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Références 4 Klein et la remise en cause de l’œuvre en Art

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Présentation au sujet: "Références 4 Klein et la remise en cause de l’œuvre en Art"— Transcription de la présentation:

1 Références 4 Klein et la remise en cause de l’œuvre en Art
Références 4 Klein et la remise en cause de l’œuvre en Art. Opportunisme ou sincérité ? Yves Klein Chercheurs d’absolus et vrais mystiques ? Ou bien simples opportunistes habiles, ayant pour principal génie celui de communication dans le cercle étroit des faiseurs de cotes et de décotes ? L’art est bien un marché. Fascinant ou amusant le public plus large de ceux qui sautent dans le train du nouveau, par souci de distinction sociale ? La question reste ouverte et touche d’une manière radicale aux question du statut de l’artiste : est-il créateur ou médium ? de l’œuvre : renvoie-t-elle à autre chose qu’elle-même (représentation de… ou simple présence) De la réception de l’ouvre par son public : comment s’apprécie-t-elle ? Rapport à une vérité, à une émotion, à une expérience ? L’œuvre elle-même est-elle un vécu (happening ? performance ? promis à l’effacement) ou un objet qui demeure ? Un acte poétique, un geste politique ? Version Travail : toute suggestion pour compléter ou amender cette présentation sont bienvenues. Certaines diapositives ont un texte complémentaire. Il suffit de quitter l’affichage diaporama et de passer en affichage/page de commentaire. 14 dia.

2 1 / des happenings aux monochromes
2 / L’art peut-il n’être qu’un discours sur l’art : l’œuvre en son absence… 3 / De l’art au commerce

3 1 / des happenings aux monochromes

4 « Mes peintures ne sont que les cendres de mon art ».
Yves Klein Malgré une carrière courte ( ) un des chefs de file de l’avant-garde artistique d’après-guerre. « Yves le Monochrome » construit en 8 ans une véritable saga - « l’aventure monochrome » et devient un mythe L’œuvre d’Yves Klein révèle une conception nouvelle de la fonction de l’artiste. Celui-ci n’est jamais à proprement parler l’auteur d’une œuvre puisque, selon Klein, la beauté existe déjà, à l’état invisible. Sa tâche consiste à la saisir partout où elle est, dans l’air, dans la matière ou à la surface du corps de ses modèles, pour la faire voir aux autres hommes. Il commence par ouvrir une école de judo, après un séjour au Japon, passionné par cette méthode d’éducation intellectuelle et morale. Découvre en 1947 la mystique des Rose-Croix dont il devient membre. Les monochromes qu’il peint sont pour lui des objets de culte. Il se qualifie lui-même « peintre du vide » et ne présente plus au départ que des toiles réduites à la couleur bleue : un espace-couleur infini.. « Le bleu rappelle tout au plus la mer et le ciel : ce qu’il y a après tout de plus abstrait dans la nature tangible et visible ». « Mes peintures ne sont que les cendres de mon art ». La fonction qu’Yves Klein assigne à la peinture : rendre l’espace sensible, faire sortir le tableau de son cadre ce qui l’amène à faire des « performances » ou actions artistiques éphémères qui n’ont plus la matérialité du tableau.

5 Empruntes humaines La « technique des pinceaux vivants », ou « anthropométrie », revient à laisser au corps humain le soin de faire le tableau, mettant ainsi l’artiste en retrait. Anthropométrie de l’époque bleue (ANT 82), 1960 Pigment pur et résine synthétique sur papier monté sur toile  Le 23 février 1960, Klein conviait Pierre Restany dans son atelier pour assister à une nouvelle utilisation du corps. Il ne s'agissait plus de ramper sur le support, mais d'y déposer une trace identifiable. Un modèle dont le buste, le ventre, les cuisses étaient badigeonnés de peinture bleue appuya son corps à plusieurs reprises sur des papiers disposés sur le sol ou agrafés au mur, y laissant l'empreinte bleue de son corps. Restany s'enthousiasma et, selon ses propres termes, s'écria : « Ce sont les anthropométries de l'époque bleue. » Elles ont l'immense avantage, par rapport au monochrome corporel uni de 1958, de donner à voir la trace pérenne d'un contact charnel.     Pour conférer un éclat public à cet usage de « pinceaux vivants », Klein organisa la soirée des Anthropométries de l'époque bleue. Elle se déroula devant une centaine d'invités réunis, le 9 mars 1960, à Galerie internationale d'art contemporain à Paris. L'artiste, en smoking, nœud papillon blanc et croix de Malte des chevaliers de l'ordre des Archers de Saint-Sébastien au cou, les mains protégées par des gants immaculés, dirigea les évolutions de trois modèles. Elles réalisèrent diverses Anthropométries, tandis qu'un petit groupe de musiciens interprétait la Symphonie monoton-silence. Cette composition, conçue quelques années auparavant par l'artiste, comporte deux parties, l'une sonore, l'autre, d'égale durée, silencieuse. Le son, continuum complexe sans aucune variation, évoque la monochromie, et la structure bipartite de l'œuvre rappelle 1960 – Fameux happening, tenue de soirée, orchestre et trois modèles enduits d’IKB se traînent ou se plaquent sur des supports en papiers qu’elles marquent ainsi de leur emprunte. D’où le nom d’Anthropométrie qui signifie « mesure du corps humain ».

6 « Yves le Monochrome » (surnom qu’on lui donna) utilisait un rouleau pour peindre ses œuvres, afin, disait-il, de couper court à tout épanchement de la subjectivité à la surface du tableau. Le recours aux « pinceaux vivants » permettait aussi de maintenir une distance entre l'artiste et son œuvre. Anthropométrie sans titre (ANT 7) vers 1960, pigment pur et résine synthétique

7 IKB = International Klein Blue
La sculpture en éponge est un des dérivés du Monochrome. L’objet est autonome dans l’espace alors que la peinture était liée au mur. Grâce à elle l’espace sera mieux imprégné des qualités du bleu… A la vue des monochromes les spectateurs doivent être « imprégnés en sensibilité comme des éponges » (Sic). Les sculptures en éponge sont comme des portraits de visiteurs qui s’imprègnent de la peinture imprégnée ! Elles transmettent une sensibilité artistique. Pigment pur et résine synthétique sur toile marouflée sur bois 199 x 153 x 2,5 cm Des premiers monochromes du début des années cinquante, qui manifestent la sensibilité à l’état pur, aux "peintures de feu" de la dernière année de sa vie où l’un des quatre éléments exprime sa force créatrice sous la direction de l’artiste, c’est la réalité invisible qui devient visible. La réduction des couleurs au bleu fait jouer à la matière picturale le rôle de l’air, du vide, duquel, pour Yves Klein, naissent la force de l’esprit et l’imagination. On comprend que cette pratique artistique ne trouve pleinement son sens qu’en référence à une conception singulière du monde que s’est forgée Klein à partir d’expériences parallèles : le judo (en japonais : pratique de l’art) fondé sur les forces et éléments naturels du cosmos (eau, air, feu, terre), pour la visualisation et l’assimilation des énergies positives ou contradictoires, et la philosophie ésotérique des Rose-Croix qui recherche les forces spirituelles gouvernant l’Univers. L’activité d’Yves Klein est donc gouvernée par une cosmologie qui fait du monde le principal acteur de l’art. C’est cette idée du monde comme œuvre que Klein apporte au Nouveau Réalisme. Néanmoins, la finalité de sa démarche reste pleinement artistique : ses théories aussi bien que ses innovations sont à interpréter comme des contributions majeures à l’évolution de l’art contemporain dont l’artiste avait clairement conscience. Seule une vie trop courte l’a empêché d’achever ses projets et de diffuser ses conceptions. En témoignent les artistes de la génération suivante qui, refusant l’objet esthétique, ont su hériter de ses innovations, par-delà son parti pris mystique. - A partir de 1955, il expose des monochromes de différentes couleurs pour se spécialiser dès 1956, dans le « IKB » (International Klein Blue ), un bleu outremer pour lequel il avait même introduit une demande de brevet (jamais obtenue par ailleurs). Ses œuvres monochromes se vendent à des prix ahurissants. Le « Monochrome bleu » (voir reproduction recto verso,  dimension 24 x 19 cm) vient d’être vendu € chez Campo Vlaamse Kaai à Anvers le 25 avril 2006. Monochrome bleu (IKB 3), 1960 1957 : Les Monochromes bleus, baptisés « propositions monochromes » sont exposés à Milan. Onze tableaux vendus à des prix différents. Klein en conclut que chaque tableau, en plus de sa réalité matérielle, est imprégné d’une qualité immatérielle qui le distingue des autres. Le « IKB » (International Klein Blue ) est né en 1956, un bleu outremer pour lequel il introduit une demande de brevet jamais obtenue. Ses œuvres monochromes se vendent à des prix ahurissants.

8 Yves Klein : Monochrome doré, 1962
Yves Klein : La victoire de Samothrace, 1962 Yves Klein : Monobleu IKB 77, 1960 (IKB = International Klein Blue)

9 Retour sommaire Yves Klein : Anthropométrie, 1960
Yves Klein, Vénus bleue, , Plâtre et Pigment 120/300 Retour sommaire

10 2 / L’art peut-il n’être qu’un discours sur l’art : l’œuvre en son absence…

11 Sculpture aérostatique B(2007)
Sa recherche est cependant celle de l’immatériel et de l’éphémère. « Mes peintures ne sont que les cendres de mon art ». Alors que les Monochromes sont encore des peintures sur toile pourvue d’une matérialité, qui sont une trace de l’invisible qui est la quête fondamentale… Première étape d’un travail qui prend appui sur le visible pour franchir le seuil de l’invisible. D’où certaines actions : un lâcher de mille et un ballons bleus dans le ciel de Paris en 1957, une exposition qui n’est qu’une galerie vide en 1958, ou la vente de « zone de sensibilité picturale immatérielle » en 1959. 1959 : Maquette de chèque, pour une vente de zone de sensibilité picturale immatérielle, 1959 Encre et peinture dorée sur papier collé support de papier gouaché 15,5 x 37 cm Cette maquette a été réalisée par Yves Klein à la demande de sa galeriste Iris Clert. Elle sert de modèle au chéquier de reçus imprimés que l’artiste doit délivrer à l’acquéreur d’un "volume" ou d’une "zone de sensibilité picturale immatérielle". La valeur d’échange n’en est pas cependant une somme d’argent payée en monnaie courante, mais quelques grammes d’or, d’où l’emploi de la peinture dorée pour dessiner la structure des reçus, et de l’encre rose qui renvoie au sang de l’artiste qui s’investit pleinement dans cet acte. Pour comprendre cette œuvre qui semble éloignée de toute préoccupation artistique puisqu’elle témoigne, en premier lieu, d’une transaction, il convient de revenir à la signification de ce que Klein nomme la "sensibilité picturale immatérielle". La fonction de l’artiste consiste à révéler une nouvelle sensibilité à partir de la sensibilité première qu’est l’espace vide. Il fait surgir du vide ce dont il est plein, "le sang de la sensibilité spatiale" (in L’Architecture de l’air, Conférence de la Sorbonne, 1959), c’est-à-dire le pouvoir de l’imagination ou la création à l’état pur. Pour reprendre le libellé exact donné à la manifestation connue sous le titre Le Vide, au printemps 1958, l’art a pour rôle La spécialisation de la sensibilité à l’état matière première en sensibilité picturale stabilisé. Le travail artistique dont témoigne le reçu se situe donc au moment où l’artiste donne à voir la créativité qui habite le vide. Il s’agit d’un tour d’alchimie, ce qui explique pourquoi Yves Klein refuse l’argent pour lui préférer l’or : "Le prix du sang ne peut être de l’argent, il faut que ce soit de l’or" (ibid.). Cette exigence parachève la symbolique mystique de l’action. Sculpture aérostatique B(2007)

12 La dématérialisation de l’œuvre !
1958 galerie Iris Clert à Paris : l’Exposition du vide un événement légendaire de l’art du 20ème s. « La galerie, dont les murs avaient été repeints en blanc, paraissait absolument vide. Le dispositif global était cependant articulé en deux volets : à l'intérieur régnait la « sensibilité picturale immatérielle », mais à l'extérieur, des rappels de la monochromie avaient été ménagés. L'invitation fut affranchie avec un timbre bleu, évocation des tableaux monochromes que les amateurs d'art avaient pu voir quelques mois auparavant. La vitrine de la petite galerie était peinte en bleu. Le public devait entrer par le portail de l'immeuble, encadré d'une draperie - bleue, bien sûr. Inscrit dans le souvenir, réactivé par sa présence périphérique, le bleu était aussi incorporé : avant qu'ils ne pénètrent à l'intérieur de la galerie, les visiteurs étaient invités à ingérer un cocktail bleu (gin, cointreau et bleu de méthylène). Cette communion préparatoire avec la couleur emblématique de l'artiste, lui-même incarnation de la monochromie, constituait le dernier jalon du parcours propédeutique mis en place. Klein le dit sans aucune ambiguïté : « Ainsi, le bleu tangible et visible sera dehors, à l'extérieur, dans la rue, et, à l'intérieur, ce sera l'immatérialisation du Bleu. » La galerie, habitée par un « état pictural invisible mais présent », n'était donc nullement « vide », en dépit des apparences. L'artiste s'appuie sur la mémoire du tableau, « cendre » de son art, pour promouvoir des constructions spéculatives qui articulent dans un geste poétique le visible, le bleu, à la périphérie, et l'invisible présence de son rayonnement, accessible aux seuls yeux de l'esprit. Le mode d'existence des œuvres invisibles requiert une saisie indirecte. Elle est rendue possible par un système de désignations : lieux d'inscription, images de l'absence, déclarations et textes qui manifestent l'existence du geste et de la pensée qui le sous-tend.[…] alors que ses prédécesseurs usaient du visible pour manifester l'invisible, Klein restitue l'invisible comme tel ».

13 1960 : « Le Saut dans le vide », Action artistique d’Yves Klein
Titre de l’œuvre d’Yves Klein d’après son journal « Dimanche 27 novembre 1960 » : « Un homme dans l’espace ! Le peintre de l’espace se jette dans le vide ! », 1960 Mais le travail d’Yves Klein sur le vide le plus « célèbre » reste sans doute celui du « Saut dans le vide ». Il présente une photographie dans une fausse édition du « Journal du Dimanche » en première page. Ton sensationnel : « Un homme dans l’espace ! Le peintre de l’espace se jette dans le vide!». Il explique dans la légende : « Pour peindre l’espace, je me dois de me rendre sur place, dans cet espace même... sans trucs ni supercheries, ni non plus en avion ni en parachute ou en fusée : [le peintre de l’espace] doit y aller par lui-même, avec une force individuelle autonome, en un mot il doit être capable de léviter ». L’image est bien entendu un trucage. Klein a bien sauté mais sur une bâche tendue, remplacée par une image de la rue. Mai l’objectif est atteint : Klein a sauté dans le vide, pour s’imprégner des qualités immatérielles du vide, et les transmettre à ses œuvres ! Retour sommaire

14 3 / De l’art au commerce

15 L’artiste est-il une marque ?
L’art et la distinction sociale… Coffret Yves Klein  Sephora et le Centre Pompidou rendent hommage à Yves Klein. A l’occasion de l’exposition "Yves Klein. Corps, couleur, immatériel" du 5 octobre au 5 février 2007, présentée au Centre Pompidou, Sephora propose, en étroite association avec le centre Pompidou, un coffret spécialement créé en hommage à l’un des plus grands artistes du XXe siècle et s’inspirant de l’International Klein Blue inventé par Yves Klein, ce bleu profond comme la nuit, sombre comme l’espace et dans lequel il voulait voir l’expérience d’un infini. Sephora, l’expert en couleur, a souhaité témoigner du génie de l’artiste en créant un coffret s’inspirant du bleu Klein et décoré d’une de ses œuvres. A l’intérieur, trois produits de la marque Sephora au parfum "fleur du paradis" rappellent les couleurs du coffret : un bain douche (200 ml), un gommage pour le corps (200 ml) et un sucre effervescent. L’artiste est-il une marque ?

16 « Ce qu’Yves Klein met en place est destiné à s’effacer devant le dialogue que le regardeur établit avec un au-delà, qui reste pour chacun à définir, et dont l’artiste se contente de proposer le principe, le moteur » résume Camille Morineau critique d’art. L’œuvre de Klein peut donc s’interpréter comme une ouverture généreuse vers l’au-delà dont chacun rêve. Pierre Restany, critique d'art est le mentor de Klein il collabore avec lui, lui ouvre les portes d’une galerie réputée celle de Colette Allendy. C’est lui qui invente le terme de « Propositions monochromes » qui lance Klein. Exemple type d’une œuvre inséparable du commentaire que l’on fait sur elle. Alors que l’on peut concevoir qu’une œuvre parle pour elle-même et que l’artiste s’efface derrière le/les sens qu’elle dégage…

17 Portrait-charge d’Alphonse Allais
Alphonse Allais ( ) dans son album « Album Primo-avrilesque » (1897 rééd. 2005), aurait pu selon les esprits chagrins être un précurseur de Klein lorsqu’il explique sa conversion au Monochromisme ! «  Et moi aussi je serai peintre ! (…). Et quand je disais peintre, je m’entendais : je ne voulais pas parler des peintres à la façon dont on les entend le plus généralement, de ridicules artisans qui ont besoin de mille couleurs différentes pour exprimer leurs pénibles conceptions. Non ! Le peintre en qui je m’idéalisais, c’était celui génial à qui suffit pour une toile une couleur : l’artiste, oserais-je dire, monochroïdal ». L’album est illustré de plusieurs œuvres monochrome au titre savoureux…  «Récolte de la tomate par des cardinaux apoplectiques au bord de la Mer Rouge. Alph. Allais, 1882 » (toile entièrement rouge) ; « Stupeur de jeunes recrues en apercevant pour la première fois ton azur, ô Méditerranée Alph. Allais, 1887 » (toile entièrement bleue) etc… Portrait-charge d’Alphonse Allais par Sem, vers 1900 Pourvu d’une exceptionnelle aptitude à aimanter les anticonformistes les plus inventifs parmi ceux qui hantaient les bistros du quartier latin, Alphonse Allais fut à l’origine de la création du Club des hydropathes – dont Charles Cros composa l’hymne – lequel, après avoir donné naissance au « Salon des incohérents », devait se scinder en deux groupes : « Les Fumistes » et les « Hirsutes ». Mais c’est avec la création du « Chat noir », de Rodolphe Salis, qu’Allais atteint la maîtrise de son art d’écrivain.

18 Merci de votre visite ! Retour sommaire Version 05/08
Merci de votre visite ! Retour sommaire Présentation conçue et réalisée par C. Merlant Toutes les suggestions seront les bienvenues pour compléter ou améliorer la présentation. Usage strictement pédagogique Version 05/08


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