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Bilan I/ Le baroque: littérature aristocratique et „bourgeoise”

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Présentation au sujet: "Bilan I/ Le baroque: littérature aristocratique et „bourgeoise”"— Transcription de la présentation:

1 Bilan I/ Le baroque: littérature aristocratique et „bourgeoise” II/ Formation de l'idéal classique: l'humanisme, la théorie de l'imitation, l'intérêt porté à la littérature nationale et à la langue française, le progrès de la rationalisation, l'essor de la vie de société III/ Les modèles: grec, latin, italien, espagnol IV/ La doctrine classique : atticisme (finesse, délicatesse du langage attribuées aux écrivains athéniens),le souci de plaire, la grâce, l'élégance et le goût: le "je ne sais quoi", l'imitation de la nature, les unités, la vraisemblance et la bienséance V/ La Querelle des Anciens et des Modernes : un mot final

2 La littérature aristocratique : le désir d'évasion dans l'imaginaire et la volonté d'idéalisation autour des valeurs dont se réclame l'aristocratie: le courage, la générosité, le faste, le goût de la parade et l'amour soumis à des règles de la galanterie. La langue: ornementale, hyperbolique, à une profusion de figures La littérature "bourgeoise” - une littérature critique par rapport à la précédente et résulte d'une volonté démystificatrice, d'un souci de réalisme. Elle adopte toutes les formes de la satire et se constitue en anti-littérature.

3 II/ Formation de l'idéal classique:
a/ l'humanisme b/ la théorie de l'imitation (imitation / émulation) c/ l'intérêt porté à la littérature nationale et à la langue française d/ le progrès de la rationalisation e/ l'essor de la vie de société

4 François de Malherbe, Valentin Conrart, spécialiste de la langue française Gilles Ménage Origines de la langue française, 1650. Claude Favre de Vaugelas, Remarques sur la langue française/ , 1647 René Descartes, Discours de la méthode pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences ,1637.

5 La justice n'est pas une vertu d'Etat.
Le choix des actions ou mauvaises ou bonnes Ne fait qu'anéantir la force des couronnes; Le droit des rois consiste à ne rien épargner, La timide équité détruit l'art de régner. La Mort de Pompée, (I, sc.1, v )

6 modèle grec: Aristote la Poétique et la Rhétorique; Homère, Plutarque, Euripide
modèle latin: Cicéron, Quintilien, Horace, Sénèque, Ovide, Plaute et Térence modèle italien: Roland furieux ( ) de l'Arioste et la Jérusalem délivrée (trad. fr. 1593), l'Aminta (1573), du Tasse, Arcadia (1504), Sannazaro

7 modèle espagnol: Diane de Montemayor (1550), Amadis de Gaule (datant du XIVe s., publié par Montalvo en 1508) et Cervantès Don Quichotte (1ère partie 1605, 2ème partie 1615, traduit dès 1608, trad. compl et 1618), Lope de Vega, comédies, tragédies Calderón, La vie est un songe, Le Grand théâtre du Monde Tirso de Molina

8 L’atticisme - finesse, délicatesse du langage attribuées aux écrivains athéniens
Le souci de plaire, "plaire et toucher", précepte issu de l'Art poétique d'Horace Les traits dominants : la grâce, l'élégance et le goût. La grâce ou le sublime est l'art de toucher en-deçà des règles et des critères formels: le "je ne sais quoi" L'imitation de la nature: celle des caractères et des sentiments, la nature morale

9 La Mesnardière, Poétique, 1639; abbé d'Aubignac, La Pratique du théâtre, 1657; père Rapin, Réflexions sur la Poétique d'Aristote, 1674 "J'aime à suivre les règles, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet et je romps même sans scrupule celle qui regarde la durée de l'action, quand sa sévérité me semble absolument incompatible avec la beauté des événements que je décris. Savoir les règles et entendre le secret de les apprivoiser adroitement avec notre théâtre, ce sont deux sciences bien différentes... P. Corneille, préface de La Suivante, 1637

10 Les trois unités (action, temps, lieu)
La vraisemblance et la bienséance Le Père René Rapin : « La vérité ne fait les choses que comme elles sont, la vraisemblance comme elles devraient être » (Réflexions sur la Poétique d’Aristote, 1674) Les bienséances externes : ne pas choquer le public Les bienséances internes : cohérence interne des personnages

11 « Je ne dis point que les siècles d’Alexandre ou d’Auguste aient été barbares, ils ont été autant polis qu’ils le pouvaient être, mais je prétends que l’avantage qu’a notre siècle d’être venu le dernier, et d’avoir profité des bons et des mauvais exemples des siècles précédents, l’a rendu le plus savant, le plus poli et le plus délicat de tous » (Ch. Perrault, Parallèles…)


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