La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE

Présentations similaires


Présentation au sujet: "CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE"— Transcription de la présentation:

1 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE

2 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - Introduction
Objectifs Historique du cluster Coordinateur et IMO Architectures au niveau national Cluster sécurité alimentaire

3 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - OBJECTIFS
Historique du cluster et TOR Coordinateur de cluster et chargé de gestion de l’information Architectures au niveau national 2.1 Objectif pédagogique n° 1 : Comprendre l’historique, le rôle et les objectifs du cluster sécurité alimentaire. La compréhension de ces notions devrait suffire à fournir une explication appropriée, sans l’aide de références, à des personnes n’ayant aucune connaissance du sujet. Objectifs pédagogiques complémentaires : Discuter et expliquer le raisonnement derrière la formation du gCSA, ainsi que son adhésion. Comprendre le mandat/les TOR du gCSA. Identifier les objectifs des CSA et les “9 produits livrables des clusters”. Définir le “Fournisseur de dernier recours” du fait qu’il s’applique au CSA. 2.2 Objectif pédagogique n° 2 : Définir et comprendre les rôles et responsabilités du coordinateur et du chargé de gestion de l’information du cluster sécurité alimentaire. Identifier et expliquer les termes de référence (TOR) pour les coordinateurs et les chargés de gestion de l’information FSC. Identifier et expliquer le système hiérarchique et la responsabilité des coordinateurs et des chargés de gestion de l’information. Expliquer comment le double chapeautage, des systèmes hiérarchiques doubles et des conflits d’intérêts potentiels modifient les responsabilités pour le personnel des clusters occupant différentes fonctions (des responsabilités au niveau du cluster plus un rôle organisationnel permanent). Expliquer les activités et les plannings “normaux” des coordinateurs et des chargés de gestion de l’information (par ex. “la journée type d’un coordinateur”). 2.3 Objectif pédagogique n° 3 : Identifier les architectures de cluster sécurité alimentaire utilisées couramment, leurs limites et leurs avantages, et les considérations que les coordinateurs et les chargés de gestion de l’information peuvent prendre en compte quand ils créent et font fonctionner le FSC. Examiner les créations actuelles et récentes du FSC. Examiner les plannings “normaux” du FSC (réunions, etc.). Comprendre la relation du FSC avec les membres de clusters, les autres clusters, les donateurs, les gouvernements et l’OCHA. Comprendre la création d’un système en étoile, les difficultés du FSC et celles qui s’y rattachent. Examiner et expliquer les créations de clusters cogérés, les difficultés potentielles qui s’y rattachent et les moyens éventuels pour réduire ces difficultés. Cluster sécurité alimentaire

4 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE
PERTINENCE Pourquoi ce sujet est-il abordé ? Le personnel des clusters a besoin de connaître l’histoire et les principes de son organisation, les différentes formes que cette organisation peut prendre, et leur propre rôle à l’intérieur de celle-ci. En quoi cela est-il relié à mes tâches quotidiennes ? Les TOR du FSC et les TOR par poste définissent ce qu’on attend du CC et de l’IMO. Ce module apportera un panorama de haut niveau du contexte humanitaire général et servira de tremplin à la présentation spécifique du prochain module au cluster sécurité alimentaire. Certains sujets évoqués dans ce module seront approfondis plus tard au cours de la formation. Les objectifs pédagogiques et les objectifs pédagogiques complémentaires définis pour ce module sont les suivants : Objectif pédagogique n° 1 : Comprendre la signification de l’expression “réforme humanitaire”. Définir brièvement les principes humanitaires et le droit international humanitaire. La compréhension de ces notions devrait suffire à fournir une explication appropriée, sans l’aide de références, à des personnes n’ayant aucune connaissance du sujet. Objectifs pédagogiques complémentaires : Souligner dans les grandes lignes les différences et les similitudes entre les codes de conduite, les principes directeurs et les objectifs stratégiques de diverses organisations. Définir les notions de “principes humanitaires” et de “droit international humanitaire”, et donner des exemples de leur application dans des actions. Identifier et évaluer l’initiative de “réforme humanitaire” et donner des exemples positifs et négatifs de son application. Objectif pédagogique n° 2 : Comprendre la structure et les objectifs de l’architecture de la réponse humanitaire et être en mesure de discuter des avantages et des défis de son application dans des actions. Comprendre la mission et l’objectif de l’OCHA et de l’UNDAC. Comprendre les rôles et responsabilités du HC/RC et d’autres structures telles que les missions intégrées et le double chapeautage. Préciser en particulier leur relation avec des piliers de la réforme. Comprendre les relations entre l’ONU, l’OCHA, les ONG, et d’autres organisations telles que la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge, les donateurs et les gouvernements. Comprendre la coopération/liaison civile/militaire Objectif pédagogique n° 3 : Comprendre l’historique, la structure et l’objectif des clusters. La compréhension de cette notion devrait suffire à fournir une explication appropriée, sans l’aide de références, à des personnes n’ayant aucune connaissance du sujet. Expliquer le système des clusters dans un langage simple. Comprendre pourquoi et comment le système des clusters a été créé à l’origine et comment il s’est développé au fil des ans. Discuter et comprendre les “principes de partenariat”. Discuter et comprendre les expressions “agence de responsabilité sectorielle” et “agence/fournisseur de dernier recours”. Identifier les différents clusters mondiaux, leurs termes de références (notamment chevauchements et liens), et leurs agences de responsabilité sectorielle associées. Discuter des interactions entre les clusters, l’OCHA, les donateurs et les gouvernements. Discuter des rôles et des responsabilités génériques des coordinateurs de cluster et des chargés de gestion de l’information ou IMO (non spécifique à la sécurité alimentaire) Discuter du rôle des problèmes transversaux dans les clusters. Discuter des méthodes communes de fonctionnement des clusters (non spécifique à la sécurité alimentaire). Cluster sécurité alimentaire

5 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - HISTORIQUE
“… intégrant une aide alimentaire, des solutions agricoles et d’autres interventions comme moyen de subsistance, et réglant les problèmes institutionnels et de politique intérieure au niveau politique.” “… consultation approfondie par la FAO/le PAM des ONG, du Mouvement de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, d’autres clusters et membres humanitaires….” L’animateur du cours peut lire et faire lire aux stagiaires des extraits des TOR Discussion : Avant la création du gCSA, comment la question de la sécurité alimentaire était-elle traitée ? - aide alimentaire par opposition aux moyens de subsistance - réponse par opposition au redressement - cluster agriculture Reconnaissant le besoin d’une plus grande coordination des réponses de sécurité alimentaire humanitaires, la phase 1 de l’évaluation de l’approche clusters de l’IASC en 2007 a proposé que “le PAM considère de créer un cluster alimentaire au niveau mondial, si possible co-géré par la FAO, comme alternative au cluster agriculture”. Par la suite, la phase 2 de l’évaluation de l’approche clusters de l’IASC en 2010 a recommandé la création d’un cluster sécurité alimentaire mondial en co-gestion, “intégrant une aide alimentaire, des solutions agricoles et d’autres interventions comme moyen de subsistance, et réglant les problèmes institutionnels et de politique intérieure au niveau politique”. - Intégration : Une des raisons justifiant le gCSA Dès le début de l’année 2010, la FAO et le PAM ont étudié la possibilité de créer un nouveau cluster sécurité alimentaire (FSC) mondial co-géré par la FAO et le PAM pour s’intégrer à la nouvelle architecture de coordination humanitaire internationale plus large créée par l’IASC, et le 15 décembre 2010, suite à une consultation approfondie par la FAO/le PAM des ONG, du Mouvement de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, d’autres clusters et membres humanitaires, les responsables de l’IASC ont approuvé à l’unanimité une proposition commune FAO/PAM visant à créer un nouveau cluster sécurité alimentaire (FSC) mondial. - Consultation approfondie : le gCSA est un processus collectif 15 décembre 2010 Cluster sécurité alimentaire

6 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE – FSC MONDIAL
Objectif du gFSC : Activités du gCSA : - gFSC Purpose: Représenter le FSC dans différents forums mondiaux Garantir la performance des clusters nationaux Intervention rapide à court terme Outils et recommandations Briefings de pré-déploiement Développement des capacités Aide à la gestion d’information Soutien des efforts de plaidoyer aux niveaux national et mondial La cellule de sécurité alimentaire mondiale apportera son soutien pour l’établissement des normes et de la politique intérieure des clusters sécurité alimentaire nationaux, renforçant les capacités de réponse et l’aide opérationnelle dans cinq secteurs fonctionnels clés : Intervention rapide à court terme : Le chef de file sectoriel et les partenaires mondiaux fourniront des moyens d’intervention rapide, par ex. du personnel de coordination, des équipes de réponse, du personnel d’évaluation, des chargés de gestion de l’information. Les profils des responsables de clusters FS, notamment les capacités techniques et de gestion, seront créés, et une évaluation des besoins d’un point de vue humain, financier et institutionnel sera entreprise. Une formation sera suivie par les candidats sélectionnés et des moyens d’intervention rapide, ainsi que des listes de réserve d’experts, seront créés et conservés. L’idée des équipes de soutien sera explorée. Les partenaires humanitaires apporteront leur collaboration en répondant aux besoins et en comblant les lacunes, garantissant ainsi une distribution adaptée des responsabilités au sein du cluster au sens plus large, avec des points de focalisation clairement définis pour des problèmes précis, par exemple la transition/le redressement, si nécessaire. Outils et recommandations : Le FSC coordonnera le partage des recommandations et des outils opérationnels actuels. En cas de nécessité, le FSC coordonnera et facilitera la création de nouveaux outils et recommandations. Le FSC passera en revue les recommandations et les outils actuels qui s’appliquent aux interventions de sécurité alimentaire humanitaires en se basant sur ce processus et sur des consultations avec les clusters nationaux, puis le FSC analysera et établira la liste des lacunes prioritaires. Ultérieurement, le FSC identifiera les organisations membres qui sont intéressées et qui ont les ressources voulues pour combler les lacunes prioritaires au moyen de recommandations ou d’outils. Par exemple, des livres de recommandations et des sessions de formation devront être créés en soulignant les relations entre la sécurité alimentaire des familles, la santé, la nutrition et WASH, notamment des méthodologies et des modèles partagés pour les évaluations de besoins et les enquêtes inter-clusters communes, comme convenu. Développement des capacités : Tirant profit des leçons apprises par d’autres clusters mondiaux, le FSC se concentrera sur le développement des capacités des coordinateurs et des chargés de gestion de l’information du cluster, qui représentent des éléments clés d’un système de clusters amélioré au niveau national et sous-national. En même temps, il y aura un programme de formation et de prise de conscience constamment remis à jour pour les partenaires et les parties prenantes du système des clusters à l’intérieur du pays. Les leçons tirées des expériences des pays seront intégrées dans des processus plus larges de mise en place de politique intérieure et reflétées dans le travail du FSC et dans les clusters sécurité alimentaire nationaux. Une consultation régulière aura lieu, ainsi qu’un partage et un développement commun du matériel de renforcement des capacités/de formation pour veiller à ce que les éléments pertinents des sessions de formation des autres clusters soient pris en considération et qu’une compréhension trans-clusters commune des problèmes et possibilités inter-clusters soient développée. Aide à la gestion d’information : L’équipe d’aide au cluster sécurité alimentaire, basée à Rome, est chargée de maintenir un mécanisme de coordination efficace, par l’intermédiaire d’ s, de téléconférences et de réunions. La communication consistera à partager régulièrement les informations, développer et mettre en place un plan de travail, prendre des décisions, demander des résultats et un retour d’information sur les activités des clusters, demander des résultats et un retour d’information sur les activités initiées par d’autres clusters et d’autres organisations de nature générale, et favoriser le débat et l’échange. L’équipe d’aide organisera la communication des informations aux praticiens de sécurité alimentaire d’urgence mondiaux, notamment en s’inspirant de systèmes d’information existants et en mettant en place une plate-forme pour garantir le partage efficace et opportun des documents et des informations entre les membres de clusters et autres. L’un des aspects imortants sera la création d’un site Internet. Ce site saisira les informations servant aussi bien de recommandations que d’outils au niveau mondial et constituera également un seul entrepôt mondial de documents et de contacts pour les activités au niveau national, et il sera l’outil principal de partage des informations et de propagation d’outils standardisés tels que des modèles de rapport, etc. Le FSC gérera l’information dans les clusters sécurité alimentaire nationaux, notamment la capacité de déployer un chargé de gestion de l’information pour fournir une assistance directe aux clusters nationaux, la formation à la gestion de l’information des coordinateurs de cluster et la fourniture d’une gamme de produits de gestion de l’information, notamment : un système transparent et accessible pour la bonne gestion de l’information relative à la sécurité alimentaire humanitaire au niveau mondial une assistance directe et indirecte aux clusters nationaux pour les aider à créer des systèmes d’information garantissant que les produits et services associés aux fonctions des clusters clés sont à la disposition des agences sur le terrain, etc. (par ex. création de systèmes de partage des informations, etc.) des recommandations précises, notamment des modèles de rapport de cluster, des rapports de situation standard, etc. des indicateurs clés pour permettre un contrôle transparent du fonctionnement et de la transition des clusters un rapport sur les protocoles et les normes mis en place, garantissant le rapport intégré et/ou coordonné des problèmes inter-clusters. Soutien des efforts de plaidoyer aux niveaux national et mondial. Des stratégies de plaidoyer communes, intra-clusters et, le cas échéant, inter-clusters seront créées et mises en œuvre, notamment, par exemple, des déclarations publiques, des campagnes et des messages de donateurs, insistant sur l’importance de sauver les vies et de rétablir les moyens de subsistance des populations touchées dans des situations de crise humanitaire. Le FSC mettra en place des bilans coordonnés, des flashes éclairs, des CERF, des fonds humanitaires communs pour garantir des synergies et une collaboration maximales, et proposer des solutions lorsque des contraintes telles que l’accès ou le financement interdisent une réponse globale. Comme pour tous les clusters humanitaires, le FSC est sous les ordres du coordinateur des secours d’urgence (ERC). La FAO et le PAM, étant les deux groupes sectoriels mondiaux responsables, représenteront le cluster dans les forums mondiaux de politique intérieure concernés, notamment le Groupe de travail de l’IASC et d’autres mécanismes similaires. Au niveau national, les clusters sécurité alimentaire et les agences de responsabilité sectorielle sont sous les ordres du coordinateur humanitaire (HC) et de l’équipe humanitaire nationale (HCT). La FAO et le PAM, étant des groupes sectoriels mondiaux, sont chargés de garantir le bon fonctionnement du cluster. Responsablité du gCSA gFSC Accountability: Coordinateur des secours d’urgence Cluster sécurité alimentaire

7 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE – FSC NATIONAL
Objectif du FSC : FSC Purpose: Garantir et améliorer l’efficacité de la réponse de sécurité alimentaire dans les situations d’urgence Responsabilité du FSC : FSC Accountability: Coordinateur humanitaire Population touchée (Donateurs) (Membres) Cluster sécurité alimentaire

8 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE – TOR NATIONAL
Que fait le FSC ? Garantir un leadership prévisible et fiable Représenter la communauté de sécurité alimentaire dans les différents forums nationaux 3. Aide à la coordination grâce à une planification des évaluations et des réponses, et à une stratégie 4. Crée des repères et des indicateurs Aide la communauté de sécurité alimentaire dans son ensemble, pas des partenaires en particulier 6. Renforce les systèmes nationaux/locaux 7. Garantit une qualité de réponse, et la promotion de normes et de services appropriés Garantit une compréhension commune des activités de redressement rapide Garantit un apprentissage et une référence aux règles de bonnes pratiques 10. Garantit le partenariat et la diversité Actions coordonnées Le FSC vise à renforcer la préparation des systèmes et leur capacité technique à répondre aux urgences humanitaires en garantissant : un leadership prévisible et fiable une coordination des clusters et inter-clusters efficace par la planification collective d’évaluations et de réponses, notamment la définition d’une stratégie de sortie/transition une qualité de réponse, notamment par la promotion de normes et de prestations de services adaptées une compréhension et une approche communes pour permettre aux problèmes et aux activités inter-clusters de redressement rapide d’être intégrés de façon homogène un apprentissage et en s’inspirant des règles de bonne pratiques existantes telles que l’utilisation de cadres analytiques et d’approches communes acceptés au niveau international, par ex. l’évaluation et l’analyse des besoins multi-clusters, l’identification de secteurs prioritaires de réponse la création de critères et d’indicateurs communs pour contrôler le fonctionnement des clusters/inter-clusters, notamment les problèmes de redressement, en favorisant l’utilisation de cadres logiques pour mesurer les progrès dans le secteur le renforcement des systèmes de gestion et de coordination humanitaires nationaux/locaux existants, notamment les institutions nationales, la société civile locale et d’autres acteurs compétents, pour s’assurer que les réponses humanitaires se basent sur les capacités locales et permettent une coordination et un échange d’informations appropriés avec celles-ci une diversité et un renforcement des partenariats entre les agences onusiennes et les ONG. L’adhésion au FSC entraîne une contribution au travail du cluster, en utilisant une approche inter-dépendante, les organisations membres travaillent ensemble dans le cadre de stratégies communes convenues et partagent leurs ressources et leur expérience pour atteindre les objectifs communs du FSC. Le travail du FSC sera entrepris au nom de la communauté de sécurité alimentaire au sens large, plutôt que pour favoriser les intérêts et le calendrier de clusters précis. Conseils de coordination Cluster sécurité alimentaire

9 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - HISTORIQUE
Question : Comment le FSC rend-il des comptes à la population touchée en ce qui concerne : Le leadership/La gouvernance La transparence Le retour d’informations et les plaintes La participation La conception, le contrôle et l’évaluation Population touchée Brouillon de discussion préparé par l’OCHA et les donateurs le 21 avril 2009 : Responsabilité vis-à-vis de qui ? En définitive, tous les acteurs humanitaires sont responsables vis-à-vis des bénéficiaires/des populations touchées. En 2005, l’IASC a intégré ‘l’approche clusters” dans une série de réformes plus larges visant à améliorer la qualité de notre réponse humanitaire collective dans les situations d’urgence et donc à mieux répondre à tous les besoins des populations touchées. Faisant de ceci l’objectif général, la responsabilité dans la réponse humanitaire consiste à veiller à ce que les différents acteurs humanitaires qui ont approuvé cette approche soient responsables de leurs décisions et actions, de leurs réussites et échecs personnels, et du rôle qu’ils jouent dans l’engagement collectif de la communauté humanitaire pour combler les lacunes éventuelles de la réponse. De façon plus immédiate, les acteurs humanitaires sont responsables vis-à-vis de leurs conseils gouvernementaux, de leurs membres et partenaires, et de leurs sources de financement. Les donateurs, à leur tour, sont responsables vis-à-vis des contribuables et des électeurs (et des parlements et institutions d’audit qui représentent les intérêts des contribuables). L’architecture de la réforme humanitaire n’a pas l’intention de remplacer ces cadres de responsabilité, mais plutôt d’aider à clarifier et à renforcer la responsabilité dans la ‘façon dont nous faisons des affaires’. Responsabilité vis-à-vis des populations touchées Les clusters font-ils assez de choses pour s’engager dans un partenariat actif avec les populations touchées ? Les ‘Termes de référence pour les chefs de file sectoriels au niveau national’ exigent des clusters qu’ils garantissent l’utilisation d’approches participatives et communautaires. Cependant, les clusters écoutent-ils vraiment les populations touchées quand ils évaluent leurs besoins et qu’ils les intègrent dans la planification et la mise en oeuvre de projets ? Font-ils assez de choses pour continuer à les consulter et à leur faire des rapports/les intégrer dans des évaluations de résultats ? Les problèmes transversaux sont-ils pris en compte utilement et efficacement dans la programmation ? On présume que tous les partenaires internationaux et nationaux au sein d’un cluster en particulier se considéreront responsables vis-à-vis des mêmes principes, normes et codes humanitaires, mais en pratique, ce n’est pas toujours le cas et cela représente des difficultés. Avec la mutation rapide du personnel, il est toujours difficile de faire en sorte que des évaluations soient effectuées et que des leçons soient tirées pour améliorer les réponses futures. Atelier de Johannesburg de l’OCHA en 2007 Le bureau régional de l’OCHA en Afrique du Sud a organisé un atelier sur la réforme humanitaire régionale à Johannesburg les 18 et 19 janvier 2007, en partenariat avec l’unité d’aide à la réforme humanitaire de l’OCHA (HRSU) et le secrétariat du CERF. Responsabilité vis-à-vis des populations touchées : les ONG craignent que l’approche clusters n’encourage “la responsabilité vers le haut”, sans préciser de “responsabilité vers le bas” (par ex. vis-à-vis des populations touchées). Bien que les TOR génériques des chefs de file sectoriels au niveau national exigent que les clusters adoptent “des approches participatives et communautaires”, un grand nombre d’ONG ont le sentiment que ce n’est pas suffisant et aimeraient que les agences onusiennes et l’OCHA acceptent la nécessité de ce qu’ils appellent “la responsabilité vis-àvis des bénéficiaires”. Au cours de discussions sur l’approche clusters, l’an dernier, certains membres du personnel onusien ont reconnu que le concept de “responsabilité vis-à-vis des bénéficiaires” était mal défini. Le débat entre les ONG et les Nations unies à ce sujet devient assez contradictoire. Un grand nombre d’approches ont été avancées, notamment le fait d’utiliser plus les normes SPHERE. La plate-forme humanitaire mondiale a fait de ce sujet l’un des points les plus importants à l’ordre du jour pour sa réunion de juillet 2007. Cluster sécurité alimentaire

10 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - Architecture
“Le pire, c’est d’avoir une approche planifiée – les gens sont atterrés de voir l’OCHA proposer une architecture de cluster établie sans espace pour négocier.” Flexibilité L’animateur peut lire la citation ou la faire lire par un stagiaire. Discussion : Ce commentaire a été fait par un chef de file sectoriel actuel. D’après vous, qu’entendait-il par là ? Quelle est l’une des qualités qu’un CC doit avoir pour créer une architecture ? Cluster sécurité alimentaire

11 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - Architecture
Intégration des problèmes FS Cluster commun Clusters séparés : nourriture, agriculture et moyens de subsistance Leadership Co-géré Agence unique Géré par le gouvernement ? Architecture : Commune : cluster sécurité alimentaire ou équivalent (exemple : cluster sécurité alimentaire et moyens de subsistance en Libye) Séparée : cluster aide alimentaire ou agriculture (Somalie) Leadership de cluster typique : Co-géré : la FAO et le PAM gèrent conjointement le cluster (Libye, Tchad, Afghanistan) Gestion alternée : deux agences gèrent en alternance le cluster (tournent chaque semaine : par ex. Le Sri Lanka, la Côte d’Ivoire) Point important : le cluster peut prendre plusieurs formes et peut même porter un autre nom que “cluster” FROM FSC LESSONS LEARNED (LEÇONS APPRISES DU FSC) : Cluster aide alimentaire, agriculture ou sécurité alimentaire Un seul cluster sécurité alimentaire développe une stratégie cohérente et des synergies entre les parties prenantes de l’aide alimentaire et de l’agriculture L’évaluation clusters II rapporte qu’en général, on observe de meilleurs résultats lorsque l’aide alimentaire et l’agriculture sont associées au sein d’un seul cluster sécurité alimentaire, comme en République démocratique du Congo, en Ouganda et à Madagascar. On se concentre sur une stratégie unique et sur un seul message sur la sécurité alimentaire au-delà des questions opérationnelles. Un cluster sécurité alimentaire peut également encourager des approches de programmation communes reliant l’aide alimentaire à l’agriculture, par exemple des activités telles que Food for Work (nourriture contre travail – pour en savoir plus, voir le paragraphe sur L’Analyse, la conception et la mise en place de la réponse) ; Les clusters où l’aide alimentaire et l’agriculture sont séparés ont connu des difficultés telles que : Une planification à moyen terme limitée Des répétitions et des lacunes potentielles Un contournement potentiel des mandats entre les différents acteurs, surtout le PAM et la FAO La répétition inutile de réunions Difficultés rencontrées par le cluster sécurité alimentaire au Pakistan, province du Sindh 2010 Quand le système des clusters a été activé au Pakistan à la suite des inondations, des clusters aide alimentaire et agriculture ont été créés séparément. Le cluster aide alimentaire a été créé assez rapidement au niveau de la province (en particuler la province du Sindh), tandis que le cluster agriculture a mis quelques semaines à atteindre le même niveau. Un redressement rapide a été très vite évoqué par le cluster aide alimentaire dans la province du Sindh car il ne fallait pas rater la saison des plantations. Cependant, à cause du manque d’expérience voulue et du mandat approprié au sein de son groupe, le cluster aide alimentaire a été limité dans sa réponse. Rétrospectivement, on a le sentiment que le cluster aurait mieux géré l’urgence agricole au sein d’un cluster commun. Au cours des mois suivants, à cause des demandes d’ONG, les questions d’aide alimentaire et d’agriculture ont été associées au sein d’un groupe de travail de sécurité alimentaire géré par le gouvernement pour essayer d’atténuer les problèmes de retard de la réponse. Des clusters d’aide alimentaire et des clusters agriculture séparés peuvent tout de même être efficaces s’il y a un mécanisme d’analyse commun Dans certains pays où les clusters aide alimentaire et agriculture sont séparés, le succès du système est attribué à une analyse commune approfondie, comme dans les territoires palestiniens occupés (oPt) et en Somalie. Le rôle de l’IPC pour relier les clusters nourriture, agriculture et nutrition en Somalie L’unité d’analyse de la sécurité alimentaire (FSAU), qu’on appelle désormais unité d’analyse de la sécurité alimentaire et de la nutrition (FSNAU) a été créée plusieurs années avant l’activation du système des clusters en Somalie. Elle recueille des données primaires, les analyse (à l’aide de l’approche IPC depuis 2004) et établit des rapports de haute qualité. La FSNAU est considérée comme un prestataire de services très renommé et neutre d’analyse de la sécurité alimentaire et de la nutrition, car elle émet des messages communs sur les secteurs en crise, sur la gravité des besoins et sur la stratégie de réponse qui serait nécessaire. La composante aide alimentaire peut être énorme dans un cluster sécurité alimentaire commun Surtout au début d’une urgence, il risque d’y avoir besoin de forums opérationnels séparés pour les interventions d’aide alimentaire et agricoles. C’est pourquoi les crises humanitaires de grande envergure de ces dernières années (ex. Pakistan 2010 et Haïti 2010) ont entraîné la création de clusters aide alimentaire et agriculture spécifiques. Il est possible que, même au commencement d’une crise de grande envergure, la coordination opérationnelle ait lieu en sous-groupes au sein d’un cluster sécurité alimentaire commun ; cependant, cette option doit encore être testée. Dans des urgences de grande envergure, l’apport en nourriture est en général très important et il risque d’éclipser les composantes non alimentaires. Par exemple, comme l’aide alimentaire reçoit un bon financement, cela se traduirait dans les rapports par un bon taux de financement pour l’ensemble du cluster sécurité alimentaire, alors qu’en réalité, les secteurs non alimentaires du cluster sont moins bien financés. Difficultés des clusters sécurité alimentaire communs : exemples de l’Afghanistan, de la Côte d’Ivoire et de la Somalie L’Afghanistan (cluster sécurité alimentaire et agriculture) et la Côte d’Ivoire (cluster sécurité alimentaire) ont tous deux un cluster commun : dans les deux cas, l’aide alimentaire est énorme. Ceci se traduit dans les rapports comme si on répondait correctement aux besoins du cluster ; ceci est dû principalement au niveau élevé de l’aide alimentaire qui masque le sous-financement de l’aide non alimentaire. Il faut évoquer le risque d’une mauvaise perception des choses par un plaidoyer soulignant les lacunes au sein du cluster. En Somalie, l’aide alimentaire est tellement énorme que les parties prenantes craignent que la nourriture prenne le pas sur la coordination en cas de cluster commun. À cause de ce risque et du fait que la FSNAU joue le rôle de catalyseur pour la coordination stratégique inter-clusters, le fait de garder les deux clusters séparés est considéré par un certain nombre de parties prenantes comme une option relativement bonne pour la Somalie. Clusters communs par opposition aux clusters séparés au Darfour : les pour et les contre En 2009, le cluster sécurité alimentaire et moyens de subsistance au Darfour était un cluster double. Il comprenait une partie aide alimentaire massive et un “autre" groupe très petit se concentrant en priorité sur l’aide aux moyens de subsistance agricoles. Le coordinateur humanitaire reconnut que les parties non alimentaires du cluster étaient écrasées par la partie aide alimentaire, tant en termes de reporting que de plaidoyer. Il proposa de séparer le cluster en deux : un cluster aide alimentaire et un cluster agriculture, pour donner plus d’espace et d’autonomie à l’agriculture. Des sondages informels furent organisés avec les membres des clusters dans les trois états du Darfour (un vote secret des partenaires eut lieu). Le résultat fut sans appel : “garder un seul cluster" remporta entre 85 et 100 pour cent des suffrages.  Les membres s’accordèrent à dire qu’il est important de garder un espace/mécanisme afin de développer une approche de sécurité alimentaire globale, d’intégrer tous les aspects de la réponse de sécurité alimentaire et de relier des stratégies à court, moyen et long terme. Deux ans après, l’objectif reste le même, et le cluster encourage l’émergence d’approches de programmation communes, surtout pour les activités qui se rattachent aux activités Nourriture contre travail. Dans les pays où l’aide alimentaire et l’agriculture font l’objet de deux clusters séparés, la question se pose de savoir si ces deux clusters ne devraient pas se réunir en un seul, sans conclusion précise. Des indications collectives sont nécessaires pour éviter la confusion et les tensions. Intégration commune Questions séparées Co-géré Libye CAR (FAO et ACF) Gestion alternée Sri Lanka, Côte d’Ivoire Gestion individuelle Somalie Cluster sécurité alimentaire

12 Mise en place au niveau national du cluster sécurité alimentaire
TABLEAUX DE RESUME SYSTEMES DE COORDINATION Pays possédant des systèmes de coordination actifs Pays possédant des systèmes de coordination non actifs Nombre total de pays possédant des clusters sécurité alimentaire CLUSTERS COMMUNS / SEPARES Pays possédant un système de coordination pour un cluster unique/des clusters communs 29 Pays possédant un système de coordination pour des clusters séparés LEADERSHIP Pays possédant un système de coordination du cluster géré/co-géré par le PAM par la FAO Pays possédant un système de coordination du cluster co-géré par une ONG par l’UNICEF TYPE D’URGENCES Urgences complexes Catastrophes naturelles subites Catastrophe naturelle ou économique à progression lente Cluster sécurité alimentaire

13 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - Architecture
Question : Comment le co-leadership du cluster est-il géré ? Pas de modèle unique Co-leadership par opposition à la co-facilitation/co-présidence des réunions Le plus important : un leadership efficace Exemple du cluster éducation : Evaluer la présence, la capacité et les relations de travail Convenir d’une gestion unique, commune ou gouvernementale Se mettre d’accord sur la responsabilité et le rattachement hiérarchique (HC/RC, HCT, population) Préparer un MoU définissant clairement les dispositions Expliquer le PoLR et le rôle des CLA Divulguer les informations Guide FAO 1.6 Comment le co-leadership du cluster est-il géré ? Il n’y a pas de modèle unique et, dès 2010, c’est plutôt un système de “co-présidence” ou de “co-facilitation” dans la plupart des cas : les réunions sont présidées tour à tour par les co-responsables tandis qu’un seul d’entre eux (parfois la FAO) fournit le CC et la plus grande partie de l’aide administrative et opérationnelle qui s’y rattache. Dans quelques cas, l’aide fait l’objet d’une rotation chaque année. Les ONG ont souvent rechigné à prendre des responsabilités de “co-leadership” par manque de ressources. On attend du groupe de travail de l’IASC qu’il fournisse une orientation précise en Entre temps, il faut veiller à garantir un leadership et une aide efficaces plutôt que d’essayer de satisfaire les désirs de visibilité d’organisations individuelles qui veulent un “morceau du gâteau”. Manuel sur le cluster éducation : protocole d’accord sur le co-leadership Un protocole d’accord (MoU) entre l’UNICEF et Save the Children pour ‘le leadership du cluster éducation mondial’ a été signé en novembre Il établit :  des objectifs clés pour le cluster éducation mondial  un cadre de fonctionnement et de dispositions de leadership communes aux niveaux mondial et national  des priorités clés pour le cluster  une description des rôles de l’UNICEF, Save the Children et du cluster Partenaires  des systèmes de partage du personnel, d’accueil, de responsabilité et de gouvernance. Une autre note de recommandation commune sur la création et le leadership du cluster éducation reflète le développement en cours du système de co-leadership au niveau national. Cette recommandation est expliquée au paragraphe 2.2. 2.2 Gestion de la relation de co-leadership 2.2.1 Gestion du co-leadership au niveau national Les systèmes de co-leadership du cluster au niveau national prennent des formes différentes. Des informations récentes peuvent être consultées dans les pages cluster du site Internet OneResponse à l’adresse suivante : De la même manière, les systèmes de co-leadership ou de facilitation varieront au niveau sous-national et des responsablités seront peut-être prises par un certain nombre de clusters différents. Recommandation nationale sur la création et le leadership du cluster éducation Parallèlement à la proposition de créer un cluster éducation, un système clair de leadership doit aussi être proposé au HC/RC. Cette proposition doit être le fruit de la collaboration entre Save the Children et l’UNICEF, plus d’autres parties prenantes du secteur éducatif. La note de recommandation nationale du cluster éducation mondial sur la création et le leadership du cluster éducation (compris dans les ‘ressources complémentaires’ listées à la fin de ce paragraphe) fournit une orientation sur les considérations essentielles qui doivent faire partie de ce processus et présente trois modèles différents pour le système de leadership : a) Co-leadership L’UNICEF et Save the Children, ou une autre agence de responsabilité sectorielle désignée, sont co-responsables du cluster. Les responsables des deux agences partagent les responsabilités de leadership. Les coordinateurs et d’autres membres du personnel du cluster sont sous les ordres de l’agence qui les emploie, mais sont responsables vis-à-vis des deux responsables d’agence pour garantir le fonctionnement efficace du cluster. Les décisions importantes sont prises collectivement et approuvées par les deux agences. Les tâches de coordination quotidiennes sont divisées comme convenu, et les deux agences collaborent pour être l’agence de dernier recours (PoLR). b) Leadership unique Les responsabilités de leadership sont assumées par une seule agence, avec un système probable de rotation (l’agence change, par exemple, tous les six mois).  L’UNICEF sert d’agence de responsablité sectorielle, Save the Children servant de partenaire lorsqu’ils sont présents. L’UNICEF, par l’intermédiaire du responsable d’agence, assume toutes les responsabilités de leadership.  Save the Children sert d’agence de responsablilité sectorielle, l’UNICEF servant de partenaire. Save the Children, par l’intermédiaire du responsable d’agence, assume toutes les responsabilités de leadership.  Une autre agence sert d’agence de responsabilité sectorielle, l’UNICEF et Save the Children servant de partenaires. Cela arrive quand une autre agence a une forte présence dans le secteur éducatif et que ni l’UNICEF, ni Save the Children n’est présent ou actif dans ce secteur ; ce sera probablement le type de disposition prise dans un cluster sous-national. L’agence de responsabilité sectorielle désignée assume toutes les responsabilités du PoLR. c) Co-leadership avec le Ministère de l’éducation Lorsque le Ministère de l’éducation (MoE) est capable et désireux de gérer la coordination d’une réponse éducative dans une situation d’urgence, il peut assumer la responsabilité officielle de co-leadership du cluster. L’UNICEF, Save the Children ou d’autres parties prenantes du secteur éducatif doivent jouer un rôle d’aide au MoE. Les agences doivent faire en sorte que les responsabilités du cluster soient claires. Exemple : Co-leadership au Sri Lanka L’UNICEF était la CLA désignée pour le cluster éducation, mais à cause de problèmes de visa, elle n’a pas pu déployer de coordinateur. Les responsables d’agence de l’UNICEF et de Save the Children ont convenu que Save the Children fournirait le coordinateur, étant donné que Save the Children avait le financement et le personnel pour le faire. L’UNICEF a pu apporter son aide au coordinateur par le biais d’un membre du personnel national qui avait déjà de bons contacts au Ministère de l’éducation. Dans cet exemple, l’UNICEF a continué à être le chef de file du cluster lors de réunions importantes avec le Ministère de l’éducation et en tant que membre de l’équipe humanitaire nationale. Toutefois, la mise en œuvre de la réponse du cluster et la coordination entre les clusters nationaux et sous-nationaux étaient gérées par le coordinateur employé par Save the Children. Comme Save the Children et l’UNICEF avaient une bonne relation de travail et étaient d’accord sur les rôles et responsabilités, ainsi que sur la structure du cluster, cela a permis aux parties prenantes d’avoir des objectifs et des responsabilités clairement définis. Source : Sparkes, J. (2009) Création et gestion d’un cluster éducation – Guide sommaire Responsabilités du cluster : étapes à suivre - Évaluer la présence, la capacité, l’envergure et la nature actuelles des relations de travail entre les agences internationales clés et le gouvernement national dans le secteur éducatif, aux niveaux national et sous-national. En se basant sur la présence, la capacité et les relations actuelles, et en collaboration avec l’unité cluster éducation mondiale (ECU) et le HC/RC, déterminer s’il y aura : Un co-leadership, une seule CLA , un co-leadership avec le MoE. En se basant sur le système de leadership convenu, déterminer comment les responsabilités de la CLA, notamment la responsabilité et le rattachement hiérarchique au HC/RC et à l’équipe humanitaire nationale (HCT), seront gérées, par ex. lorsque deux agences co-gèrent un cluster, comment ces responsabilités seront séparées et partagées. Préparer un protocole d’accord (MoU), identifiant précisément les rôles et responsabilités des deux CLA (le cas échéant). Voir le modèle de MoU pour un co-leadership de cluster éducation national dans les ‘ressources complémentaires’ listées à la fin de ce paragraphe. Expliquer précisément comment les deux CLA rempliront le mandat CLA de PoLR. Divulguer les informations relatives au leadership convenu au niveau des clusters partenaires, de l’OCHA et d’autres clusters et groupes de travail thématique transversaux, selon disponibilité. En se basant sur la capacité en personnel et sur son expérience au sein de la/des CLA et d’autres clusters partenaires, ou sur la capacité d’intervention rapide et de listes de réserve, convenir de systèmes de recrutement et de déploiement pour le/les coordinateur(s) et tout autre membre du personnel ou expert de cluster clé. Cluster sécurité alimentaire

14 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - CC ET IMO
Coordinateur “Faciliter… une intervention dans le secteur de la sécurité alimentaire opportune, cohérente et efficace en mobilisant les parties prenantes pour répondre de façon stratégique à une crise humanitaire…” L’animateur du module peut lire ou faire lire à un stagiaire des extraits des TOR Discussion : Qu’entend-on par facilitation ? Qu’est-ce que cela n’implique PAS (gestion, etc.) ? Le cluster sécurité alimentaire au niveau national vise à garantir une intervention dans le secteur de la sécurité alimentaire opportune, cohérente et efficace en mobilisant les parties prenantes pour répondre de façon stratégique à une crise humanitaire. Le rôle du coordinateur de cluster sécurité alimentaire, tel qu’il est présenté dans les Termes de référence génériques pour les chefs de file sectoriels au niveau national de l’IASC, consiste à gérer et à faciliter ce processus par le biais : De l’intégration de partenaires humanitaires clés ; De la création et du maintien de mécanismes de coordination humanitaire adaptés ; De la coordination avec les autorités nationales/locales, les institutions nationales, la société civile locale et d’autres acteurs pertinents ; De la garantie d’approches participatives et communautaires adaptées ; De la garantie qu’une attention appropriée sera portée aux problèmes transversaux et trans-sectoriels prioritaires (ex. le sexe, l’âge, le VIH/SIDA, les droits de l’homme, l’environnement et le redressement rapide) ; De l’évaluation et l’analyse des besoins ; De la coordination de la préparation à l’urgence au niveau sectoriel ; De la création d’une planification et d’une stratégie ; De l’application de normes appropriées ; Du monitoring et du reporting ; De la mobilisation des efforts et des ressources ; De la formation et du renforcement des capacités ; et De l’apport d’une aide ou de services en tant que dernier recours, sous réserve de l’accès, de la sécurité et de la disponibilité du financement. Discussion : On reviendra à l’impartialité dans deux diapositives Le coordinateur de cluster sécurité alimentaire travaillera en toute impartialité avec tous les membres du cluster sécurité alimentaire, et sert et représente le groupe dans son ensemble, et pas seulement une agence. Discussion : En quoi cette étroite collaboration est-elle importante ? Il ou elle travaillera en étroite collaboration avec le coordinateur humanitaire/résident onusien ou son responsable désigné, comme convenu. Discussion : VIS-À-VIS DE QUI LE CC EST-IL RESPONSABLE ? “… travaillera en toute impartialité avec tous les membres du cluster sécurité alimentaire, et sert et représente le groupe dans son ensemble, et pas seulement une agence.” “… travaillera en étroite collaboration avec le coordinateur humanitaire/résident onusien ou son responsable désigné, comme convenu.” Cluster sécurité alimentaire

15 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - CC ET IMO
Chargé de gestion de l’information “… joue un rôle essentiel de recueil, d’analyse et de partage des informations qui sont importantes pour les parties prenantes du cluster pour prendre des décisions stratégiques documentées (basées sur des preuves)…” L’animateur du module peut lire ou faire lire à un stagiaire des extraits des TOR Le chargé de gestion de l’information est l’un des membres clés de l’équipe de coordination du cluster. Il joue un rôle essentiel de recueil, d’analyse et de partage des informations qui sont importantes pour les parties prenantes du cluster pour prendre des décisions stratégiques documentées (basées sur des preuves) concernant : Les besoins des populations touchées La hiérarchisation de ces secteurs selon les indicateurs de sécurité alimentaire L’endroit où le besoin d’acteurs humanitaires est présent, et dans quelle proportion La nature des lacunes les plus importantes concernant l’activité et le besoin La capacité (humaine, matérielle, financière) à utiliser pour répondre aux besoins de réponse prioritaires identifiés Le chargé de gestion de l’information aide par conséquent le coordinateur de cluster sécurité alimentaire en procurant au cluster les données et informations dont il a besoin pour prendre des décisions par programme. En tant que tel, le chargé de gestion de l’information doit pourvoir communiquer avec un grand nombre de personnes et d’agences différentes, et servir de ‘pont” entre les décideurs de sécurité alimentaire et le personnel IM technique. Dans ce travail, il est essentiel de pouvoir présenter des informations dans un langage facilement compréhensible par les membres du cluster, parfois au moyen de graphiques comme le mapping, mais aussi par le biais de tableaux, de courbes et de comptes rendus. D’autres fois, il s’agira de commenter les informations directement avec les décideurs pour interpréter sérieusement les résultats. Discussion : VIS-À-VIS DE QUI L’IMO EST-IL RESPONSABLE ? POURQUOI LES DONNÉES SONT-ELLES RECUEILLIES ? “… aide le coordinateur de cluster sécurité alimentaire en procurant au cluster les données et informations dont il a besoin pour prendre des décisions par programme.” Cluster sécurité alimentaire

16 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - CC ET IMO
Question : Quelles difficultés en termes d’impartialité le coordinateur “à double casquette” risque-t-il de rencontrer ? Comment le coordinateur peut-il les réduire ? Réunions du cluster sécurité alimentaire dans la province du Sindh au Pakistan Lorsqu’un membre du personnel du PAM fut nommé à temps plein comme coordinateur du cluster sécurité alimentaire de la province du Sindh début septembre 2010, le cluster était déjà dirigé par un membre du personnel du PAM à double casquette. Les réunions de cluster dirigées par le PAM étaient perçues de façon négative comme un cours magistral fait à ses partenaires. Le nouveau coordinateur utilisa une approche participative où tous les participants apportaient leur contribution et bénéficiaient de l’expérience des autres, changeant ainsi cette perception négative. Source : FSC Lessons Learned (Leçons apprises du FSC) 15 juillet 2011 Cluster sécurité alimentaire

17 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE - Architecture
Question : Comment la coordination inter-clusters est-elle gérée ? Quel en est le fonctionnement ? Comment peut-elle être améliorée ? Guide FAO 1.6 Comment le co-leadership du cluster est-il géré ? Il n’y a pas de modèle unique et, dès 2010, c’est plutôt un système de “co-présidence” ou de “co-facilitation” dans la plupart des cas : les réunions sont présidées tour à tour par les co-responsables tandis qu’un seul d’entre eux (parfois la FAO) fournit le CC et la plus grande partie de l’aide administrative et opérationnelle qui s’y rattache. Dans quelques cas, l’aide fait l’objet d’une rotation chaque année. Les ONG ont souvent rechigné à prendre des responsabilités de “co-leadership” par manque de ressources. On attend du groupe de travail de l’IASC qu’il fournisse une orientation précise en Entre temps, il faut veiller à garantir un leadership et une aide efficaces plutôt que d’essayer de satisfaire les désirs de visibilité d’organisations individuelles qui veulent un “morceau du gâteau”. Manuel sur le cluster éducation : protocole d’accord sur le co-leadership Un protocole d’accord (MoU) entre l’UNICEF et Save the Children pour ‘le leadership du cluster éducation mondial’ a été signé en novembre Il établit :  des objectifs clés pour le cluster éducation mondial  un cadre de fonctionnement et de dispositions de leadership communes aux niveaux mondial et national  des priorités clés pour le cluster  une description des rôles de l’UNICEF, Save the Children et du cluster Partenaires  des systèmes de partage du personnel, d’accueil, de responsabilité et de gouvernance. Une autre note de recommandation commune sur la création et le leadership du cluster éducation reflète le développement en cours du système de co-leadership au niveau national. Cette recommandation est expliquée au paragraphe 2.2. 2.2 Gestion de la relation de co-leadership 2.2.1 Gestion du co-leadership au niveau national Les systèmes de co-leadership du cluster au niveau national prennent des formes différentes. Des informations récentes peuvent être consultées dans les pages cluster du site Internet OneResponse à l’adresse suivante : De la même manière, les systèmes de co-leadership ou de facilitation varieront au niveau sous-national et des responsablités seront peut-être prises par un certain nombre de clusters différents. Recommandation nationale sur la création et le leadership du cluster éducation Parallèlement à la proposition de créer un cluster éducation, un système clair de leadership doit aussi être proposé au HC/RC. Cette proposition doit être le fruit de la collaboration entre Save the Children et l’UNICEF, plus d’autres parties prenantes du secteur éducatif. La note de recommandation nationale du cluster éducation mondial sur la création et le leadership du cluster éducation (compris dans les ‘ressources complémentaires’ listées à la fin de ce paragraphe) fournit une orientation sur les considérations essentielles qui doivent faire partie de ce processus et présente trois modèles différents pour le système de leadership : a) Co-leadership L’UNICEF et Save the Children, ou une autre agence de responsabilité sectorielle désignée, sont co-responsables du cluster. Les responsables des deux agences partagent les responsabilités de leadership. Les coordinateurs et d’autres membres du personnel du cluster sont sous les ordres de l’agence qui les emploie, mais sont responsables vis-à-vis des deux responsables d’agence pour garantir le fonctionnement efficace du cluster. Les décisions importantes sont prises collectivement et approuvées par les deux agences. Les tâches de coordination quotidiennes sont divisées comme convenu, et les deux agences collaborent pour être l’agence de dernier recours (PoLR). b) Leadership unique Les responsabilités de leadership sont assumées par une seule agence, avec un système probable de rotation (l’agence change, par exemple, tous les six mois).  L’UNICEF sert d’agence de responsablité sectorielle, Save the Children servant de partenaire lorsqu’ils sont présents. L’UNICEF, par l’intermédiaire du responsable d’agence, assume toutes les responsabilités de leadership.  Save the Children sert d’agence de responsablilité sectorielle, l’UNICEF servant de partenaire. Save the Children, par l’intermédiaire du responsable d’agence, assume toutes les responsabilités de leadership.  Une autre agence sert d’agence de responsabilité sectorielle, l’UNICEF et Save the Children servant de partenaires. Cela arrive quand une autre agence a une forte présence dans le secteur éducatif et que ni l’UNICEF, ni Save the Children n’est présent ou actif dans ce secteur ; ce sera probablement le type de disposition prise dans un cluster sous-national. L’agence de responsabilité sectorielle désignée assume toutes les responsabilités du PoLR. c) Co-leadership avec le Ministère de l’éducation Lorsque le Ministère de l’éducation (MoE) est capable et désireux de gérer la coordination d’une réponse éducative dans une situation d’urgence, il peut assumer la responsabilité officielle de co-leadership du cluster. L’UNICEF, Save the Children ou d’autres parties prenantes du secteur éducatif doivent jouer un rôle d’aide au MoE. Les agences doivent faire en sorte que les responsabilités du cluster soient claires. Exemple : Co-leadership au Sri Lanka L’UNICEF était la CLA désignée pour le cluster éducation, mais à cause de problèmes de visa, elle n’a pas pu déployer de coordinateur. Les responsables d’agence de l’UNICEF et de Save the Children ont convenu que Save the Children fournirait le coordinateur, étant donné que Save the Children avait le financement et le personnel pour le faire. L’UNICEF a pu apporter son aide au coordinateur par le biais d’un membre du personnel national qui avait déjà de bons contacts au Ministère de l’éducation. Dans cet exemple, l’UNICEF a continué à être le chef de file du cluster lors de réunions importantes avec le Ministère de l’éducation et en tant que membre de l’équipe humanitaire nationale. Toutefois, la mise en œuvre de la réponse du cluster et la coordination entre les clusters nationaux et sous-nationaux étaient gérées par le coordinateur employé par Save the Children. Comme Save the Children et l’UNICEF avaient une bonne relation de travail et étaient d’accord sur les rôles et responsabilités, ainsi que sur la structure du cluster, cela a permis aux parties prenantes d’avoir des objectifs et des responsabilités clairement définis. Source : Sparkes, J. (2009) Création et gestion d’un cluster éducation – Guide sommaire Responsabilités du cluster : étapes à suivre - Évaluer la présence, la capacité, l’envergure et la nature actuelles des relations de travail entre les agences internationales clés et le gouvernement national dans le secteur éducatif, aux niveaux national et sous-national. En se basant sur la présence, la capacité et les relations actuelles, et en collaboration avec l’unité cluster éducation mondiale (ECU) et le HC/RC, déterminer s’il y aura : Un co-leadership, une seule CLA , un co-leadership avec le MoE. En se basant sur le système de leadership convenu, déterminer comment les responsabilités de la CLA, notamment la responsabilité et le rattachement hiérarchique au HC/RC et à l’équipe humanitaire nationale (HCT), seront gérées, par ex. lorsque deux agences co-gèrent un cluster, comment ces responsabilités seront séparées et partagées. Préparer un protocole d’accord (MoU), identifiant précisément les rôles et responsabilités des deux CLA (le cas échéant). Voir le modèle de MoU pour un co-leadership de cluster éducation national dans les ‘ressources complémentaires’ listées à la fin de ce paragraphe. Expliquer précisément comment les deux CLA rempliront le mandat CLA de PoLR. Divulguer les informations relatives au leadership convenu au niveau des clusters partenaires, de l’OCHA et d’autres clusters et groupes de travail thématique transversaux, selon disponibilité. En se basant sur la capacité en personnel et sur son expérience au sein de la/des CLA et d’autres clusters partenaires, ou sur la capacité d’intervention rapide et de listes de réserve, convenir de systèmes de recrutement et de déploiement pour le/les coordinateur(s) et tout autre membre du personnel ou expert de cluster clé. Cluster sécurité alimentaire

18 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE
PERTINENCE Pourquoi ce sujet est-il abordé ? Le personnel des clusters a besoin de connaître l’histoire et les principes de son organisation, les différentes formes que cette organisation peut prendre, et leur propre rôle à l’intérieur de celle-ci. En quoi cela est-il relié à mes tâches quotidiennes ? Les TOR du FSC et les TOR par poste définissent ce qu’on attend du CC et de l’IMO. Ce module apportera un panorama de haut niveau du contexte humanitaire général et servira de tremplin à la présentation spécifique du prochain module au cluster sécurité alimentaire. Certains sujets évoqués dans ce module seront approfondis plus tard au cours de la formation. Les objectifs pédagogiques et les objectifs pédagogiques complémentaires définis pour ce module sont les suivants : Objectif pédagogique n° 1 : Comprendre la signification de l’expression “réforme humanitaire”. Définir brièvement les principes humanitaires et le droit international humanitaire. La compréhension de ces notions devrait suffire à fournir une explication appropriée, sans l’aide de références, à des personnes n’ayant aucune connaissance du sujet. Objectifs pédagogiques complémentaires : Souligner dans les grandes lignes les différences et les similitudes entre les codes de conduite, les principes directeurs et les objectifs stratégiques de diverses organisations. Définir les notions de “principes humanitaires” et de “droit international humanitaire”, et donner des exemples de leur application dans des actions. Identifier et évaluer l’initiative de “réforme humanitaire” et donner des exemples positifs et négatifs de son application. Objectif pédagogique n° 2 : Comprendre la structure et les objectifs de l’architecture de la réponse humanitaire et être en mesure de discuter des avantages et des défis de son application dans des actions. Comprendre la mission et l’objectif de l’OCHA et de l’UNDAC. Comprendre les rôles et responsabilités du HC/RC et d’autres structures telles que les missions intégrées et le double chapeautage. Préciser en particulier leur relation avec des piliers de la réforme. Comprendre les relations entre l’ONU, l’OCHA, les ONG, et d’autres organisations telles que la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge, les donateurs et les gouvernements. Comprendre la coopération/liaison civile/militaire Objectif pédagogique n° 3 : Comprendre l’historique, la structure et l’objectif des clusters. La compréhension de cette notion devrait suffire à fournir une explication appropriée, sans l’aide de références, à des personnes n’ayant aucune connaissance du sujet. Expliquer le système des clusters dans un langage simple. Comprendre pourquoi et comment le système des clusters a été créé à l’origine et comment il s’est développé au fil des ans. Discuter et comprendre les “principes de partenariat”. Discuter et comprendre les expressions “agence de responsabilité sectorielle” et “agence/fournisseur de dernier recours”. Identifier les différents clusters mondiaux, leurs termes de références (notamment chevauchements et liens), et leurs agences de responsabilité sectorielle associées. Discuter des interactions entre les clusters, l’OCHA, les donateurs et les gouvernements. Discuter des rôles et des responsabilités génériques des coordinateurs de cluster et des chargés de gestion de l’information ou IMO (non spécifique à la sécurité alimentaire) Discuter du rôle des problèmes transversaux dans les clusters. Discuter des méthodes communes de fonctionnement des clusters (non spécifique à la sécurité alimentaire). Cluster sécurité alimentaire

19 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE

20 CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE
- CALENDRIER Le HC consulte les partenaires Nomination du personnel du FSC Désactivation du FSC Création des clusters, création des CLA L’événement a lieu Nomination du HC/HCT Stratégie de sortie et gouvernement Conservation de clusters “inactifs” Cluster sécurité alimentaire


Télécharger ppt "CLUSTER SECURITE ALIMENTAIRE"

Présentations similaires


Annonces Google