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Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF1 1.3.3. Les comptes trimestriels: l’art de « prévoir le présent »  L’INSEE doit produire des comptes.

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1 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF1 1.3.3. Les comptes trimestriels: l’art de « prévoir le présent »  L’INSEE doit produire des comptes représentant le TEE et le TES, régulièrement actualisés  But: coller à la réalité et être informatif sur les nouveautés  Objectif de fiabilité impliquerait de se limiter à des comptes annuels : seule mesure directe des phénomènes  Mais alors les comptes nationaux ne seraient pas exploitables pour tenter de prévoir les éventuels retournement conjoncturels  L’INSEE construit des comptes trimestriels où les agrégats ne sont pas directement mesurés mais estimés à partir d’indicateurs trimestriels corrélés  Les comptes trimestriels sortent avec seulement 2 mois de retard sur le trimestre

2 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF2 Une exemple: l’estimation trimestrielle de la FBCF en matériel de transport  Connue une seule fois dans l’année par l’EAE.  Mais la chambre syndicale des constructeurs d’automobiles fournit en fréquence infra-annuelle les immatriculations de véhicules utilitaires.  Or on a constaté une bonne corrélation entre la FBCF en matériel de transport mesurée par les comptes annuels et les immatriculations de véhicules utilitaires de plus de 5 tonnes (indicateur mensuel)  On estime alors une relation économétrique où l’agrégat FBCF-transport est « expliqué » par les immatriculations. Cette opération est appelée étalonnage des comptes.

3 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF3 Etalonnage-calage des comptes trimestriels (suite)  On suppose ensuite que la relation économétrique estimée annuellement est valable au niveau trimestriel. En appliquant la même relation aux valeurs trimestrielles de l’indicateur (corrigées des variations saisonnières), on obtient une estimation trimestrielle de l’agrégat considéré.  On applique ensuite une procédure consistant à ajuster l’estimation trimestrielle pour tenir compte des erreurs passées. C’est le calage des comptes trimestriels.  NB1 : le résidu n’est pas réparti sur les trimestres de l’année en cours par simple division par 4 : les résidus sont lissés avant d’être répartis sur les estimations infra-annuelles.

4 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF4 Les « comptes trim » (suite)  Chaque nouvelle « campagne » des comptes nationaux annuels produit une évaluation provisoire de l’année passée et un nouveau chiffrage des trois années précédentes : les comptes trimestriels se calent alors sur ces trois années (révision des cptes trim)  Ces révisions résultent d’un arbitrage entre rapidité et qualité. Il faut en avoir conscience pour ne pas avoir une confiance trop aveugle dans la compta nat’.  Origine des révisions : certains indicateurs ne sont connus que partiellement lors de la première publication des comptes les équations d’étalonnage vues plus haut sont régulièrement ré-estimées pour intégrer les nouvelles données annuelles disponibles ; il y a parfois substitution d’un indicateur infra-annuel à un autre jugé meilleur.

5 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF5 L’ampleur des révisions de comptes trimestriels:  VOIR Tableau IV de Cling p. 54 : Evaluations par les comptes trimestriels de la croissance du PIB marchand entre 1986 et 1987.  NB1 : En avril 1988, il subsiste encore un écart entre les comptes trimestriels et les comptes annuels : le calage n’est que partiel à cette date. Il n’est total qu’en avril 1989.  NB2 : chaque fois qu’il y a une révision, c’est qu’une nouvelle information est prise en compte. Par exemple, en avril 1989, la prise en compte des enquêtes annuelles d’entreprise a conduit à une baisse des stocks « producteurs » beaucoup plus importante qu’estimée initialement.

6 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF6 Quelques indicateurs et leurs sources :  Production en BTP : statistiques de mise en chantier de logements fournies par le ministère du logement  Production industrielle : IPI construit à partir des enquêtes de branche (mensuelles ou trimestrielles) des syndicats professionnels. Ces enquêtes suivent environ 700 produits (2/3 en séries mensuelles, 1/3 en séries trimestrielles)  Valeur des biens importés ou exportés : douanes (mensuelles)  Services : Banque de France (mensuelles ou trimestrielles)  Consommation des ménages : plus de 40 sources diverses : –Enquête de la BdF sur les chiffres d’affaire dans l’alimentation générale, sur la consommation des ménages en produits manufacturés, –Données de la SEITA pour la consommation de tabac, –Données du Comité Professionnel du pétrole pour la conso de carburant, –Données issues de syndicats de branches industrielles : constructeurs automobiles pour les imat’, Centre Textile de Conjoncture et d’observation économique pour l’habillement, etc. –Etc.  Emploi, chômage, durée du travail et salaires : DARES

7 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF7 1.3.4. Les comptes annuels  Plus détaillés et plus complets. Plus fiables.  Basés sur des statistiques relativement exhaustives plutôt que sur des indicateurs.  Les sources utilisées sont plus lourdes à mettre en œuvre, plus lentes à obtenir, mais plus précises : données fiscales et enquêtes annuelles d’entreprise.  C’est pourquoi les comptes annuels, une fois qu’ils sont devenus définitifs, deviennent une référence pour les estimations des comptes trimestriels.

8 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF8 1.4. Enquêtes de conjoncture et indicateurs conjoncturels : pourquoi ? Comment ?  L’élaboration des comptes trimestriels et annuels prend du temps et ne donne une information fiable qu’après de nombreuses révisions.  Si l’analyse conjoncturelle finit toujours par se caler sur ces chiffres, il n’en reste pas moins qu’elle a besoin de données plus rapides à obtenir et plus fréquentes.

9 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF9 1.4.1. Les enquêtes de conjoncture  Légères et rapides  Exemple : l’enquête mensuelle sur l’industrie disponible le 20 du mois suivant le mois concerné alors que l’IPI ne sera disponible qu’un mois et demi après la fin du mois concerné  Il existe au sein de la communauté européenne un certain nombre d’enquêtes harmonisées : –enquête sur l’activité dans l’industrie (mensuelle et trimestrielle) ; –enquête sur les investissements dans l’industrie ; –enquête sur l’activité du commerce de détail et des services ; –enquête sur l’activité de la construction ; –enquête de conjoncture auprès des ménages. –… Cf. le site web de l’INSEE : www.insee.frwww.insee.fr  L’INSEE fournit de nombreuse enquêtes supplémentaires

10 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF10  VOIR TABLEAU « Encadré 3 » extrait du livre de N. Carnot et B. Tissot, La prévision économique, p. 95 et alii. Distribué en cours.  Principes de collecte : envoyées par courrier ou effectuées par téléphone auprès d’un panel représentatif d’agents.  Elles ont 3 fonctions essentielles : devancer et compléter la statistique ; connaître le jugement des agents sur leur situation personnelle ; fournir des prévisions des agents.  Leur but est donc de fournir un diagnostic plus qualitatif que les statistiques des comptes trimestriels ou annuels.  Introduisent des indicateurs (questions) qui ne sont pas présents dans les comptes : TU, carnets de commandes, goulots de production, difficultés de recrutement, opinion sur les stocks, etc.  La plupart des réponses sont traitées de manière à dégager ce que l’on appelle des soldes d’opinion.

11 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF11 Le solde d’opinion : interprétation et utilisation pour la prévision  Questions soit dichotomiques, soit trichotomiques.  Expl.: « Quelle a été la tendance de votre production au cours des trois derniers mois ? »  Les réponses « tendances stables » sont éliminées et le solde = proportion « en hausse » - proportion « en baisse ».  Réponses individuelles d’entreprises: pondération par la taille de l’entreprise (mesurée en CA, en effectifs, etc…)  NB1 : l’élimination des réponses « tendance stable » provient d’un constat effectué de longue date : il y a une tendance naturelle à la « sous-estimation du changement »  NB2 : On pondère seulement les questions dites « d’activité » (« Evolution passée récente de votre production ? ») mais pas celles dites « de climat » ou de « perspectives générales » (« Tendance probable de la production ? », « opinion sur les stocks », etc.).

12 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF12 Un exemple simple de calcul de solde d’opinion: NB : S=25% ne signifie évidemment pas que la production du secteur automobile a crû de 25%. Cela signifie que la part de la modalité « en hausse » dépasse de 25% celle de la modalité « en baisse ». => Ce qui doit être interprété ce n’est pas le niveau du solde mais son évolution.

13 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF13 Exemples de biais d’opinion dont il faut se méfier:  il y a toujours une majorité relative d’entreprises qui jugent leur situation de trésorerie difficile  de même les entrepreneurs déclarent toujours éprouver des difficultés de recrutement

14 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF14 1.4.2. Les « indicateurs » conjoncturels  D’autres indicateurs rapides sont disponibles, qui ne sont pas construits selon le principe du solde d’opinion. On les désigne par le terme d’« indicateurs conjoncturels ».  Exemples : –marges de capacité avec et sans embauche (Deux sources : Insee et BdF) –taux d’utilisation des capacités TU (Deux sources : Insee et BdF) –statistiques relatives au marché du travail : évolution de l’emploi dans les différentes branches ; évolution des salaires, du coût du travail ; productivité, durée du travail (enquête ACEMO trimestrielle effectuées par la DARES) etc…

15 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF15 Principe de construction des TU :  2 questions aux entrepreneurs : « Quelles sont vos marges de production en % sans embauche ? » et « Quelles sont vos marges de production en % avec embauche ? ».  Or : et :  Donc :  Soit encore :  et  D’où TUk=TUa/TUs

16 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF16 Utilisation et interprétation des TU:  Interprétation : bien qu’il ne s’agisse pas d’un solde d’opinion, le TU est toujours relativement «élevé», mais un TU de 80% ne signifie pas que les entreprises ont du mal à satisfaire la demande : il faut regarder si le TU est ou non historiquement élevé  Utilisation : prévoir l’investissement, les prix et les variations de stocks

17 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF17 1.4.3. Les soldes d’opinion (enquêtes) et indicateurs conjoncturels comme indicateurs cycliques  Il y a un double problème :  a) L’enquête (ou l’indicateur) a-t-il un bon timing par rapport à la variable à prévoir ? Autrement dit est-ce un indicateur avancé ou bien plutôt un indicateur coïncidant ou retardé.  b) Donne-t-il une bonne indication non pas seulement sur le timing mais aussi sur l’amplitude du phénomène à prévoir?

18 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF18 Détermination du timing d’un indicateur ou d’une enquête par rapport à la variable à prévoir:  Observer le Tableau 3 p. 215 in Fayolle [1987] : «Avance ou retard des indicateurs d’opinion »  Indicateurs avancés, coïncidents et retardés.  Ne pas croire que l’on n’utilise que les indicateurs avancés:  Les enquêtes et indicateurs sont disponibles bien avant les statistiques officielles. On peut donc se servir d’un indicateur retardé pour saisir un retournement de tendance qui n’est pas encore apparu dans ces dernières.  Il faut juste veiller à ne pas se tromper d’interprétation : par exemple, ne pas annoncer un retournement pour dans 3 mois, mais plutôt un retournement en cours, voire un retournement qui s’est produit il y a un mois.

19 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF19  NB1 : un écart type de 3,9 mois, ce n’est pas beaucoup quand l’horizon de la prévision est le trimestre.  NB2 : les points de retournement sont calculés selon la méthode de l’écart au trend : on observe les « pic » et les « creux » de l’écart (série  tendance). Il faut faire attention à ne pas se laisser piéger par les irrégularités dues à des événements politiques, des chocs exogènes. Pour les points de retournement des indicateurs, on a simplement pratiqué au préalable une désaisonnalisation plus un éventuel lissage, et on les a observés visuellement.

20 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF20 1.5. L’élaboration d’une prévision  Fayolle [1987, p.273] : « L’établissement d’un diagnostic conjoncturel est un exercice qui enchaîne en continu le chiffrage du passé récent grâce aux informations disponibles, l’estimation d’un présent encore largement inconnu, la prévision du futur proche. »  Exemple : on se trouve au trimestre t, le diagnostic conjoncturel va porter sur les trimestres t-1, t et t+1.

21 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF21 1.5.1. Les grandes étapes d’une prévision conjoncturelle  Etape 1 : Un premier compte E/R sur la base d’une interprétation du passé récent  Etape 2) Vérification de la cohérence comptable des évolutions prévues  Etape 3) Test de la cohérence économique:  par la mise en œuvre des interactions découlant des prévisions effectuées à l’étape 1)

22 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF22 Etape 1 : un «premier compte »: PIB+M= DC_m+FBCF_m+FBCF_SNF-EI+FBCF&DC_APU+X+  stocks  Chiffrage des « exogènes »:  La France est un « petit » pays (au sens économique) : ce qui s’y passe a peu d’influence sur la conjoncture mondiale.  On peut donc considérer l’environnement international comme une « exogène » : calcul de la demande adressée  Rem: la prévision pour les Etats-Unis ne pourrait pas faire la même hypothèse.  A] La demande mondiale adressée (Exportations): DMF t =X At +X Bt +…=MA t  x F At +MB t  x F Bt +…  B] La demande publique (FBCF&DC_APU) PLF fournit l’essentiel des prévisions de recette et de dépense pour une année. Ensuite : collectifs budgétaires et lettres de cadrage.

23 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF23 Prévoir l’investissement des entreprises (FBCF des SNF-EI). Observer:  Le taux d’utilisation des capacités  La Situation financière des entreprises (enquête de trésorerie dans l’industrie ; défaillances d’entreprise)  L’enquête sur l’investissement dans l’industrie  L’enquête sur l’activité dans le commerce et les services  L’enquêtes conjoncturelles dans l’industrie et le commerce  L’enquête sur les stocks  Les relations économétriques: –2 facteurs significatifs : demande anticipée (l’« accélérateur »), et profits –Le coût relatif des facteurs (r/w) est peu significatifs malgré la théorie

24 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF24 Prévoir la consommation des ménages. Observer:  Enquête de conjoncture auprès des commerçants de détail (commandes déclarées)  Evolution de l’emploi et du chômage  Pouvoir d’achat des salaires, indice des prix à la consommation, évolution du revenu disponible ajusté (ancien revenu disponible brut)  Indice INSEE de la consommation en produits manufacturés (étalonnage/calage sur ventes des commerçants de détail, immatriculations, etc.)  Eventuellement : enquêtes ménages mais prudence  Relations économétriques de la forme:

25 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF25 La clé des évolutions de l’investissement des entreprises et de la consommation des ménages: le partage de la VA  pVA = EBE + SAL (cf. section 1.2.2.)  TMARGE_entreprises = EBE/pVA =(pVA-wL)/pVA = 1 – wL/pVA = 1 – (w/p)/(VA/L)  PASAL_ménages = wL/pVA = (w/p)/(VA/L)  Donc l‘inflation des prix accroît les taux de marge et peut donc éventuellement favoriser l’investissement, mais défavoriser la consommation.  C’est l’inverse pour l’inflation salariale  Solution harmonieuse: faire croître w/p au rythme de VA/L

26 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF26 Prévoir la FBCF des ménages. Observer :  Mises en chantier  Délivrances de permis de construire  Accès au crédit  Taux d’intérêt  Arbitrage avec d’autres actifs  Prix de l’immobilier (bulle ou pas ?)  Aides publiques éventuelles

27 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF27 Prévoir DC et FBCF des APU. Observer:  Le projet de loi de finance, les collectifs budgétaires et les lettres de cadrage (cf. supra)  http://www.minefi.gouv.fr/pole_ecofin/macroecon omie/ref2003 http://www.minefi.gouv.fr/pole_ecofin/macroecon omie/ref2003  En général les variations de recettes sont plus faciles à prévoir que les variations de dépense. En effet, pour les dépenses, il y a souvent un délai important entre la décision et l’exécution.  Conséquences de la LOLF?...

28 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF28 Prévoir les Exportations (exogène). Observer:  Une exogène (cf. supra) dépendant de la santé économique de nos partenaires et de nos parts de marché  Enquêtes « échanges extérieurs de l’INSEE »  Statistiques des douanes  Prix à l’export  Evolution de l’Euro  NB: exogène ne signifie pas que l’on ne peut pas prévoir, mais plutôt qu’il n’y aura pas de bouclage causal pour cette prévision

29 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF29 Prévoir les importations (endogène). Observer:  Le climat des affaires en France : bouclage  L’Euro  Les indicateurs de compétitivité des entreprises françaises : –indices de coûts salariaux unitaires, –productivité, –etc.

30 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF30 Prévoir la variation des stocks. Observer:  Enquêtes sur l’investissement et les stocks dans l’industrie  Enquêtes de conjoncture dans l’industrie  Taux d’utilisation des capacités  Attention aux erreurs d’interprétation: –Hausse des stocks : effet anticipation ou chute de la demande? –Baisse des stocks : effet anticipation ou hausse de la demande

31 Olivier Brossard, IEP Toulouse, A4S1, module 3,RCSF31 Prévoir le PIB (et l’offre globale)  Courbe des taux  Indicateurs avancés ou coïncidents  Indices synthétiques de confiance (expl.: IFO, Université du Michigan, NAPM)


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