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La couleur au cinéma...

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Présentation au sujet: "La couleur au cinéma..."— Transcription de la présentation:

1 La couleur au cinéma..

2 * Introduction : - >Nous avons décidé de présenter le cinéma sous l'un de ses aspects les plus attrayants: la couleur, seconde révolution du 7ème Art après le parlant. A la base inexistante, la colorisation cinématographique est un procédé qui permet d' ajouter de la couleur aux films. Comment le cinéma a-t-il fait pour remédier à ce manque de couleurs et qu’à apporter la couleur ? Nous verrons tout d'abord le côté technique de la colorisation puis son importance dans le cinéma. Histoire de la couleur

3 au début du XXème siècle.
Histoire de la couleur I – Le côté technique. -> D'hier à aujourd'hui, d'innombrables procédés de colorisation ont été utilisés. Nous allons en voir une dizaine dont les premiers remontent au début du XXème siècle. * Ces premières et différentes techniques sont alors manuelles et se sont mécanisées par la suite. Pour commencer : * En 1897, Georges Méliès, grand génie du cinéma, est le premier à faire coloriser à la main les images de son film : Le manoir du diable.

4 Histoire de la couleur 2. * En 1902, Georges Méliès, retente l'expérience en effectuant un coloriage au pinceau (image par image) de son film Voyage dans la Lune. A partir de cette date, il faudra plus de trente ans pour mettre au point un principe de reproduction photographique des couleurs techniquement et économiquement acceptables. ~> <~

5 premier grand atelier de coloriage qui occupent
Histoire de la couleur 3. * En 1906, Charles Pathé innove en possédant le premier grand atelier de coloriage qui occupent 200 ouvrières. La colori- sation est réalisée entière- ment à la main à l’aide de pochoirs, chaque pochoir correspondant à une couleur. Ces « coloristes » devaient donc faire preuve d'une minutie considérable pour faire coïncider exactement les différents pochoirs avec les différents parties des images du film. Usine Pathé (atelier de coloriage des films) Photo Collection Pathé

6 mécanicien Goujon.Cette nouvelle machine se caractérise par :
Histoire de la couleur 4. * Le 22 octobre 1906, Henri Fourel, responsable du service coloriage de Pathé, décide de mécaniser ce procédé en déposant un brevet pour un prototype de machine à colorier, construite par le mécanicien Florimond. Cette machine reproduisait à l’aide de cames* tous les mouvements que faisaient les ouvrières coloristes. 5. * Mais la machine à colorier définitive sera brevetée deux ans plus tard le 19 août 1908, après plusieurs brevets déposés par rapport à son évolution. Elle est conçue par Méry, avec les conseils d’Henry Fourel, des ingénieurs Julien et du mécanicien Goujon.Cette nouvelle machine se caractérise par : -L’entraînement continu du pochoir et de la copie à colorier. - Le coloriage de la copie grâce à une bande sans fin en velours.

7 - Par la suite, et pour des raisons économiques, on s’est souvent
Histoire de la couleur - Par la suite, et pour des raisons économiques, on s’est souvent contenté de teinter les films en les passant dans des bains colorants. La couleur est alors choisie en fonction de l’ambiance générale : vert pour les paysages, bleu pour la nuit, rouge pour le feu, jaune pour les scènes d’intérieur, etc… - La dernière technique manuelle utilisée est le virage chimique, changement qui permet de colorer uniquement les parties sombres, le reste ne prenant pas la couleur. On a même parfois combiné le virage et la teinture.

8 Histoire de la couleur -> Il s'en suit des procédés plus mécaniques et plus célébres tel que : 6. * Le Kinemacolor: l'un des premiers procédés qui a apporté la couleur dans les pellicules de films contrairement au passé où les images étaient colorées séparément. Cette nouveauté est brevetée en 1906, mais elle est seulement commercialisée en 1911 par Serge Albert Smith et Charles Urban en Grande-Bretagne. Le principe consiste à utiliser une caméra dont l’obturateur* est évidé pour contenir un filtre rouge orangé et un filtre bleu-vert, de façon à imprimer une image sur deux par ces deux couleurs. Le projecteur étant muni du même type d’obturateur, la lumière traverse ces filtres colorés avant d’atteindre l’écran, ce qui permet de reconstituer assez grossièrement les couleurs d'un film qui n'en avait pas.

9 7. * Le Chronochrome : Dès 1913, Léon Gaumont a
Histoire de la couleur 7. * Le Chronochrome : Dès 1913, Léon Gaumont a mis au point une caméra bichrome comportant deux objectifs : l'un muni d’un filtre bleu-vert et l'autre d’un filtre rouge. En 1919, elle est perfectionnée par l'ajout d’un troisième objectif. Disposant maintenant de trois filtres de couleurs rouge, bleue et verte, cette nouvelle caméra permet d’obtenir des couleurs beaucoup plus fidèles. Et pour que ce procédé fonctionne, il faut bien entendu disposer des projecteurs munis des mêmes filtres colorés. -> Un autre inventeur, Hérault, imagine à la même époque un appareil semblable, mais muni d’un seul objectif. C’est un disque rotatif synchrone* qui présente successivement les trois filtres colorés devant chacune des images. Caméra Chronochrome Gaumont

10 8. *Le procédé Dugromacolor :
Histoire de la couleur 8. *Le procédé Dugromacolor : Il doit son nom à ceux qui l'ont mis au point en 1913 : Dumas, Grosset et Marx. Ce procédé consiste à diviser l’image en prisme à surface réfléchissante qui donnent naissance à trois images filtrées en rouge, vert et bleu sur trois films en noir et blanc. Il ressemble aux premiers essais Technicolor faits par la suite en 1915. Le Dugromacolor utilisait en projection un assemblage d’objectifs qui superposait les trois sélections de couleurs.

11 9. * Le procédé Keller-Dorian Berthon : né d'une association entre
Histoire de la couleur 9. * Le procédé Keller-Dorian Berthon : né d'une association entre Rodolphe Berthon et Keller-Dorian. Le brevet est déposé en 1914 pour ce procédé, mais c'est seulement en 1923 que les premiers essais sont présentés à Paris. Il consiste à transformer la face dorsale d'un film noir et blanc en un réseau semi cylindrique. C’est Keller-Dorian, un spécialiste de la gravure qui réalise l’outillage nécessaire pour aplatir le film entre deux cylindres en acier : l’un gravé de fissures, l’autre lisse. Le film ainsi modelé et aligné dans le sens horizontal défile dans la caméra, le côté fissuré vers l’objectif afin que les rayons lumineux le traverse. L’objectif est divisé en trois parties composées de filtres rouge, vert et bleu horizontales. Pour reconstituer les couleurs à la projection, l’objectif du projecteur doit posséder les mêmes filtres.Cependant, des problèmes de luminosité apparaîtront par la suite et forceront l’abandon de son utilisation avec des pellicules de 35 mm, mais il continuera un peu d’exister avec les pellicules de 16mm. -> C’est ce procédé qu’a choisi Jacques Tati en 1947 pour tourner Jour de fête. Douteux du résultat, il a quand même doublé toutes les prises de vue en noir en noir et blanc. Bonne initiative puisque la projection en couleurs s’avérera impossible.

12 Histoire de la couleur 10. * Le procédé Rouxcolor, est une tentative de quadrichromie (par l'ajout d’un filtre jaune) réalisée par les frères Roux en 1930 mais introduite par la société Gaumont, qui a seulement pratiqué des essais quelques années auparavant pour le tournage du film de Marcel Pagnol, La belle meunière. Les difficultés de projection, exigeant des salles spécialement équipées,écourtent la carrière de cette technique expérimentale. 11. * Le procédé Dufaycolor n’est plus une technique par superposition, mais par juxtaposition que se réalise la loi des trois couleurs. C’est donc par un mélange optique que nos yeux voient la couleur finale. Le Dufaycolor est un procédé complexe qui mélange l’impression et la précision sur une pellicule pour obtenir un damier de couleurs bleues, vertes et rouges que l’on recouvre d’un vernis imperméable, et sur lequel il ne reste plus qu’à faire couler une émulsion de noir et blanc. Il suffisait de retourner ces faces pour obtenir les copies positives. 12. Le procédé Mondiacolor est une variante du procédé précédent, car celui-ci bénéficie d'un perfectionnement dans la fabrication De son support réalisé par un certain M.Chevalier. -> Tous ces procédés ont disparu à l'arrivée des films couleur mono pack comme l'Agfacolor mis au point en Allemagne entre 1936 et 1939.

13 Histoire de la couleur 12. * Le procédé TECHNICOLOR 1915 Technicolor est une marque déposée par la Technicolor Motion Picture Corporation, aujourd'hui filiale de Thomson, fondée en 1915 par Herbert Theodor Kalmus. C'est le second des principaux procédés de films en couleur après le Kinemacolor. La première caméra technicolor utilise un prisme pour diviser la lumière en deux rayons filtrés différemment, imprimant chacun une image sur un négatif noir et blanc. Un des rayons passe au travers d’un filtre rouge et impressionne les composantes rouges de l’image. Le deuxième rayon passe au travers d’un filtre bleu et impressionne les compo- santes bleues et vertes de l’image. Les deux images sont disposées l’une au-dessus de l’autre sur un film 35 mm qui défile à deux fois la vitesse normale. Une des images est inversée par rapport à l’autre du fait de l’utilisation d’un prisme. Pour la projection, le positif est tiré en noir et blanc et chaque image est projetée au travers de son filtre correspondant (= on additionne les couleurs). Et comme films il y a eu : Les dix commandements de Cecil B. DeMille, Le fantôme de l'opéra par MGM..

14 Couleurs du spectre lumineux. )
Histoire de la couleur 13. * Le procédé Technicolor de 1932 est une nouveauté qui utilise à la prise de vue des pellicules noir et blanc ( le chargeur contient trois pellicules, et chacune reçoit l’une des trois couleurs primaires, la superposition permet de reproduire l’ensemble des Couleurs du spectre lumineux. ) -> Cela fonctionne, en fait, comme dans un atelier d’imprimerie ; il a été largement utilisé à Hollywood de 1922 à En France, le réalisateur Léonce Perret est le premier à utiliser la technique Technicolor dans ses films à partir de Ce procédé est devenu célèbre pour son rendu hyperréaliste et a été couramment utilisé pour les comédies musicales (Chantons sous la pluie, Le Magicien d’Oz,..) ou pour des films d'animation ( Blanche neige et les sept Nains, Fantasia, Flowers and Trees..) et Becky Sharp de Rouben Mamoulian a été le premier long métrage en couleur. Nous pouvons ajouter que le technicolor trichrome représente un progrès considérable dans le milieu des années 30 même s'il ne rompt pas radicalement avec le noir et blanc comme certaines personnes le supposent, puisqu'il est le résultat d'une longue série de recherches et d'inventions manuelles permettant de donner couleurs aux films.

15 Histoire de la couleur A : La lumière entre dans la caméra par l’objectif. B : Le miroir doré réfléchit (entre les prismes) ce qui permet à la lumière de passer directement par l’ouverture I, le reste étant guidé perpendiculaire- ment par l’ouverture II. Plaques trouées C : Le filtre transmet seulement de la couleur verte. D : le filtre magenta transmet la couleur rouge et bleue. E : le film impressionne de la couleur verte sur la pellicule, grâce à une émulsion reflétée par le revêtement du prisme. F : le film Bipack (deux pellicules simultanées) s’émulsionne au contact de la pellicule, d’abord en bleu puis ensuite en rouge.

16 l’Italie propose le Ferraniacolor.
Histoire de la couleur 14. *Le procédé Kodachrome date de 1935, il est développé par Mannes et Godowsky d’après les travaux de Homolka (1907) et Fisher (1912). Son grand avantage provient du fait que les couleurs ne se déforment pas et gardent leur vitalité. En 2005, on peut encore utiliser cette pellicule, mais Kodak envisage d’en abandonner la fabrication. 15. * Le procédé Agfacolor est mis au point en Allemagne entre 1936 et 1939.Il permet de faire les films en couleurs mono pack : avec une seule pellicule. En effet, la société AGFA, après avoir fabriqué une pellicule couleur inversible en 1936, met au point le système négatif-positif en 1939, permettant ainsi le tirage en série.Sur le même principe que l’Agfacolor, on voit apparaître en 1948 le Gévacolor (Belgique) et le Sovcolor (Union Soviétique), ainsi que le Fujicolor (Japon). C’est un peu plus tard, en 1952 que l’Italie propose le Ferraniacolor.

17 16. * Le Kodacolor : Dès 1942, les Etats-Unis répliquent à
Histoire de la couleur 16. * Le Kodacolor : Dès 1942, les Etats-Unis répliquent à l’Agfacolor par la mise au point du Kodacolor. Il est toujours basé sur des méthodes d'inversion de la pellicule et négatives-positives.. 17. *Successeur du technicolor, mais bien moins connu, l'Eastmancolor est un procédé, lancé par Kodak, et beaucoup utilisé dans des films des années Il est également basé sur le même principe, mais cette pellicule présente une innovation importante par rapport aux procédés Agfacolor et Gévacolor, l’addition d’une couleur orangée (en fait un jaune et un magenta) qui permet d'améliorer la pureté descouleurs. Négatif Eastmancolor

18 couleur exige un équipement spécial que beaucoup d'exploitants n'ont
Histoire de la couleur => Dans l'ensemble, au début du XXème siècle, beaucoup de réalisateurs choisissent de réaliser leurs films en noir et blanc, pour avoir la certitude que leur film soit projeté dans un nombre suffisant de salles car la projection des films en couleur exige un équipement spécial que beaucoup d'exploitants n'ont pas les moyens de s'offrir. =>Il faudra attendre le cou rant des années soixante pour voir la couleur se généraliser et s'imposer définitive- ment, car elle devient plus pratique avec le développement du coloriage numérique. N'oublions pas qu'il n'y pas si longtemps encore, certains films considérés comme marquants sont tournés, en partie ou en totalité, en noir et blanc : Rusty James de Coppola, Raging Bull de Scorcese, La Liste de Schindler, La Haine de Kassovitz, ... et que le tournage des films en noir et blanc reste beaucoup sollicité (par ex. dans les dessins animés).

19 II - L'importance de la couleur au cinéma.
Histoire de la couleur II - L'importance de la couleur au cinéma. -> L'apparition de la couleur au cinéma n'est pas considérée comme une très grande révolution comparé à ce que l'avènement du parlant a provoqué. En effet, la couleur a, dès les origines, co-existé avec le noir et blanc contrairement à la parole. De plus, à l’époque où la couleur apparaît sur les écrans,l’esthétique du Noir & Blanc est à son apogée car il est le principale responsable de la considération du monde pour le cinéma et de l'appellation 7ème Art.

20 d’une histoire qui pourrait être comprise de
Histoire de la couleur -> Cependant, qu'importe le sujet traité, le style adopté, qu’il s’agisse d'une comédie burlesque, d'un drame réaliste, d'un thriller, d'une comédie musciale, d'un film de science-fiction ou historique, tout film est souvent chargé de nous donner un point de vue sur le monde dans lequel nous vivons, avons vécu ou allons vivre. L’entreprise cinématographique dans son ensemble relève ainsi de l’interprétation. Et la couleur y contribue largement. C'est pour cette raison que le réalisateur d'un film ne négliegera pas les couleurs, car il veut que son public perçoive l'image d'une façon précise à partir d’une histoire qui pourrait être comprise de mille manières différentes. -> Se mêlant aux effets de sens du film, la couleur se révèle alors fascinante. (par exemple quand la nuit devient éclairée par les lumières de la ville, elle brise la monotonie du monde nocturne).

21 Histoire de la couleur -> Elle a plusieurs importances :
-> Une importance réaliste : * Elle peut apporter un réalisme aux films historique mais aussi illustrer le caractère du personnage principal et les sentiments intimes qu’il traverse. Par conséquent, la couleur n’est assuré ment pas qu’une simple forme de coquetterie mais une qualité profonde mise en relation avec le contexte dans lequel elle évolue La couleur a au cinéma une grande importance : elle est d’abord pour le sujet regardant un moyen de reconnaissance et d’identifi cation des formes qu’il perçoit (la couleur de la fleur lui permet d’être distinguée et reconnue dans son environnement). En caractérisant ainsi l’objet qui la supporte, la couleur prend au cinéma sa valeur d’élément réaliste, c’est-à-dire d’élément nous permettant d’identifier le réel. *Elle ne se veut pas uniquement réaliste mais aussi active dans un récit cinématographique. Un scientifique nous permet d'illustrer nos propos car il a remarqué que : « Les êtres vivants ne sont pas seulement des êtres éventuellement capables de percevoir des couleurs [...]. La couleur est importante car elle nous permet de mieux visualiser la réalité du monde extérieur à l'intérieur d'un film. Par exemple, les fleurs sont des êtres vivants colorés par excellence et qui possèdent une multitude de palettes de couleurs, laissant libre cours à l'imagination du téléspectateur. »

22 Histoire de la couleur -> Une importance significative:
* La couleur a la capacité de transmettre des idées que les mots seraient bien incapables d’énoncer, en tous cas pas de manière aussi instantanée. Elle est donc une sorte de langage indispensable du récit en images qui permet de dire successivement ou simultanément des idées, des symboles, des actes. -> Une importance chronologique: * Certes, la plupart des films sont tournés en couleurs et le N&B ne fait que de brèves apparitions, ce que rien ni personne ne peut désormais faire changer. Mais ces apparitions du N&B, aussi courtes soient-elles, ont le mérite de nous montrer les bouleversements de sens et de temps que la couleur peut engendrer sur le récit. Elle peut signifier un retour dans le passé à l’aide d’un flash-back, une vision tragique du futur ou un fait marquant historique. -> Une importance pour se repérer: * Mais elle peut aussi permettre de marquer le passage dans l'irréel, ainsi certains privilégie la couleur pour des paysages, des costumes ou des décors qui sortent de l'ordinaire et qui sont inhabituels.

23 valeur d’élément narratif, soit comme élément naturel et innocent,
Histoire de la couleur -> Une importance visuelle : * La couleur est une attraction visuelle, une séduction de l’objet sur celui qui le regarde, (= la couleur de la fleur stimule l'attention du spectateur). Elle prend valeur d’élément narratif, soit comme élément naturel et innocent, soit comme élément essentiel pour la suite de l'histoire. * La couleur est alors rarement utilisée pour des drames contemporains et réservée aux comédies musicales et aux films en costume, elle est à la source de l’ambiance visuelle car elle parle à notre sens de la réalité et permet d'instaurer un climat (= couleurs sombres pour une atmosphère inquiétante mais plutôt claires pour une atmosphère chaude et joyeuse). La couleur joue également un rôle dans notre appréciation de l’harmonie et de la beauté des choses. Cette sensation de beauté nous mène à une admiration du monde filmé et permet d'amplifier nos émotions.

24 pays en guerre ou de maillots bariolés des équipes de sport actuelles.
Histoire de la couleur -> une importance symbolique : * L'usage symbolique qui repose sur des « codes de couleurs » (particulièrement le noir, le blanc, le rouge, le bleu, le jaune, le vert), Le jeu des couleurs peut symboliser par exemple une opposition de clans, de courants de pensée, d’idées, de drapeaux pour des pays en guerre ou de maillots bariolés des équipes de sport actuelles. *La couleur, utilisée au départ pour faciliter la reconnaissance de l’ami ou de l’ennemi, se charge au fil du temps des caractéristiques de l'espace qui la porte, finissant par en devenir le symbole représentatif (rouge/orange > feu, bleu> mer, vert> paysage, jaune > soleil).  C'est pourquoi la couleur cinématographique doit être considérée comme une forme dotée d'un contenu et d'une intention, le tout en rapport avec l'image.

25 * En somme, dépourvu de palette chromatique à
Histoire de la couleur Conclusion : * En somme, dépourvu de palette chromatique à sa naissance, le cinéma n'a eu de cesse de remédier à ce manque, grâce à la décoration au pinceau, au pochoir qui s'est rapidement mécanisé, à la teinture ou encore au développement de divers procédés techniques comme : Kinemacolor,Technicolor, Agfacolor, Eastmancolor... Cette couleur a apporté plus d’importance et de sens au cinéma.

26 Histoire de la couleur -> Glossaire *came : pièce arrondie avec une encoche pour imprimer un mouvement. * obturateur : dispositif tournant en forme d'hélice ou de cône tronqué et percé, laissant passer la lumière par intermittence.


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