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«  Le développement durable à l’échelle du jardin de particulier » ou « Charbonnier est maître chez soi »

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Présentation au sujet: "«  Le développement durable à l’échelle du jardin de particulier » ou « Charbonnier est maître chez soi »"— Transcription de la présentation:

1 «  Le développement durable à l’échelle du jardin de particulier » ou « Charbonnier est maître chez soi »

2 « Sustainable development »
  Remarque préalable La traduction française: Développement Durable peut fausser la vision. Il s’agit pour Gro Bruntland de « Développement soutenable » « Le qualificatif « sustainable » avait été choisi très soigneusement par l’éminente dirigeante d’un pays dont la culture est empreinte du respect des forces de la nature. Son objectif était d’opposer une réponse aux tenants de la croissance zéro comme Meadows qui, au nom du club de Rome, prétendaient démontrer que la seule stratégie face aux limites des ressources planétaires était la renonciation à la croissance  » Paul-Henri Bourrelier

3 1987 – Rapport Bruntland Sustainable development »
« Notre avenir à tous » « Sustainable development » « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Il faut « penser globalement et agir localement »

4 Schéma du DD

5 Une réflexion philosophique forte
 « L'homme moderne a rejoint les plocéidés(oiseau tisserin) puisque indépendamment de tout objectif raisonnable et justifié il en arrive à faire les choses non plus parce qu’elles sont utiles mais parce que l’on peut les faire »  Théodore Monod

6 Que peut on faire? Il n’y a pas de « grandes » actions et de « petites » actions. Chaque citoyen a son rôle à jouer et le geste quotidien de chacun fait le résultat de la collectivité en matière environnementale. Ceci est l’action de la goutte d’eau qui remplit un vase, érode une falaise ou ….produit une grosse facture!

7 Que peut on faire? Dans son petit ou grand jardin une réflexion s’impose: le geste que je fais est il ou non pénalisant pour mon environnement? Bien sûr on peut toujours attendre qu’une loi interdise d’utiliser l’eau, ou les pesticides, ou même attendre que son voisin devienne vertueux ….ce qui peut prendre du temps!!! Bien sûr les économies environnementales réalisées par le particulier ne semblent pas peser grand-chose mais……

8 La pollution est l’affaire de tous, le respect de l’environnement l’affaire de chacun…

9 Petits gestes….grands effets
Modifier le fleurissement en favorisant les plantes vivaces, les arbustes à fleurs, les rosiers ou les plantes annuelles adaptées à notre climat Modérer l’arrosage Eviter l’usage des herbicides Supprimer l’usage des pesticides (insecticides et fongicides) Diminuer les déchets végétaux et les utiliser comme ressources…….

10 Eviter les empilements de plantes annuelles communes….

11 Ne pas négliger les vivaces car l’embellissement n’est pas l’apanage des plantes annuelles.

12 Sans oublier les rosiers et les massifs mixtes

13 Dans mon jardin les fleurs ne poussent pas droites
Et alors ???

14 Je peux aussi me croire en pleine campagne

15 Et si les villes le font, pourquoi pas moi?
..

16 Restaurer la biodiversité
La biodiversité est seule garante de la pérennité des milieux et, ce faisant de la pérennité de l’humain en tant que représentant d’une espèce animale. L’intelligence humaine n’est pas dans la domination, dans la maîtrise, voire dans la manipulation de la nature, l’intelligence humaine est de comprendre que l’homme est un simple élément de la biodiversité, que l’ensemble des plantes et des animaux qui l’entourent ont un rôle (parfois incompréhensible) sur sa propre survie. On ne peut classer les plantes en «bonnes » ou « mauvaises », on ne peut classer les animaux en « consommables » ou « esthétiques »…. La nature n’est ni bonne, ni mauvaise, elle est efficace et utile. La biodiversité n’est pas l’ennemi de l’esthétique, entre un Tagetes et une Digitale mon choix est vite fait.

17

18 Les économies d’eau Pourquoi?

19 La planète bleue Seule 0,5% de l’eau est disponible
1,2 milliard de personnes n’ont pas accès à l’eau potable 70% des prélèvements sont destinés à l’agriculture La qualité de l’eau se dégrade

20 Les économies d’eau. Comment?
Utiliser des plantes économes en eau ou adaptées au climat Eviter les gazons tondus courts Eviter le programmateur réglé une fois pour toutes… Arroser beaucoup 1 ou 2 fois par semaine et non un peu tous les jours Faire attention aux fuites même faibles Eviter les apports d’azote qui favorisent la transpiration des plantes Pailler les sols pour éviter l’évaporation

21 Supprimer les pesticides
Pourquoi?

22 Inoffensifs herbicides!
Monsanto condamné en appel pour publicité mensongère Par L’EXPRESS.fr, publié le 29/10/ :17 Le pesticide Round up contient du glyphosate classé en 1991 "dangereux pour l'environnement", ce qui n'a pas empêché Monsanto de vanter son produit comme "biodégradable" pendant des années. La firme a été condamnée pour "publicité mensongère", décision confirmée ce mercredi en appel. La Cour d'appel de Lyon a condamné à euros d'amende pour "publicité mensongère" sur le désherbant Round Up un ancien responsable de la branche française du géant américain de l'agrochimie Monsanto, et un ancien dirigeant de l'entreprise distribuant le produit.

23 « L’herbicide Roundup est largement utilisé par les agriculteurs, mais aussi les particuliers et les services de voirie (TRI 273). Son utilisation croît avec celle des organismes génétiquement modifiés, dont la grande majorité a été spécifiquement conçue pour le "tolérer". Pourtant, sa notoriété pâtit de plusieurs études montrant la toxicité de ces composants, en particulier le glyposate. La dernière alerte est un article publié le 24 février dans la revue américaine Environmental Health Perspective, signé par Gilles-Eric Séralini et son équipe de l’université de Caen. Il décrit plusieurs effets toxiques du glyphosate et de ses adjuvants appliqués à dose faible sur des cellules placentaires humaines in vitro. Les perturbations endocriniennes constatées pourraient expliquer les taux parfois élevés de naissances prématurées et de fausses couches constatées dans certaines études épidémiologiques sur des agricultrices américaines utilisant le glyphosate. L’équipe a comparé les effets respectifs de la matière active glyphosate et du produit commercial Roundup. Elle a constaté que le produit commercial était plus perturbateur que son principe actif isolé. Toutes ces études demandent confirmation, nous dira-t-on. Certes, mais rappelons nous le cas de l’atrazine : avant son interdiction en 2003, ce désherbant était largement utilisé et présenté sans danger… » J.-Y.Griot, Transrural initiatives n°282, 5 avril 2005

24 Il est urgent de réfléchir à l’impact des pesticides sur notre environnement

25 Pourquoi réfléchir à des méthodes alternatives au désherbage chimique ?
    traitement mal adapté     surdosage    problème des eaux de rinçage   les caractéristiques du milieu ne sont pas adaptées à un traitement : -  zone humide -  zone de ruissellement - zone imperméable

26 3 possibilités Empêcher les herbes de pousser : techniques préventives (paillage) Détruire les herbes par des moyens non chimiques : techniques curatives (thermique, mécanique ou manuel) Laisser la végétation spontanée s’installer

27 Le désherbage manuel Binette Sarcleuse Ratissoire Ce n’est pas une méthode passéiste ou rétrograde car c’est souvent le seul moyen d’éradiquer les vivaces implantées.

28 Le thermique Petit brûleur à gaz
Méthode S.E.B. ou Système à l’Eau Bouillante Les détracteurs diront que cela produit du CO2, certes mais que disent ils de la pollution des eaux? Eaux de surface mais aussi nappes phréatique sont polluées par les pesticides utilisés à satiété depuis les années50

29 Laisser l’herbe et tondre

30 Insecticides et Fongicides
Dangereux et inutiles Favoriser les auxiliaires présents naturellement ( plantes en mélange, haies mixtes…) Choisir des plantes résistantes Utiliser les produits classiques « naturels »: bouillie bordelaise, soufre….mais uniquement en cas de besoin Accepter un % de perte

31 Roseraie menée sans insecticide (Genève)

32 Les déchets verts Déchets ou ressources?

33 INTERDICTIONS Abandonner ses déchets sous peine de supporter les frais d’une élimination d’office ordonnée par les pouvoirs publics (Art. L du Code de l’environnement) Brûler ses déchets à l’air libre (article 46 de l’arrêté du 2 février 1998) (art 84 RSD) Mettre en décharge des déchets non ultimes (Art. L du Code de l’environnement).

34 Scénario catastrophe…
Bien loin de « chez nous » On se rassure comme on peut…mais

35 Les déchets 360 kg/français/an
Beaucoup d’emballages inutiles (plus de 50% du volume de nos déchets) Nombreux déchets dans la nature Déchets dangereux, déchets électroniques Peu de valorisation des déchets organiques Pollution des sols, de l’air et des eaux

36 La mise en décharge des déchets végétaux est interdite depuis 1er juillet 2002, ils doivent faire l'objet d'une valorisation En l'absence de compostage, le stockage des déchets verts sur le lieu de production a un impact négatif visuel et souvent olfactif. Le transport des déchets et la pollution atmosphérique qu'il entraîne représentent un impact négatif de la gestion des déchets.

37 Que faire des déchets de végétaux ?
du mulch  Les déchets de tontes : après séchage 1 à 2 jours et en couche peu épaisse pour éviter le développement de champignons, en paillage de massifs. Les déchets de tailles et d’élagage : après broyage, en couche de 10 cm sur les massifs, aux pieds des arbres et des arbustes. Les feuilles mortes également au pied des arbres et des arbustes

38 du compost : Le compostage est un procédé biologique de conversion et de valorisation des matières organiques (sous-produits de la biomasse, déchets organiques d'origine biologique...) en un produit stabilisé, hygiénique, semblable à un terreau, riche en composés humiques, le compost. (définition Wikipidia)

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41 Que faire du compost ? un très bon amendement
formation du complexe argilo-humique  => améliore la structure du sol par augmentation des agrégats => meilleure perméabilité à l’air et à l’eau => meilleure rétention d’eau => fournit des éléments nutritifs => augmente l’activité biologique du sol…….

42 Il n’est jamais trop tard pour agir car…
« Sur le chemin le plus long, le pas qui coûte le plus est le premier »


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