Il s’agit de: Contrats pour Les apprentissages de connaissances et de capacités, Référentiels de savoirs et savoirs faire, Il s’agit de Contrats de confiance entre élèves et professeur, Il y a donc engagement réciproque,
Historique: 1987/88 : Publication par l’Académie d’Amiens des premiers contrats pour la classe de seconde, 1989 : Publication par l’Académie Poitiers des Référentiels de seconde, ce n’est pas nouveau 1995 : généralisation à toutes les classes de SVT de collège, 2005 : Réactivation: mission au sénat, travail des Inspections Générales, … André Antibi, prof de maths travaille ce mode d’évaluation et fait connaître ses travaux. Un texte sur l’ EPCC est validé et signé par une trentaine d’organisations (associations de parents, syndicats, …)
Cf sites internet Evaluation par Contrats de confiance, André Antibi, Corinne Croc, Café pédagogique, Etc… Cf « Monde de l’Education » Mars 2005, Février 2006,
La constante macabre Notes Effectifs 0 20 On ne peut se satisfaire de ce bilan de nos évaluations qui met en évidence que la moitié de l’effectif est en échec. Elle s’observe, si on n’y prend pas garde, dans tous les cas, quelque soit le niveau des Études, le niveau des élèves du groupe ou la discipline enseignée.
Préférer la courbe en J Effectifs 0 20 Notes La stratégie mise en place pour les apprentissages doit conduire à rapprocher nos bilans de cette courbe.
Evaluation diagnostique Evaluation formative Evaluation qui permet de situer la progression de l‘élève tant au niveau de ses compétences que de Ses connaissances pour repérer ses difficultés éventuelles et prévoir les remédiations ad hoc. Evaluation sommative Evaluation formatrice Evaluation qui a les mêmes rôles que l’évaluation formative mais qui accentue le rôle de l’élève par des dispositifs d’auto évaluation, d’auto correction. Cf: serveur SVT Lorraine En plus, et accom- pagnant les évalua- tions rappelées ci- contre, on peut favoriser la réussite de l’élève grâce au
On cherche à: Favoriser la réussite des élèves, Se libérer de la constante macabre, Libérer les élèves de leur « mal être » à l’école, Éviter le stress des contrôles, Redonner confiance aux élèves, Restaurer les rapports de confiance enseignant/élèves, Redonner du sens à l’évaluation,
l’EPCC: Redéfinit les conceptions de l’évaluation, Est facile à mettre en œuvre, Ne nécessite rien, ni matériel, ni moyens, ni documentation, … Ne remet rien en cause, ni la pédagogie, ni les programmes, ni les exigences, Aide à l’évaluation des compétences, Permet un apprentissage progressif,
L’élève doit savoir sur quoi il sera interrogé, Une semaine avant l’évaluation, le contrat est donné aux élèves, il définit ce que l’élève doit savoir et savoir faire à l’issue d’une séquence(cf. instructions officielles). C’est un listing des connaissances et compétences que l’élève doit posséder pour réussir le contrôle. Il est réalisé par le professeur (avec les élèves, c’est exceptionnel faute de temps, ce peut être possible oralement, lors de la préparation aux contrôle). Il est adapté: au niveau d’étude (6 è -5 è -4 è -3 è -), à la classe (longueur, fréquence, …), à la stratégie de classe (moment où il est distribué, …) Il est précis (critères de réussite, manière de répondre,…mêmes verbes d’action que dans le devoir). Cf.: serveur Lorraine : « verbes pour formuler les consignes Cf.: serveur Martinique « des mots pour le dire »
Le contrat est rédigé dans un langage simple, accessible à l’enfant et à ses parents. La stratégie de l’EPCC est expliquée: Aux élèves, Aux parents, Aux « tuteurs », La standardisation n’est pas obligatoire, on peut garder la spécificité de la discipline ou du professeur. Pour autant, il est judicieux d’avoir un mode de rédaction qui obéit bien aux règles de l’EPCC.
Il n’est pas le résumé, Il n’est pas un contrôle d’entraînement, Il n’est pas une fiche conseil, En SVT, il est distribué et commenté à la fin d’une séquence d’apprentissage (ou plusieurs), L’élève est prévenu du contrôle, la date est fixée en accord avec la classe, Une séance sépare la distribution du contrat du contrôle (questions – remédiations) On peut le faire construire aux élèves (mais attention à la « chronophagie » de ce travail, ce peut-être possible oralement).
L’EPCC permet: D’encourager et récompenser le travail de l’élève, D’aider parents, tuteurs, … De limiter l’échec par l’incompréhension du travail à fournir, De favoriser la motivation et le travail car l’élève « travaille utile », D’éliminer les apprentissages et travaux inutiles, De redonner la confiance à l’élève, De limiter le stress: « l’élève ne redoute plus les questions », « l’élève sait ce qui l’ attend », L’élève est responsabilisé, Le professeur est responsabilisé,
On observe alors: Les notes augmentent en moyenne de 2 à 3 pts, Les élèves les plus faibles, les plus découragés voient leurs notes augmenter de 5 à 6 pts, Les élèves sont plus attentifs aux séances de classe, aux exercices formatifs, aux corrections, Les élèves travaillent davantage, et en confiance, L’EPCC est bien ressentie par les élèves qui comprennent qu’on souhaite les aider à progresser ( dans la rigueur et la norme) et non à les « piéger ». Si on arrête les contrats Révolution.
Critiques et réponses aux critiques: L’élève s’attend à la question, ne peut s’entraîner à une situation nouvelle, faux et les exercices formatifs ??? et le niveau 3 ??? La note n’est plus là pour marquer l’autorité oui, mais relations de confiance rétablies, il n’y a plus besoin d’ « autorité/autoritarisme », Pb des bons élèves…parfois « rattrapés » et s’ils apprenaient à travailler eux aussi ??? Les élèves ont tendance à apprendre le contrat, Impossible s’il est bien rédigé,
EPCC: Apprentissages mieux réussis, Niveau augmenté, Notes et moyennes améliorées, Bien être de l’élève restauré, Relations de confiance assurées, On ne change rien ou si peu à sa stratégie, Cf.: ex de contrat en classe de 3ème