Les enseignements des PRDF en matière de suivi et d’évaluation Atelier de l’évaluation CNFPTLV 8 décembre 2011
De pratiques d’évaluation peu développées Un suivi à l’initiative de la Région, dans la logique des PRDF, mais qui cherche à associer les partenaires Un compte rendu d’activité, un bilan, un état de lieux, « ce qui a été fait » Pas ou peu de références financières dans le PRDF, et donc dans le suivi Enquête du CNFPTLV : 7 retours (Bourgogne, Centre, Champagne, Ile de France, La Réunion, Midi Pyrénées, Haute Normandie) Dans évaluation, il y a « valeur »
Une démarche peu institutionnalisée Une mention explicite dans 20% des PRDF Les documents de bilan disponibles ne font généralement pas apparaitre d’indications de méthode Ils n’indiquent pas non plus les moyens humains ou matériels mobilisés pour le suivi ou l’évaluation
Des enjeux de restitution plus que de pilotage Une volonté de « densification » des échanges entre partenaires et d’information réciproque Un enjeu de restitution aux élus et aux partenaires du travail effectué Pas de lien direct avec le pilotage ou la préparation de la génération suivante (CPRDFP) Un objectif est l’expression d’une action orientée vers un résultat
Evaluer quoi et par rapport à quoi ? Des orientations générales dans le PRDF difficiles à traduire en résultats attendus Des fiches-action, accompagnées parfois d’une grille d’indicateurs Un suivi global qui se veut exhaustif Les évaluations conduites dans le cadre des CCREFP L’évaluation des COT au CNFPTLV
Des indicateurs, mais pourquoi faire ? Des indicateurs nombreux mais pas tous renseignés Une pertinence non démontrée par une mise en perspective par rapport aux objectifs La cible à atteindre n’est souvent pas définie : on fait parler les chiffres a posteriori (« ce qu’il faut retenir ») Qualités de l’indicateur : robustesse, compréhension, pertinence, coût
Des évaluations connexes aux PRDF Des évaluations non directement reliées au PRDF mais qui contribuent à l’éclairer, Par exemple en Poitou-Charentes sur l’employabilité des jeunes, Ou bien au conseil national sur les contrats d’objectifs territoriaux