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Par Mr. Hedi CHARFI, membre de la FENATEX 10 Avril 2013, La Valette, Malte.

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1 Par Mr. Hedi CHARFI, membre de la FENATEX 10 Avril 2013, La Valette, Malte

2 Importance accordée à la formation, au développement des compétences et au dialogue social 2100 entreprises dont 80% totalement exportatrices 2.5 milliards d’euros en 2012 200 000 emplois permanents

3 Enseignement supérieur Formation professionnelle  1 Ecole d’ingénieurs  1 Institut supérieur des métiers de la mode  1 Institut supérieur technologique  8 centres sectoriels  Plusieurs dizaines de centres polyvalents  Plus de 18 000 élèves et apprenants  Environ 600 Formateurs et Conseillers d’apprentissage Le passage de CAP à BTP et de BTP à BTS est possible sous conditions

4 4 Répartition des apprenants par mode de formation

5 5 Répartition des effectifs par niveau de diplôme

6 6 Répartition des apprenants par genre

7 La réforme a été réalisée avec le concours de la communauté européenne, dans le cadre du programme MANFORME. Elle a porté sur les axes suivants :  Pilotage des Centres de Formation par objectif.  Implantation de l’APC (Approche Par Compétence) comme méthodologie de Formation.  Instauration du mode de Formation avec l’Entreprise, en alternance ou en apprentissage comme mode principal de formation.  Implantation de la démarche QUALITE.  Instauration de l’homologation des programmes de formation.  Adoption du principe de l’apprentissage tout au long de la vie (formation continue)

8 - Tout part de l’entreprise qui doit exprimer ses besoins en compétences. - S’en suit une analyse de situation du travail (AST) - Entrée en action de l’ingénierie de la formation qui traduit l’AST en référentiel de formation puis en modules d’enseignement, - Instauration de l’enseignement modulaire à la place de l’enseignement par matière. APC

9  Naissance d’un dialogue entre le dispositif de la formation et le secteur productif.  Découpage de l’enseignement modulaire entre modules réalisés au centre de formation et modules réalisés en entreprise.  L’alternance entre le centre de formation et l’entreprise favorise l’employabilité et développe les compétences de l’apprenant.  Instauration du PPI (Projet Pédagogique Industriel) arrêté en commun accord entre le centre et l’entreprise.  Encadrement de la formation en entreprise par un tuteur.  Validation des acquis de l’expérience.

10  La FC est considérée comme le pilier du système de développement des Ressources Humaines.  Amélioration des compétences et des qualifications des employés.  Accroissement de la rentabilité des entreprises.  Financement de programmes de FC par le biais de la TFP sur la base de la taxe versée à l’année n-1  Financement par les droits de tirage (un SMIG par alternant ou par stagiaire de l’enseignement supérieur.

11  De fabricant de grandes séries, il a muté vers les petites séries et les circuits courts, voir ultra-courts.  De fabricant d’articles basiques, il a muté vers des articles à plus haute valeur ajoutée.  De fabricant en sous-traitance, il a muté vers la cotraitance et le produit fini, nécessitant la fourniture de services supplémentaires de qualité.

12  Demandes accrues en compétences nouvelles (styliste modéliste industriel, chef produits, responsable en logistique, responsable en sourcing, textiles techniques…)  Constat de la faible réactivité du dispositif de la FP et aussi de l’enseignement supérieur. Ce qui a nécessité la réalisation de cycles de formation au cas par cas pour subvenir à un besoin précis. Exemple 1 : un cycle de 9 mois pour former des chefs produits, réalisé par le CETTEX avec la collaboration de l’Ecole Française MOD-SPE Exemple 2 : une grande entreprise s’est lancée dans les textiles techniques et a dû faire face à ses besoins en compétences en faisant appel à des experts étrangers

13  Les jeunes sont de moins en moins attirés par le FP.  Les jeunes, quand ils rentrent en formation, n’ont pas un projet industriel en tête.  La notion de ressources humaines est peu présente dans les entreprises.  La formation avec l’entreprise reste très peu encadrée (manque de tuteur attitré)  Les programmes de perfectionnement des formateurs méritent d’être révisés.  L’absence du répertoire des métiers et des compétences a aggravé l’inadéquation entre le monde du travail et le monde de la formation. Ces faiblesses ont eu une conséquence inéluctable : le taux de chômage des jeunes, ayant pourtant achevé une formation, reste important alors qu’en même temps les entreprises désespèrent parfois de trouver une main d’œuvre ou des cadres qualifiés.

14 Quatre chantiers en cours d’élaboration méritent d’être cités :  Le répertoire des métiers et des compétences est programmé pour être définitivement achevé avant la fin de 2013.  Un observatoire sera aussi créé permettant d’actualiser les données et surtout d’anticiper les besoins en compétences à venir. Ces deux chantiers sont menés avec la participation de toutes les parties prenantes : patronat, syndicat et administration. Désormais Il n’y aura plus d’observateurs sur le terrain, il n’y aura que des acteurs  Le troisième chantier concerne : La création d’une Unité d’Appui à la Formation (UAF) au sein de la fédération patronale. Elle jouera le rôle d’interface entre le dispositif de la FP et le secteur productif et améliorera l’adéquation entre l’offre et la demande.  En fin, le quatrième chantier concerne le développement de technopoles qui sont composés de centres de compétences et d’espaces scientifiques intelligents.


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