle que celle-ci « est » (requiert une théorie éprouvée du processus réel de décision des autorités publiques). u Approche normative: étudie ce qu’est une « bonne » intervention publique (sur la base d’une définition précise de ce que signife « bon »).

57 Approche positive de l’intervention publique u Encore embryonnaire. u Développée sur la base de l’école dite du « Public Choice » (Buchanan, Tullock, « économie politique » moderne). u Politiciens: motivés par la recherche de rentes que leur procurent leurs victoire sélectorales ( ou leur prise violente du pouvoir). u Bureaucrates( fonctionnaires) motivés par la maximisation de leurs budget (Niskanen) ou la minimisation de leur effort. u Groupes d’intérêts, échanges de faveurs, corruption, etc. u Quelle intervention publique peut-on attendre lorsqu’on représente de façon réaliste le processus de décision publique. u Rend sceptique sur la pertinence de l’intervention publique

58 Approche normative de l’intervention publique u Beaucoup plus élaborée. u Nourrie par la tradition de l’économie du bien être anglo- saxonne et du « social choice » (Arrow, Sen), du calcul économique français (Boiteux, Kolm), des travaux sur les biens publics de Samuelson, et beaucoup d’autres. u Qu’est-ce qu’une « bonne » intervention publique ? u Lie l’intervention publique à une théorie explicite de la « justice sociale ». u « Justice is the first virtue of social institutions, as Truth is of systems of thoughts » (John Rawls). u Rend optimiste (naÏf ?) sur la pertinence l’intervention publique u Ce cours privilégie pour l’essentiel l’approche normative


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