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Réunion des chefs de travaux Sciences et techniques industrielles

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Présentation au sujet: "Réunion des chefs de travaux Sciences et techniques industrielles"— Transcription de la présentation:

1 Réunion des chefs de travaux Sciences et techniques industrielles
Académie de Nancy Metz Lycée Héré - 19 février 2014 9h 30 – 16h30

2 Académie de Nancy Metz Lycée Héré - 19 février 2014
Ordre du jour Académie de Nancy Metz Lycée Héré - 19 février 2014

3 Accueil Les résultats nationaux – l’évolution des diplômes Les résultats aux examens académiques Les procédures des examens La sécurité Les échanges franco-allemands   Les missions du professeur Les GTA - Les attendus Le nouveau site internet La liaison BAC PRO – BTS Échanges sur les modalités d’organisation des PFMP Echanges - Conclusion

4 Accueil Michèle JACQUES – proviseure du lycée Héré
Jean Jacques FRANCOIS - DAET 9h30 – 9h40

5 Résultats nationaux – Evolution des diplômes
M. Mohamed BAZIZ – IGEN STI 9h40 – 10h

6 Les résultats aux examens académiques
Jean Philippe DUFOUR- IEN ET STI - AA Daniel GLAISER - IEN ET STI Philippe ALBERT – IEN ET STI 10h – 10h20

7 Contexte R2008 : expérimentation -> 1ers résultats du Bac 3 ans, en juin 2011 R2009 : généralisation -> 1ers résultats de la généralisation, en juin 2012 Comparaison possible car tous les bac pro se déroulent désormais sur 3 ans

8 Évolution du poids des spécialités
Formation initiale (privée et publique) sous statut scolaire par contrat d’apprentissage Autres Formation continue Candidats isolés

9 Nb de candidats Bac. Pro.

10 Évolution de la performance

11 Évolution de la performance

12 Taux de réussite BAC PRO

13 Taux de réussite BAC PRO

14 Épreuve de contrôle 2011 2012 2013 Candidats à l'épreuve de contrôle
1350 1244 977 % épreuve de contrôle 16,2% 15,9% 14,2%

15 DNB série technologique (2012) et professionnelle (2013)
Taux de réussite DNB série professionnelle Moyenne du DNB série professionnelle Moyenne de la DP 6h Session 2012 73,65% 11 12,56 Session 2013 77,02% 12,75

16 Les procédures des examens
Nathalie MATHIEU – Division des Examens et Concours Didier ESSELIN – IEN ET STI 10h20 – 10h40

17 Les procédures des examens
Points de réglementation des examens Les P.F.M.P. Rappel concernant les demandes d’aménagement d’épreuves Problématiques des C.C.F. Les documents attendus lors des jurys

18 Les procédures des examens
Points de réglementation des examens : Le diplôme intermédiaire Le Baccalauréat Professionnel Le positionnement

19 Les procédures des examens
Problématiques des C.C.F. La gestion de l’absence des candidats à une situation d’évaluation L’attribution des notes dans le cadre du C.C.F. L a communication des notes aux candidats

20 Les procédures des examens
Les P.F.M.P. Rappel concernant les demandes d’aménagement d’épreuves

21 Les documents attendus lors des jurys
ATTESTATIONS de présence en PFMP Le livret scolaire BO N° 42 du 18 novembre 2010

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23

24 Travaux interdits et réglementés Procédure de dérogation pour jeunes mineurs
Angélique ALBERTI Directrice adjointe du travail – UT54 DIRECCTE de Lorraine Joséphine SALZGEBER – ISST Daniel GLAISER – IEN ET STI 10h40 – 11h10

25 Programme de l’intervention
Cadre réglementaire et enjeux Travaux interdits (sans dérogation possible) aux jeunes mineurs Travaux réglementés soumis à demande de dérogation Travaux autorisés, exemptés de demande de dérogation Principes de la dérogation Procédure Focus sur l’avis médical Rôle de l’Inspection du Travail Focus / risque chimique La décision Conditions de mise en œuvre

26 Cadre Décret n° du 11 octobre 2013 relatif à la procédure de dérogation prévue à l’article L du code du travail pour les jeunes âgés de moins de 18 ans Décret n° du 11 octobre 2013 relatif aux travaux interdits et réglementés pour les jeunes âgés de moins de 18 ans Circulaire interministérielle n°11 daté du 23 octobre 2013

27 Enjeux Élargissement du champ d’application de la dérogation
Passe d’une logique individuelle à une logique collective Actualise la liste des travaux interdits soumis à dérogation Terminologie : machines et produits dangereux deviennent : « travaux interdits » sans dérogation possible « travaux réglementés » (soumis à dérogation)

28 Travaux interdits (sans dérogation possible) aux jeunes mineurs
DIRECCTE ALSACE Travaux interdits (sans dérogation possible) aux jeunes mineurs L : - Il est interdit d'employer des travailleurs de moins de dix-huit ans à certaines catégories de travaux les exposant à des risques pour leur santé, leur sécurité, leur moralité ou excédant leurs forces. Ces catégories de travaux sont déterminées par voie réglementaire. D : travaux portant atteinte à l’intégrité physique ou morale D * : travaux exposant à des agents chimiques dangereux / amiante empoussièrement 3 D : travaux exposant à des agents biologiques groupes 3 et 4 D : travaux exposant aux vibrations mécaniques exposition > valeurs journalières D * : travaux exposant à des rayonnements (ionisant si cat A) D * : travaux hyperbares classe 0, I, II, III D * : travaux exposant à un risque d’origine électrique (proximité et opération ss tension) D : travaux comportant des risques d’effondrement et d’ensevelissement D : conduite de quad. et de tracteurs sans dispositif anti-renversement, ni retenue cond. D & D : travaux temporaires en hauteur sans protection collective, dans les arbres D : travaux exposant à des températures extrêmes D : travaux en contact d’animaux féroces et venimeux * : certains alinéas de l’article autorisent une demande de déroation 28

29 Travaux réglementés soumis à demande de dérogation
DIRECCTE ALSACE Travaux réglementés soumis à demande de dérogation L : - Par dérogation aux dispositions de l'Article L4153-8, les travailleurs de moins de dix-huit ans ne peuvent être employés à certaines catégories de travaux mentionnés à ce même article que sous certaines conditions déterminées par voie réglementaire. D & D * : travaux exposant à des agents chimiques dangereux / amiante empous 1 & 2, D * & D : travaux exposant à des rayonnements (ionisant si cat B, ray. optique <VLEP) D * : interventions en milieu hyperbare classe I, II, III D : conduite d’ET (équip. travail) mobiles automoteurs & d’ET servant au levage D & D : travaux avec équipement de travail (CE de type + élmts dang) + travaux maintenance D : montage / démontage d’échafaudage D : travaux avec appareils sous pression fixe D : travaux en milieu confiné (en local et en réseau) D : travaux au contact de verre ou métal en fusion * : certains alinéas de l’article comportent des interdictions 29

30 Travaux autorisés  exemptés de demande de dérogation
DIRECCTE ALSACE Travaux autorisés  exemptés de demande de dérogation R : travaux règlementés autorisés si titulaire diplôme/titre professionnel en rapport D : agents chimique dangereux R (comburants et dangereux pour l’environ.) D * : intervention en milieu hyperbare relevant de la classe 0 D * : travaux sur installations à très basse tension (TBTS) R : opération sur instal élec ou opération d’ordre élec/non élec si jeunes habilités R : travaux prévus à D avec formation et autorisation de conduite R : manutention manuelle excédant 20% du poids du jeune si aptitude médicale constatée D ** : travaux légers non préjudiciable à sa sécurité, santé ou à son développement * : certains alinéas de l’article comportent des interdictions **: article réservé aux jeunes de 14 à 16 ans durant les vacances scolaires 30

31 Le champ d’application: les publics
Jeunes âgés de 15 ans et de moins de 18 ans affectés à des travaux réglementés pour les besoins de leur formation professionnelle (R du code du travail): Apprentis, élèves, Stagiaires de la formation professionnelle (nouveau) Titulaires d’un contrat de professionnalisation (nouveau) Jeunes accueillis dans les ESAT, IME, PJJ, établissements de pré-orientation professionnelle (nouveau)

32 Obligation de préparer un diplôme professionnel
ou technologique Conséquence : Rejet par l’IT de toute demande de dérogation aux travaux réglementés ne concernant pas la préparation d’un diplôme professionnel ou technologique (exemple du DIMA)

33 Champ d’application: les demandeurs (R4153-38 du code du travail)
Les employeurs, incluant EPIC, EPA, établissements de santé, sociaux ou médico sociaux mentionnés à l’article L du CT Les chefs d’établissement des: Des établissements publics et privés d’enseignement général, technologique et professionnel, y compris agricole + établissements d’enseignement supérieur si mineurs accueillis, Les CFA, Les organismes de formation professionnelle ESAT, IME, PJJ, établissement de pré orientation professionnelle

34 Principes de la dérogation (art R4153-40 du code du travail)
Dérogation pour une durée de trois ans Dérogation nécessaire avant d’affecter les jeunes (après transmission de données individuelles) Le lieu peut être l’entreprise ou plusieurs établissements de l’entreprise ou une partie seulement telle qu’un atelier

35 Procédure Demande faite par l’employeur et par le chef d’établissement chacun pour ce qui le concerne (IT territorialement compétent) Nécessité pour les parties d’avoir respecté les conditions préalables : Évaluer les risques, Mise en œuvre des actions préventives, Avoir respecté les obligations mises à sa charge sur la conception et utilisation des locaux de travail, Assurer l’encadrement par une personne compétente

36 Procédure – contenu de la demande
Le secteur d’activité de l’entreprise ou de l’établissement Les travaux pour lesquels il est demandé une dérogation Les différents lieux de formation Les équipements de travail incluant les équipements portatifs et loués (identifiés avec le type de machine, la marque, le numéro de série, l’année de fabrication et la date de mise en service) – à noter que dans la décision, l’IT pourrait exclure tel ou tel équipement La qualité ou la fonction de la ou les personnes compétentes chargées d’encadrer les jeunes pendant l’exécution des travaux précités.

37 Procédure La demande est transmise pour permettre une prise de date quant à la réception (LRAR) La procédure de renouvellement suit les mêmes règles et doit être adressée trois mois avant l’expiration de la dérogation L’employeur ou le chef d’établissement doit adresser à l’IT, une fois la dérogation obtenue, dans les 8 jours qui suivent l’affectation du jeune: ses coordonnées, la nature de la formation, l’avis médical, un avis attestant sa formation à la sécurité, les coordonnées de la personne en charge de l’encadrement

38 Focus sur l’avis médical
Pour les jeunes relevant de l’EN: médecins scolaires Établissements agricoles: médecins scolaires ou MSA si convention, Apprentis et jeunes en contrats de professionnalisation: médecin du travail Pour les jeunes structures médico sociales: médecin ou service médical spécifique

39 Rôle de l’Inspection du Travail
Vérifie que les travaux pour lesquels la demandé est déposée sont nécessaires à la formation professionnelle L’IT décide en opportunité – au regard notamment de sa connaissance de l’établissement et du respect de la partie IV du CT Vérifie l’effectivité du Document Unique d’Evaluation des Risques

40 Focus sur examen de demande de dérogation / risque chimique
Informations susceptibles d’être recueillies: Étiquetage des produits, FDS + autorisations de mise sur le marché pour produits phyto ou biocides, Conditions de mise en œuvre des produits, Conditions de stockage, Moyens de PC et mise à disposition des EPI.

41 La décision À réception de la demande, l’IT a deux mois pour se prononcer Si silence de l’IT, acceptation de dérogation Peut être retirée à tout moment si les conditions justifiant son octroi cessent d’être remplies RAPO: Recours hiérarchique auprès du Ministre dans le délai d’un mois – si pas de réponse dans les deux mois, c’est un refus

42 Conditions de mise en œuvre
DIRECCTE ALSACE Conditions de mise en œuvre Période transitoire : Année scolaire  coexistence tolérée des deux dispositifs, anciens et nouveaux, de demande de dérogation. Trois cas possibles : ancienne réglementation applicable et anciens formulaires : pour les décisions rendues au plus tard le 13 octobre 2013. nouvelle réglementation applicable et anciens formulaires : pour les décisions rendues après 13 octobre compléments d’informations à fournir par le demandeur pour être conforme au décret nouvelle réglementation applicable et futurs formulaires : pour les décisions rendues après le 13 octobre 2013. 42

43 Je vous remercie pour votre attention

44 Les échanges franco-allemands
Simone REBSTOCK et Philippe CHIQUET Délégués DFS / SFA Deutsch-französisches Sekretariat : Secrétariat franco-allemand pour les échanges en formation professionnelle Villa Europa - Kutscherhaus - Kohlweg 7 D Saarbrücken Tel: 0049 (0) 681  ; Fax:0049 (0) 681  , Philippe ALBERT – IEN ET STI 11h10 – 11h40

45 Pause déjeuner 11h45 – 14h30

46 Christophe MULLER – IEN ET STI Dominique PERETTI – IEN ET STI
Les missions du professeur Les Groupes de travail Académique Les attendus   Christophe MULLER – IEN ET STI Dominique PERETTI – IEN ET STI 14h30 – 14h50

47 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
14 compétences communes aux métiers du professorat et de l’éducation + 5 compétences spécifiques et communes à tous les professeurs = 19 compétences du professeur Arrêté du 1er juillet BO du 25 juillet 2013 Ce référentiel de compétences vise à : affirmer que tous les personnels concourent à des objectifs communs et peuvent ainsi se référer à la culture commune d’une profession dont l’identité se constitue à partir de la reconnaissance de l’ensemble de ses membres ; reconnaître la spécificité des métiers du professorat et de l’éducation, dans leur contexte d’exercice ; identifier les compétences professionnelles attendues. Celles-ci s’acquièrent et s’approfondissent au cours d’un processus continu débutant en formation initiale et se poursuivant tout au long de la carrière par l’expérience professionnelle accumulée et par l’apport de la formation continue.

48 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
BO N°30 du 25 juillet Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l'éducation B.O. n° 29 du 22 juillet 2010. Définition des compétences à acquérir par les professeurs, documentalistes et conseillers principaux d'éducation pour l'exercice de leur métier Ce référentiel se fonde sur la définition de la notion de compétences : ensemble de connaissances, d’aptitudes et d’attitudes critiques appropriées au contexte. Chaque compétence est accompagnée d’items qui en détaillent les composantes et en précisent le champ. - des compétences communes à tous les professeurs et personnels d ’éducation (Compétences de 1 à 14) ; - des compétences communes à tous les Professeurs (P1 à P5) et spécifiques aux professeurs Documentalistes (D1 à D4) ; - des compétences professionnelles spécifiques aux CPE (C1 à C8).

49 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Acteurs du service public. 1. Faire partager les valeurs de la République. 2. Inscrire son action dans le cadre des principes fondamentaux du système éducatif et dans le cadre réglementaire de l’école. Acteurs de la communauté éducative. 6. Agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques. 1. Agir en fonctionnaire de l’Etat de façon éthique et responsable.

50 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Acteurs de la communauté éducative. 10. Coopérer au sein d’une équipe. 11. Contribuer à l’action de la communauté éducative. 12. Coopérer avec les parents d’élèves. 13. Coopérer avec les partenaires de l’école 10 – coopérer au sein d’une équipe 9 – travailler en équipe 9. Travailler en équipe et coopérer avec les parents et les partenaires de l’école.

51 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Au service de la réussite de tous les élèves. 7. Maîtriser la langue française à des fins de communication. Professionnel porteur de savoirs et d’une culture commune. P2. Maîtriser la langue française dans le cadre de son enseignement. 2. Maîtriser la langue française pour enseigner et communiquer.

52 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Au service de la réussite de tous les élèves. 9. Intégrer les éléments de la culture numérique nécessaires à l’exercice de son métier. 8. Maîtriser les technologies de l’information et de la communication. Les TICE

53 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Professionnel porteur de savoirs et d’une culture commune. P1. Maîtriser les savoirs disciplinaires et leur didactique. 3. Maîtriser les disciplines et avoir une bonne culture générale. Savoirs disciplinaires : doivent tenir compte des évolutions Liées au : Numérique Environnement de travail

54 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Au service de la réussite de tous les élèves. 4. Prendre en compte la diversité des élèves. Praticien expert des apprentissages. P3. Construire, mettre en œuvre et animer des situations d’enseignement et d’apprentissage prenant en compte la diversité des élèves. Individualisation : fluidité des parcours, handicaps, CCF, préparation passerelle vers le BTS, socle commun Animer des situations d’enseignements = cours magistral ??? Innover, expérimenter pour rendre l’élève acteur de sa formation L’élève a développé des compétences liées à son information (réseaux, internet, classes virtuelles, wikipédia, etc.), à nous de lui apporter les moyens de développer son sens critique et d’analyse vis-à-vis des situations présentées 4. Concevoir et mettre en œuvre son enseignement. 6. Prendre en compte la diversité des élèves.

55 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Praticien expert des apprentissages. P4. Organiser et assurer un mode de fonctionnement du groupe favorisant l’apprentissage et la socialisation des élèves. 5. Organiser le travail de la classe.

56 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Praticien expert des apprentissages. P5. Evaluer les progrès et les acquisitions des élèves. 7. Évaluer les élèves. Dans la voie pro : on évalue des compétences Les savoirs associés sont uniquement mis en œuvre pour résoudre une problématique d’une situation professionnelle Attention : CCF : pas de sujets spécifiques, le support n’est pas très important si les compétences évaluées le sont dans les mêmes conditions.

57 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Acteurs de la communauté éducative. 14. S’engager dans une démarche individuelle et collective de développement professionnel. 10. Se former et innover.

58 Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation.
Au service de la réussite de tous les élèves. 3. Connaître les élèves et les processus d’apprentissage. 5. Accompagner les élèves dans leur parcours de formation. 8. Utiliser une langue vivante étrangère dans les situations exigées par son métier. Deux compétences appellent des certifications - En informatique et Internet. Le C2i (certificat Informatique et Internet-Niveau 1) est dorénavant exigé pour accéder à la titularisation. Tout enseignant doit aujourd’hui avoir des compétences en informatique et Internet. Elles peuvent être validées par le C2i2e (Certificat Informatique et Internet spécialité enseignant- Niveau 2). - En langue étrangère Le Certificat de Compétences en Langues de l’Enseignement Supérieur (CLES) est dorénavant exigé pour accéder à la titularisation. Tout enseignant doit aujourd’hui avoir des compétences pour enseigner les langues.

59 Les Groupes de travail Académique
Christophe MULLER – IEN ET STI Dominique PERETTI – IEN ET STI GTA 1 : projet d’atelier = plan de formation global sur le cycle Tient compte des plateaux techniques Le point de départ est la tâche professionnelle  en relation directe avec la compétence (pour les référentiels rénovés) Le savoir disparait dans certains référentiels (automobile) GTA 2 : outil de suivi de l’acquisition des compétences professionnelles par élève d’une même cohorte sur le cycle Mise en place de groupes de compétences Mise en œuvre des CCF (pas de sujet spécifique, détection des compétences acquises, Connaissance des composantes de la cohorte (élèves fragiles, motivation, etc. comptabilisation des enseignements (par EDT) Age du jeune : dérogation aux travaux interdits Mise en adéquation des compétences à acquérir avec le profil d’activités de l’entreprise 14h40 – 14h45

60 Les attendus 14h45 – 14h50

61 CIRCULAIRE N° 2011-215 du 1-12-2011 BOEN N°46 du 15 décembre 2011
Sa mission, de nature essentiellement pédagogique, s’exerce : II. Référentiel métier du chef de travaux A ) missions et activités du chef de travaux

62 Coordination et animation des équipes d’enseignants:
Le rôle de coordination et d’animation des équipes pédagogiques contribue à développer la coopération, l’échange et le travail collectif, au sein des équipes de professeurs de spécialité (...) , ainsi qu’entre les professeurs de spécialité et les professeurs d’enseignement général. Le chef de travaux assure également une fonction de correspondant technique des inspections territoriales, qui sont placés sous l’autorité des recteurs, auprès des enseignants . La coordination et l’animation peuvent porter sur : - Les activités communes aux différents enseignants, Les activités et projets disciplinaires et interdisciplinaires liés à l’établissement, la préparation et la réalisation des différents projets pédagogiques mis en œuvre dans le cadre des enseignements professionnels ou technologiques, l’élaboration du volet tertiaire et/ou secondaire du projet d’établissement

63 déploiement et le développement
En tant que référent des inspections territoriales, le chef de travaux pilote la mise en œuvre au sein de l’établissement : Des évolutions pédagogiques liées aux rénovations et réformes des voies technologiques et/ou professionnelles, Des épreuves d’examen, des opérations de validation et de certification et des situations d’évaluation certificatives, dans le domaine technologique ou professionnel. Le chef de travaux a aussi pour mission d’assurer la valorisation et le mutualisation des bonnes pratiques, au sein de l’équipe enseignante prise au sens large (spécialités technologiques, professionnelles et générales), en matière d’expérimentation et d’innovation pédagogique. Il contribue à l’accueil et à l’accompagnement des nouveaux enseignants (remplaçants, stagiaires, ...) En tant que référent en matière d’intégration des technologies de l’information et de la communication dans les enseignements technologiques et professionnels, il favorise au sein de l’établissement le déploiement et le développement de ces technologies et des outils correspondants.

64 Le nouveau site internet
Daniel GLAISER – IEN ET STI Romuald TOMASINI – IEN ET STI 14h50 – 15h10

65 Réorganisation des sites STI

66 Constats Certains sites académiques en sommeil
Charte graphique académique non respectée (Marianne) Prise en compte de la rénovation de la voie professionnelle Redondance de documents sur plusieurs sites Rassemblement des sites nationaux en RNR

67 Stratégie mise en œuvre
Même logique que le portail national Portail ’’Voie professionnelle STI’’ Mise à jour par Christophe SANCHEZ qui assure le relais avec Daniel GLAISER Veille assurée par Christophe SANCHEZ Contenus : Les documents institutionnels nationaux communs aux différentes filières (CCF, rénovation voie professionnelle,…), Les documents institutionnels académiques communs aux différentes filières (positionnement), Les lettres de rentrées,

68 Stratégie mise en œuvre
Pôles et disciplines : Alimentation de la partie disciplinaire par les gestionnaires en lien avec les IEN STI respectifs Formation des gestionnaires de sites disciplinaires : 1 présentielle 2 classes virtuelles Aide technique par Christophe SANCHEZ

69 Suites Attentes de retour
Sollicitations des enseignants pour fournir des productions pédagogiques

70 La liaison BAC PRO - BTS 15h10 – 15h30
Romuald TOMASINI – IEN ET STI Christophe MULLER – IEN ET STI 15h10 – 15h30

71 Réunion des chefs de travaux
Liaison BAC PRO / BTS Réunion des chefs de travaux Concertation Echanges Mutualisation PASSERELLE BAC PRO - BTS

72 PASSERELLE BAC PRO - BTS
Liaison BAC PRO / BTS Ordre du jour : Présentation de la plaquette liaison BAC PRO BTS. Echanges sur les actions en cours dans les établissements. PASSERELLE BAC PRO - BTS 72

73 LE CADRE Des objectifs fixés dans le cadre de la loi d’orientation :
80% d’une génération au niveau IV. 50% de diplômés au niveau III. Article 33 de la loi relative à l’enseignement supérieur et à la recherche du 22 juillet 2013. Contexte académique : Seuls 33% des élèves accèdent au Bac général Augmenter le taux d’accès au Bac général. Un décrochage important des élèves de Bac Pro en STS ( 20% de décrochage au premier trimestre observé à R2013 et 50% des élèves passant les épreuves en 2013 ont réussi) Développer la proportion de Bachelier professionnel obtenant leur BTS en fin de parcours.

74 PASSERELLE BAC PRO - BTS
LE CADRE Master CAP Seconde bac pro Première bac pro Terminale bac pro Seconde d’exploration Première technologique Terminale technologique VIE ACTIVE BTS, DUT 1ère année BTS, DUT 2ème année Licence Voie professionnelle Voie technologique Vers tous les diplômes CPGE PASSERELLE BAC PRO - BTS 74

75 LE CADRE Établissements ayant bénéficié d’un accompagnement depuis 2008 : 20/ Lycée Blaise Pascal Forbach Lycée Henry Nominé Sarreguemines Lycée de Remiremont Claudel et Lycée pro de Saulxures Pont à mousson Hanzelet Verdun Margueritte Lycée Alfred Mézières Longwy Lycée Cormontaigne Metz Lycée Charles Jully de Saint Avold Lycée GT Majorelle Toul et B Schwartz Pompey Lycée Colbert Thionville, LP Fameck et Lycée de Metz Cassin Lycée St Exupéry - Fameck (cordées de la réussite) Lycées METZ LT Schuman/LP Poncelet Lycée EPINAL Lapicque Lycée LAXOU Saint Joseph Lycée LAXOU Héré. PASSERELLE BAC PRO - BTS

76 Les objectifs pédagogiques
Développer les compétences nécessaires pour aborder une formation en BTS : Autonomie. Sens critique. Argumentation. Abstraction. Synthèse... L’obtention de la mention au BAC PRO conditionne le passage en STS et représente un véritable enjeu pour les élèves de BAC PRO. PASSERELLE BAC PRO - BTS 76

77 PASSERELLE BAC PRO - BTS
La mise en œuvre Formation d'origine Formation d'arrivée Phase 1 Phase 3 Phase 2 Phase 4 Repérage + info Plan de préparation Accueil parrainage PASSERELLE BAC PRO - BTS 77

78 PASSERELLE BAC PRO - BTS
La mise en œuvre En première BAC PRO (Phase 1): Informer l’ensemble des élèves de BAC PRO de l’existence de la passerelle BAC PRO/BTS. Acteurs: Equipes pédagogiques, Etudiants de 1ère année de BTS. Repérer les élèves motivés susceptibles de réussir. Outils: Fiches d’entretiens individualisés, avis de l’équipe pédagogique LP… Atténuer les difficultés d’intégration des élèves de BAC PRO en BTS. Outils: Atelier de soutien et d’approfondissement en expression orale, mathématiques, langues vivantes (accompagnement personnalisé). PASSERELLE BAC PRO - BTS 78

79 PASSERELLE BAC PRO - BTS
La mise en œuvre En terminale BAC PRO (Phase 2): Informer les élèves des choix d’orientation possibles. Immerger les élèves dans les classes de STS: Poursuivre les ateliers destinés à améliorer l’autonomie et le travail personnel. Elever le niveau de compétence des élèves dans les domaines faisant appel aux capacités d’abstraction, de conceptualisation, de conduite de projet . Stratégie : Travailler en concertation avec les professeurs de STS; Analyser les référentiels de formation des deux diplômes BAC PRO et BTS d’un même champ professionnel. PASSERELLE BAC PRO - BTS 79

80 PASSERELLE BAC PRO - BTS
La mise en oeuvre En première et deuxième année de STS (phase 3): Proposer un tutorat par un étudiant de deuxième année de STS et d’un professeur. Renforcer l’accompagnement des élèves par des ateliers de structuration de la pensée. Valoriser le savoir être des élèves pour en faire un outil d’intégration. Développer l’esprit de cohésion en incitant les élèves des différents horizons à mettre en commun leurs compétences. PASSERELLE BAC PRO - BTS 80

81 Les facteurs de réussite
Actions menées dans les établissements expérimentaux: Faire de cette action un axe du contrat d’objectif. Impliquer le conseil pédagogique. Recenser des professeurs volontaires et constituer des binômes de professeurs (LP et LGT) de suivit des élèves… Assurer la continuité par l’implication des équipes de directions dans le pilotage de l’action. Définir des créneaux horaires privilégiés (Accompagnement personnalisé). Définir des créneaux horaires de rencontre entre les équipes (coordination, interventions communes…). Favoriser le lien par des groupes d’échanges en utilisant l’ENT. Créer un livret (stage passerelle) fixant des objectifs opérationnels pour suivre l’évolution de chaque élèves. PASSERELLE BAC PRO - BTS 81

82 PASSERELLE BAC PRO - BTS
La plus value Les actions ont produit plusieurs effets dans les établissements expérimentaux: Un meilleur repérage des élèves aptes à poursuivre en STS. Une élévation du niveau d’ambition des élèves et de leur réussite par l’obtention de mentions au BAC PRO. Une amélioration de la réponse aux insuffisances mesurée et aux besoins exprimés. La construction d’une véritable « passerelle BAC PRO / BTS » (Echange entre professeurs, observation de cours, adaptation des cours, élaboration de stratégies globales de formation, de référentiels de programmes communs,…) PASSERELLE BAC PRO - BTS 82

83 des actions de références
Deux expériences à consulter sur le site du PASI: Une passerelle dans le secteur industriel au lycée Margueritte de Verdun (Le MOPEB). Une passerelle en milieu tertiaire au lycée Blaise Pascal de Forbach. Un travail piloté par les corps d’inspection de mathématiques: Du Bac Pro vers le BTS en mathématiques. PASSERELLE BAC PRO - BTS 83

84 Échanges sur les modalités d’organisation des PFMP
Patrick LAMBERT – Chef de travaux Christophe MULLER – IEN ET STI Michel BONTE - IEN ET STI 15h30 – 16h00

85 LES SOLUTIONS PROPOSEES
Points abordés LA PROBLEMATIQUE POSEE  LES CAUSES EVOQUEES L'EXEMPLE du lycée HERE LES SOLUTIONS PROPOSEES LE BILAN (des CTX) LES ATTENTES (des CTX)

86 La problématique posée
Trouver des entreprises d'accueil pour les PFMP

87 Les causes évoquées L‘excès de réglementation :
L'augmentation de la demande L‘excès de réglementation : élèves mineurs (-15 ans, -16, -18 !!), les horaires de travail, la rémunération obligatoire au delà de 8 semaines, La situation économique actuelle qui raréfie l'offre variable selon les spécialités (bâtiment, logistique, ..) La démotivation des équipes pédagogiques Le manque de motivation, d'intérêt, d'autonomie, de savoir être des élèves. Les problèmes de mobilité, de transport sur certains territoires, donc des coûts et donc du remboursement des frais de stage !.

88 Les solutions proposées
Anticiper au maximum et réaliser un suivi permanent. Départ décalé par groupe (ne libère pas le prof qui a cours en classe entière pour effectuer le suivi) En stage au lycée avec les agents Chantier école Intégration dans une classe autre (avec la problématique de l'examen) mise en place d'un EDT spécifique, ... Rattrapage possible durant les vacances scolaires

89 L'EXEMPLE du lycée HERE Nombre d'élèves en PFMP : 711 (dont 362 mineurs) Nombre d'entreprises d'accueil : 320 (dont 5 à l'étranger) Nombre de conventions : Nombre de périodes de PFMP : 82 Nombre de groupes classe : 33 Nombre d'entreprises dans la base : 3000 !!!!

90 Publication du calendrier des PFMP en mai
(ceux qui partent en juin peuvent déjà démarcher pour l'année suivante) Désignation d'un prof référent par groupe qui gère l'intégralité des PFMP Un outil informatique permettant aux professeurs un suivi permanent de leurs élèves via Internet Mise à disposition des élèves en recherche d'un local avec un téléphone et un PC équipé du logiciel donnant ainsi accès à la banque des entreprises et à ''mon stage en ligne''.

91 Le bilan des chefs de travaux
Démarche très chronophage, stressante (obligation de trouver un stage, échec à l'examen si la totalité des périodes n'est pas faite), couteuse (téléphone, courrier, recommandé) Elève avec des comportements tels que les entreprises refusent de prendre de nouveaux stagiaires. Problématique nouvelle du recrutement des élèves en LP qui nuit à leur image ( un maxi d'élève de 3ème ''poussé'' en 2nd LGT) et modifie le rôle des enseignants (assistante sociale, parent, éducateur, formateur, policier ).

92 Les attentes des chefs de travaux
Un choc de simplification ! Une souplesse retrouvée notamment quant à la durée !! Une prise en compte de cette mission dans le nouveau statut des profs !!!

93 Echanges Conclusion Mohamed BAZIZ - IGEN 16H00 à fin

94 Merci de votre attention


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