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Quelles intégration et coordination des programmes

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Présentation au sujet: "Quelles intégration et coordination des programmes"— Transcription de la présentation:

1 Quelles intégration et coordination des programmes
d’éducation thérapeutique du patient en région ? Dr François Baudier, Directeur URCAM Franche-Comté Cette présentation repose essentiellement sur : Le programme de développement de l’ETP en Franche-Comté mené depuis 5 ans dans le cadre d’un pilotage concerté entre l’URCAM, la DRASS et l’ARH L’enquête réalisée en 2007 par les 22 URCAM et publiée la même année, intitulée « le développement de l’éducation thérapeutique du patient au sein des régions françaises », Santé publique, 2007, volume 19, n° 4, pp Les premiers travaux et échanges du groupe de travail 4 (Plan "Qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques) : « Approche régionale et proximité avec le terrain »… …mais en aucun cas cette communication correspond aux recommandations de ce même groupe qui aujourd’hui sont en cours d’élaboration, donc non finalisées

2 PLAN Mettre en place un dispositif de pilotage, de concertation et de décision unifié et pérenne Déterminer des orientations en s’appuyant sur les dispositifs promus par la loi Viser une qualité de l’offre régionale en ETP pour le plus grand nombre de malades Mettre en place des services de proximité en ETP sur tous les territoires de la région Conclusion : afficher, fédérer, associer

3 Mettre en place un dispositif de pilotage, de concertation et de décision unifié et pérenne
Pour éviter une dispersion de temps, d’énergie et de moyens, il est important de mettre en place d’emblée des instances « légères », opérationnelles et réactives avec : un niveau de concertation ETP/maladie chronique sous la forme d’un comité de pilotage régional (soignants ville/hôpital, patients, institutions, structures ressources en ETP…) un niveau opérationnel constitué d’un seul responsable régional et de 3 ou 4 personnes venant régulièrement en appui, un niveau de décision avec les trois directeurs (URCAM, DRASS et ARH) Par ailleurs, un bilan de l’existant doit être fait et surtout servir de levier pour les programmes et actions à venir. Dans la majorité des cas, il sera inutile de réinventer de nouvelles instances ou structures.

4 Déterminer des orientations en s’appuyant sur les dispositifs promus par la loi
Quelque soient les décisions qui seront prises demain, il est important aujourd’hui de s’appuyer sur les orientations structurantes des deux lois de 2004 ainsi que sur les circulaires existantes : Le dispositif « médecin traitant » permet : . une prise en charge et un suivi protocolisés de tous les patients en ALD (guides HAS intégrant l’ETP) . une organisation de l’ETP avec un médecin traitant assurant la coordination dans le cadre de coopérations innovantes et pluri professionnelles Ce rôle du médecin traitant doit donc s’articuler avec les missions essentielles des paramédicaux dans la démarche d’ETP . Le PRSP décline les plans de santé publique de la loi de 2004 dont celui sur les maladies chroniques. Le dispositif mis en œuvre en faveur du développement de l’ETP doit trouver sa légitimité et sa pérennité dans la convergence entre PRSP, SROS et PRC de l’AM

5 Viser une qualité de l’offre régionale en ETP
pour le plus grand nombre de malades Cette qualité repose sur deux démarches complémentaires : 1. Promouvoir les recommandations de la HAS (phase de sensibilisation) auprès des soignants sur : la démarche d’ETP, les principales pathologies pour lesquelles des recommandations existent. 2. Assurer une formation pluridisciplinaire comportant au moins deux niveaux : former certains acteurs de 1er recours sur l’ensemble de la région (entre 4 et 8j), former les personnes en charge de l’organisation de cette offre (type DU). Dans la majorité des cas, une priorisation est nécessaire car les moyens sont limités : les pathologies touchant le plus de patients : diabète, obésité, MCV, asthme, IRC, les maladies chroniques pour lesquelles l’ETP a montré son efficacité.

6 Mettre en place des services de proximité en ETP
sur tous les territoires de la région Les bases : L’articulation ville/hôpital, Le SROS, les territoires de santé et de proximité L’offre de services (plates-formes ?) : facilitant des démarches individuelles et collectives permettant des interventions pluri professionnelles pour plusieurs pathologies Concrètement, les terrains prometteurs : « un terreau fertile », les professionnels de santé formés (ville et hôpital) une UTEP par territoire de santé trois types d’organisations facilitatrices : . Les réseaux, principalement de proximité à orientation maladies chroniques, . Les maisons, centres ou pôles de santé . Les hôpitaux locaux

7 EN CONCLUSION AFFICHER une politique régionale commune
Elle doit se concevoir dans un cadre qui intègre globalement l’amélioration de la qualité de vie des patients atteints de maladie chronique avec leurs spécificités et leurs diversités FEDERER les promoteurs et financeurs Les risques de dispersion des initiatives et des moyens doit amener à prioriser des actions de qualité qui visent le plus grand nombre. « Territoire de proximité » et « médecin traitant », en sont deux composantes clefs ASSOCIER les patients Ils sont des acteurs à part entière à toutes les étapes de la démarche d’ETP mais aussi de la planification, de la programmation et de la mise en œuvre de l’ETP


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