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1 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 1
Le Contrôle de Gestion IUP EVRY M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 1

2 LE CONTRÔLE DE GESTION PLAN DU COURS Rappels de 2e année
Rentabilité des investissements : VAN et TIR Analyse des écarts Cash, Trésorerie, Création de valeur Principes du CdG - Reporting Gestion de projet et ERP M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 2

3 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 3
RAPPELS : L'ENVIRONNEMENT DE L'ENTREPRISE M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 3

4 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 4
L ’Entreprise est en relation permanente avec de très nombreux partenaires Elle doit donc communiquer avec eux, par le biais d’outils appropriés La comptabilité générale constitue un de ces outils par son caractère obligatoire et son aspect normalisé M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 4

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L'ENTREPRISE ET SES PARTENAIRES Actionnaires COMPTABILITE ANALYTIQUE COMPTABILITE GENERALE Autres Clients Etat Fournisseurs Banques M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 5

6 Organiser l ’information économique
Comptable Contrôle de Gestion Information Externe Information issue de l'activité Information globale de l'Entreprise D ’après Margerin M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 6

7 Domaine du Contrôle de Gestion
CONTRÔLE DE GESTION ET STRATEGIE Plan Marketing long terme Plans Opérationnels des unités 5 ans Cycle Budgétaire 1 an Exploitation quotidienne Domaine du Contrôle de Gestion M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 7

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PLANIFICATION ET PREVISIONS Schéma industriel Effectifs - Charges - Investissements Produit - Technologie Réseau et volume de sous-traitance Objectifs de coûts Comptes prévisionnels Planification à moyen terme > 5 ans Charges - Effectifs - Investissements Comptes prévisionnels (charges, produits, valeurs d ’exploitation) Campagne de gestion > 1 an Budget de fonctionnement Budgets d ’investissements Budget de R et D Fixation de standards Gestion budgétaire 1 an Générale Analytique Comptabilité Constat Indicateurs physiques De la journée au mois M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 8

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RAPPELS : LES OUTILS DU CONTRÔLE DE GESTION M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 9

10 LA COMPTABILITE GENERALE
RAPPELS : LA COMPTABILITE GENERALE M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 10

11 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 11
LES AMENAGEMENTS DE LA COMPTABILITE GENERALE Fournir les documents de synthèse sur des périodicités plus rapprochées Tenir des comptes d’inventaire permanent Abonner les amortissements Calculer les Soldes Intermédiaires de Gestion M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 11

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LES SOLDES INTERMEDIAIRES DE GESTION M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 12

13 LA COMPTABILITE ANALYTIQUE
RAPPELS : LA COMPTABILITE ANALYTIQUE M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 13

14 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 14
Calcul des coûts et analyses de rentabilité Passé Objectifs de la comptabilité analytique Aide à la prise de décision Futur Contrôle de gestion Présent D ’après Margerin M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 14

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AXE CALCUL DES COUTS ET ANALYSE DE RENTABILITE Détermination des coûts des produits ou services proposés par l ’Entreprise Outil de calcul par ventilation des charges Calcul de la contribution au résultat de chaque produit Outil d ’analyse de rentabilité Evaluation de certains éléments du bilan Stocks et immobilisations créées par l ’Entreprise M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 15

16 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 16
AXE CONTRÔLE DE GESTION Recherche de la maîtrise et du pilotage des coûts Outil de contrôle Structuration de l ’Entreprise en centres d ’analyse Outil de délégation de responsabilités M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 16

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AXE AIDE A LA PRISE DE DECISION Mise à disposition des responsables des informations économiques Outil de préparation des décisions Les coûts (et donc les écarts) doivent être pertinents et différentiels Pertinents : appropriés à la décision et à la situation Différentiels : modifiés par la décision prise Les coûts pertinents sont donc futurs et différentiels Les coûts de la comptabilité générale sont passés et moyens M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 17

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CARACTERISTIQUES COMPAREES C.G. <> C.A. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 18

19 METHODES DE CONSTRUCTION
RAPPELS : LES DIFFERENTES METHODES DE CONSTRUCTION DES COUTS M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 19

20 LES METHODES DE CONSTRUCTION DES COUTS Notions préliminaires
Un prix (de vente) est l ’expression monétaire de la valeur d ’un échange (d ’une transaction) Il y a prix s’il y a échange Un coût (de revient) est l ’accumulation des charges relatives à un produit Il y a coût s ’il y a consommation M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 20

21 DE CONSTRUCTION DES COUTS
RAPPELS : CHOIX DU SYSTEME DE CONSTRUCTION DES COUTS M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 21

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ENTREPRISE Nature de l'activité Choix du système de coût Mode de gestion Contrats ou règlements D ’après Margerin M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 22

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CONTRAINTES LIEES A LA NATURE DE L ’ACTIVITE Les besoins d ’information diffèrent selon l ’activité de l ’Entreprise Poids des charges directes / indirectes Poids des charges variables / fixes Durée du cycle de fabrication des produits Fabrication répétitive ou petites séries Une même Entreprise peut donc être amenée à utiliser plusieurs méthodes Coût complet et Direct Costing par exemple M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 23

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CONTRAINTES LIEES AU MODE DE GESTION Il y a inter-action entre le mode de gestion de l ’Entreprise et sa structure Gestion décentralisée : centres de responsabilité Charges et produits rattachables : centres de profit Charges seules rattachables : centres de coût Découpage homogène des fonctions : centres d ’analyse L ’Entreprise est le plus souvent découpée en centres d ’analyse M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 24

25 CONTRAINTES CONTRACTUELLES OU REGLEMENTAIRES
Certains contrats peuvent exiger un type particulier de suivi analytique de natures de coûts (coopération, sous-traitance) L ’Entreprise peut être contrôlée par un organisme étatique de par sa nature juridique (Sociétés nationales par exemple) M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 25

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RAPPELS : LA METHODE DES COUTS COMPLETS M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 26

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LA METHODE DES COUTS COMPLETS 4 ETAPES AFFECTATION des charges DIRECTES REPARTITION des charges INDIRECTES entre les différents centres d ’analyse Traitement des cessions de prestations entre centres d ’analyse IMPUTATION des charges des centres d ’analyse aux différents coûts des produits M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 27

28 CHARGES DIRECTES ET INDIRECTES
Affectables directement à un produit INDIRECTES Non affectables directement à un produit Ex: Matières premières Pièces achetées Sous-traitance Ex: Salaires Entretien des bâtiments Assurance M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 28

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LES CENTRES D ’ANALYSE Un centre d’analyse (ou de frais) résulte de la décomposition de l ’Entreprise en mini-PME Chaque centre d ’analyse est caractérisé par une activité homogène (sur les moyens, le métier, ou les produits) mesurable (par des unités d ’œuvre) Les charges indirectes sont imputées aux centres d ’analyse selon des clés de répartition (effectifs, surfaces, énergie, …) M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 29

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SCHEMA SIMPLIFIE DE COMPTABILITE ANALYTIQUE C H A R G E S P R O D U I T S C G RESULTAT Pdt 2 RESULTAT Pdt 1 AFFECTATION Charges directes Pdt 1 IMPUTATION Pdt 2 AFFECTATION Charges directes CENTRES D ’ANALYSE REPARTITION Charges indirectes M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 30

31 Principales Auxiliaires
L ’approche traditionnelle consiste à découper l ’Entreprise, par ces centres d ’analyse, en 2 grands types de fonctions : Principales Auxiliaires Qui sont les fonctions supports nécessaires à l ’activité des principales Qui contribuent directement à l ’élaboration du produit M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 31

32 FONCTIONS PRINCIPALES FONCTIONS AUXILIAIRES
LES GRANDES FONCTIONS FONCTIONS PRINCIPALES FONCTIONS AUXILIAIRES Approvisionnements Personnel Développement Entretien Production Administration Distribution Informatique M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 32

33 TRAITEMENT ANALYTIQUE DES FONCTIONS
Auxiliaires Principales sont imputées sur les produits par le biais d ’unités d ’oeuvre sont ventilées selon des clés de répartition M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 33

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SCHEMA SIMPLIFIE DE COMPTABILITE ANALYTIQUE CHARGES DIRECTES Coût du Produit 2 Coût du Produit 1 INDIRECTES CHARGES Centre opérationnel principal Centre opérationnel auxiliaire Centre opérationnel auxiliaire Centre opérationnel principal D ’après Gervais M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 34

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LES CENTRES D ’ANALYSE M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 35

36 LA METHODE DES COUTS COMPLETS
Ses avantages Le processus de production fait partie du périmètre de calcul Elle permet d ’établir des devis pour des commandes spécifiques Elle permet l ’évaluation des stocks Elle n ’est pas limitée au court terme Possibilité de déterminer des prix de vente sur le moyen ou long terme M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 36

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LA METHODE DES COUTS COMPLETS Ses limites Calcul trop simpliste (imputation globale) ou trop fastidieux (centres de frais) Difficultés de cerner les centres d ’analyse Le coût n ’est pas lié seulement au volume (ex : lots) Les centres principaux reçoivent des charges qui ne les concernent pas directement M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 37

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RAPPELS : LES METHODES DES COUTS PARTIELS M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 38

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RAPPELS : LE DIRECT COSTING M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 39

40 CHARGES VARIABLES ET FIXES
Proportionnelles à la production d ’un bien VARIABLES Non proportionnelles à la production d ’un bien FIXES Ex: Matières premières Matières consommables Sous-traitance Ex: Salaires et charges sociales Amortissements Loyers M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 40

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CHARGES VARIABLES ET FIXES Coût Activité Charges variables Coût Activité Charges fixes Charges totales Coût Activité M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 41

42 CHARGES VARIABLES ET FIXES
Coût Activité Charges fixes totales Coût Activité Charges fixes unitaires Les charges fixes unitaires varient en fonction du nombre de produits M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 42

43 MCV = CA - CV = FF + Bénéfice
LE DIRECT COSTING CV MCV CA FF Bénéfice MCV = CA - CV = FF + Bénéfice M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 43

44 LE DIRECT COSTING Ses avantages
Analyser et comparer la rentabilité des produits Vérifier que tous les produis contribuent à l ’amortissement des frais fixes Optimiser la marge globale de l ’entreprise M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 44

45 LE DIRECT COSTING Ses limites
La masse des coûts fixes a tendance à grossir analyse très partielle des charges Pas de répartition des coûts fixes par produit M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 45

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LE POINT MORT ou Seuil de Rentabilité Le point mort est le niveau de ventes à partir duquel l ’activité est rentable : la totalité des coûts est couverte par la marge dégagée Le point mort est donc atteint lorsque la marge couvre : la totalité des frais fixes les charges variables correspondant au volume de vente Au point mort, le résultat est NUL M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 46

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LE POINT MORT ou Seuil de Rentabilité MCV = FF Charges Marges Frais Fixes Marge sur Charges Variables Perte Bénéfice Chiffre d ’Affaires Point Mort M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 47

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LE POINT MORT Ses avantages Est très facile à mettre en oeuvre Permet d ’analyser des problèmes simples : A partir de combien de produits vendus mon activité est- elle « rentable » ? A partir de combien de photocopies dois-je passer par le service de reprographie ? M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 48

49 LE POINT MORT Ses limites prix des produits invariables
Ne concerne qu ’un produit (ou famille de produits) Le raisonnement est limité à la courte période : capacité de production et performances sont fixes prix des produits invariables coûts de production invariables Les problèmes de trésorerie sont négligés : pas de décalage entre l ’engagement d ’une charge et son décaissement la réalisation d ’une vente et son encaissement Il n ’y a pas de variations de stocks : tout ce qui est produit est vendu M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 49

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RAPPELS : LE COUT DIRECT M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 50

51 Ou Direct Costing Evolué
LE COUT DIRECT Ou Direct Costing Evolué Ou coût spécifique CV MCD FF directs CA FF indirects Bénéfice MCD = CA - CV - FF directs = FF indirects + Bénéfice M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 51

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RAPPELS : LE COUT MARGINAL M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 52

53 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 53
DU COUT VARIABLE AU COUT MARGINAL Le coût marginal correspond au COUT DE L ’UNITE SUPPLEMENTAIRE produite le niveau du coût marginal est fonction du niveau d ’activité Coûts Coût moyen Coût marginal Activité Optimum L ’optimum technique M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 53

54 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 54
DU COUT VARIABLE AU COUT MARGINAL Pour une activité en sous-charge coût marginal = coût variable l ’unité ou la série supplémentaire n ’entraîne que des charges variables Pour une activité saturant la structure coût marginal = coût variable + charges fixes générées par cette production la totalité de l ’augmentation des charges de structure est imputable à l ’unité ou la série supplémentaire M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 54

55 SYSTEME DE COUT ET PRISE DE DECISION
A question différentes … méthodes différentes ! Comparaison CA et Coûts Abandon d ’un produit ou activité : Coût spécifique Recherche CA et coûts additionnels Adoption d ’une activité nouvelle : Coût marginal Coût marginal = prix plancher Elaboration d ’une politique de prix différencié : Coût marginal M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 55

56 SYSTEME DE COUT ET PRISE DE DECISION
A question différentes … méthodes différentes ! Calcul du Point Mort Détermination du seuil minimum de ventes : Coût variable Fixation du prix de vente d ’un nouveau produit ou activité : Coût complet En l ’absence de références de marché Fixation de prix de cession interne : Coût marginal M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 56

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RENTABILITE DES INVESTISSEMENTS M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 57

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Sensibilisation à la Notion de Coût de l'argent associé aux différents modes de Financement et au Temps. Compréhension des Mécanismes Economiques qui construisent le Résultat de l'Entreprise. "Le Temps c'est vraiment de l'argent ..." M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 58

59 NOTIONS DE RENTABILITE D ’INVESTISSEMENTS
Compte de Résultat - Trésorerie - Bilan Notions d'engagement des Dépenses Notions d'Actualisation Indicateurs Economiques : d'actualisation des flux économiques de calcul de rentabilité des investissements Valeur Actualisée Nette, Taux de Rentabilité Interne, Point de retour à l'équilibre Découvert maximum M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 59

60 COMPTE DE RESULTAT, TRESORERIE ET BILAN
Charges Achats marchandises à crédit Frais de production Frais commerciaux Frais de structure Charges externes Amortissement Produits Ventes de Marchandises à crédit Production stockée Résultat d'Exploitation Intérêts emprunt Frais d'escompte Résultat avant impôt Impôt société Participation Résultat Net M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 60

61 COMPTE DE RESULTAT, TRESORERIE ET BILAN
Trésorerie "+" Emprunt à long terme Paiement client Escompte créances clients Trésorerie "-" Paiement fournisseurs Paiement frais commerciaux production structure Paiement intérêts emprunt Paiement d'Escompte Disponibilités M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 61

62 COMPTE DE RESULTAT, TRESORERIE ET BILAN
Actif Bâtiment Equipement Participation Total immobilisation Stocks produits finis Créances clients Placements financiers Disponibilités Passif Capital social Participation externe Réserves Report à nouveau Capitaux propres Résultat net Dettes financières Dettes d'Exploitation fournisseurs salariés impôts découvert M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 62

63 NOTION DE TEMPS DANS UN PROJET INDUSTRIEL
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64 IMPACT DU TEMPS SUR LA VALEUR DE L ’ARGENT
Financièrement, un investissement s'analyse comme une sortie de fonds destinée à procurer des Recettes ultérieures. Calculer la rentabilité d'un investissement revient donc à comparer des flux monétaires (recettes et dépenses) étalés dans le temps. La Prise de Décision nécessite de pouvoir comparer des flux financiers intervenants à des périodes différentes. le "coût" du temps se mesure par le taux d'actualisation (i) analogue au taux d'intérêt réel financier. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 64

65 INDICATEURS ECONOMIQUES DE RENTABILITE
Notion de Calcul Economique utilisée dans l'Analyse des Projets Donne une indication sur l'intérêt Economique intrinsèque d'un projet Permet de comparer des variantes entre elles, Permet de comparer des projets entre eux Six notions principales : Taux d'actualisation Solde final avec frais financiers Valeur actualisée d'une chronique Taux de Rentabilité Interne (T.R.I.) Point mort ou retour à l'équilibre Découvert maximum M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 65

66 NOTIONS D ’ACTUALISATION
Il s'agit de rapporter au présent des choix économiques qui se déroulent dans la durée. C'est une nécessité pour tous : entreprise, particuliers, ... Exemple : Chauffage électrique : l'installation est à un faible coût mais les dépenses dans le temps sont importantes. Chauffage solaire : l'installation est un investissement important, mais les dépenses annuelles sont faibles. C'est un outil pour guider les dépenses publiques. La taux d'Actualisation est national : il guide l'action de l'Etat en donnant une Préférence pour le PRESENT. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 66

67 NOTIONS D ’ACTUALISATION
Raisonnement : une valeur de 1 euro placé sur le marché à un taux t, donne un an plus tard (1+ t) euro : N = 1 x (1 + t) Ainsi, 1 euro placé à 9% donne un an plus tard une valeur de 1,09 euro. Raisonnement inverse : Quel montant N doit-on placer aujourd'hui à un taux de t%, pour obtenir 1 euro dans un an ? on a N x (1+ t) = 1 ce qui donne N = 1/(1+t) = 1/(1,09) ainsi pour obtenir 1 euro à 9% il faut placer 0,92 euro aujourd’hui Cette valeur 1 / (1+ t) est dite VALEUR ACTUELLE de 1 euro dans un an M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 67

68 NOTIONS D ’ACTUALISATION
De même sur plusieurs années on aura : Raisonnement sur n années : en n année on obtient (1+t)^n Raisonnement inverse sur n années : N euros obtenus dans n année ont une valeur actuelle de N/(1+t)^n Remarque sur le taux d'actualisation le taux t prend en compte : le taux d'inflation de l'année en cours (euro courant) le taux du loyer moyen de l'argent à long terme (intérêt d'emprunt ou de placement) M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 68

69 CALCUL DE LA VALEUR ACTUALISEE NETTE (V.A.N.)
La V.A.N. est un invariant qui permet la comparaison de tous projets La V.A.N. correspond au solde final dégagé par le projet, ramené aux euros d'aujourd'hui. Selon ce critère, tout projet présentant une V.A.N. positive doit être acceptée. En cas d'investissements mutuellement exclusifs, c'est celui présentant la V.A.N. la plus élevée qu'il faut retenir. On montre que la V.A.N. d'une série de projets indépendants est égale à la somme des V.A.N. de ces projets : M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 69

70 CALCUL DE LA VALEUR ACTUALISEE NETTE (V.A.N.)
Le taux d'actualisation permet de ramener chacun des flux à une même date, par exemple à l'année 0. La Valeur Actualisée Nette au taux t, est donc : VAN t R D i n ( ) 1 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 70

71 CALCUL DE LA VALEUR ACTUALISEE NETTE (V.A.N.)
Résultat après Valorisation V.A.N. (5%) Calcul de la VAN à 5% pendant toute la durée du programme V.A.N. (5%) à l'année 0 Solde Cumulé avant Frais Financiers Solde Cumulé après Frais Financiers Evolution de la VAN (5%) M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 71

72 EXEMPLES DE CALCUL DE V.A.N.
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73 EXEMPLES DE CALCUL DE V.A.N.
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74 CALCUL DU TAUX DE RENTABILITE INTERNE
Définition du T.R.I : C'est la valeur du taux d'actualisation qui annule la Valeur Actualisée Nette, de la chronique de flux financiers liée à un projet Remarques : L'investisseur qui emprunte à un taux d'intérêt égal au T.R.I. de son projet, fait une opération blanche. Si le T.R.I. est > au loyer de l'argent => Business Rentable, la V.A.N. est > 0. Si le T.R.I. est < au loyer de l'argent => Business non rentable, la V.A.N. est < 0. LE TR.I. indique le risque financier d'un projet par rapport au loyer de l'argent. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 74

75 CALCUL DU TAUX DE RENTABILITE INTERNE
VAN ( TRI ) n R D VAN ( TRI ) i i ( 1 TRI ) i i M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 75

76 CALCUL DU TAUX DE RENTABILITE INTERNE
Solde final cumulé avec Frais Financiers - V.A.N(t)=0 Le business est une opération "blanche" Solde Cumulé avant Frais Financiers Solde Cumulé après Frais Financiers M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 76

77 CALCUL GRAPHIQUE DU TRI
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78 POINT MORT ET DECOUVERT MAXIMUM
Il s'agit de la période (mois, année, etc. ...) pour laquelle le solde (recettes - dépenses) devient positif. Il est également appelé : délai de récupération du capital investi. Découvert Maximum ou besoin en fonds de roulement : C'est le montant maximum qui fixe le besoin en fonds de roulement du projet. Il est généré par le cycle d'exploitation de l'entreprise. Deux équations possibles : Besoin en fond de roulement = (Actif circulant - trésorerie) - (dettes à court terme - concours financiers à court terme) Besoin en fonds de roulement = fonds de roulement net - Trésorerie M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 78

79 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 79
CASH, TRESORERIE et CREATION DE VALEURS M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 79

80 La gestion du cash est une nécessité pour l'entreprise
Marché/Clients Stratégie Métier 1 4 Capitaux engagés Croissance & Compétitivité CASH MANAGEMENT Contributions Marges Rentabilités 2 3 L'augmentation de la profitabilité permet l'accroissement de la capacité d'auto-financement M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 80

81 Trois axes d'appréciation des capitaux engagés
r Rentabilité r Liquidité r Risque Rentabilité Liquidité MARCHE CAPITAUX ENGAGES dans un METIER MARCHE FINANCIER ENTREPRISE Risque M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 81

82 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 82
PREMIER PRINCIPE Toute entreprise développe son activité en utilisant des moyens … c-a-d en INVESTISSANT des CAPITAUX IMMOBILISATIONS + Besoin né de l'Exploitation (BNE) = CAPITAUX ENGAGES Il y a dans chaque métier une relation "LOGIQUE" entre le chiffre d'affaires et les capitaux engagés CHIFFRE D'AFFAIRES CAPITAUX ENGAGES M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 82

83 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 83
DEUXIEME PRINCIPE Tout euro investi dans le métier doit être financé par un EURO provenant des PARTENAIRES FINANCIERS Le passif financier provient : APPORTS FONDS PROPRES des ACTIONNAIRES RESULTATS INVESTIS DETTES des PRETEURS FINANCIERES à court & long terme M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 83

84 REMUNERATION ALEATOIRE
Le risque est important pour l ’actionnaire ? REMUNERATION ALEATOIRE Le risque est contractualisé par le banquier par le taux de rémunération du prêt M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 84

85 C'est la performance de l'entreprise,
LA TRESORERIE C'est la performance de l'entreprise, la différence entre produits et charges ou entre décaissements et encaissements Afficher un solde bancaire positif est insuffisant. Les ressources de l'entreprise doivent couvrir l'exploitation et les investissements à venir. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 85

86 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 86
Compte tenu des décalages de paiement, des avances et acomptes, des immobilisations et de leurs amortissements …, trésorerie et résultat n'évoluent pas toujours dans les mêmes proportions. Le manque de trésorerie peut "tuer" les sociétés. Nécessité de suivi particulier à travers un tableau des flux de trésorerie qui avec le compte de résultat et le bilan fournissent une information économique et financière complète. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 86

87 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 87
LA CREATION DE VALEUR Il y a création de valeurs quand la rentabilité des capitaux engagés est supérieure au coût des ressources (capital) CAPITAUX ENGAGES : RESSOURCES : Fonds propres + Dettes Immos + BNE RCE > CC M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 87

88 Une autre approche de la rentabilité des capitaux
engagés consiste à la relier au CA obtenu Résultat exploitation Résultat exploitation C A = x Capitaux engagés C A Capitaux engagés Rotation des capitaux employés Taux de marge opérationnelle M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 88

89 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 89
Pour un hypermarché 1 ME de capital engagé génère 20 ME de CA avec 1% de marge opérationnelle Pour une industrie lourde (sidérurgie …) 1 ME de capital engagé génère 1 ME de CA avec 7% de marge opérationnelle M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 89

90 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 90
? LES ATTENTES DES PARTENAIRES FINANCIERS Les fonds engagés dans le métier ont une valeur marchande Ils sont en compétition sur le marché financier Il faut "gagner" le droit de continuer à les gérer voire d'en gérer davantage Pour cela, il faut convaincre les investisseurs du bien fondé de leur décision de placement M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 90

91 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 91
? LES ATTENTES DES PRETEURS Les différents types de prêteurs Banques et institutions financières Investisseurs de marché … "créanciers obligataires" La rémunération Taux fixe ou variable Court terme ou long terme Le risque et sa couverture Ratios Notation M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 91

92 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 92
LES ATTENTES DES ACTIONNAIRES ? Risque supérieur à celui du prêteur Incertitudes sur la rémunération annuelle Position de dernier "rang" en cas de liquidation Mix de risque économique et financier Volatilité de l'activité et de la rentabilité opérationnelle Volatilité supplémentaire due à l'impact de l'endettement Rémunération Immédiate : dividendes Différée : plus value M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 92

93 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 93
Espérance de rentabilité de l'actionnaire Une approche relative (concurrence sur les marchés) Les actionnaires peuvent diversifier leurs placements Une action se compare à l'ensemble du marché Fondée sur un modèle d'équilibre Rentabilité-Risque Une relation linéaire entre risque et rémunération Avec une référence à l'ensemble du marché Rémunération Le taux sans risque La prime du marché L'indice de risque relatif M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 93

94 Rentabilité action = 4,0 % + 4 % +
Taux sans risque 4,0 % constitué par les Obligations Assimilables du Trésor (OAT) Prime du Marché 4 % supplémentaires (en longue période) pour les actions Indice de risque relatif Variable selon les entreprises (moyenne = 1) DANONE 0,8 RENAULT 1,4 Rentabilité action = 4,0 % + 4 % + Indice de risque de l'entreprise considérée M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 94

95 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 95
LE COUT DU CAPITAL = Coût moyen pondéré des ressources PRISE EN COMPTE DES RENTABILITES ATTENDUES PAR LES PARTENAIRES L'espérance de rentabilité de l'actionnaire = E(rdt) la rentabilité attendue par le prêteur = i DEFINITION D'UNE STRUCTURE DE RESSOURCES Choix du mix capitaux propres / dettes (En valeurs de marché) DETERMINATION DU COUT DU CAPITAL (Capitaux propres / VE) x E(Rdt) + (Dettes / VE) x i (1 - t) VE = Valeur de marché de l'entreprise t = taux d'imposition M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 95

96 DECISIONS OPERATIONNELLES ET CREATION DE VALEUR
Réduire les immobilisations Diminuer les capitaux engagés Gérer les fournisseurs et clients Augmenter la rotation des capitaux engagés Réduire le cycle d ’exploitation Croissance rentable : RCE Stocks RCE > CC Publicité Augmenter le CA HT Augmenter le taux de marge opérationnelle Optimiser la performance commerciale Travail des financiers : abaisser le coût du capital Réduire les coûts d ’achat Gérer les coûts M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 96

97 ENTREPRISES ET MARCHES
FINANCIERS RENTABILITE FLUX certains C + D CREANCIERS CAPITAUX ENGAGES DANS UN METIER ENTREPRISE Dettes (D) FLUX incertains FLUX ACTIONNAIRES Capital (C) RISQUE M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 97

98 VARIATION DE TRESORERIE (net cash flow)
MARGE OPERATIONNELLE - Impôt société x Marge opérationnelle + Dotations aux amortissements et prov. d'exploitation - variation de BNE = Cash opérationnel (operating cash flow) Flux issu du métier 1 - + ACQUISITIONS D'IMMOBILISATIONS - Cessions d'immobilisations - Impôts à payer = Flux d'investissement (capital expenditures) + Variations des dettes financières - Intérêts x (1 - taux d'IS) + Augmentations de capital - Dividendes versés = Flux de financement (cash flow from financing) d'investissement Politique de financement Politique 3 2 1 - 2 = Free cash flow VARIATION DE TRESORERIE (net cash flow) M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 98

99 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 99
LES MOYENS D'ACTION FAIRE OU FAIRE FAIRE IMPACT SUR LE RESULTAT OPERATIONNEL IMPACT SUR LES CAPITAUX ENGAGES Sur le BNE Sur les immobilisations IMPACT SUR LE RISQUE + Dettes fournisseurs + Stock produits finis + Coût coordination - Stocks matières - En-cours - Immobilisations LA SOUS-TRAITANCE CONDUIT A : M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 99

100 SANS TROP DIMINUER LA MARGE
OPTIMISER LA GESTION DU BNE EN AGISSANT SUR SES POSTES CONSTITUTIFS Créanciers clients Stocks Dettes fournisseurs SANS TROP DIMINUER LA MARGE M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 100

101 OPTIMISER LA GESTION DES CREANCES CLIENTS
Utiliser un Principe d'arbitrage avec un raisonnement marginal AVANTAGES 1. Critère de différenciation 2. Augmenter le CAHT et donc la marge totale INCONVENIENTS 1. Impayés, pertes sur créances 2. Coût financier implicite aux capitaux engagés Le délai optimal de crédit : maximiser la somme des avantages et coûts M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 101

102 OPTIMISER LA GESTION DES STOCKS
Utiliser un Principe d'arbitrage avec un raisonnement marginal AVANTAGES 1. Risque de rupture plus faible 2. Avantages commerciaux 3. Flexibilité interne 4. Spéculations sur les coûts des matières INCONVENIENTS 1. Coût de détention 2. Dépréciation 3. Coût financier implicite aux capitaux engagés Le délai de rotation des stocks : maximiser la différence entre avantages et coûts M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 102

103 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 103
LES PRINCIPES DU CONTRÔLE DE GESTION M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 103

104 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 104
Qu’est-ce que Gérer? Gérer consiste à tout mettre en œuvre afin de définir des objectifs précis à tous les niveaux Objectifs de nature : Economique Social Financier M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 104

105 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 105
Qu’est-ce que Gérer? Gérer consiste à arbitrer entre les objectifs des différents acteurs Gérer comporte une étape de contrôle M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 105

106 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 106
La démarche du Contrôle de Gestion aboutit à une planification Définition d ’une stratégie Préparation d ’un plan à moyen terme Préparation d ’un plan annuel Suivi des réalisations Analyse des constats, proposition de solutions. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 106

107 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 107
Le Contrôle de Gestion Ensemble des actions, attitudes, procédures et outils qui permettent à l ’entreprise de se doter d ’objectifs à long, moyen et court terme et de s ’assurer continuellement de leur réalisation. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 107

108 Objectifs de l ’entreprise Objectifs des individus
Le contrôle de gestion joue un rôle d ’arbitrage débouchant sur la définition des objectifs de l ’entreprise. Arbitrage entre : => Mode d ’organisation et Style de management M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 108

109 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 109
Mode d ’Organisation Approche Bureautique « Théorie Classique » Principe : Incompatibilité définitive entre les objectifs des individus et ceux de l ’organisation => Objectifs définis de manière décentralisée => « Gérer malgré les hommes » M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 109

110 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 110
Mode d ’Organisation (suite) Approche Participative « Théorie des relations humaines » Principe: La satisfaction de l ’individu est la condition de l efficacité de son travail => Objectifs définis par négociation => « Gérer avec les hommes » M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 110

111 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 111
Mode d ’Organisation (suite) Approche Culturelle Principe: Le personnel de tous les niveaux partage les buts à long terme de l ’entreprise => « Gérer pour les hommes et avec eux » M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 111

112 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 112
Chaque entreprise va se doter d ’un mode d ’organisation en fonction de différents facteurs : Environnement Métier Culture d ’entreprise Philosophie des dirigeants Selon les styles de direction, il y a différentes notions de responsabilités dans l ’entreprise M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 112

113 Les Centres de Responsabilité
Unité de l ’entreprise placée sous la direction d ’un responsable qui a reçu de la part de la Direction Générale une délégation d ’autorité en vue d ’engager un plan d ’action et de réaliser un résultat. Deux types de Centre de Responsabilité (CR): Centres de Responsabilité « Partielle » Centres de Responsabilité « Globale » M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 113

114 Centre de Responsabilité
« Partielle » La responsabilité porte soit sur des charges, soit sur des produits. Centre de Coûts Maîtrise uniquement les coûts engagés Aucune action sur les produits générés par l ’activité Il  s ’agit de Centre de coûts productifs ou de Centre de coûts discrétionnaires M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 114

115 Centre de Responsabilité
« Partielle » (suite) Centre de revenus La responsabilité porte essentiellement sur le chiffre d ’affaires à réaliser, accessoirement sur les coûts de commercialisation. Les objectifs portent: Niveau de chiffre d ’affaires avec ventilation par produit, par réseau de distribution, par zone géographique. Un montant de charges de commercialisation. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 115

116 Centre de Responsabilité
« Globale » Cette catégorie concerne des centres dont la responsabilité porte sur une différence entre un chiffre d ’affaires et des coûts soit Centre de Profit soit Centre d ’investissement M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 116

117 Centre de Responsabilité
« Globale » (suite) Centre de Profit Il y a une Notion de résultat Les objectifs du responsable porteront sur le chiffre d ’affaires et/ou les coûts engagés M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 117

118 Centre de Responsabilité
« Globale » (suite) Centre d ’Investissement C ’est un centre de profit dont la responsabilité s ’étend aux moyens mis en oeuvre Les objectifs du responsable porteront sur le niveau de résultat souhaité et/ou sur le niveau des actifs. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 118

119 Des objectifs de l ’Entreprise au Plan Domaine de la planification
DIAGNOSTIC : Connaissance de l ’entreprise STRATEGIE : Choix concernant l ’avenir à long terme PLAN OPERATIONNEL : Définition des moyens permettant de concrétiser ces choix M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 119

120 Des objectifs de l ’Entreprise au Plan Domaine de la planification
(suite) DIAGNOSTIC Evaluer les contraintes de l ’environnement et identifier les opportunités Evaluer les forces et les faiblesses de l ’entreprise PLAN STRATEGIQUE Ensemble de la réflexion menée en vue d ’envisager l ’avenir de l ’entreprise à moyen terme, et de préparer les choix nécessaire à l ’obtention d ’un avenir désiré M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 120

121 Des objectifs de l ’Entreprise au Plan Domaine de la planification
(suite) PLAN OPERATIONNEL Vérifier la cohérence globale des choix stratégiques. Définir les actions à mener année par année. Mesurer la faisabilité financière des différents programmes d ’action. Le plan opérationnel aboutit à un Plan de Financement (outil de validation) M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 121

122 Principaux outils du Contrôle de Gestion
La Comptabilité de Gestion Les Budgets Le Tableau de Bord M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 122

123 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 123
LE TABLEAU DE BORD M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 123

124 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 124
Le contrôle budgétaire fournit des informations exhaustives avec retard, et limitées aux données comptables et financières. Il doit être complété par des outils rapides, sélectifs, ouverts aux données physiques Les tableaux de bord M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 124

125 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 125
La construction des tableaux de bord comprend: Une définition des objectifs de l ’entreprise La détermination des facteurs clés de succès (FCS) permettant d ’atteindre ces objectifs La sélection d ’indicateurs représentatifs des FCS M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 125

126 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 126
DEFINITION DES TABLEAUX DE BORD Un tableau de bord est un ensemble d ’informations présentées de façon synthétique et destinées au pilotage de l ’entreprise et de ses centres de responsabilité. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 126

127 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 127
DEFINITION DES TABLEAUX DE BORD (suite) Les tableaux de bord sont: Centrés sur les facteurs clés de succès de l ’entreprise Adaptés à un responsable Avec un nombre restreint d ’indicateurs pertinents M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 127

128 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 128
NIVEAUX DES TABLEAUX DE BORD Tableau de bord stratégique Regroupe des données essentielles au contrôle de la mise en œuvre de la stratégie Horizon à long terme Utilisé par la Direction générale M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 128

129 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 129
NIVEAUX DES TABLEAUX DE BORD Tableau de bord de Gestion Horizon à court terme Etabli dans des délais très court, et une forte périodicité Utilisé par chaque centre de responsabilité M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 129

130 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 130
INTEGRATION DES TABLEAUX DE BORD Intégration verticale Principe Gigogne Elaboration selon deux processus Top Down Bottom up Intégration horizontale Nécessaires dans les cas de responsabilité commune et de vision transversale M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 130

131 AVEC LES AUTRES OUTILS DE GESTION
COMPARAISON AVEC LES AUTRES OUTILS DE GESTION M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 131

132 CONSTRUCTION DES TABLEAUX DE BORD
Objectifs des Centres de Responsabilité Réflexion sur les missions et principaux objectifs du centre de responsabilité Facteurs Clés du Succès ( FCS ) Atout qu’il est essentiel de maîtriser pour réussir dans son domaine d ’activité. But : Atteindre les objectifs Résister aux actions d’un environnement hostile. M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 132

133 CONSTRUCTION DES TABLEAUX DE BORD
(suite) Forme des FCS Ils prennent la forme: Soit de compétence distinctive Soit de performances minimales Choix des FCS Deux étapes : Etablissement d ’une liste Elimination des facteurs les moins importants et regroupements des autre M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 133

134 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 134
LES INDICATEURS Un indicateur est une information, si possible chiffrée, qui exprime l ’évolution d ’un FCS M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 134

135 M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 135
LES INDICATEURS (suite) QUALITE D ’ UN INDICATEUR Fidélité Sensibilité Simplicité Mesurable ou Estimable On distingue : Des indicateurs à limite unilatérale Des indicateurs à limite bilatérale M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 135

136 PRESENTATION DU TABLEAU DE BORD
Dimension appropriée à la périodicité Sous différentes formes de Valeurs brutes Ecarts clés Ratios Clignotants Complétée par des Tableaux et des Graphiques M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 136

137 PRESENTATION DU TABLEAU DE BORD Minimum les informations de la période
(suite) Minimum les informations de la période M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 137

138 PRESENTATION DU TABLEAU DE BORD
(suite) La période est enrichie d ’une zone « cumuls » M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 138

139 PRESENTATION DU TABLEAU DE BORD
(suite) Intégration de données prévisionnelles M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 139

140 FINALITE DU TABLEAU DE BORD
OUTIL D ’ACTION ET DE DIALOGUE Les indicateurs clignotent Les responsables dialoguent Les responsables prennent des mesures correctives M. LIPRANDI - A. GREFFET Page 140


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