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Регион Нор-Па-де-Кале. Средние века. Мурнина Анастасия Учитель Риттер В.Я. Мурнина Анастасия Учитель Риттер В.Я.

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1 Регион Нор-Па-де-Кале. Средние века. Мурнина Анастасия Учитель Риттер В.Я. Мурнина Анастасия Учитель Риттер В.Я.

2 L'histoire le Nord-de-Pas-de-Calais. Moyen Âge

3 Toponymie Calesium en latin médiéval, ou Kaleis en vieux français était un village de pêcheurs et de marins, attesté dès le VIII e siècle, et Kaleeis vers 1180. Le premier document officiel mentionnant l'existence de cette communauté est la charte de commune octroyée par Mathieu d'Alsace au XII e siècle, charte connue par la confirmation qu'en fait, en 1181, Gérard de Gueldre, comte de Boulogne. D'autres auteurs citent des titres mentionnant Calesium à partir du IX e siècle mais sans les détailler. Albert Dauzat et Charles Rostaing émettent des réserves sur l'explication du nom par un pré-celtique kal, pierre, rocher, donnée par Gröhler, suivi du suffixe pré-celtique -es(um). Xavier Delamarre propose le gaulois caleto-, dur, que l'on trouve dans Caleti, Caletes, peuple de Gaule belgique qui a laissé son nom au pays de Caux. Calais remonterait en fait à Caletes (d'où la forme ancienne Kaleeis donnée par Dauzat) « la dure » (cf.vieil irlandais calad, gallois caled, breton kaled, dur) effectivement basée sur kal, thème indo-européen désignant la dureté et que l'on retrouve dans le latin callum, cal, durillon. Le sens toponymique de Caletes reste cependant obscur. Le nom de la commune en néerlandais est Kales, et Cales en flamand occidental. Calesium en latin médiéval, ou Kaleis en vieux français était un village de pêcheurs et de marins, attesté dès le VIII e siècle, et Kaleeis vers 1180. Le premier document officiel mentionnant l'existence de cette communauté est la charte de commune octroyée par Mathieu d'Alsace au XII e siècle, charte connue par la confirmation qu'en fait, en 1181, Gérard de Gueldre, comte de Boulogne. D'autres auteurs citent des titres mentionnant Calesium à partir du IX e siècle mais sans les détailler. Albert Dauzat et Charles Rostaing émettent des réserves sur l'explication du nom par un pré-celtique kal, pierre, rocher, donnée par Gröhler, suivi du suffixe pré-celtique -es(um). Xavier Delamarre propose le gaulois caleto-, dur, que l'on trouve dans Caleti, Caletes, peuple de Gaule belgique qui a laissé son nom au pays de Caux. Calais remonterait en fait à Caletes (d'où la forme ancienne Kaleeis donnée par Dauzat) « la dure » (cf.vieil irlandais calad, gallois caled, breton kaled, dur) effectivement basée sur kal, thème indo-européen désignant la dureté et que l'on retrouve dans le latin callum, cal, durillon. Le sens toponymique de Caletes reste cependant obscur. Le nom de la commune en néerlandais est Kales, et Cales en flamand occidental.

4 Région Nord-Pas-de- Calais Le Nord-Pas-de- Calais est une région située dans le nord de la France. Elle est bordée au sud par la région Picardie, à l'est par la Belgique et à l'ouest et au nord par la Manche et la mer du Nord. Elle est composée de deux départements, le Nord et le Pas-de- Calais.

5 Nature

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7 Le nom Le nom latin de Galli a été associé à la Renaissance à son homophone gallus « coq », devenu ainsi l'animal emblématique de la France. Quant aux Grecs, ils nommaient dès le VIIe siècle av. J.-C. (période de la colonisation européenne de Grecs de l'époque archaïque) les Gaulois Κελτοι (orthographe d'Hécatée de Milet ou d'Hérodote, transcrite en Celtæ comme l'écrit Jules César pour faire référence aux habitants de la Gaule centrale) ou encore Κέλται (orthographe d'Aristote ou de Plutarque) puis au IIIe siècle av. J.-C. (période de l'invasion par le chef celte Leonnorius (en) de la Thrace) l'ethnonyme Γαλάται, pluriel de Γαλάτης, Galátai / Galátēs, que l'on peut rendre en français par Galates, désignant aussi bien chez les Grecs et Romains les Celtes d’Orient puis l'ensemble des Celtes. La simplification de Galátai en Galli, pluriel de Gallus, habitants de la Gallia « Gaule », a longtemps été donnée pour expliquer l'étymologie du nom Gaulois4

8 Les invasions barbares Au début du IVe siècle, avec l'aide des Francs déjà installés, la tranquillité est restaurée dans la région pour une cinquantaine d'années. Les villes qui sont des places fortes stratégiques et administratives, ne peuvent se développer vraiment tandis que les grands établissements ruraux se transforment en agglomérations dynamiques. Mais les invasions constituent encore un frein au développement. Les Huns d'Attila, par exemple, assiègent Bavay en 358. Au début du Ve siècle, de très nombreux envahisseurs balaient l'armée romaine et le christianisme ; ils sont Anglo-saxons, Vandales, Hasdingues, Suèves, Alains ou encore Francs (les peuples peuvent être divisés en clans). L'un d'eux, Clovis en chef ambitieux, s'élance de Tournai pour conquérir la Gaule en sa quasi totalité, tandis que l'Empire romain d'Occident s'effondre en 476.

9 Moyen Âge. Une région bilingue Au IIIe siècle, les Francs et les Alamans envahissent et pillent le territoire. Les dévastations sont si importantes qu'il faut recoloniser la région ; l'armée romaine, dépassée par l'ampleur des frontières de l'empire qu'elle doit défendre, laisse les Francs s'installer et essaye de s'en faire des alliés

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11 L'expansion des francs

12 Le baptême de Clovis 25 dec, 496 Le baptême de Clovis marque le début du lien entre le clergé et la monarchie franque. Pour les monarchistes français, cette continuité se fait française et dure jusqu'au début du XIXe siècle. Dorénavant, le souverain doit régner au nom de Dieu. Ce baptême permet également à Clovis d'asseoir durablement son autorité sur les populations, essentiellement gallo-romaines et chrétiennes, qu'il domine : avec ce baptême, il peut compter sur l'appui du clergé, et vice-versa.

13 La légende du vase de Soissons C'est après cette bataille, qu'a lieu – selon Grégoire de Tours – l'épisode du vase de Soissons, où, contre la loi militaire du partage, le roi demande de soustraire du butin un vase liturgique précieux pour le rendre à l'église de Reims, à la demande de Remi, évêque de cette dernière cité. Une fois sur place, après avoir réuni le butin, il demande à ses guerriers d'ajouter le vase à sa part du butin. Mais un guerrier s'y oppose en frappant le vase de sa hache. Clovis ne laisse pas transparaître ses émotions et en garde ressentiment. Il réussit malgré tout à rendre l'urne à l'envoyé de Remi. C'est après cette bataille, qu'a lieu – selon Grégoire de Tours – l'épisode du vase de Soissons, où, contre la loi militaire du partage, le roi demande de soustraire du butin un vase liturgique précieux pour le rendre à l'église de Reims, à la demande de Remi, évêque de cette dernière cité. Une fois sur place, après avoir réuni le butin, il demande à ses guerriers d'ajouter le vase à sa part du butin. Mais un guerrier s'y oppose en frappant le vase de sa hache. Clovis ne laisse pas transparaître ses émotions et en garde ressentiment. Il réussit malgré tout à rendre l'urne à l'envoyé de Remi.

14 L'épilogue de l'histoire se produit le 1 er mars 487. Clovis ordonne à son armée de se réunir au Champ-de- Mars pour, selon une pratique romaine, examiner si les armes sont propres et en bon état. Inspectant les soldats, il s'approche du guerrier qui avait frappé l'urne et sous prétexte que ses armes sont mal entretenues, il jette alors la hache du soldat à terre. Au moment où celui-ci se baisse pour la ramasser, Clovis abat sa hache sur la tête du malheureux. Le soldat tombe sans vie, et sur ordre de Clovis, l'armée doit se retirer en silence, laissant le corps exposé au public. Le testament de saint Remi fait mention d'un vase d'argent que lui aurait donné Clovis. Mais ce serait Remi qui l'aurait fondu pour fabriquer un encensoir et un calice L'épilogue de l'histoire se produit le 1 er mars 487. Clovis ordonne à son armée de se réunir au Champ-de- Mars pour, selon une pratique romaine, examiner si les armes sont propres et en bon état. Inspectant les soldats, il s'approche du guerrier qui avait frappé l'urne et sous prétexte que ses armes sont mal entretenues, il jette alors la hache du soldat à terre. Au moment où celui-ci se baisse pour la ramasser, Clovis abat sa hache sur la tête du malheureux. Le soldat tombe sans vie, et sur ordre de Clovis, l'armée doit se retirer en silence, laissant le corps exposé au public. Le testament de saint Remi fait mention d'un vase d'argent que lui aurait donné Clovis. Mais ce serait Remi qui l'aurait fondu pour fabriquer un encensoir et un calice La légende du vase de Soissons

15 La société de l'époque du Moyen âge

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17 Charlemagne Charles I er, dit le Grand, (en allemand Karl der Große, en latin Carolus Magnus d'où Charlemagne) né en 742, 747 ou 748, mort le 28 janvier 814 à Aix-la-Chapelle, est le membre le plus éminent de la dynastie franque à laquelle il a donné son nom alors qu'il n'en est pas le fondateur : les Carolingiens. Fils de Pépin le Bref, il est roi des Francs à partir de 768, devient par conquête roi des Lombards en 774 et est couronné empereur à Rome par le pape Léon III le 25 décembre 800, relevant une dignité disparue depuis l'an 476 en Occident. Monarque guerrier, il agrandit notablement son royaume par une série de campagnes militaires, en particulier contre les Saxons païens dont la soumission a été très difficile et très violente (772-804), mais aussi contre les Lombards en Italie et les Musulmans d'Espagne. Souverain réformateur, soucieux d'orthodoxie religieuse et de culture, il protège les arts et les lettres et est à l'origine de la « renaissance carolingienne ». Son œuvre politique immédiate, l'empire, ne lui survit cependant pas longtemps. Se conformant à la coutume successorale germanique, Charlemagne prévoit dès 806 le partage de l'Empire entre ses trois fils. Après de nombreuses péripéties, l'empire ne sera finalement partagé qu'en 843 entre trois de ses petits-fils (traité de Verdun).

18 Buste de Charlemagne dans la chambre des trésors de la cathédrale d'Aix-la- Chapelle

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20 Du VIIe au XIIe siècle Le transport des marchandises emprunte dans la région le plus souvent les cours d’eau. Les plus petites dénivellations sont des obstacles qui nécessite l'emploi des la force humaine ou animale avec des ecluses Ces lieux deviennent par la suite des agglomérations, qu’il faut défendre par des remparts. C’est le cas de Lille, ancienne limite sud du vieux comté de Flandre, dont le nom officiel apparaît en 1066 mais aussi de Valenciennes, Saint-Omer ou encore d'Arras. L’augmentation de la population implique d’immenses travaux d’aménagement destinés à augmenter la terre cultivable comme le marais de Saint- Omer qui était auparavant 4 000 ha de « mer boueuse », la forêt d’Arrouaise (dans le sud Artois) qui a été totalement déboisée mais aussi certaines zones côtières et vallées marécageuses. Le transport des marchandises emprunte dans la région le plus souvent les cours d’eau. Les plus petites dénivellations sont des obstacles qui nécessite l'emploi des la force humaine ou animale avec des ecluses Ces lieux deviennent par la suite des agglomérations, qu’il faut défendre par des remparts. C’est le cas de Lille, ancienne limite sud du vieux comté de Flandre, dont le nom officiel apparaît en 1066 mais aussi de Valenciennes, Saint-Omer ou encore d'Arras. L’augmentation de la population implique d’immenses travaux d’aménagement destinés à augmenter la terre cultivable comme le marais de Saint- Omer qui était auparavant 4 000 ha de « mer boueuse », la forêt d’Arrouaise (dans le sud Artois) qui a été totalement déboisée mais aussi certaines zones côtières et vallées marécageuses.

21 Le commerce

22 Calais était une très importante ville commerciale Calais était une très importante ville commerciale. La signification spéciale était ici par le commerce du plomb, l'étain, la laine et les tissus. Ce port ont commencé à appeler comme "la perle de la couronne anglaise». Uns seulement les droits de douane donnaient parfois un tiers de tous revenus du royaume. De 12 mille habitants 5400 étaient pris par le commerce de la laine. La fonction du gouverneur de ville était un des plus lucratif dans tout le royaume Britannique, et Richard Vittington non par hasard connu figurait simultanément en 1407 «comme le maire de Londres et Calais».

23 La Tour du Guet Calais La Tour du Guet, datant du XIII e siècle, est l'un des plus vieux monument de Calais. Elle a une hauteur de 38 mètres. Fut classée monument historique par arrêté du 6 novembre 1931. La place d'Armes est l'une des plus grandes places de la ville de Calais, elle jouxte La tour du Guet. Elle est connue pour son marché qui se déroule chaque semaine, et ses deux foires annuelle (Eté & Hiver). La Tour du Guet, datant du XIII e siècle, est l'un des plus vieux monument de Calais. Elle a une hauteur de 38 mètres. Fut classée monument historique par arrêté du 6 novembre 1931. La place d'Armes est l'une des plus grandes places de la ville de Calais, elle jouxte La tour du Guet. Elle est connue pour son marché qui se déroule chaque semaine, et ses deux foires annuelle (Eté & Hiver).

24 La guerre de Cent Ans 1337-1453

25 La guerre de Cent Ans

26 Les Bourgeois de Calais En septembre 1346, Edouard met le siège devant la ville de Calais dont la garnison commandée par le chevalier Jean de Vienne résiste héroïquement à l'armée du roi d’Angleterre. Après onze mois de siège, la cité affamée négocie sa reddition. Edouard III, fatigué et énervé par la longue résistance calaisienne, accepte que six bourgeois lui soient livrés afin d'être exécutés. C'est à ce prix qu'il laissera la vie aux habitants toutefois contraints de déserter leur ville une fois les Anglais arrivés. Son épouse Philippa de Hainaut parvient cependant à le persuader d'épargner la vie de ces six malheureux, désespérés, venus devant le souverain en chemise, la corde au cou, les clefs de la ville et du château en mains. Par ce geste d’amour chrétien, Edouard épargne la vie d’Eustache de Saint Pierre et de ses cinq compagnons d'infortune devant une reine en pleurs. Calais devient anglaise le 3 août 1347 et le demeure jusqu’au 6 janvier 1558 lorsque Henri II de France reprend la ville à Marie Tudor.

27 Les Bourgeois de Calais

28 L’époque bourguignonne En 1369, le roi de France Charles V marie son frère Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, à la fille de Louis de Mâle (comte de Flandre). Par le jeu des successions, Philippe le Hardi hérite en 1384 de la Flandre et de l’Artois. L’alliance anglo-flamande est alors rompue. Les territoires du Nord deviennent l’une des plus importantes régions de la Maison de Bourgogne. La région connaît, le temps de quatre règnes, l’âge de la puissance bourguignonne, à défaut d'un véritable âge d’or. En effet, les menaces militaires et désastres naturels sont toujours menaçants tandis que la mutation économique se poursuit en ruinant les uns et en enrichissant les autres. Pourtant, une crise économique et démographique frappe l’ensemble de l’Europe du Nord-Ouest pendant des décennies pour atteindre son paroxysme dans les années 1420-1440.

29 L'époque bourguignonne se finit en 1477 avec la mort de Charles le Téméraire L'époque bourguignonne se finit en 1477 avec la mort de Charles le Téméraire, le roi de France Louis XI s'empresse de conquérir la région qui est un poumon économique. Mais l'héritière de la Bourgogne, Marie, épouse un Habsbourg qui est le futur empereur Maximilien Ier d'Autriche. Le roi de France doit alors céder et la région se trouve exclue du royaume français pour deux siècles, à part le Boulonnais qui reste attaché à la couronne royale et aussi quatre places fortes de l'Artois. La région, ainsi devenue un territoire convoité des grands européen, sera un champ de bataille forcé et dévasté entre les armées européennes jusqu'en 1713.

30 L'empire des Habsbourg

31 Calais est reprise aux Anglais par les Français. En 1555, Charles Quint abdique en faveur de son fils Philippe II, qui devient souverain des Pays-Bas, de l'Espagne et de la Franche-Comté pour quarante ans et en 1558, Calais est reprise aux Anglais par les Français. Philippe II

32 Francois-duc-de Guise, 6 janvier 1558 Après la prise de Calais par les troupes Francois-duc-de-Guise accordait aux citadins le droit deux fois par an de passer sur Place d'Armes les foires. Cette tradition se garde jusqu'ici

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34 Blasonnement De gueules à l’écusson de azur chargé d’une fleur de lis d’or soutenue d’un croissant d’argent, l’écusson sommé d’une couronne fermée de France d’or et accosté de deux croix de Lorraine d’argent, et accompagné en pointe d’un besant d’argent chargé de la croix de Jérusalem d’or. Les armoiries de Calais furent accordées par le roi Henri II en 1558. La croix de Jérusalem et le croissant évoquent le passage, dans cette ville, des croisés français et anglais. La fleur de lys et la couronne marquent la satisfaction du roi de France de recouvrer Calais après plus de deux siècles d'occupation anglaise. Les croix de Lorraine font référence au libérateur de la ville, le duc de Lorraine, François de Guise. Elles furent confirmées par lettres patentes de Louis XVIII, le 19 avril 1817. De gueules à l’écusson de azur chargé d’une fleur de lis d’or soutenue d’un croissant d’argent, l’écusson sommé d’une couronne fermée de France d’or et accosté de deux croix de Lorraine d’argent, et accompagné en pointe d’un besant d’argent chargé de la croix de Jérusalem d’or. Les armoiries de Calais furent accordées par le roi Henri II en 1558. La croix de Jérusalem et le croissant évoquent le passage, dans cette ville, des croisés français et anglais. La fleur de lys et la couronne marquent la satisfaction du roi de France de recouvrer Calais après plus de deux siècles d'occupation anglaise. Les croix de Lorraine font référence au libérateur de la ville, le duc de Lorraine, François de Guise. Elles furent confirmées par lettres patentes de Louis XVIII, le 19 avril 1817.

35 Notre-Dame de Calais

36 L'Église Notre-Dame L'Église Notre-Dame (des XIII e, XIV e et XV e ), au style Tudor si particulier. Le 18 mars 1915, ses vitraux furent détruits lors du bombardement par le Zeppelin Z XII. Le général de Gaulle s'y maria le 6 avril 1921 avec Yvonne Vendroux. L’édifice, ayant subi d'autres importants dégâts durant la Seconde Guerre mondiale, n'est pour l'instant que partiellement reconstruit. La partie correspondant au chœur, le retable et la Chapelle de la Vierge, depuis près de 60 ans toujours en attente d'une rénovation, est interdite au public. (Voir ci-dessous le lien externe proposant une visite virtuelle de cette partie non restaurée !) Classement Monument historique par arrêté du 10 septembre 1913. L'Église Notre-Dame (des XIII e, XIV e et XV e ), au style Tudor si particulier. Le 18 mars 1915, ses vitraux furent détruits lors du bombardement par le Zeppelin Z XII. Le général de Gaulle s'y maria le 6 avril 1921 avec Yvonne Vendroux. L’édifice, ayant subi d'autres importants dégâts durant la Seconde Guerre mondiale, n'est pour l'instant que partiellement reconstruit. La partie correspondant au chœur, le retable et la Chapelle de la Vierge, depuis près de 60 ans toujours en attente d'une rénovation, est interdite au public. (Voir ci-dessous le lien externe proposant une visite virtuelle de cette partie non restaurée !) Classement Monument historique par arrêté du 10 septembre 1913.

37 L'église Notre dame de Calais est la seule église ancienne de la ville... L'édifice actuel est construit sur l'emplacement d'une première église du XIIIème siècle, il fut agrandi, embelli du XIVème au XVIIème siècle... On retrouve d'ailleurs, signe de l'occupation anglaise, quelques caractéristiques architecturales des cathédrales britanniques de style Tudor peu répandu en France. L'église eut néanmoins à subir les dommages de la guerre. Elle fut malencontreusement bombardée par erreur par les alliés une semaine avant la libération ! Le plus ennuyeux fut que l'église, dans le sauve-qui- peut général de l'époque, fut pillée dans l'indifférence générale, car le bombardement avait officiellement anéanti beaucoup des chefs d'oeuvre que possédait l'église... C'est ainsi que récemment deux monumentales statues de chêne sculpté, appartenant au buffet d'orgue, ont réintégré l'église Notre Dame après de longues et minutieuses investigations européennes. Le plus étonnant est qu'une partie de l'édifice, précisément la chapelle absidiale et son important retable baroque, sur lesquels le clocher s'est effondré en 1944, soit restée dans en état de délabrement pendant 60 ans... Le général de Gaulle s'y maria le 6 avril 1921 avec Yvonne Vendroux. L'église Notre dame de Calais est la seule église ancienne de la ville... L'édifice actuel est construit sur l'emplacement d'une première église du XIIIème siècle, il fut agrandi, embelli du XIVème au XVIIème siècle... On retrouve d'ailleurs, signe de l'occupation anglaise, quelques caractéristiques architecturales des cathédrales britanniques de style Tudor peu répandu en France. L'église eut néanmoins à subir les dommages de la guerre. Elle fut malencontreusement bombardée par erreur par les alliés une semaine avant la libération ! Le plus ennuyeux fut que l'église, dans le sauve-qui- peut général de l'époque, fut pillée dans l'indifférence générale, car le bombardement avait officiellement anéanti beaucoup des chefs d'oeuvre que possédait l'église... C'est ainsi que récemment deux monumentales statues de chêne sculpté, appartenant au buffet d'orgue, ont réintégré l'église Notre Dame après de longues et minutieuses investigations européennes. Le plus étonnant est qu'une partie de l'édifice, précisément la chapelle absidiale et son important retable baroque, sur lesquels le clocher s'est effondré en 1944, soit restée dans en état de délabrement pendant 60 ans... Le général de Gaulle s'y maria le 6 avril 1921 avec Yvonne Vendroux.

38 Bibliographie I. C. Zeuss, GRAMMATICA CELTICA e monumentis vetustis tam Hibernicae linguae quam Britannicarum dialectorum Cambriacae Cornicae Aremoricae comparatis Gallicae priscae reliquis construxit I. C. Zeuss, Phil. D r. Hist. Prof., editio altera curavit. H. Ebel,.Ph.D r., Acad. Reg. Hib. Soc. Hon., Acad. Reg. Boruss. Adi. Comm. Epist. Berolini, Apud Weidmannos MDCCCLXXI (1871). Franz Bopp, Grammaire comparée des langues indo-européennes traduction de Michel Jules Alfred Bréal de l'École pratique des hautes études et du Collège de France (de 1866 à 1905), membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, quatre tomes in-quarto, Paris, Imprimerie impériale et Imprimerie nationale, 1866- 1874. R. Gray et Q. Atkinson, « Language-tree divergence times support the Anatolian theory of Indo-European origin », dans la revue Nature du 27 novembre 2003. J. Markale, « La femme celte », Petite Bibliothèque Payot, Paris, 1989. Henriette Walter, « L'Aventure des mots français venus d'ailleurs », Livre de Poche, Paris, 1999. Henriette Walter, « L'aventure des langues en Occident », Livre de Poche, Paris, 1996. Vandermeersch, B Étude préliminaire du crâne humain du gisement paléolithique de Biache-Saint-Vaast (Pas-de-Calais). Bulletin de l'Association française pour l'étude du quaternaire, 1978, Vol.15(1), p.65-67. I. C. Zeuss, GRAMMATICA CELTICA e monumentis vetustis tam Hibernicae linguae quam Britannicarum dialectorum Cambriacae Cornicae Aremoricae comparatis Gallicae priscae reliquis construxit I. C. Zeuss, Phil. D r. Hist. Prof., editio altera curavit. H. Ebel,.Ph.D r., Acad. Reg. Hib. Soc. Hon., Acad. Reg. Boruss. Adi. Comm. Epist. Berolini, Apud Weidmannos MDCCCLXXI (1871). Franz Bopp, Grammaire comparée des langues indo-européennes traduction de Michel Jules Alfred Bréal de l'École pratique des hautes études et du Collège de France (de 1866 à 1905), membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, quatre tomes in-quarto, Paris, Imprimerie impériale et Imprimerie nationale, 1866- 1874. R. Gray et Q. Atkinson, « Language-tree divergence times support the Anatolian theory of Indo-European origin », dans la revue Nature du 27 novembre 2003. J. Markale, « La femme celte », Petite Bibliothèque Payot, Paris, 1989. Henriette Walter, « L'Aventure des mots français venus d'ailleurs », Livre de Poche, Paris, 1999. Henriette Walter, « L'aventure des langues en Occident », Livre de Poche, Paris, 1996. Vandermeersch, B Étude préliminaire du crâne humain du gisement paléolithique de Biache-Saint-Vaast (Pas-de-Calais). Bulletin de l'Association française pour l'étude du quaternaire, 1978, Vol.15(1), p.65-67.

39 Bibliographie Desmulliez J. et Milis L. J. R., 2008, Histoire des provinces françaises du Nord - De la préhistoire à l'An Mil, Tome 1, Arras, Artois presses université, coll. Histoire, 285 p. Jessenne J.-P. et Rosselle D., 2008, « L'Histoire rurale de la France du Nord de la fin du Moyen Âge au XXe siècle », in Revue du Nord, Villeneuve d'Ascq, Université Charles-de-Gaulle, Lille 3, T. 90, n° 375-376, p. 303-333. Leuwers H., Crépin A. et Rosselle D. J. R., 2008, Histoire des provinces françaises du Nord - Le Nord-Pas-de-Calais entre révolution et contre-révolution, Tome 4, Arras, Artois presses université, coll. Histoire, 262 p. Lottin A., Guignet Ph., 2008, Histoire des provinces françaises du Nord - De Charles Quint à la Révolution française, 1500-1789, Tome 3, Arras, Artois presses université, coll. Histoire, 440 p. Platelle H. et Clauzel D., 2008,Histoire des provinces françaises du Nord - Des principautés à l'empire de Charles-Quint (900-1519), Tome 2, Arras, Artois presses université, coll. Histoire, 283 p.


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