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L’ovaire Ovaire polykystique ARICHI Bouchra.

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1 L’ovaire Ovaire polykystique ARICHI Bouchra

2 Introduction La reproduction dans l'espèce humaine est sexuée.
Elle nécessite la rencontre d'un ovule issu de l’ovaire par ovulation et d'un spermatozoïde au niveau de la trompe de Fallope fécondation La reproduction est le processus au cours duquel un être vivant produit d’autres êtres identique à lui-même,

3 L’ovaire Follicules avant maturation Follicule mûr Future ovule utérus
Corps jaune (formé par la paroi de follicule) Follicules avant maturation Follicule mûr Trompe de Fallope Migration de l’ovule Future ovule Ovaire Frange de la trompe ou frange tubulaire utérus Col de l’utérus Ponte ovulaire Follicule de De Graaf Vagin Ovule Figure2, Coupe d’un ovaire avec divers follicules ovariens Anatomie et physiologie de l’appareil génitale féminin

4 L’ovaire Deux chez la femmes Glandes génitales féminines
Situées sous les trompes utérines

5 L’ovaire Contiennent des follicules : petite vésicules ou les ovocytes se transforment en ovules, Produisent des hormones nécessaires au bon fonctionnement du système de reproduction féminine,

6 Ovarite (une salpingite)
Les maladies des ovaires Ovarite (une salpingite) Une inflammation des ovaires Généralement consécutive à une nflammation des trompes utérines. Fig 3,Ovarite hémorragique chez poulet

7 Les maladies des ovaires
Une tumeur peut se développer à ses dépens. Peut être bénigne comme les kystes ou maligne comme les cancers. Fig 4,Tumeur solide hétérogène de l’ovaire, contre-indication formelle à la cœlioscopie  fig 5, ovaire controlatéral anormal ausi, vous pouvez voir un corps blanc en fin de cicatrisation

8 Les maladies des ovaires
Insuffisance lutéale Une insuffisance en deuxième partie du cycle après l'ovulation d'hormone lutéale (progestérone) Deux origines principales : Une absence de formation du corps jaune par absence d'ovulation,  une mauvaise qualité du corps jaune qui ne sécrète pas suffisamment 

9 Syndrome des ovaires polykystiques
(SOPK)

10 SOPK Syndrome des Ovaires PolyKystiques = dystrophie ovarienne
= syndrome des ovaires micropolykystiques) Décrit initialement en 1935 par Stein et Leventhal. la pathologie endocrinienne la plus fréquente de la femme en période d’activité génitale. Affecte 6 % des femmes et constitue la première cause d’infertilité par anovulation, de troubles du cycle et d’hirsutisme.

11 SOPK est bien différent du simple kyste
Un kyste de l'ovaire : Une petite poche, remplie d'une sorte de mucus. fréquents mais bénins et disparaissent spontanément, sans nécessiter de traitement.

12 Fig 6,Volumineux kyste mucoïde de l'ovaire  (cyst-adénome mucineux bénin)
Fig 7, kyste très volumineux

13 En revanche Le SOPK est une maladie chronique
Caractérisée par un déséquilibre hormonal. Fréquent et expliquerait plus de 70% des infertilités.

14 Se traduit par La présence sur les ovaires de multiples kystes Durs
Des troubles des règles, D'une pilosité abondante, De l'acné, D'une stérilité Un hirsutisme, une séborrhée, ect

15 Fig 9,Ce qu’on voir lors de l’échographie Fig 8, ovaire polykystique

16 Causes Les chercheurs pensent qu'une résistance à l'insuline ainsi qu'un déséquilibre entre les hormones males (ex : la testostérone) et les hormones femelles (ex : les œstrogènes et les progestatives qui sont importantes pour le cycle menstruel) contribuent au développement de cette affection.

17 Traitements Traitement de la surcharge pondérale Traitement de l’hyperandrogénie Le traitement du SOPK est un traitement symptomatique et ceci jusqu’à la ménopause. Traitement de l’aménorrhée Traitement des anomalies métaboliques Traitement de l’infertilité

18 Traitement de la surcharge pondérale
Il est important d’appliquer des règles hygiéno-diététiques, comprenant un régime équilibré,  un exercice physique régulier et la perte de poids en cas d’obésité. Une perte d’environ 10 % du poids  comporte un effet bénéfique sur l’hyperandrogènie, sur l’infertilité et sur l’aménorrhée. Toutes ces mesures permettent de réduire le risque de complications liées à la grossesse et les risques de complications métaboliques à long terme.

19 Traitement de l’hyperandrogénie
L’hyperandrogènie est traitée par une pilule oestroprogestative en première intention ou par un antiandrogène (acétate de cyprotérone) combiné à un œstrogène en deuxième intention.

20 Traitement de l’aménorrhée
L’aménorrhée est traitée par une pilule oestroprogestative ou par un traitement progestatif séquentiel en l’absence de désir de grossesse.

21 Traitement des anomalies métaboliques
Les anomalies métaboliques sont traitées par des mesures hygiéno-diététiques en première intention et par les Biguanides (Metformine 3*500 mg/jour ou 2* 850 mg/jour) ou par les Glitazones en deuxième intention. 

22 Traitement de l’infertilité
Lorsque le SOPK est le seul facteur de l’infertilité, le traitement repose sur une stimulation de l’ovulation par Citrate de Clomiphène  (Clomid) en première intention ou par Gonadotrophines exogènes injectables en protocole « low dose » en deuxième intention avec des taux de grossesse semblables, d’environ 50 %. 

23 Traitement de l’infertilité
Le monitorage de l’ovulation permet de prévenir le risque d’hyperstimulation et de grossesse multiple. En l’absence de grossesse, un traitement chirurgical par DRILLING ovarien est proposé, avant de passer en FIV (fécondation in vitro) ou en MIV (maturation in vitro) en cas d’échec persistant ou d’hyperstimulation ovarienne difficilement contrôlable.

24 Conclusion Bien que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) constitue la maladie endocrinienne la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer, le tableau clinique est hétérogène et reste difficile à définir clairement. Les troubles du cycle menstruel, les signes d’hyper-androgénisme et l’élévation des taux de testostérone sont des critères obligatoires pour ce diagnostic.

25 Chez la plupart des patientes, on observe à l’ultrasonographie l’image typique de follicules arrangés en collier de perles à proximité de la surface des ovaires. Si une résistance à l’insuline est souvent présente chez les patientes avec SOPK, la détermination de l’insulinémie ne fait pas partie des examens diagnostiques. Le traitement symptomatique fait appel aux substances antiandrogéniques et aux œstrogènes. En cas de désir de grossesse, le citrate de clomiphène reste le traitement de choix pour inverser l’anovulation chronique.

26 Références


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