Pour un nouveau contrat socio-professionnel : la SMART PRODUCTIVITY lewebpedagogique.com/ecoleprivee ecolesupérieureprivee@gmail.com
lewebpedagogique.com/ecoleprivee ecolesupérieureprivee@gmail.com Direction par les valeurs Bienveillance Inclusion Exigence Partage Œuvre pérenne lewebpedagogique.com/ecoleprivee ecolesupérieureprivee@gmail.com
Le contexte « On ne parle plus aujourd'hui d'une crise succédant à d'autres crises - et préludant à d'autres encore -, mais de « la crise », et qui plus est d'une crise globale qui touche aussi bien la finance que l'éducation, la culture, le couple ou l'environnement… Nous n'en voyons pas l'issue : elle est la trame même de notre existence… Elle dit la difficulté de l'homme contemporain à envisager son orientation vers le futur. La modernité, dans sa volonté d'arrachement au passé et à la tradition, a dissous les anciens repères de la certitude qui balisaient la compréhension du monde » La crise sans fin, Myriam Revault d’Allonnes, éditions du Seuil Cette crise touche le système politique, l’Administration, l’Education, les Religions, la vie économique. Pour affronter cette « crise sans fin » et son avenir imprévisible les organisations doivent s’attacher à choyer leur productivité afin de pouvoir faire face à toutes les situations. Mais comment augmenter en permanence la productivité sans subir les contrecoups de la souffrance au travail qui voit s’inverser les effets bénéfiques de cette croissance ? La SMART PRODUCTIVITY est un nouveau mode relationnel faisant surgir la productivité du bien-être et de la collaboration. Elle pallie la cause principale de la crise qui est le fait que les principaux acteurs des processus ne peuvent réellement s’impliquer : les citoyens en politique, les élèves à l’école, les administrés, les employés en entreprise, etc. En effet, depuis 20 ans, nous avons vu la productivité augmenter dans le cadre de changements brutaux, au cœur que l’on a pu appeler une « crise sans fin » entrainant beaucoup de souffrance au travail, C’est en tenant compte de ces deux aspects, d’une part l’augmentation nécessaire de la productivité et d’autre part les risques de celle-ci, que notre école a développé le concept de Smart productivity ou productivité douce. Ce mode de management permet d’obtenir la hausse de la productivité par le bien être au travail. Distorsion des hiérarques entre ce qui est dit et ce qui est fait, mise ne doute de tout par les subordonnés, qu’il y a-t-il derrière ce que l’on me dit
Un exemple… parmi tant d’autres À Matignon, le malaise du personnel Par Laurent Léger, publié le 23/05/2018 à 15:00 , mis à jour le 24/05/2018 à 14:27 Cette situation laborieuse a obligé Matignon à faire appel à une société de conseil en entreprise, Reor, afin de dresser un audit. Le résultat, comprenant les réponses de 40% des conseillers du premier ministre et de 90% des assistantes, fait froid dans le dos : ils regrettent de «travailler dans le stress avec la peur d’être viré à tout moment». D'autres déplorent un manque de «considération de la hiérarchie et aucune marque de confiance», ils ne trouvent «plus aucune source de satisfaction» dans leur travail, tandis que «certaines se sentent considérées comme des "pions" isolés, qui ne se connaissent pas entre elles, et qu’on "manipule au gré non pas des besoins mais des humeurs de chacun"»... Autant de conséquences qui pourraient s'apparenter au burn-out En effet, depuis 20 ans, nous avons vu la productivité augmenter dans le cadre de changements brutaux, au cœur que l’on a pu appeler une « crise sans fin » entrainant beaucoup de souffrance au travail, C’est en tenant compte de ces deux aspects, d’une part l’augmentation nécessaire de la productivité et d’autre part les risques de celle-ci, que notre école a développé le concept de Smart productivity ou productivité douce. Ce mode de management permet d’obtenir la hausse de la productivité par le bien être au travail. Distorsion des hiérarques entre ce qui est dit et ce qui est fait, mise ne doute de tout par les subordonnés, qu’il y a-t-il derrière ce que l’on me dit
La SMART PRODUCTIVITY un nouveau modèle relationnel Ce constat nous a amenés à créer un modèle qui recherche les améliorations productives dans la cohésion et dans la motivation durables des personnes car : 1- le goût du travail bien fait forme le fond de notre culture 2-un groupe uni et motivé voit son efficacité augmenter de façon spectaculaire tandis que des injonctions permanentes de faire plus avec moins aboutissent au résultat contraire Gébération Y c’est-à-dire : « pensons d’abord à nous et dévouons nous ensuite à une juste cause » née ente 1985 et 1995 Génération Z un management structurant et éducatif et le travail sera faitt née après1995
La productivité par l’adaptation au nouveau monde du travail Un modèle qui convienne à notre monde dont les mots d’ordre implicites sont désormais : Travailler ensemble Être impliqués Partager l’expertise Être écoutés Gérer humainement le changement Et, de plus, pour la génération Y pour moi, pour les autres : « pensons à nous puis dévouons nous à une juste cause Et, pour la génération Z » donnez, je ferai le reste : « avec un bon management nous ferons du bon travail » Gébération Y c’est-à-dire : « pensons d’abord à nous et dévouons nous ensuite à une juste cause » née ente 1985 et 1995 Génération Z un management structurant et éducatif et le travail sera faitt née après1995
La productivité par la motivation Face aux changements mal préparés et aux crises exogènes ou internes nous proposons un nouveau type de relations par : L’affirmation des valeurs Le bien être au travail La collaboration entre pairs Les relations de confiance avec la hiérarchie La joie du travail partagé Le respect mutuel entre travailleurs, hiérarques, public, administrations En effet, depuis 20 ans, nous avons vu la productivité augmenter dans le cadre de changements brutaux, au cœur que l’on a pu appeler une « crise sans fin » entrainant beaucoup de souffrance au travail, C’est en tenant compte de ces deux aspects, d’une part l’augmentation nécessaire de la productivité et d’autre part les risques de celle-ci, que notre école a développé le concept de Smart productivity ou productivité douce. Ce mode de management permet de concilier la hausse de la productivité et le bien être au travail.
Une approche globale de l’analyse à l’application « Les réformes ne doivent pas descendre d’En Haut. Il faut mettre les Français dans le coup, les amener à participer dans l’entreprise, dans l’Université, dans la région. Il s’agit de fonder un nouveau type de relations sociales qu’impose l’évolution des sociétés industrielles, responsables du malaise des âmes » Charles De Gaulle Analyse systémique dans une optique de progrès Travail collaboratif de recherche, de réflexion et d’action de la base vers le sommet Émergence de solutions permettant de travailler de mieux en mieux ensemble Application aux systèmes par le biais des processus 4 3 2 1
Simone Weil philosophe, écrivaine et ouvrière, 1909-1943 Une autorité légitime « L'obéissance à un homme dont l'autorité n'est pas illuminée de légitimité est un cauchemar » Simone Weil philosophe, écrivaine et ouvrière, 1909-1943 La SMART PRODUCTIVITY renforce l’autorité par la légitimité en se référant aux VALEURS La SMART PRODUCTIVITY forme des dirigeants humains, sûrs d’eux-mêmes et organisés : leur autorité est légitime car fondée sur les valeurs, la compétence et le respect mutuel
Quatre principes 4 principes L’inclusion L’exigence Le partage La bienveillance L’inclusion s’appuie sur les compétences de terrain, elle agit d’abord sur les systèmes dans une approche globale de la base vers le sommet puis sur l’amélioration des compétences de chacun et des processus créés et améliorés en concertation 4 principes Un management exigeant, conforme aux valeurs de la Société en général, de l’Institution, de l’Entreprise, du Service. Des relations bienveillantes et durables fondées sur le souci de l’autre, sur l’empathie, sur le bien-être, sur l’augmentation des compétences et sur l’émergence des talents afin de devenir autonomes et participatifs Le management bienveillant et durable est un management basé sur le souci de l’autre et l’empathie, sur le bien-être des travailleurs, sur l’augmentation de leurs compétences et sur l’émergence de leurs talents afin qu’ils deviennent autonomes, participatifs et épanouis Le progrès inclusif intègre et fait partager les apports des membres de l’organisme et des tiers tels que les citoyens, les travaileurs et les administrations, profitant ainsi à tous en reconnaissant le travail de chacun à travers des responsabilités assumées