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Deux siècles après, que reste

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Présentation au sujet: "Deux siècles après, que reste"— Transcription de la présentation:

1 Deux siècles après, que reste
t’il de NAPOLEON ?...

2 Le conseil des prud’hommes La Chambre de commerce La Banque de France
La légion d’honneur Le code civil Le code pénal Le code du commerce Le conseil des prud’hommes La Chambre de commerce La Banque de France Le cadastre La séparation de l’église et de l’état Le système décimal La pensée Européenne Les infrastructures La route Napoléon L’arc de triomphe du Carrousel La colonne Vendôme NAPOLEONVILLE (Pontivy) La ville « NAPOLEON » (Vendée)

3 La légion d’honneur L’ordre national de la Légion d’honneur est l'institution qui, sous l'égide du grand chancelier et du grand maître, est chargée de décerner la plus haute décoration honorifique française. Elle a été instituée le 19 mai 1802 par Napoléon Bonaparte. Elle récompense depuis ses origines les « mérites éminents » militaires ou civils rendus à la Nation. Il existe récipiendaires toujours vivants parmi près d'un million qui ont reçu cette décoration depuis sa création2.

4 Le code civil Le Code civil ou « Code Napoléon », regroupe les lois relatives au droit civil français, c’est-à-dire l'ensemble des règles qui déterminent le statut des personnes (livre Ier), celui des biens (livre II) et celui des relations entre les personnes privées (livres III et IV). Promulgué le 21 mars 1804 (30 ventôse an XII), par Napoléon Bonaparte, il reprend une partie des articles de la coutume de Paris et du droit écrit du Sud de la France. Modifié et augmenté à de nombreuses reprises à partir de la IIIe République, la plupart des articles primitifs des titres II et III subsistent (plus de au début des années 2000 sur les articles d'origine1).

5 Le code pénal Le Code pénal de 1810 à remplacé diverses lois adoptées pendant les dix premières années de la Révolution dont l'ossature était le Code pénal des 25 septembre-6 octobre 1791 et le Code des délits et des peines de l'an IV. Une particularité importante de ces deux textes, intervenus après des siècles de sévérité implacable, était la fixité des peines : les juges ne pouvaient moduler la punition. Ce nouveau Code, promulgué le 3 juin 1810, ré-introduit notamment la prison à perpétuité et la marque au fer rouge, qui avaient été abolis par le Code pénal de 1791.

6 Le code du commerce Le Code de Commerce de 1807 couronne les efforts constants déployés tout au long du XVIIIe pour adapter et mettre à jour l'ordonnance de 1673 ou Code marchand dont les imperfections s'étaient assez vite fait sentir.

7 Le conseil des prud’hommes
Napoléon Ier est l'architecte en 1806 des conseils de prud'hommes et, de fait, l'instigateur des élections prud'homales qui, dès cette époque, ont pour objet d'en désigner les membres. Il s'agit à l'époque d'une réforme qui ne concerne – dans un premier temps – que la seule ville de Lyon. La juridiction prud'homale n'est donc pas l'héritière d'institutions médiévales. De ce point de vue, le mot « prud'homme » constitue un faux ami. L'institution lyonnaise n'est toutefois pas dépourvue de liens avec l'Ancien Régime. Mais, telle qu'elle fonctionne à partir de 1806 – avant d'être étendue à d'autres centres industriels –, elle est une création du Premier Empire.

8 La Chambre de commerce En 1802,à l'initiative de Jean-Antoine Chaptal, Napoléon Bonaparte Premier, Consul rétablit ou instaure 22 Chambres de commerce : «Des foyers de lumière destinés à éclairer le gouvernement sur l'état et les besoins de l'industrie».

9 La Banque de France Créée le 18 janvier 1800 par un groupe de représentants de banques privées, la Banque de France est alors une banque d'émission parmi d'autres. Elle acquiert une clientèle en fusionnant avec la Caisse des comptes courants. Napoléon Bonaparte en est le premier actionnaire10. En 1803, il lui confère le monopole d'émission des billets, privilège exclusif d'émettre les billets de banque

10 Le cadastre Le cadastre napoléonien ou ancien cadastre est un cadastre parcellaire unique et centralisé, institué en France par la loi du 15 septembre 1807, à partir du « cadastre-type » défini le 2 novembre 1802. C'était un outil juridique et fiscal, permettant d’imposer équitablement les citoyens aux contributions foncières. Il fut levé par les méthodes de l'arpentage. Un arrêté du 12 Brumaire an XI prescrivit d’étendre ces travaux à toutes les communes, puis une instruction ministérielle de 1805 ordonna de faire des expertises parcellaires à l’aide des plans par masses de culture. Napoléon a l'ambition d'établir un "état-civil" de la propriété : "Le géomètre, dans ses divers rapports avec les propriétaires, doit leur développer les avantages que procure le cadastre, d'abord en assurant l'égalité de la répartition de la contribution foncière, et la fixité de l'allivrement qui fera la base de leur cotisation; ensuite, en déterminant les limites de leurs propriétés, de manière à prévenir les contestations et les procès qui se renouvelaient sans cesse.

11 Napoléon a l'ambition d'établir un "état-civil" de la propriété : "Le géomètre, dans ses divers rapports avec les propriétaires, doit leur développer les avantages que procure le cadastre, d'abord en assurant l'égalité de la répartition de la contribution foncière, et la fixité de l'allivrement qui fera la base de leur cotisation; ensuite, en déterminant les limites de leurs propriétés, de manière à prévenir les contestations et les procès qui se renouvelaient sans cesse. Suite= clic

12 La séparation de l’église et de l’état
Bonaparte ratifie le Concordat le 8 septembre 1801, mais ce traité ne devient effectif en France qu’après son adoption le 18 germinal an X (8 avril 1802) par les Assemblées (Corps législatif et Tribunat) qu’il a fallu épurer, les représentants de « l’irréligiosité » y demeurant nombreux. Rome connaît néanmoins une forte déception : la loi du 8 avril qui valide le Concordat comporte en effet 77 « articles organiques » qui en précisent l’application. Ceux-ci ont été rédigés sans son assentiment par Jean-Étienne Portalis, conseiller d’État chargé des cultes depuis octobre Le Saint-Siège en contestera en vain la validité. Le concordat ou régime concordataire est le régime organisant les rapports entre les différentes religions et l’État dans toute la France de 1801 à 1905, date de la séparation des Églises et de l'État ; sauf en Alsace-Moselle, où il est toujours en vigueur. Le régime concordataire fut introduit, sous le Consulat, par la loi du 18 germinal an X (8 avril 1802), relative à l'organisation des cultes.

13 Le système décimal Le 12 février 1812, Napoléon prit un décret impérial instaurant pour le commerce de nouvelles unités au nom conforme à l'usage ancien, comme aune, toise, boisseau, livre, mais avec de nouvelles valeurs fixées en référence au système métrique, et surtout, autorise pour ces nouvelles unités des fractions non décimales.

14 La pensée Européenne Napoléon et l’Europe. Une relation souvent méconnue voire mal interprétée entre l’Empereur et le vieux continent. Une relation souvent conflictuelle dans laquelle s’immisce la France, sa puissance et sa grandeur. Si le Consul puis l’Empereur Napoléon a pensé sous différentes formes une unité régionale, sa vision européenne demeura cependant immuable.

15 Les infrastructures Grand voyageur, Napoléon se préoccupe très tôt de l’entretien et de la construction de nouvelles routes, indispensables aux échanges commerciaux, aux déplacements de l’armée et au renforcement de l’unité de l’Empire. La direction générale des Ponts et Chaussées engage d’importants travaux destinés à améliorer les routes (Brest, Cologne, Anvers, Amsterdam, Maastricht, Genève, Milan, Split, Dubrovnik...). Napoléon fait également construire des ponts (sur le Rhin, le Tibre, la Garonne, la Dordogne, la Drôme...). Il améliore les canaux (d’Orléans ou du Loing), poursuit les travaux du canal Rhône-Rhin et fait engager le chantier de celui qui reliera Brest à Nantes.

16 La route Napoléon Après avoir été contraint d’abdiquer le 6 avril 1814, Napoléon Bonaparte est exilé à l’île d’Elbe. Dès lors il n’a qu’un objectif, s’évader et renverser la monarchie de Louis XVIII. Le 26 février 1815, Napoléon quitte l’île d’Elbe, débarque à Golfe Juan le 1er mars, accompagné de deux à trois mille hommes. Afin d’éviter les troupes royalistes cantonnées en Basse-Provence, il décide alors de gagner Grenoble par l’intérieur du pays. Il traverse Castellane et Digne-les-Bains les 3 et 4 mars 1815, puis gagne Paris, avec ses hommes, le 20 mars 1815. Ce cheminement historique a donné lieu à la création de cet itinéraire.

17 L’arc de triomphe du Carrousel
L’arc de triomphe du Carrousel est un monument datant de 1809 construit sous Napoléon Bonaparte. Il comporte des entrées sur chacune des quatre faces (tétrapyle). Il est situé dans le 1er arrondissement de Paris, sur la place du Carrousel, juste à l'ouest du Musée du Louvre.

18 La colonne Vendôme La colonne Vendôme est un monument parisien situé au centre de la place du même nom dans le Ier arrondissement de Paris. Elle fut érigée par Napoléon pour commémorer la bataille d'Austerlitz. Au fil des années, elle reçut les noms de colonne d'Austerlitz, puis colonne de la Victoire avant de devenir colonne de la Grande Armée. Elle est communément appelée colonne Vendôme. Il convient de ne pas la confondre avec la colonne de la Grande Armée qui se trouve près de Boulogne-sur-Mer. Elle est classée au titre des Monuments Historiques depuis le 31 mars 1992.

19 NAPOLEONVILLE (Pontivy)
Napoléon veut faire de la cité de Pontivy (3 000 habitants) « dans la paix, le centre d'un grand commerce, et dans la guerre, un centre militaire important ». À partir du 18 brumaire an XII (9 novembre 1804), elle reçoit le nom de « Napoléonville ». Pour le premier consul, il s'agit de mettre en œuvre un dessein pacificateur et civilisateur dans une région en proie aux troubles civils depuis près de dix ans. Le préfet Jullien organise la nouvelle architecture de la ville. La première pierre est posée le 12 août 1807, en présence du préfet. Pontivy devient une ville moderne, parcourue de larges artères pavées et agrémentée de jardins. Beaucoup de rues reçoivent alors le nom de faits marquants ou de personnages de l'Empire. Un lycée impérial est créé en 1808 : le troisième lycée breton après ceux de Rennes (1803) et Nantes (créé en 1803, mais ouvert en 1808) ; le lycée de Pontivy a alors pour zone de recrutement les départements du Morbihan et du Finistère. Le quartier de cavalerie est fini en 1811, la maison d’arrêt en 1813.

20 La ville « NAPOLEON » (Vendée)
Le décret impérial du 25 mai 1804 (5 prairial de l'an XII) pris par Napoléon Bonaparte alors premier consul de la République, prévoit le transfert de la préfecture de la Vendée de Fontenay-le-Comte, ancienne capitale du Bas-Poitou, à la Roche-sur-Yon afin réconcilier les Vendéens avec la nation . Naît alors une ville moderne dessinée par les ingénieurs Cormier et Valot, dont la singularité première réside en son tracé géométrique en forme de pentagone, son maillage en forme de grille (ou damier) et sa division en quatre quartiers organisés autour d'une grande place centrale.

21 Le 8 août 1808, face à la lenteur des travaux de construction de « sa » ville, Napoléon, devenu empereur des Français, s'y rend et devant les travaux dira : « J'ai répandu l'or à pleines mains pour édifier des palais, vous avez construit une ville de boue » (car Emmanuel Crétet, son ministre de l'intérieur et directeur des Ponts et Chaussées, avait décidé sans son avis de la faire reconstruire par François Cointeraux premier spécialiste du pisé). Certains travaux seront finis après la chute du premier Empire, comme l'Église Saint-Louis, commandée en 1804 et terminée en 1829.

22 Montage et réalisation de: Gilles
Musique: Extrait de « Marche du sacre de Napoléon » 2015

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