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S CIENCE P OLITIQUE A PPROFONDIE Séance 3 Matteo Cavallaro.

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1 S CIENCE P OLITIQUE A PPROFONDIE Séance 3 Matteo Cavallaro

2 LA DÉFECTION En sciences sociales (en gros) il y a deux moyen de mener des enquêtes. Chercher les similitudes entre cas ayant résultats similaires. Chercher les différences entre cas ayant résultats différents. Comprendre les raisons de l'engagement peut être travailler en étudiant les logiques du désengagement, de la défection. Comparaison entre le groupe qui s'engage et ceux qui ne s'engagent pas. Les différences devrait être considérée comme possible causes/raisons de lengagement.

3 LA DÉFECTION - EXAMPLES Example: Christian de Montlibert. étude auprès de sidérurgistes lorrains fin des années 1970. Il constate que ce ne sont pas les plus dominés économiquement et culturellement qui se mobilisent ( immigrés, travailleurs âgés et peu diplômés). Les plus mobilisés sont les jeunes ouvriers, scolarisés et qualifiés, syndiqués et politisés. En cherchant les points de diversité => ceux qui sont en trajectoire sociale ascendante, et qui par conséquent sont les plus menacés par le déclassement

4 L' INSCRIPTION DE L ' ENGAGEMENT DANS UNE TRAJECTOIRE BIOGRAPHIQUE Etudes montrent que le militantisme est une activité qui a un coût, qui exige (temps, énergie...) mais qui permet d'acquérir des compétences spécialisées, compétences pas forcément formalisable Pas de licence pour sêtre engagé, rien qui ne montre les connaissance quon a appris. Elément important souligné par ce courant : ce quil sagit dexpliquer nest pas seulement le moment premier de lengagement, mais le fait quun engagement puisse sinscrire dans la durée

5 L' INSCRIPTION DE L ' ENGAGEMENT DANS UNE TRAJECTOIRE BIOGRAPHIQUE Sens par rapport à son histoire singulière, à sa vie. Engagement => « lieux de validation et dunification de lidentité ». lengagement permet détablir une continuité dans une histoire biographique il permet de restaurer une identité autrement « blessée » il permet de se projeter dans lavenir en adéquation avec des idéaux, notamment religieux. Cest-à-dire => passé – présent - futur

6 L' ENGAGEMENT COMME TRAVAIL ? Havard-Duclos et Nicourd (2005): Pas seulement en termes de compétences Statut social et estime de soi Substitut fonctionnel de lemploi pour ceux qui en sont durablement dépourvus (ex retraités). Tremplin vers lemploi pour les jeunes ayant pas de statut social et confiance en soi. Bénévolat fournit => Une activité Un statut

7 D U POLITIQUE À L ASSOCIATIF Années 1970 => lengagement politique était très répandu dans la société Modèle dengagement héroïque et partisan : le militant entièrement dédié à sa cause ; logique sacrificielle, idée du parti comme institution totale. Annés 1980 => crise du politique, du militantisme. Changement dans les registres de la légitimité de lengagement. Causes? critique dun engagement « servile », diffusions des valeurs managériales, difficulté à la a réalisation des objectifs. Du militant social au militant distancié. Distance prise par rapport au collectif valorisée comme signe dune plus grande autonomie des individus.

8 EXPOSES

9 Q UALITATIF /Q UANTITATIF Recherche quantitative: « In sociology, quantitative research refers to the systematic empirical investigation of social phenomena via statistical, mathematical or numerical data or computational techniques. » Recherche qualitative: « Qualitative researchers aim to gather an in- depth understanding of human behavior and the reasons that govern such behavior. The qualitative method investigates the why and how of decision making, not justwhat, where, when. Hence, smaller but focused samples are more often used than large samples. In the conventional view, qualitative methods produce information only on the particular cases studied, and any more general conclusions are only propositions (informed assertions). » Il y a des articles entre les deux ou qui utilisent les deux approches en même temps, dans ce cas-là posez-vous la question: quelle est lapproche clef qui soutien la thèse de larticle? Il y a aussi des articles complètement théoriques.

10 « L E B ÉNÉVOLAT, DU MILITANTISME AU VOLONTARIAT » ( PAR D ANIÈLE D EMOUSTIER – 2002)

11 D ANIÈLE D EMOUSTIER MCF en economie. Spécialiste en Economie Sociale et Solidaire Dans sa recherche sur le fonctionnement de lESS elle sest aussi concentré sur les acteurs: associations, militants, bénévoles.

12 E CONOMIE S OCIALE ET S OLIDAIRE The term social and solidarity economy (SSE) is increasingly being used to refer to a broad range of organizations that are distinguished from conventional for-profit enterprise, entrepreneurship and informal economy by two core features. First, they have explicit economic AND social (and often environmental) objectives. Second, they involve varying forms of co-operative, associative and solidarity relations. They include, for example, cooperatives, mutual associations, NGOs engaged in income generating activities, womens self-help groups, community forestry and other organizations, associations of informal sector workers, social enterprise and fair trade organizations and networks. (Peter Utting – United Nations Research Institute for Social Development)

13 E CONOMIE S OCIALE ET S OLIDAIRE

14 Le poids en France 10,3 % de lemploi français (9,7 % des ETP) ETP => équivalent temps lien 13,8 % de lemploi privé 2,33 millions de salariés 57,9 milliards deuros de rémunérations brutes 222 800 établissements employeurs

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16 E CONOMIE S OCIALE ET S OLIDAIRE - A CTEURS Cooperatives Définie par lILO comme: « organisations autonomes de personnes unies volontairement pour répondre à leurs besoins économiques, sociaux, culturels et à leurs ambitions à travers une société démocratiquement gérée et conjointement possédée » Sociétés qui suivent la règle « une personne / une voix » dans leur gestion interne (doù la démocratie). Produit historique du mouvement socialiste, mais est-ce que les coopératives peuvent être considérées comme des entreprises « socialistes »? Etant donné leur caractère plus « entrepreneurial », on sen occupera beaucoup moins.

17 E CONOMIE S OCIALE ET S OLIDAIRE - A CTEURS Cooperatives 7% des africain est membre dune ou plus coopératives (2008). Les « banques coopératives » et les coopératives agricoles sont très diffusés. 60% des dépôts bancaires en France se font dans les banques coopératives. 75% des agriculteurs français adhèrent à une coopérative

18 E CONOMIE S OCIALE ET S OLIDAIRE - A CTEURS Associations Voir lexposé par Colas – Roblot Selon lILO elles sont définies: Par leurs règles (négociées), qui garantissent la réciprocité à travers des formes de contrôle social. Par leurs objectifs: Combler le gap entre autorité et société civile Créer (ou sauvegarder) des liens sociaux Très flexibles et pour cette raison on narrive pas à avoir des données très précises au niveau global.

19 E CONOMIE S OCIALE ET S OLIDAIRE - A CTEURS Associations 39.5 millions de travailleurs ETP dans les pays de lOCDE en 2003. Dont 22 millions salariés. Environ 80% des organisations qui font partie de lESS en France ont statut association. Un français sur trois adhère au moins à une association.

20 E CONOMIE S OCIALE ET S OLIDAIRE - A CTEURS Entreprises sociales Selon le pays il sagit de coopératives sociales ou dun genre dentreprise ayant un but social. Elles se distinguent des sociétés « normales » car le profit quelles cherchent est un profit « social » qui bénéficie leur communauté ou leur cible. Mutuelles Organisations dont le but est de fournir des services sociaux aux adhérents. Partage du risque. Fondations « Charitable » vs. « Private ». Ex. Compagnia di San Paolo Est-ce quelles font vraiment partie de lESS?

21 E CONOMIE S OCIALE ET S OLIDAIRE Reconnaissance politique? Il faut toujours se demander si un changement social a achevé une reconnaissance « politique » En France, il y a un Ministre chargé de lEconomie sociale et solidaire. Et il y avait un secrétariat sous Jospin. En Italie il y a eu un Ministre pareil entre 2006/2008. Ici aussi sous un gouvernement de gauche. LInternational Labour Organization en reconnait limportance et a crée une « Académie » qui soccupe de la recherche sur ce type déconomie. Voilà donc le cadre général, on peut maintenant aller vers larticle..

22 Q UESTION 1 Quels sont les fondements du bénévolat selon Demoustier?

23 Q UESTION 1 Quels sont les fondements du bénévolat selon Demoustier? Libérté Bonne volonté Confiance Altruisme Gratuité

24 Q UESTION 2 Quest-ce quil nous dit larticle du rapport bénévolat/travail salarié ?

25 Q UESTION 2 Quest-ce quil nous dit larticle du rapport bénévolat/travail salarié ? Opposition qui sest crée au fil du temps. Le continuum bénévolat salariat tend à se rompre. Le bénévolat est: « le moyen de se distinguer du salariat en réclamant de l'autonomie contre la subordination, et en défendant des valeurs morales et sociales par rapport à la motivation financière. Marie-Thérèse Cheroutre définit ainsi le bénévole par rapport au salarié, comme > Page 102

26 Q UESTION 2 Double évolution aussi à considérer 1. Soit le bénévolat tend à disparaitre au profit du salariat, soit on voit que de plus en plus « la liberté est inscrite dans des contraintes, l'altruisme se heurte à la recherche de gratification, la confiance fait place à la responsabilisation, la bonne volonté doit se confronter à la professionnalisation, la gratuité peut laisser la place à la rémunération. » 2. Il y a une forte demande dapprentissage collectif de la citoyenneté, de mobilisation de la société civile, à travers les associations. Page 109 Entre super-bénévolat et sous-salariat (page 111).

27 Q UESTION 3 Quelles sont-elles les raisons du passage du militantisme au bénévolat?

28 Q UESTION 3 Quelles sont-elles les raisons du passage du militantisme au bénévolat? « L'attention portée aux résultats de l'action, la ponctualité de l'engagement, le recul des utopies du changement » « Lexigence dun résultat concret, immédiat, de lengagement » Page 106 Doù aussi nait une rupture entre associations « militantes » et « gestionnaires ».

29 Q UESTION 4 Quel était le profil des bénévoles aux années quatre-vingt ?

30 Q UESTION 4 Quel était le profil des bénévoles aux années quatre-vingt ? « jusqu'aux années quatre-vingt, les bénévoles étaient essentiellement des personnes qui avaient un revenu par ailleurs (femmes au foyer, actifs, voire retraitést) et disposaient de temps libre ou d'une organisation libre du temps (professions libérales, enseignants) » Page 105

31 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS

32 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS – LES ADHÉRENTS EN 2012 La situation a-t-elle changé après 2002 (date de publication de larticle)? Les hommes sont plus souvent adhérents que les femmes (resp. 37 % et 32 %), du fait de leur plus grande représentation dans les associations sportives (resp. 16 % et 11 %) et les syndicats. L'adhésion progresse avec le niveau de vie et le niveau de diplôme, sauf pour les clubs du troisième âge. L'engagement culmine entre 60 et 74 ans : 40 % d'entre eux sont membres d'au moins une association contre 34 % pour l'ensemble de la population Multi-adhérents. Source: Participation à la vie associative, INSEE 2012 Mais ces données couvrent les adhérents …

33 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS La situation a-t-elle changé après 2002? Ce que lINSEE nous dit sur les bénévoles daujourdhui: Genre: 58 % des adhérents font du bénévolat, contre seulement 52 % des adhérentes. Profession: parmi les adhérents, ce sont les chômeurs qui simpliquent le plus dans le bénévolat (67 %) ; viennent ensuite les personnes occupant un emploi (58 %). Etudiants et retraités paraitraient participer beaucoup moins. Source: Vie associative, 16 millions dadhérents en 2008, INSEE.

34 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS Enquête du 2002 reste donc le meilleur instrument de recherche disponible, même si cela fait déjà 12 ans.. Analyse des résultats menée par Prouteau et Wolff, « Donner son temps: les bénévoles dans la vie associative », Economie et statistique, N°372, 2004, pp. 3-39 Leur objectif: identification des acteurs.

35 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS – BÉNÉVOLAT ASSOCIATIF Un bénévolat essentiellement associatif Seulement 17% des bénévoles agissent pour des organismes non associatifs, le plus souvent au niveau locale (action municipale, école..). Prouteau, à cet égard, avait déjà proposé une distinction entre un bénévolat formel (associatif) et informel (tout ce quil reste). Contraste avec le monde américain: a-t-on une particularité française?

36 U NE PARTICULARITÉ FRANÇAISE ? Simonet-Cusset, « Du bénévolat en Amérique, au poids symbolique de la loi de 1901 », Annales de la recherche urbaine, n.89 Le cadre associatif nest pas le seul où on retrouve de bénévoles et son poids au sein de lESS française est différent du pois aux Etats-Unis. USA: « En tant que pratique organisée, la pratique bénévole nest pas associée a un type de structure particulier » Groupes informels non déclarés (Grassroots organisations): elles ressemblent aux associations françaises, mais ne sont pas déclarées aux services fiscaux. Bénévolat dentreprise au sein de « for-profit organization » Doù une vision du bénévolat comme toute activité ne pas rémunérée qui vise à aider les autres.

37 U NE PARTICULARITÉ FRANÇAISE ? Petite parenthèse sur le bénévolat dentreprise, trois cas en gros: Encouragé (de manière générale, sans pas vraiment dépenser de largent) par lentreprise elle-même (encouragement social/informel). Entreprise détache certains de ses salariés auprès dassociations mais leur verse le salaire. Programmes internes créés par lentreprise. Et noublions pas le bénévolat pour lEtat => bibliothèque, services sociaux etc. Mais larticle de Prouteau se concentre sur le cas français et donc sur les associations

38 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS – ADHÉRENTS / BÉNÉVOLES Pour Prouteau le bénévolat est: « travailler sans être rémunéré ou rendre des services dans le cadre dune association ou non » Il ne se distingue pas trop de la notion américaine, mais il rajoute le cadre associatif. Distinction à lintérieur de lenquête entre: Cotisant: des adhérents qui se limite à correspondre une cotisation. En théorie obligatoire pour tous les adhérents, mais en réalité il y a 20% des adhérents qui déclarent de ne rien payer. Participant ou bénéficiaires: ils participent, même si ce nest que pour leur bénéfice (ex. des gens qui suivent des cours). Animateur: responsable des activités/dune activité. Dirigeant/trésorier ou autre élu: responsable de lorganisation/de ladministration.

39 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS – BÉNÉVOLAT / ASSOCIATION Deux cercles Bénévolat Association Les deux cercles ne se superposent pas complètement: On a à lintérieur de lassociation des salariés qui ne peuvent pas être considérés comme des bénévoles, au moins à partir dun certain dégrée de rémunération. On a des cotisant, qui ne participent pas. On peut être bénévoles hors des associations.

40 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS – EN CHIFFRES Plus souvent des hommes (55%) et des personnes diplômées (40% à bac ou plus Linfluence du niveau de formation initiale sur lengagement bénévole est attestée en France comme à létranger selon Prouteau La présence denfants a des effets ambivalents Moins de temps, mais aussi plus denvie et motivations pour sengager. Le fait dêtre propriétaire de son logement augmente probabilité dengagement bénévole des théories américaines relient cela à la volonté daméliorer le cadre de vie et à la durée de limplantation locale Motivation dordre économique => mieux le quartiers, plus la valeurs de mon immeuble. Influence de la pratique religieuse augmente la probabilité dêtre bénévole Et pour linfluence « idéologique » et pour une question de réseau et des demandes de ce réseau (pensez à lEglise Catholique: le recrutement devient plus facile lorsquon vient chargé avec des taches par notre paroisse).

41 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS - PCS Influence de la socialisation familiale : impact de lengagement passé des parents sur celui des enquêtés, et impact plus fort des pères que des mères. Cependant, sur les filles, cest le bénévolat de la mère qui a le plus dinfluence, alors que cest celui du père chez les garçons Phénomène de reproduction sociale particulier. Dernier point sur la PCS (professions et catégories socioprofessionnelles): « Toutes choses égales par ailleurs, les ouvriers et les professions indépendantes non agricoles se distinguent par une propension à sengager plus faible que celles des employés, des professions intermédiaires et des cadres supérieurs, mais surtout sensiblement inférieure à celle des agriculteurs. »

42 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS - TEMPS Temps consacré au bénévolat, chez les bénévoles : en moyenne 2.5h par semaine, mais une moyenne qui reflète de fortes disparités : 2/3 des bénévoles consacrent au maximum une heure par semaine à leur activité bénévole, tandis que 11% des bénévoles y consacrent plus de 6h. « le bénévolat est, dans la majorité des cas, un bénévolat occasionnel »

43 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS - M OTIVATIONS « Lenquête Vie associative offre à cet égard des informations en provenance des répondants eux- mêmes » Ce nous pose un problème de méthodologie quon retrouve typiquement dans tous les sondages aussi: les gens mentent et se mentent. Les individus ne connaissent pas nécessairement les véritables ressorts de leurs actions Idée que les motifs altruistes sont valorisés, donc vont être plus déclarés. Prouteau dialogue avec les théories économiques de lengagement, pas avec les théories sociologiques. Il souligne en conclusion la nécessité de compléter son travail par des études sous un angle plus « psycho ».

44 L E PROFIL DU BÉNÉVOLAT FRANÇAIS - M OTIVATIONS Motivation des bénévoles (INSEE Première 2004): Désir de se sentir utile pour la société, de faire quelque chose pour les autres : motivation invoquée par 81% des bénévoles Rencontrer des personnes partageant les mêmes préoccupations, les mêmes goûts : 45% (ce qui souligne limportance de la dimension relationnelle du bénévolat, peu prise en compte par les théories économiques) Défendre des droits ou causes : 28% Acquérir ou exercer une compétence : 24% Les motivations varient aussi selon les domaines dactivité action sociale, caritative et humanitaire => plus fréquemment animés du souci daider les autres Le désir de se faire des amis et la recherche dépanouissement sont plus particulièrement déclarés à titre principal dans les associations culturelles et de loisirs

45 D ANS LA PROCHAINE SÉANCE Les raisons de lengagement associatif Article à lire pour tous: Éric Agrikoliansky, « Carrières militantes et vocation à la morale : les militants de la Ligue des droits de lhomme dans les années 1980 », Revue française de science politique, vol. 51, 1-2, février-avril 2001, p.27- 46 Exposé « Les raisons de lengagement associatif : le cas de trois associations issue de limmigration maghrébine » (Grembokole – Palenne)


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