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Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV

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Présentation au sujet: "Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV"— Transcription de la présentation:

1 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Cliquer sur les liens Analyser les procès-verbaux de votre COMEDIMS, les comptes-rendus de ses réunions en plénière et en sous-commissions Construire un outil de pilotage1 « médico-économique » du médicament : véritable « observatoire » de l’évolution des pratiques sur plusieurs années2 Analyse « tridimensionnelle1 » : coûts unitaires dépenses volumes Estimer sa capacité à prendre des décisions à caractère médico-économique Identifier / anticiper les changements de pratique coûteux et non justifiés médicalement Evaluer la mise en œuvre et le suivi réel de ses décisions Evaluer la mise en œuvre effective et les modalités du suivi de ses décisions Identifier les principales opportunités « manquées » de « gains économiques »  pour votre établissement Améliorer votre organisation et vos outils supports  pour une meilleure prise en compte du « médico-économique » dans votre politique du médicament 1 Les données de consommation par UF de votre établissement sont extraites de votre SIH, puis importées dans une base de données relationnelle Microsoft Access sous environnement Windows; Pour construire une analyse tridimensionnelle, le résultat d’une requête sous Access est copié dans un fichier Excel dont les graphiques ont été pré paramétrés ; 2 Cinq ans optimalement. François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

2 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (1/10) Les dépenses de médicaments à l’hôpital, ont accéléré à partir de l’an 2000, et plus que doublé entre 2000 et 2009 ! Sources : : « Les Dépenses de médicament à l’hôpital », IGAS (selon des données de l'agence du médicament) : « Analyse des ventes de médicaments aux officines et aux hôpitaux en France » - 7ème édition, Afssaps, juin 2007 : « Les ventes de médicaments aux officines et aux hôpitaux en France - Chiffres clés 2010 » - 7ème édition, Afssaps, septembre 20112 2011 : « Première récession sur le marché français des médicaments » - Laurence BOLLACK - Les Echos - 29/03/20123 (1) (2) (3) François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

3 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (2/10) Les charges à caractère médical progressent 4 fois plus vite que les frais de personnel François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG Sources : Comptes financiers 2007 et 2008, EPRD 2009, ATIH :

4 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (3/10) EN 2008 Les charges à caractère médical représentent 10 à 20% du budget des CH et CHR François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG Sources : Comptes financiers 2008, ATIH :

5 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (4/10) Une forte disparité difficilement explicable. Part du titre 2 dans le budget principal des 29 CHU/CHR métropolitains 8,4 points d’écart entre le premier et le dernier des CHU / CHR… Données pour tous les CHU et CHR à l'exception de l'AP-HP (*) : Données 2009 François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

6 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (5/10) Extraits du rapport de la Cour des Comptes sur la sécurité sociale de septembre 2011 (08/09/11) « La maîtrise des dépenses de médicaments » (Chapitre 4) « A l’hôpital, une absence quasi totale de régulation » Médicaments onéreux, remboursés en sus du GHS : « Mais en 2009, si établissements avaient signé un CBU (contrat de bon usage des médicaments), seuls 17 ont été sanctionnés pour non-conformité de l’utilisation des produits de la liste en sus aux référentiels sur la base d’une autoévaluation envoyée aux ARS. D’un autre côté, les contrôles de l’assurance maladie portant directement sur le respect de ces référentiels n’ont pour leur part concerné que 6 régions sur 25 pour 38 établissements contrôlés. L’assurance maladie a procédé, en tout et pour tout, à la récupération d’indus d’un montant de € en 2009, soit 0,0017 % de ces dépenses » « Une gestion plus active de la « liste en sus » et un encadrement plus strict de leur prescription apparaissent ainsi absolument nécessaires » « Une dépense de ville générée par les prescriptions à l’hôpital mal maîtrisée » Recommandations : « Mettre en œuvre une gestion active de la « liste en sus », tant dans sa composition, la détermination des prix des produits qui y sont inscrits que dans le suivi de leur prescription » ; « Mettre en place dans les établissements de santé un mécanisme de régulation de la prescription qui implique directement les médecins » François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

7 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (6/10) Un resserrement des exigences est à prévoir pour les médicaments de la liste remboursée en sus des GHS ■ Le taux national d'évolution des dépenses de médicaments et de DMI en sus des GHS, au delà duquel les établissements encourent des sanctions financières, a baissé drastiquement1-4 ■ La possibilité d'une gestion "indication par indication" des spécialités onéreuses devient plus que probable à court terme. Cet aménagement du dispositif est souhaité depuis près de deux ans par le Conseil de l'Hospitalisation5, et pourrait avoir les faveurs du pouvoir suite à l'alternance politique. Les médicaments seraient alors réintégrés aux GHS dans leurs (nombreuses) indications où ils apportent un progrès thérapeutique nul ou mineur... ■ La régulation par la tutelle devrait s'amplifier : Ciblage plus large des établissements ; Contrôles plus fréquents ; Plans d'actions plus nombreux ; Récupération effective d'indus6 [1] Arrêté du 18 février 2009 fixant à 10% le taux prévisionnel d’évolution pour 2009 [2] Arrêté du 8 mars 2010, fixant ce taux prévisionnel à 8% pour 2010 [3] Arrêté du 14 mars 2011 fixant à 3% le taux prévisionnel d’évolution pour 2011 [4] Arrêté du 8 mars 2012 fixant à 2% le taux d’évolution pour les spécialités onéreuses et à 1,5% pour les DMI onéreux [5] Recommandation du Conseil de l’hospitalisation, 18 novembre 2010, publiée dans le rapport 2011 au parlement sur la T2A [6] Circulaire DSS/1C/DGOS/PF2 no du 1er décembre 2011 relative à la mise en œuvre du dispositif de régulation des dépenses des produits de santé des listes en sus/actions locales à conduire en 2011 et 2012 François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

8 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (7/10) Evaluation du « progrès thérapeutique » dans les indications principales des 10 premières molécules onéreuses de cancérologie en 2008 et 2009 François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG Source : Analyse des avis de la commission de la transparence, HAS

9 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (8/10) Progrès mineur, absent ou non évalué : 59,4% Progrès majeur ou important : 18,9% Evaluation du « progrès thérapeutique » dans les indications principales des 10 premières molécules onéreuses de cancérologie en 2008 et 2009 François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG Source : Analyse des avis de la commission de la transparence, HAS

10 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (9/10) L’hôpital est aussi responsable de 75% de l’augmentation des dépenses remboursées en ville Contribution à la croissance des dépenses remboursées en ville selon la catégorie de médicaments et selon l’origine de la prescription (Données Cnamts) François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG (*) : Médicaments de spécialités, majoritairement prescrits par des médecins hospitaliers, utilisés pour traiter des maladies lourdes (cancers, polyarthrite rhumatoïde, infection VIH... (**) : Prescription initiale hospitalière

11 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Contexte : La non maîtrise des dépenses pharmaceutiques menace l’hôpital (10/10) Les leviers « mobilisables » de l’efficience et leurs impacts financiers Leviers La prescription médicale L’organisation du circuit L’optimisation des approvisionnements La maîtrise de la chaîne Facturation/recouvrement L’optimisation de la fonction « Achats » Mécanismes Le glissement de la prescription vers des molécules et des dispositifs toujours plus coûteux, mais le plus souvent sans progrès clinique significatif, sous l’effet principalement de la promotion des industriels, est dévastateur pour les finances de l’hôpital (effet structure de la dépense) ; Tout dispositif organisationnel tendant à limiter la présence des produits de soins dans les unités cliniques aux seuls prescrits sur le moment, non seulement sécurise fortement la prise en charge des patients, mais réduit considérablement les pertes financières (périmés, pertes, casse, coulage) ; L’optimisation des commandes (Quand ? Combien ?) basée sur une prévision fiabilisée de la demande et un calcul « scientifique » et non plus intuitif des seuils et des quantités de commande, permet paradoxalement d’éviter à la fois le surstockage (risque de dépréciation) et de réduire les ruptures de stocks (risque d’alourdissement du « coût de production » par prolongement de la durée de séjour du patient) Les oublis et les erreurs de facturation, les impayés constituent une source inépuisable de gains d’efficience Un allotissement qui intégrerait les données de l’évaluation comparative des produits de soins en ouvrant davantage la concurrence devrait dégager des gains. Cette fonction a déjà été relativement optimisée avec des initiatives telles que UNI-HA Impacts +++++ +++ ++ + François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

12 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel - Construction 3 - La base de données, mise à jour chaque mois, permet toutes sortes d’analyses paramétrées 1 - Les données sont extraites de votre logiciel de gestion économique et financière 2- Elles sont ensuite importées dans une base de données relationnelles Microsoft Access ; Fichier d’extraction Analyse « tridimensionnelle » : dépenses coûts unitaires volumes Base de données relationnelles Construction d’une base de données « outil de pilotage médico-économique » à partir de l’extraction des données annuelles de consommation* des produits pharmaceutiques sur un historique de plusieurs années (*) : Sorties par UF et achats de la PUI (nombres d’unités annuelles, dépenses, coûts unitaires, nombres de mouvements) – Réactualisation mensuelle pour l’année en cours François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

13 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel - Architecture 1 9 2 Niveau établissement, sites, pôles, services, UF... Statistiques annuelles de dispensation 8 Médicaments remboursés en sus du GHS 3 Historiques des volumes de consommation et des coûts unitaires moyens Analyses sur les 5 niveaux de la classification ATC Menu de démarrage 7 4 5 6 Analyses des achats rattachés au magasin Pharmacie Analyses graphiques tridimensionnelles (coûts, volumes, dépenses) DMI remboursés en sus du GHS Analyses sur les 7 niveaux de la classification LPP L’outil propose près de deux cents requêtes paramétrables à l’aide de listes déroulantes et instantanément exécutables d’un simple clic via 10 écrans « menus » ; Le résultat de chaque requête est exportable sous Excel. François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

14 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – Le paramétrage des requêtes est aisé avec l’utilisation de listes déroulantes Les sélections s'opèrent via des listes déroulantes, permettant ainsi de choisir parmi les niveaux de l'organisation (établissement, sites, pôles, services, UF), les comptes budgétaires, les produits de santé, leurs familles, sous-familles, niveaux de classification (ATC pour les médicaments, LPP pour les DMI). Les possibilités d'analyses sont ainsi décuplées... François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

15 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – Les tableaux de bord La mise en forme des tableaux de bord est instantanée, grâce à l’utilisation d’une macro VBA* livrée avec la base de données, et actionnée sous Excel après un simple « coller-copier » du résultat de la requête Access. 1 2 (1) Copie dans une feuille Excel (2) Exécution de la macro VBA* Cliquer ici pour voir la démo : télécharger le fichier et cliquer sur « Activer les macros » L’outil base de données vous est livré avec des macros pour Excel qui mettent en forme instantanément les tableaux. La macro ajoute une ligne (totaux) et 3 colonnes supplémentaires de calculs (% dépense cumulée, écarts en €, en %) François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG (*) VBA : Microsoft Visual Basic for Applications

16 Analyse graphique tridimensionnelle
Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital ! Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel industrialise la production des analyses graphiques 3 Montage sur une diapo des 3 graphiques les plus parlants : coûts, volumes, dépenses Volumes totaux (UCD) 1 Copier – Coller le résultat de la requête Access dans la matrice Excel Coûts unitaires moyens 2 Volumes (UCD) Lancer la macro VBA* en cliquant sur le bouton de commande >>> Création automatique de la feuille de calcul et des 7 graphiques Dépenses totales (€) Analyse graphique tridimensionnelle % part de marché en unités Dépenses (€) % Part de marché en dépenses La recopie du résultat de la requête dans une matrice graphique Excel préparamétrée crée instantanément une feuille de calcul et 7 graphiques qui permettent le mieux de visualiser les enjeux médico-économiques des choix thérapeutiques… François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG (*) VBA : Microsoft Visual Basic for Applications

17 Analyse graphique tridimensionnelle
Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital ! Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel industrialise la production des analyses graphiques La mise en forme des 7 graphiques est instantanée, grâce à l’utilisation d’une macro VBA* livrée avec la base de données, et actionnée sous Excel après un simple « coller-copier » du résultat de la requête Access. Il suffit de cliquer sur un bouton de commande pour exécuter la macro Après 3 ou 4 secondes, les 7 graphiques ont été créés. Ils sont tous datés et contiennent les sous-titres que vous avez définis. Les échelles de graphiques ont été redimensionnées une à une en fonction des plages de données et les légendes en trop ont été supprimées. La même matrice Excel permet de réaliser les graphiques pour des paniers de 2 à 20 médicaments. Téléchargez les fichiers de démonstration en ligne : Démo 1 ; Démo 2 ; Démo 3. (Pour ouvrir les fichiers, il vous sera peut être nécessaire « d’activer les macros », et si Windows vous propose de créer un « Passeport .net », cliquez simplement sur « Annuler ») Montage sur une diapo des 3 graphiques les plus parlants : coûts, volumes, dépenses Volumes totaux (UCD) Coûts unitaires moyens Volumes (UCD) Dépenses totales (€) Analyse graphique tridimensionnelle % part de marché en unités Dépenses (€) % Part de marché en dépenses François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG (*) VBA : Microsoft Visual Basic for Applications

18 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – Le manuel utilisateur 1 L’outil décisionnel est livré avec un « manuel utilisateur » complet et extrêmement détaillé (150 pages environ). Toutes les procédures sont décrites pas à pas et illustrées de copies d’écran : Ouverture/fermeture de l’outil décisionnel, navigation dans les menus et modules d’analyses ; Interrogation de la base de données ; Construction des tableaux de bords et des analyses graphiques ; Réactualisation de la base de données. François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG (*) VBA : Microsoft Visual Basic for Applications

19 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – Menu de démarrage Le menu de démarrage permet d’accéder aux 9 modules d’analyses François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

20 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 1. Tableaux de bord synthétiques – Analyses aux niveaux établissement, sites, services, UF… Ce module regroupe les analyses pour tous les produits, pour un compte budgétaire ou pour un produit de santé spécifié, sur chacun des niveaux de l’organisation : établissement, sites, pôles, services, UF François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

21 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 2. Médicaments remboursés en sus du GHS Ce module réuni les analyses portant sur les médicaments remboursés en sus du GHS. Les requêtes prennent en compte uniquement les médicaments figurant sur la liste ATIH et n’ayant pas été radiés ; François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

22 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 3. Analyses sur les 5 niveaux de la classification ATC des médicaments (OMS) Les 5 niveaux de la classification internationale des médicaments, définie par l’OMS selon des critères anatomiques, thérapeutiques et chimiques, permettent de structurer médicalement les analyses effectuées à partir de ce module François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

23 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 4. Analyses tridimensionnelles : coûts, volumes, dépenses Le résultat des requêtes de ce module, copié et collé dans une matrice graphique Excel préparamétrée, permet d’observer simultanément l’évolution des coûts, des volumes, et des dépenses pour un « panier » de médicaments François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

24 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 5. DMI remboursés en sus du GHS Ce module regroupe les analyses portant sur les DMI remboursés en sus du GHS. Les requêtes prennent en compte uniquement les DMI figurant sur la liste ATIH et n’ayant pas été radiés ; François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

25 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 6. Analyse des dépenses de DMI sur les 7 niveaux de la classification des LPP Ce module propose d’affiner les analyses en regroupant les dispositifs médicaux implantables selon les 7 niveaux de la classification des LPP (base de données de la Cnamts) ; François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

26 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 7. Analyse des achats de la PUI Ce menu permet d’analyser l’évolution en valeur des achats de la pharmacie à usage intérieur François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

27 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 8. Historique des volumes et des coûts unitaires moyens Les requêtes proposées dans les modules précédents analysaient les dépenses. Ce module permet d’étudier l’évolution des coûts unitaires moyens annuels d’achat et les volumes d’achat ou de sorties vers les UF François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

28 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – 9. Statistique annuelle de dispensation par UF Ce dernier module permet d’analyser les flux de dispensation pour une UF spécifiée ou un pôle, pour un compte budgétaire. C’est un outil d’aide à la (re)définition des dotations de service. François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

29 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – Des possibilités d’investigation extrêmement étendues Interrogation de la base de données Analyse des dépenses au niveau établissement, pôle, service, pour tout produit, pour un compte budgétaire ou un produit de santé Tableau synthétique des dépenses de l'Etablissement hospitalier X par comptes budgétaires Exemple de construction d’un graphique sous Excel à partir du résultat de la requête Tableau de classement des produits de santé par dépenses dégressives Total des dépenses par pôles Total des dépenses par services Tableau de classement des produits de santé par dépenses dégressives, Etablissement hospitalier X, pour un compte budgétaire Dépense totale de l'Etablissement hospitalier X pour un produit de santé Classements tous produits de santé pour un pôle Classements des produits de santé pour un pôle et un compte budgétaire Dépenses d'un pôle pour un produit de santé Classements tous produits de santé pour un service Classements des produits de santé pour un service et un compte budgétaire Dépenses d'un service pour un produit de santé Analyse des dépenses de médicaments remboursés en sus du GHS Total des dépenses de médicaments remboursées en sus du GHS Détail par médicaments des dépenses remboursées en sus du GHS Détail par molécule (DCI) des dépenses remboursées en sus du GHS Classements des pôles sur leurs dépenses de médicaments remboursées en sus du GHS Classements des services sur leurs dépenses de médicaments remboursées en sus du GHS Détail par médicaments des dépenses remboursées en sus du GHS pour un pôle Détail par pôles des dépenses remboursées en sus du GHS pour une spécialité onéreuse Détail par pôles des dépenses remboursées en sus du GHS pour une molécule (DCI) Détail par médicaments des dépenses remboursées en sus du GHS pour une UF Détail par UF des dépenses remboursées en sus du GHS pour une spécialité onéreuse Détail par UF des dépenses remboursées en sus du GHS pour une molécule (DCI) A titre indicatif, l’extrait ci-dessus du sommaire du manuel utilisateur, livré avec l'outil décisionnel, donne un aperçu de l'étendue des possibilités d'analyse offertes par l'applicatif François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

30 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – Des possibilités d’investigation extrêmement étendues Analyses des dépenses en médicaments sur les 5 niveaux de la classification ATC Analyses portant sur le niveau 1 « Anatomique » de la classification ATC Analyses portant sur le niveau 2 « groupe thérapeutique principal » de la classification ATC Analyses portant sur le niveau 3 « sous-groupe thérapeutico-pharmacologique » de la classification ATC Analyses portant sur le niveau 4 « sous-groupe chimique – thérapeutique - pharmacologique » de la classification ATC Analyses portant sur le niveau 5 « dénomination commune internationale (DCI) » de la classification ATC Analyses graphiques tridimensionnelles des dépenses, des volumes et des coûts unitaires Analyse graphique tridimensionnelle portant sur un « panier » de dénominations communes internationales Analyse graphique tridimensionnelle portant sur une sélection à partir de la classification ATC Analyses des dépenses de dispositifs médicaux implantables (DMI) remboursés en sus du GHS Total des dépenses de DMI remboursées en sus du GHS au niveau établissement Détail par DMI des dépenses remboursées en sus du GHS au niveau établissement Classements des pôles sur leurs dépenses de DMI remboursées en sus du GHS Classements des UF sur leurs dépenses de DMI remboursées en sus du GHS Détail par DMI des dépenses remboursées en sus du GHS pour un pôle Détail par pôle des dépenses remboursées en sus du GHS pour un DMI onéreux (Code LPP Cnamts) Détail par pôle des dépenses remboursées en sus du GHS pour un DMI onéreux (Code GEF interne) Détail par DMI des dépenses remboursées en sus du GHS pour une UF Détail par UF des dépenses remboursées en sus du GHS pour un DMI onéreux (Code LPP Cnamts) Détail par UF des dépenses remboursées en sus du GHS pour un DMI onéreux (Code GEF interne) Analyses des dépenses de dispositifs médicaux implantables (DMI) selon les 7 niveaux de la classification des LPP (base de données Cnamts) Analyses des dépenses de DMI du « titre 3 » de la classification des LPP (niveau 1) Analyses des dépenses de DMI sur le niveau 6 de la classification des LPP Analyses illustrées par 10 études de cas en seconde partie de diaporama A titre indicatif, l’extrait ci-dessus du sommaire du manuel utilisateur, livré avec l'outil décisionnel, donne un aperçu de l'étendue des possibilités d'analyse offertes par l'applicatif François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

31 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV III. Démarche / livrables L’outil décisionnel – Des possibilités d’investigation extrêmement étendues Analyses des achats rattachés au magasin Pharmacie Classement par produits des achats rattachés au magasin Pharmacie, pour tous comptes budgétaires, dans l'ordre dégressif des montants Montants totaux par comptes budgétaires des achats rattachés au magasin Pharmacie Spécialités pharmaceutiques avec AMM Spécialités pharmaceutiques remboursées en sus du GHS Produits sanguins Fluides et gaz médicaux Produits de base Autres produits pharmaceutiques Ligatures et sondes Petit matériel médical non stérile Petit matériel médical à usage unique stérile Pansements Autres fournitures médicales Produits diététiques Pharmacie Alèzes Pharmacie Historiques des volumes de consommation annuelle par services, des volumes annuels d'achat et des coûts unitaires annuels moyens d'achat Consommation annuelle pour un produit de santé Volumes annuels de consommation par service pour un produit de santé Coûts unitaires moyens annuels par fournisseur pour un produit de santé Nombres annuels de commandes pour un produit de santé Quantités annuelles commandées pour un produit de santé Montants annuels d'achat pour un produit de santé Statistiques annuelles des dispensations pour un service A titre indicatif, l’extrait ci-dessus du sommaire du manuel utilisateur, livré avec l'outil décisionnel, donne un aperçu de l'étendue des possibilités d'analyse offertes par l'applicatif François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

32 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Cliquer sur les liens Application pratique Illustration par 10 études de cas empruntées à 5 missions précédentes : Un CHU, un CH, un CHS, une polyclinique MCO-PSY-SSR et un hôpital départemental de SSR… Analyse « tridimensionnelle » : coûts unitaires dépenses volumes François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

33 Application pratique Médicaments et indications AMM (cliquer)
Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital ! Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV Cliquer sur les liens Application pratique Médicaments et indications AMM (cliquer) « Urgence hypertensive » Antibiotiques injectables coûteux « Cancer bronchique non à petites cellules » « Menaces d’accouchement prématuré » Antibiotiques / « exacerbation BPCO » Antipsychotiques / « schizophrénie » Différentes formes d’un antipsychotique / « schizophrénie » Antidépresseurs / « épisode dépressif majeur » Médicaments « déboucheurs » (antiGP IIb/IIIa) Médicaments contre la « Démence » Analyse « tridimensionnelle » : coûts unitaires dépenses volumes François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

34 Etude de cas N°1 : Médicaments injectables dans l’urgence hypertensive - Services de réanimation (Extrait d’une mission précédente pour un CHU) Sommaire L’antihypertenseur injectable ‘B’ est un médicament très ancien, génériqué depuis 2007. Plus récent, l’antihypertenseur ‘A’ coûte 6 fois plus cher ! N’étant plus promu par l’industriel qui le fabrique, les médecins réanimateurs ont doucement mais surement abandonné la prescription de ‘B’, privilégiant ‘A’, passé de 24 à 61% du total des unités consommées en l’espace de 4 ans seulement … Une dérive des prescriptions responsable d’une inflation importante de ce poste de dépenses initialement modeste (70 k€ en 2004), et d’un surcoût de € que l’activité devra financer (médicaments inclus dans la T2A) ; Pour autant, les recommandations disponibles sur le traitement des poussées hypertensives de l’adulte, ne privilégient aucune des deux molécules (Afssaps – 05/2002 : François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

35 Antibiotiques injectables coûteux - Services de réanimation
Etude de cas N°2 : Antibiotiques injectables coûteux - Services de réanimation (Extrait d’une mission précédente pour un CHU) Le coût d’un flacon ou d’une ampoule injectable d’antibiotique varie de 1,50 € pour ‘E’, toujours la référence contre les souches de staphylocoques dorés résistantes à la méthycilline (SARM)…. Sommaire … à 63 € l’ampoule pour ‘D’, un antibiotique de deuxième recours, qui se refait une jeunesse actuellement… L’antibiotique ‘A’, représente 49% de la dépense sur ce poste de 6 antibiotiques injectables coûteux utilisés dans les unités de réanimation (médicale, chirurgicale, infectieuse) et présente un coût unitaire de 13,30 € (9 fois plus onéreux que ‘E’)… Avec la générication en 2008 de l’antibiotique ‘F’, une céphalosporine de 3ème génération au coût unitaire de 5,40 €, ce qui la rend désormais 60% moins cher que ‘A’ et ‘B’, une réelle opportunité se présentait de dépenser moins. Au total, rien ne semble justifier l’évolution constatée des pratiques. Qu’il s’agisse du recours moins fréquent aux antibiotiques ‘B’, ‘E’ et ‘F’, ou à contrario de l’utilisation croissante de ‘A’, ‘C’ et ‘D’. Ces transferts de prescription ont pour conséquence un surcoût proche de € qui n’est pas financé par une augmentation de l’activité (Ces antibiotiques sont tous inclus dans la T2A) François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

36 Médicaments anticancéreux dans le CBNPC* - Service Pneumologie
Etude de cas N°3 : Médicaments anticancéreux dans le CBNPC* - Service Pneumologie (Extrait d’une mission précédente pour un CHU) ‘I’ est un anticancéreux génériqué dont le coût a été divisé par 15 entre 2004 et N’étant plus promu par l’industrie du médicament, les médecins oncologues s’en sont rapidement détournés ; Sommaire ‘A’, ‘B’ et ‘C’, les 3 médicaments les plus onéreux, représentaient à eux seuls 96% des dépenses 2008 du service de pneumologie en chimiothérapie dans le cancer du poumon non à petites cellules (600 k€) … Et 40% des chimiothérapies prescrites ! Pour autant, ‘C’ présente une ASMR IV (modeste) sur ‘D’ en 1ère ligne dans le CBNPC ; ‘B’ qui a l’indication en 1ère ligne ne fait pas mieux que ‘I’ dans la seule étude comparative disponible (source : Référentiel de bon usage INCa en oncologie thoracique) ; Enfin, une AMM européenne pour une indication en 1ère ligne a été accordée à ‘A’ en avril 2008 sur la base d’une seule étude de non infériorité avec ‘B’ : ASMR = V, absence d’amélioration sur ‘B’, d’après l’avis de la commission de la transparence 26/11/2008, et non recommandé au remboursement par le NICE au Royaume Uni. Mais naturellement, aucune étude comparant directement ‘A’ et ‘I’ n’est disponible … Bref, rien ne permet d’affirmer que ‘A’, ‘B’ et ‘C’ soient supérieurs à ‘I’ dans le cancer bronchique non à petites cellules, alors qu’ils coûtent de 2 à 11 fois plus ! François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG * : CBNPC = Cancer bronchique non à petites cellules

37 Médicaments indiqués dans la « menace d’accouchement prématuré »
Etude de cas N°4 : Médicaments indiqués dans la « menace d’accouchement prématuré » (Extrait d’une mission précédente pour un CH) ‘A’ est un antagoniste de l’ocytocine qui a obtenu une indication dans la menace d’accouchement prématuré ; Son coût unitaire moyen est plus de 40 fois plus important que celui de ‘B’, un progestatif utilisé dans cette même indication ; Sommaire La dépense totale a été multipliée par 9 depuis 2006, passant de 3 k€ à 27 k€ ; Les médecins gynécologues-obstétriciens ont opéré un « switch » dans leurs prescriptions ; Le progestatif qui représentait 2/3 des unités prescrites, est tombé à 15% seulement en 2008, pour revenir autour de 30% en Cependant, bien que l’AMM européenne ait été accordée à ‘A’ sur la base d’une étude comparative avec un médicament appartenant à une autre classe (celle des agonistes sélectifs béta 2 adrénergiques), il n’existerait pas d’étude comparative directe entre ‘A’ et ‘B’ pour lesquels aucun avis de la commission de la transparence n’est actuellement disponible ; Autant dire que la supériorité de ‘A’ sur ‘B’ reste à établir ! François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

38 Etude de cas N°5 : Antibiothérapie dans l’exacerbation de BPCO* - Service Cardiologie - Pneumologie (Extrait d’une mission précédente pour un CH) ‘I’ est une fluoroquinolone « antipneumococcique » fortement promue par l’industriel qui la commercialise ; Le comprimé dosé à 500mg coûte 2,31 € et l’injectable 21,54 € ; La part de l’injectable est passée de 3% à 49% des doses entre 2006 et 2009, d’où un coût unitaire moyen (11,64 €) pour cette spécialité 33 fois supérieur à celui de l’antibiotique ‘B’ recommandé en 1ère intention par l’Afssaps dans l’exacerbation de BPCO avec au moins 1 facteur de risque Sommaire Les dépenses antibiotiques ont littéralement « explosé », passant de moins de 5 k€ à près de 18 k€ ; ‘I’ en est manifestement le principal responsable. En effet, bien que le nombre total d’unités consommées annuellement n’ait été multiplié que par 3, la dépense générée est 13 fois plus importante en 2009 que 3 ans plus tôt ! La part de ‘I’ dans les prescription a presque doublé. Attention cette « part de marché » est ici très nettement sous-estimée car cette fluoroquinolone est utilisée à raison d’une injection par jour contre 3 à 6 unités pour les antibiotiques ‘A’ et ‘B’ dont on remarquera au passage l’évolution en sens inverse (Report des prescriptions de ‘A’ sur ‘B’) ; Pour autant sur la période, les recommandations n’ont pas été modifiées, il n’y a pas eu d’émergence de germes plus résistants aux antibiotiques utilisés auparavant, et le recours 10 fois plus fréquent à l’injectable pour cette fluoroquinolone semble difficilement justifiable… François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG * : BPCO = Broncho-pneumopathie chronique obstructive

39 Antipsychotiques disposant d’une AMM dans la « Schizophrénie »
Etude de cas N°6 : Antipsychotiques disposant d’une AMM dans la « Schizophrénie » (Extrait d’une mission précédente pour un CHS) Mis à part ‘I’ et ‘M’, coûteux mais peu présents dans les stratégies thérapeutiques du CHS, 4 antipsychotiques récents se détachent par leur coût de traitement élevé : ‘A’, ‘C’, ‘D’, ‘B’. Celui-ci s’échelonne à l’hôpital entre 2,89 € et 3,67 € par UCD, contre 0,55 € pour ‘F’, l’antipsychotique le plus prescrit (une phénothiazine également utilisée comme sédatif), et contre 0,08 à 0,32 € pour les 7 dernières molécules ; Donc un multiple de coûts compris entre 7 et 46 ! En ville, les écarts de coûts sont encore plus saisissants, car les laboratoires ont bien entendu tout intérêt à ce que les médicaments qu’ils promeuvent soient instaurés au décours d’une hospitalisation : ‘D’ le tout dernier antipsychotique introduit sur le marché (2004), est proposé à 113,17 € pour 4 semaines de traitement, que ce soit à 5, 10 ou 15 mg, en comprimés standards ou orodispersibles ! Sommaire ‘A’, ‘B’, ‘C’, et ‘D’, les 4 médicaments les plus onéreux, représentaient à eux seuls 74% des dépenses 2008 en antipsychotiques (584 k€ sur 788 k€) … Et 1/3 des unités prescrites ! Est-ce à dire que ces molécules plus récentes donnent de meilleurs résultats dans la schizophrénie ? Non à en croire les ASMR de niveaux III (modeste), IV (mineure) ou V (absence d’amélioration) qui leurs ont été accordées par les experts de la commission de la transparence… François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

40 Etude de cas N°7 : Différentes présentations d’un antipsychotique indiqué dans la « schizophrénie » (Extrait d’une mission précédente pour un CHS) L’antipsychotique ‘C’, appartenant au sous-groupe des « benzamides », se présente en comprimés dosés à 100 et 400 mg, pour lesquels il existe des génériques depuis 2004, mais aussi en solutions buvable et injectable, toutes deux non génériquées ; La forme buvable est actuellement 3,2 fois plus coûteuse que le comprimé à 400 mg et près de 2 fois plus onéreuse que le comprimé à 100 mg ; Le prix des comprimés a été divisé par deux sur la période. Sommaire Bien que la part du buvable dans le total des UCD n’ait augmenté que de 2,3% à 10%, … exprimée en dose de principe actif, cette part fait plus que doubler, passant de 30% à 66%. Combiné à la différence de coût…. …l’impact sur la dépense a été de euros, soit une augmentation de + 60% malgré la présence de génériques ! Pour autant, l’avantage d’administrer ‘C’ sous forme de gouttes buvables plutôt que de comprimés, et qui mériterait d’être documenté compte tenu de cet impact financier, n’a rien d’évident. En effet, il n’existe pas d’ASMR spécifique pour cette présentation ; A noter que lors de son avis du 20 mars 2002, la commission de la transparence signalait que plus de la moitié des prescriptions de cet antipsychotique se faisaient hors indication AMM… ; Observons enfin que l’utilisation en ville des gouttes est très marginale pour cette spécialité (1,2% des doses en ville contre 66% au CHS) François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

41 Etude de cas N°8 : Antidépresseurs (dont ISRS*) disposant d’une AMM dans « l’épisode dépressif majeur » (Extrait d’une mission précédente pour un CHS) Sommaire ‘M’ chef de file et ancien leader des ISRS* fut le premier à perdre son brevet (2001). Son coût unitaire moyen au CHS n’est plus que de 0,03 € ; En revanche, ‘B’, dernier représentant de cette classe arrivé sur le marché, vaut 12 fois plus cher (0,38 €), et ‘A’ et ‘C’, 2 autres antidépresseurs lancés récemment, sont respectivement 20 et 28 fois plus onéreux ! Alors que la plupart des antidépresseurs sont aujourd’hui génériqués (en particulier les ISRS), la dépense totale du CHS a été propulsée de 25 à 37 k€ entre 2004 et 2009 ; Les deux derniers graphiques en bas à droite, présentent respectivement l’évolution des parts de marché unitaires au CHS et en dénombrements de patients en France (remboursement en ville par le régime général) ; A l’évidence les « innovations » pénètrent plus vite à l’hôpital. ‘M’, antidépresseur ISRS le plus prescrit avant 2001, est passé de 22 à 13% de parts de marché (PM) en ville entre 2001 et 2008, et ne représente plus que 3% de PM au CHS. Inversement, ‘A’, ‘B’ et ‘C’, les plus récents, ne possèdent respectivement que 1,4%, 8,7% et 13,3% de PM en ville, contre 4,6%, 13,6% et 23,5% au CHS… Pour autant, les avis de la commission de la transparence n’objectivent aucune supériorité des nouvelles molécules sur les anciennes François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG * : ISRS = Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine

42 Etude de cas N°9 : Médicaments « déboucheurs* » antiGP IIb/IIIa et inhibiteur direct de la thrombine (Extrait d’une mission précédente pour une polyclinique) Compte-tenu de protocoles différents entre les molécules, avec des doses initiales (bolus) et d’entretien (perfusion), ainsi que des durées variables, la comparaison des coûts de traitement a été faite sur la base des posologies maximales pour un patient de 80 kg (Cf. tableau ci-dessous) ; ‘A’ et ‘C’ sont les plus onéreux ; ’B’ et ‘D’ seraient de 2 à 3 fois moins chers ; Sommaire Bien que le volume de prescription (nbre d’UCD) ait baissé depuis 2004… ..les dépenses suivent néanmoins une tendance haussière ! Le choix de privilégier la stratégie thérapeutique la plus onéreuse ‘A’ au détriment de ‘B’ et ‘D’ s’est en effet affirmé au fil des années… Il n’est pas certain, et cela mérite réflexion, que cette évolution inflationniste des pratiques se fonde sur des bénéfices thérapeutiques tangibles et scientifiquement démontrés… Les avis de la commission de la transparence datent de 1999, et chez les patients souffrant notamment d'un angor instable et chez lesquels une intervention coronarienne percutanée est programmée, ‘B’ et ‘D’ n'apportent pas d'amélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport à ‘A’ ! Les avis rendus par la même commission en 2005 et 2009 pour ‘C’ sont identiques (ASMR V) François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG * : indiqués dans l’infarctus du myocarde en préventif (angor instable) ou curatif (pendant la phase précoce), ou avant intervention

43 Etude de cas N°10 : Médicaments contre la démence* « N06D » (Niveau 3 – classification ATC) (Extrait d’une mission précédente pour un hôpital départemental de SSR) Pour comprendre les raisons de la baisse brutale du coût unitaire du médicament ‘E’, il aura été nécessaire de détailler l’analyse par présentations ; Il apparaît alors clairement qu’en 2009, la solution buvable d’extrait de Ginkgo Biloba (2,83 €) a été remplacée par le comprimé (0,07 €) ; Mais une UCD (= 1 flacon) de solution buvable équivaut à 30 comprimés dosés à 40 mg (flacon de 30 ml d’une solution à 40 mg/ml) ; La solution, rapportée en doses de principe actif, était donc de 38% plus onéreuse que le comprimé ! Sommaire Globalement, les dépenses sont restées relativement stables… … car ‘B’, plus onéreux que ‘A’, ‘C’ et ‘D, a décliné dans les prescriptions (sa part de marché unitaire étant passée de 36% en 2004, à 14% en 2009) ; La HAS a édité en 2009 une fiche de bon usage des médicaments et une synthèse des recommandations professionnelles pour le diagnostic et la prise en charge de la maladie d’Alzheimer ; ‘E’ (extrait de Ginkgo Biloba) n’est pas recommandé, alors qu’une étude importante portant sur plus de personnes âgées vient de montrer son absence d’effet sur le déclin cognitif par rapport au placebo (JAMA 12/2009) ; L’amélioration du service médical rendu est mineure (ASMR IV) pour les 4 autres molécules… François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG * : Dont la maladie de Alzheimer

44 Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital !
Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV « Au plaisir d’échanger avec vous sur la démarche » François PESTY Expert Conseil en pilotage « médico-économique » du médicament / PS : N’hésitez pas à me contacter, en particulier si vous répondez « non » aux 2 premières questions, et « oui » à la troisième : Votre COMEDIMS ou l’instance décisionnelle en matière de politique du médicament au sein de votre établissement, est-elle à votre goût suffisamment « proactive » sur la question du rapport coût / efficacité des stratégies thérapeutiques ? Votre logiciel de gestion économique et financière, vos outils décisionnels, vous permettent-il de réaliser ce type d’analyse ? Vos données de consommation par médicament et par UF sur 5 ans (Coûts unitaires, nombres d’unités, dépenses, des 4 dernières années + exercice en cours) sont-elles extractibles de votre (vos) système(s) d’information ? NB : Les produits de santé représentent bien souvent le second poste de dépenses à l’hôpital derrière les frais de personnel, mais devant les frais de personnels médicaux François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG

45 Sélection d’expériences
Piloter efficacement, et non plus subir, l’évolution des dépenses de médicaments à l’hôpital ! Sommaire : Contexte Démarche Etudes de cas Coordonnées Mini-CV CV du Consultant Consultant Profil Sélection d’expériences > 25 ans d'expérience dans le domaine du médicament Paris XI – Docteur en pharmacie (1982) ISG – Institut Supérieur de Gestion (1984) EUA – European University of America, San Francisco (1983) Ancien interne des hôpitaux de Paris (Concours 1981) Parcours 4 ans d’internat à l’AP-HP, 15 ans dans l’industrie du médicament, consultant chez ITG depuis juillet 2005 ; Expertise Pilotage médico-économique ; Optimisation des approvisionnements et de la gestion des stocks pharmaceutiques à l’hôpital ; Organisation, informatisation, automatisation du circuit du médicament à l’hôpital et de la gestion de la pharmacie ; Accompagnement de caisses primaires d’assurance maladie sur des campagnes de visites médicalisées sur le médicament ; Formation, gestion de projet, conduite du changement ; Sélection d’expériences : Dans le domaine du « circuit du médicament à l’hôpital » et de la pharmacie - Missions d’audit et de conseil sur la gestion de la pharmacie et l’organisation du circuit du médicament : Depuis novembre 2011, consultant senior et expert conseil sur le chantier ANAP « Optimiser le circuit du médicament » à l’AP-HM avec Sopra Group (contrat performance) ; En 2009, 2010, et 2011 deux CH et un CHS pour Factea Santé ; En 2008, un CHU pour le CNEH. Cinq bases de données ont été construites à partir d’extraction des données de consommation en produits de santé à l’occasion de ces missions qui comportaient toutes un volet « médico-économique » ; - Pilotage « médico-économique » des produits de santé : Construction de bases de données, état des lieux, proposition de pistes d’économie ; Une clinique et un SSR en 2009 ; Un CHG en 2010. Pour la Haute Autorité de Santé (HAS) : En mai 2008, animation d’une journée de formation et de réflexion « Quelle cible d’exigences fonctionnelles pour une certification des LAP hospitaliers ? » avec l’équipe projet, Aide à la réflexion sur l’amélioration de la couverture fonctionnelle des logiciels : SHS France en 2006, le GMSIH en 2007, CEGI Santé en 2008, ORACLE en 2010 ; Site web dédié : François PESTY Pharmacien, Institut Supérieur de Gestion Consultant ITG François PESTY est l’auteur de « L’hôpital, malade de ses médicaments ». Gestions Hospitalières, mai 2010 ; 496:


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