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1 PRÉSENTATION DGPIP 23eme Réunion du CIE, 10 au 13 Mars 2008.

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1 1 PRÉSENTATION DGPIP 23eme Réunion du CIE, 10 au 13 Mars 2008

2 2 La DGPIP  Sa Mission  Ses indicateurs de performance  Le climat des affaires

3 3 La DGPIP  La DGPIP est une administration de mission instituée auprès de la Présidence de la République  La DGPIP est investie d’une mission transversale qui recoupe et complète les domaines de compétence de tous les départements.

4 4 Mission 1.l’amélioration de l’environnement des affaires, la modernisation du cadre réglementaire et des procédures ; 2.la promotion de la Mauritanie comme destination d’investissement, notamment à travers la mise en place et l’édition de bases de données sur les opportunités d’investissement ;

5 5 3.l’appui au renforcement de la compétitivité des entreprises; 4.l’appui à la mise à niveau du tissu économique, industriel et commercial; 5.l’appui au renforcement de la compétitivité des facteurs de production et de l’attractivité de l’économie mauritanienne ;

6 6 6.la recherche, l’identification, l’accueil, l’information, l’accompagnement et l’assistance des investisseurs nationaux et étrangers ; 7.l’assistance au partenariat, public privé, et entre opérateurs privés nationaux ainsi que la promotion de joint-ventures; 8. l’appui à la création d’entreprises; 9.l’identification des secteurs et créneaux porteurs et des sources potentielles de croissance pour l’économie nationale;

7 7 10. l’appui au renforcement des capacités des organisations patronales ; 11. le suivi des contacts et l’évaluation des projets d’investissement.

8 8 Indicateurs de Performance: Résultats en terme : 1.de flux de capitaux étrangers investis dans l’économie mauritanienne ; 2.de nombre de projets d’infrastructures construits et/ou pris en charge par des partenaires privés; 3.d’entreprises créées, mises à niveau et/ou certifiées; 4.d’amélioration du classement de la Mauritanie dans le « doing business ».

9 9 Prise de conscience au plus haut sommet de l’État:  Volonté de créer un environnement propice aux investissements  Poursuite d’une politique d’économie libérale considérant le secteur privé comme moteur du développement économique  Lancement d’une vaste étude stratégique sur le développement du secteur privé. Réforme au sein de l’État : Ministère en charge de la modernisation de l’administration  Réorganisation efficace de l’état (e-gouvernement);  Simplification des procédures administratives en particulier celles du Guichet Unique de l’investissement. Le climat des affaires

10 Système judiciaire:  Très forte revalorisation des salaires des magistrats;  Intensification des efforts de formation;  Opérationnalisation des tribunaux de commerce: Nouakchott et Nouadhibou  Création d’une chambre de médiation et d’arbitrage (en cours), au sein de la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Mauritanie (CCIAM), et ce, en Partenariat avec la Chambre de Médiation et d’Arbitrage de Paris.

11 11 Projet de nouveau Code des Investissements:  Refonte totale de l’ancien code des investissements;  Extension sensible des avantages fiscaux et des garanties;  Introduction du régime fiscal stabilisé. Présentation du Guichet Unique  Il réunit en un même temps et espace les différentes administrations intervenant dans la création d’entreprises et l’agrément des projets d’investissement

12 12 Fiscalité:  Allégement de la fiscalité aux entreprises:  réduction IMF;  annulation de la taxe à l’export Système financier:  Nouvelle loi bancaire;  Ouverture du système bancaire aux banques étrangères  Loi sur la micro finance  Ouverture du secteur des assurances

13 13 Lutte contre la corruption :  Institution de l’Inspection Générale de l’État (IGE)  loi anti-corruption  journée nationale de la lutte anti-corruption  la Mauritanie a signée en 2005 l’Initiative de Transparence des Énergies Extractives  Stratégie de lutte contre la corruption  Institution de l’obligation de déclaration de patrimoine pour les hautes charges de l’Etat  Programme National de Bonne Gouvernance

14 14 Les créneaux porteurs

15 15 Les créneaux porteurs  Mines  Hydrocarbures  Énergie  Infrastructures  Pêche  Agriculture/ Élevage  Tourisme  Promotion immobilière  Environnement

16 16 Opportunités offertes par le marché Infrastructures  Ports  Aéroports  Chemin de fer  autoroutes  Équipements marchands  Centrales  Gares routières INFRASTRUCTURES Il convient de noter que tous les créneaux porteurs présentant des opportunités d’investissement à grande échelle souffrent du manque accru d’infrastructure à même de servir de support à l’éclosion d’une économie intégrée.

17 17  Potentiel halieutique : 1,6 millions de t/an dont :  100.000 t/an de ressources démersales  1.200.000 t/an de ressources pélagiques  300.000 t/an de mollusques bivalves  Production nationale : Majoritairement exportée vers l’Europe, l’Asie et l’Afrique  10% des captures transformées Les opportunités d’investissement dans le secteur de la pêche  Développement des filières industrielles de transformation.  Promotion de l’exploitation des ressources sous exploitées (ex: praires, crabes).  l’aquaculture (crevettes, huîtres). La promotion de la pêche, levier de lutte contre la pauvreté

18  Contexte général  La Mauritanie est un pays sans tradition de pêche.  L’économie mauritanienne, dans les prémières années de l’indépendance a été fondée sur l’élevage, l’agriculture et l’exploitation minerais de fer et de cuivre.  Suite à la désertification et à la chute des cours des minerais de fer, le gouvernement s’est orienté vers la pêche comme substitut.

19  Pêche artisanale  Les captures annuelles de la pêche artisanal sont estimé en moyenne entre 65 et 80 000 tonnes. Ce qui représente à peu près10 % des captures totales.

20  Effort de pêche  Bien que les ressources mauritaniennes soient exploitées depuis le début du 19 ème siècle, les premières unités mauritaniennes sont apparues seulement au début des années 80 et presque exclusivement demérsal.  Cette entrée des navires ne concerne que la pêche de fond et la pêche au poulpe notamment

21  Place du secteur  6-10% du PIB national / 95% des captures sont exportées / 40-50% des recettes d’exportation (apport en devises)  25-30% des recettes budgétaires de l’État  36% des emplois du secteur moderne  Production nationale  Production nationale majoritairement exportée(à l’état brut congelé, vers les marchés européens, Asiatiques et africains )  Faible valeur ajoutée nationale : 10% des captures transformées avant exportation  Possibilités d’investir dans l’industrie de transformation 21

22  Accords de pêche (2006)  Ouverture des eaux mauritaniennes aux bateaux européens (200)  Captures actuelles (~ 700.000 t/an) en deçà du potentiel  Flotte nationale : 8% des captures 22

23  Reformes Stratégiques  Suppression de la taxe à l’exportation (1996)  Code des pêches (2000) et son décret d’application (2002)  Création d’un Office National de l’Inspection Sanitaire des produits de la pêche (2006)  Élaboration des plans d’aménagement durables des pêcheries pour préserver les ressources (ex: poulpe)  Amélioration des infrastructures portuaires et routières  Création de la Société Mauritanienne de la Commercialisation des Produits de Pêche (SMCP) 23

24  Perspectives d’amélioration:  Développer les filières industrielles de transformation  Promouvoir l’exploitation des ressources sous exploitées (ex: praires, crabes, crevettes, huîtres)  Développer et améliorer les infrastructures portuaires : construction d’un port de débarquement pour les pélagiques à NDB, extension et équipement des quais du port autonome de NDB, amélioration du balisage du PAN et l’enlèvement des épaves  Renforcer le contrôle sanitaire pour la certification des exportations;  Réviser la fiscalité de la pêche  Développer un système d’information sur les pêches 24

25  Co ntraintes:  Effort de pêche intense sur certaines catégories de poissons (céphalopodes ex. poulpe) et des principales espèces démersales (d’autres ressources sont peu exploitées)  L’obligation de certification sanitaire et de qualité des produits de pêche freine l’accroissement des exportations de certains produits (ex: praires) et le développement de produits transformés;  Coûts des facteurs de production : passage portuaires, l’énergie et les intrants industriels importés (pas de mesures fiscales incitatives);  Monopole de la SMCP sur les exportations de poissons (essentiellement céphalopodes);  Fin du régime préférentiel accordé aux pays ACP (en 2008) en terme de protection des exportations face aux produits concurrentiels asiatiques 25

26 La pêche artisanale a une très faible intensité de capital. La pêche artisanale répond aux besoins des petits épargnants. Elle est bien à leur portée. La pêche artisanale a une très forte densité d’emploi. Elle prend en charge un effectif de 32 000 employés. La pêche artisanale contribue à la politique nationale de sécurité alimentaire. La pêche artisanale contribue aussi à la lutte contre la féminisation de la pauvreté. Une conserverie de poisson à Nouadhibou occupait 400 femmes sur 500 avant d’être fermée. La fermeture de cette conserverie était une véritable catastrophe sociale. 26 La pêche artisanale et la lutte contre la pauvreté

27 27 Avant de clôturer cette intervention, je ne laisserai l’occasion échapper, sans demander à nos frères Nord-Africains de nous aider à mettre le doigt une fois pour toute, sur ce qui empêche NOTRE PECHE pour la laquelle on n’a jamais cessé de s’investir, soit à la hauteur de nos ATTENTES.

28 28 Merci pour votre attention


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