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1 . 9-Poissons 8-Arthropodes Raies Requins Nos Conseillers Mode d’emploi
Crustacés (Téléostéens) Nos Conseillers Mode d’emploi 7-Echinodermes Ascidies 6-Mollusques Versions Senior & Pro 4-Annélides 5-Bryozoaires Hugo Fournier Paul Chézaud InF&Fo CD92 2-Spongiaires 3-Cnidaires 1-Algues Autres Arbres Phylogénétiques 090506

2 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
Crabes Homards Crevettes Pagures Plantes Tortues Mammifères Sirène 82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES Limaces Escargots CEPHALOPODES Ascidiacées GASTEROPODES Ophiurides Echinides BIVALVES Thaliacées Astérides Holothurides 6-MOLLUSQUES Crinoïdes 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES Algues Rouges 7-ECHINODERMES Plathelminthes Algues Vertes (Ulvophytes) 5-BRYOZOAIRES Algues Brunes Eponges Calcaires Coraux Anémones Méduses Démosponges Hydraires Hexactinellides 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 180406

3 fournier.hugo@wanadoo.fr et paul.chezaud@wanadoo.fr
Mode d’emploi L’Arbre-Sympa est un diaporama interactif qui nécessite la visionneuse (gratuite) de PowerPoint . Son but est de vous aider à comprendre les relations entre les groupes d’Espèces de la Faune et de la Flore (F&F) observés pendant vos plongées, en sautant d’une branche à l’autre. Cette version Junior correspond au niveau ‘Découverte F&F’ du CD92. Attention, ce n’est pas un guide d’identification : il y a d’excellents ouvrages pour cela ! Vous pouvez aborder l’Arbre-Sympa en cliquant sur ses premières images puis, pour obtenir plus de détails dans les cadres ou sur les textes en bleu et dans les cadres rouges pour revenir à la branche précédente. Le texte appelle du texte détaillé, l’image appelle d’autres images. Les pastilles noires et vertes en coïncidence vous permettent d’alterner instantanément entre image et texte pour un même sujet. Les pastilles jaune donnent accès à des Fiches Techniques et le retour à la ‘case départ’ est possible à tout moment en cliquant sur l’Arbre-Sympa, en haut des branches ! L’organisation linnéenne en Classes, Ordres, Familles est abandonnée depuis plus de 30 ans ! Aujourd’hui, tous les scientifiques utilisent la notion de ‘taxons monophylétiques’ : ce sont les groupes constitués par un ancêtre et tous ses descendants et seulement par ceux-là. L’Arbre Phylogénique Naturel d’aujourd’hui, celui qui se déduit de l’Arbre Généalogique Généralisé (l’AGG) par des innovations majeures successives donne une approche plus ‘continue’ de la complexité du vivant. Le symbole (#) souligne les groupes non monophylétiques. C’est donc uniquement pour se repérer que les Embranchements sont encadrés sur fonds noirs, les anciennes ‘Classes’ encadrées sur fonds gris, en CAPITALES SOULIGNEES, les ‘Ordres’ encadrés sur fond jaune, en CAPITALES non soulignées et les ‘Familles’ sont en petits caractères gras. Les Espèces dulçaquicoles, celles qui vivent en eau douce, sont notées %. Les groupes difficiles à observer sont dans des cadres en pointillé. Les photos non signées sont faites par les auteurs. Notre référence de base est l’ouvrage de Guillaume Lecointre et Hervé Le Guyader : ‘Classification phylogénétique du Vivant’ (BELIN 2001). Vous pouvez copier l’arbre-Sympa Junior avec ses 60 branches en toute liberté et l’envoyer par à tous vos amis ! Toutes les photos sont libres de droit. Il n’y a pas de ©. Deux versions plus complètes existent, gravées sur CD : Senior et PRO. Avec plusieurs centaines de branches, elles correspondent au niveau ‘Observation’ et ‘Compréhension’ F&F du CD92. Plus riche en informations et en images de meilleure qualité (nous avons l’autorisation de Michel Pakiela pour reproduire ses photos sous ©). Ces versions très ‘lourdes’ ne sont pas autorisées à la reproduction sans autorisation des auteurs ni ‘ -ables’. Pour imprimer le bon de commande qui est en dernière page, remplacez manuellement, dans le gestionnaire de fichier de WINDOWS, le ‘s’ de l’extension du nom du fichier par un ‘t’. Arbre-Sympa Jr.pps devient Arbre-Sympa Jr.ppt. Ensuite, vous pouvez imprimez tout ce que vous voulez de la version Junior, en particulier le bon de commande ! Si, malgré tous nos soins, une erreur s’était glissée sur une branche, n’hésitez pas à nous le faire savoir. Merci d’avance et, bonne promenade dans l’Arbre-Sympa ! et 070606

4 InF&Fo CD92 Nos cours théoriques ‘Faune & Flore’ proposent trois niveaux progressifs au choix : Découverte, Observation ou Compréhension. Voici la liste des cours pour les débutants : ‘Découverte F&F’ Pour recevoir les plans de ces cours :

5 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
Plantes 82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES Algues Rouges 7-ECHINODERMES Algues Vertes (Ulvophytes) 5-BRYOZOAIRES Algues Brunes 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 180406

6 Les ALGUES Fiche Technique 290506
Nombre : Sur plus de Végétaux répertoriés sur Terre, environ 1500 macro Algues sont observées dans les eaux européennes et seulement 66 sont dans les Weinberg (les 'bibles' Méditerranée et Atlantique du plongeur F&F 'généraliste'). Les Algues ne présentent aucun danger pour les plongeurs et leur présence est le cadre agréable de la découverte du milieu subaquatique. Signalons que si les Algues sont très nutritives, elles sont négligées en Occident mais très appréciées en Extrême-Orient. Définition : organisme végétal, généralement aquatique, pratiquant la photosynthèse. (Larousse-2005). Autotrophie : absorbe du gaz carbonique et libère de l'oxygène en fabricant les premiers composés organiques des chaînes alimentaires : les glucides. Critère d'identification : Végétal sans tige (stipe) ni feuille (fronde) ni racine (crampons ou disques adhésifs) : pas de vascularisation, les échanges sont faits directement au niveau des cellules du thalle. Présence de cellulose dans les membranes des cellules. Diversité : Dimensions : de quelques centimètres à plusieurs dizaines de mètres (le Kelp de Californie). Formes : encroûtantes (Crambe crambe), dressées (Cystoseires, Laminaires – parfois maintenues par des flotteurs, Sargasse, Fucus), en boule (Bérêt basque), plus ou moins calcifiées (trottoir, Maërl, Coralline, Monnaie de Poséïdon). Couleurs : Vert – Brun – Rouge, la couleur permet de distinguer facilement les différentes Classes d'Algues (ce découpage en Classes est justifié également par leurs méthodes de reproduction différentes). Répartition : limitée en profondeur à cause de la perte rapide de la luminosité. Maximum : 50 à 100 mètres en eaux claires. Cas particulier des étagements caractéristiques de l'estran avec la découverte plus ou moins importante du littoral en fonction des marées (cas exceptionnel de la Pelvétie). Chaînes alimentaires : premiers maillons obligatoires. Des prédateurs dédiés existent : quelques Escargots (Helcion), quelques Limaces (le Lièvre de mer), etc. Mises à part les Saupes, peu d'espèces de poissons broutent uniquement des Algues. Reproduction : les Algues ont un mode de reproduction qui n’est pas observable sans matériel. Le Fucus spiralé a cependant des réceptacles terminaux bien visibles (sortes de boursouflures remplies de gamètes). Chez les Algues, les deux modes de reproduction existent : le bouturage (Taxifollia) et la reproduction sexuée par gamètes libérés en pleine eau (l’Herbe à Robert). La reproduction sexuée des Algues est souvent très compliqué, en particulier pour les Algues Rouges ! Evolution : Les Algues Vertes sont à l'origine de toute la végétation terrestre. les Posidonie et la Zostère sont des plantes à fleur (des Phanérogames) qui sont 'retournées' dans le milieu marin il y a 100 millions d’années. 290506

7 13 – ALGUES BRUNES 12 – ALGUES ROUGES (Ulvophytes)
Fucus Laminaire Cystoseire 13 – ALGUES BRUNES Feuille de Chateigner Maërl Coralline 12 – ALGUES ROUGES Posidonie (Méditerranée) Zostère (Bretagne) Utriculaire % (plante carnivore) Pommier 11.2 – PLANTES A FLEURS Monnaie de Poséidon Ulve Bérêt basque Entéromorphe 11.1 – ALGUES VERTES (Ulvophytes) 1 – ALGUES et PLANTES Espèces décrites, marines et terrestres 13500 marines et eau douce chloroplastes, pigments, photosynthèse 270406

8 1 – ALGUES et PLANTES 13 ALGUES BRUNES 12 ALGUES ROUGES
II Gilli-CNEB Pessonneylia_squamaria Fucus_vesiculosus 13 ALGUES BRUNES Fucus vésiculeux 12 ALGUES ROUGES Peyssonnelia Halimeda_tuna Dune-CNEB Posidonia_oceanica Maniette-CNEB 11.1 ALGUES VERTES (Ulvophytes) Monnaie de Poséidon 11.2 PLANTES A FLEURS Posidonie 1 – ALGUES et PLANTES 200406

9 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 5-BRYOZOAIRES Eponges Calcaires Démosponges Hexactinellides 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 070506

10 Les EPONGES Fiche Technique 020606
nombre : environ Espèces, surtout marines. 600 aux Caraïbes, un site très réputé pour ses belles éponges. définition : masse sans tête ni corps, pas de symétrie. Toujours fixées au substrat. Il y a de nombreux petits trous (ostioles inhalantes) parfois invisibles et quelques gros trous, les oscules. L'examen au laboratoire montre la présence de deux couches de cellules : les pinacocytes (vers l'extérieur) et les choanocytes, des cellules flagellées à collerette, vers l'intérieur. critères de reconnaissance : l'identification nécessite parfois l'examen des spicules à la loupe binoculaire : ce n'est pas pratique pour le plongeur, in situ. Confusion facile avec les Synascidies (différence : pas de réaction au touché car il n'y a pas de système nerveux, pas de muscle). diversité formes très variables : encroûtantes, tubulaires (gobelet, vase), ramifiées, coulantes, perforantes ou masse indistincte. couleurs variables : bleu, rose, gris, etc. taille maximum : la Coupe de Neptune, 2 m de diamètre ! remarques : l'excellente plasticité des Eponges explique leurs formes adaptées à la turbulence des eaux. Les deux couches de cellules sont séparée par la mésoglée qui contient plusieurs types de cellules mobiles (formation des spicules, sexe). relations trophiques : filtrage de l'eau en continu (volume propre pompé en moins d'une minute en moyenne). Les particules (micro algues, protozoaires) sont filtrées dans les chambres vibratiles et digérées dans des vacuoles (Phagocytose). Peu d'espèces mangent les éponges, citons les limaces (traces caractéristiques des Doris dalmatiens sur l'Eponge pierre en Méditerranée). reproduction : les Eponges Calcaires sont gonochoriques (sexes séparés) et les Eponges Siliceuses hermaphrodites. Les Eponges sont vivipares : des larves nageuses ciliées en sortent et ne tardent pas à se fixer sur un substrat (support) qu'elles ne quitteront plus. Grande facilité de bourgeonnement et de régénération. Bourgeons externes, exemple de l'Orange de mer, bourgeonnement interne : les formes de résistance pour la survie en conditions difficiles, les gemmules. évolution : les biologiste ont remarqué depuis longtemps la grande similitude des cellules flagellées des Porifères, les choanocytes, et des Protozoaires unicellulaires qui vivent parfois en groupes de quelques individus réunis par un mucus (Proterospongia_haeckeli). L'Embranchement des Cnidaires, un voisin des Porifères dans l'Arbre –Sympa, possède également deux tissus (interne et externe) mais son système digestif est plus évolué, ainsi que son système nerveux et sa musculature (exemples : déplacement, très relatif, des Méduses dans le courant et capture des petites proies vivantes par les tentacules des polypes des Coraux) sans oublier leurs cellules urticantes très caractéristiques ! 020606

11 2 – PORIFERES 23 – DEMOSPONGES 22 – EPONGES CALCAIRES
Clione E. Rognon Axinelle Subérite Spongine % Ircinia E. de toilette 23 – DEMOSPONGES (éponges siliceuses) 80 % des Porifères Environnement marin, eau douce majorité : spicules en silice 22 – EPONGES CALCAIRES 10% des Porifères exclusivement marines majorité : spicules en calcaire Sycon Clathrine 21 – HEXACTINELLIDES (éponges de verre) 10% des Porifères environnement marin profond (et certaines grottes de Méd.) spicules à 6 pointes, en silice Euplectelle Note : les spicules n’étant observables qu’au microscope, Ce Classement n’est pas vraiment pratique pour le plongeur ! 2 – PORIFERES environ Espèces décrites nombreux trous, les ‘pores’ spicules fréquents les premiers Métazoaires ! Isabelle DOMART-COULON, Muséum de Paris 070506

12 2 – PORIFERES 23 – DEMOSPONGES Ircinie Orange de mer, Tethya_aurantium
Maran-CNEB Orange de mer, Tethya_aurantium CNEB Maniette-CNEB Clathrine, Clathrina-clathrus Axinelle Axinella_polypoïdes 22 – EPONGES CALCAIRES CNEB Une très belle histoire d’amour au Japon ! Euplectelle (profonde) 21 – HEXACTINELLIDES 2 – PORIFERES 070506

13 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 5-BRYOZOAIRES Coraux Anémones Méduses Hydraires 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 200406

14 Les CNIDAIRES Fiche Technique 030606
nombre : Espèces décrites dont environ 500 en Méditerranée et 20 Espèces en eau douce. description : les "animaux-fleurs" de la mer jusqu'en 1841 : la plus grande diversité est observée dans les récifs coralliens. Solitaires (Anémones) ou en colonies (Madréporaires), libres (Siphonophores) ou fixés (Gorgones), mous (Méduses) ou avec squelette externe de nature variée, parfois très dure (les Coraux constructeurs de récifs), mais toujours avec une symétrie radiaire paire, les plus grands individus (2 mètres) sont très petits comparés à la dimension de la Grande Barrière de Corail le long des côtes est de l'Australie (2 000 kms) ! Un Cnidaire est un sac ouvert par une bouche qui lui sert aussi d'anus, elle est entourée de tentacules mobiles parfois très nombreux mais toujours urticants. En coupe, l'enveloppe du Cnidaire se compose de trois couches, deux tissus ayant des cellules différenciées (dont les cnidocystes : cellules urticantes caractéristiques de l’Embranchement) et une couche intermédiaire, la mésoglée qui contient d'autres cellules, mobiles (reproduction). Pas d'appareil circulatoire, respiratoire ou excréteur. Système nerveux rudimentaire. écologie : C'est un des groupes dominants des fonds rocheux avec les Ascides, les Eponges et les Bryozoaires. Les Cnidaires peuvent être dangereux pour le plongeur, en particulier certaines méduses réputées mortelles (cubo-méduses dans l'est asiatique). Les Madréporaires fossiles sont à l'origine de la concentration en grande quantité d'hydrocarbure (grand intérêt pour la prospection pétrolière). critères de reconnaissance : les Cnidaires sont urticants ! (leur contact est plus ou moins désagréable suivant l'Espèce et l'endroit du corps du plongeur touché : la paume de sa main est peu sensible car la peau est très épaisse, par contre, ses lèvres ont une peau fine et sont très sensibles au contact involontaire avec des fragments de tentacules à la dérive). relations trophiques : Le Cnidaire utilise ses nombreux tentacules urticants pour immobiliser ses proies vivantes : micro-organismes planctoniques, petits poissons, crevettes, vers, ophiures, etc. Il faut connaître la symbiose exceptionnelle des coraux et des zooxanthelles, des micro algues. Les Cnidaires sont mangés par des Limaces, Poissons, Tortues, etc. reproduction : sexuée, formation d’une larve ciliée nageuse qui se fixe rapidement, donne un polype qui peut aboutir à une méduse. Exemple pédagogique de l’Aurélie (Ephyrule). La reproduction par bourgeonnement est à l'origine des grands massifs coralliens dans les zones favorables de la ceinture inter tropicale. évolution : les Innovations intéressantes apportées par les Cnidaires : la différenciation des cellules vers des tissus fonctionnels (cnidocystes, muscles). la digestion. la locomotion chez les Méduses. Ces étapes importantes justifient de placer les Cnidaires dans l'Arbre-Sympa entre les Porifères et les Bryozoaires. 030606

15 3 – CNIDAIRES 33 – Hydraires (Hydrozoaires) 32 – Coraux, Gorgones
Hydre % Corail de feu Physalie Coraux Gorgones Anémones Cérianthes Alcyons 32 – Coraux, Gorgones et Anémones (Anthozoaires) Aurélie Pélagie Cyanée Oeuf-au-plat Méduse isocèle 31 – Méduses (Scyphozoaires) 3 – CNIDAIRES 9000 Espèces décrites cellules urticantes 270406

16 3 – CNIDAIRES 33 - HYDRAIRES 32 CORAUX GORGONES ANEMONES
Gorgone_zola Corail de feu, Millepora_sp Acropore, Acropora_humilis Gorgone VMStG 32 CORAUX GORGONES ANEMONES G. Breton 31 MEDUSES VRAIES Aurélie, Aurelia_aurita 3 – CNIDAIRES 200406

17 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 45 Plathelminthes 5-BRYOZOAIRES 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 200406

18 Les ANNELIDES Fiche Technique 050606
avant-propos : Tous les scientifiques s'accordent pour dire qu'il y a non pas un seul Embranchement comme nous le croyons mais toute une série de groupes d'Espèces très différentes ayant une forme de ver. Chaque groupe, représentant parfois plusieurs milliers d'Espèces décrites, est considéré comme un Embranchement. Nous connaissons en plongée les Annélides, la Bonellie et les Vers Plats mais il existe également des groupes bien moins connus des plongeurs tels que Nématodes, Némertes, Priapuliens, Sipunculien, Hémichordés, Rotifères, etc. Ces Espèces sont difficiles à observer : petits, bien cachés (parasites internes) ou trop profonds. Les Annélides, en particulier les Polychètes avec le Spirographe, représentent l'Embranchement phare de ces Espèces vermiformes pour le plongeur observateur de la Faune et de la Flore. nombre : 14360 description : corps segmenté (anneaux identiques, les métamères), allongé (max environ 30 mètres), cylindrique, à symétrie bilatérale, composé de trois parties : tête (palpes, yeux avec cristallin et rétine, mâchoire), tronc (très segmenté) et telson. Système circulatoire clos. Respiration (chez les Polychètes) à travers des palettes latérales (capillaires) sur chaque segment (les parapodes), par branchies latérales chez les autres. Paire de ganglions nerveux cérébroïdes suivi de ganglions dans chaque segment. Soies chitineuses rigides. écologie : formes marines, terrestres et d'eau douce. Nageurs, tubicoles ou benthiques fouisseurs. Certaines Espèces se déplacent avec leurs parapodes (Polychètes Errantes) et d'autres vivent dans des tubes calcaires ou composés de grains de sable (les Sédentaires). critères de reconnaissance : forme allongée, anneaux. Tubes membraneux calcaires (Serpules) avec ou sans opercule, parfois constitués de grains de sable agglutinés (Sabelle, Lanice : le 'petit palmier‘ des plages à marée basse). remarques : la Bonellie (groupe des Echiuriens) est rapprochée des Annélides par les biologistes bien que la métamérisation de son corps de soit pas évidente (larve caractéristique). Le mâle est minuscule ! Les Oligocètes ('peu de poils', Lombric ou ver de terre) et les Achètes ('pas de poil', Sangsues, eau douce ou terrestres) ne concernent pas vraiment les plongeurs. relations trophiques : prédateurs (petits animaux) ou microphages filtreurs (Spirographe). reproduction : sexuée externe et asexuée. Grande aptitude à la cicatrisation et à la régénération. Reproduction asexuée par scissiparité très importante chez certaines espèces. Régénération parfois surprenante suivant la position de la section : possibilité de régénérer une tête à la place de la queue (le Palolo) ! évolution : Innovations importantes : la segmentation du corps et un système circulatoire clos plus efficace permettent de donner aux Annélides une place à mi-hauteur dans l'Arbre-Sympa. 050606

19 4 – ANNELIDES ? métamères (anneaux pouvant devenir autonomes) Autres
Sangsue % Tubifex % 42 – ECHIURIENS position controversée ? Bonellie 41 – POLYCHETES nombreuses soies Néréide, Aphrodite Phyllodoce # Spirographe, Spirorbe Serpule, Sabelle Lanice, Arénicole 4 – ANNELIDES Espèces décrites métamères (anneaux pouvant devenir autonomes) 200406

20 4 – ANNELIDES 41 – POLYCHETES 42 – ECHIURIENS Palolo, Ver bourré
Atreau_bhu Vers triangulaires sur Nasse Potamoceros_triqueter 41 – POLYCHETES 42 – ECHIURIENS Bonellia_viridis, Bonellie VMStG Spirographe Spirographis_spallanzani 4 – ANNELIDES 200406

21 45 – PLATHELMINTHES ou Vers Plats
TURBELLARIES Planaire autres F. Gilbert-Zinck Planaires Brizard-CNEB Prostheceraeus_vittatus 45 – PLATHELMINTHES ou Vers Plats système digestif à un seul orifice 200406

22 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 5-BRYOZOAIRES 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 200406

23 1 mm Les BRYOZOAIRES Fiche Technique Une zooécie de Bryozoaire
nombre : Espèces décrites dont 180 en Méditerranée. description : Colonies étalées, encroûtantes ou dressées, arborescentes, foliacées, rigides ou gélatineuse fixées aux substrats des côtes et des fonds marins, de quelques millimètres à max quelques dizaines de centimètres (Rose de mer). Les colonies sont constituées de nombreux individus (les zooïdes) à symétrie bilatérale, presque indépendants, souvent en rangées très régulières (Membranipore). Les individus sont très petits (inférieurs à 1 mm. : nécessité loupe) et leur polypide (tentacules et tube digestif) peut se rétracter pour protection dans une logette plus ou moins calcifiée (le cystide). La couronne de tentacules creux dévaginables non urticants est très caractéristique : c'est le lophophore. écologie : C'est un des groupes dominants des fonds rocheux avec les Ascides, les Eponges et les Cnidaires. Craignent beaucoup les Algues qui peuvent les étouffer : on les trouve, de ce fait, surtout dans les zones d'ombre. Généralement peu remarqués et sans valeur commerciale. critères de reconnaissance : facile pour les plongeurs pour quelques colonies dont la forme est caractéristique (Bugule, Dentelle de Neptune), l'identification nécessite un examen attentif avec loupe binoculaire pour de nombreuses Espèces. remarques : Pas de cœur ni de système différencié pour la respiration, pas de néphridie. relations trophiques : filtrage passif de l'eau en continu, les particules (micro algues, protozoaires) sont capturées par les cils vibratiles des tentacules (qui sont eux-mêmes immobiles) puis dirigés vers un tube digestif bien différencié. Digestion par estomac et intestin, évacuation par un anus donnant à l'extérieur du lophophore. Les Bryozoaire sont la proie sans défense de nombreuses Limaces de mer, de petits Crustacés et de quelques Oursins. reproduction : sexuée hermaphrodite simultanée, larve ciliée nageuse. Reproduction par bourgeonnement très importante. évolution : ressemblance des larves de Bryozoaires avec les larves d'Annélides. Les colonies de Bryozoaires ressemblent aux colonies d'Hydrozoaires (Cnidaires), mais les individus sont très différents : tube digestif par exemple ! Schéma en coupe Une zooécie de Bryozoaire 1 mm 020606

24 et le vrai Corail Rouge, derrière, avec ses polypes blancs déployés !
Corne d’Elan CNEB Ecorce pileuse Electra_pilosa CNEB Myriapora_truncata, faux corail VMStG et le vrai Corail Rouge, derrière, avec ses polypes blancs déployés ! 5 – BRYOZOAIRES ou Ectoproctes 4500 Espèces décrites lophophore rétractile 270406

25 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES Limaces Escargots CEPHALOPODES GASTEROPODES BIVALVES 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 5-BRYOZOAIRES 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 180406

26 Les MOLLUSQUES Fiche Technique 060606
nombre : espèces répertoriées. 7 Classes, de très nombreuses familles. Le plus important groupe après celui des Arthropodes (1,7 millions) et les Végétaux ( ). description : Corps à symétrie bilatérale non segmenté : la tête avec bouche et organes sensoriels (ocelles, rhynophores, tentacules), le pied avec sécrétions muqueuses lubrifiantes a une musculature très développée (sole de reptation.), masse viscérale contenant les organes internes. Elle est généralement protégée par une coquille calcaire secrétée par le manteau. Branchies dans la cavité palléale. Diversité de la taille : depuis les Helcions, des Gastéropodes de quelques millimètres observés sur les Laminaires jusqu'aux Calmars géants des grands fonds (18 mètres). Diversité de l'élégance : depuis le Bigorneau noir des rochers qui n'a d'intérêt que dans notre assiette jusqu'au magnifique Peigne de Vénus. Diversité de la locomotion : depuis le déplacement imperceptible des Moules qui arrachent et recréent une par une les fixations de leur byssus au substrat jusqu'aux bolides à réaction profilés pour la course, les Calmars pélagiques. Diversité de la vision : depuis la patelle qui distingue tout juste le jour de la nuit avec ses regroupements de cellules photosensibles jusqu'au poulpe dont la qualité de vision est comparable à la notre en passant par la coquille Saint-Jacques et le Bénitier avec leurs nombreux vrais petits yeux en bordure de leur manteau et sans oublier notre Nautile et son sténopé ! Diversité de la nutrition : brouteurs de micro algues avec radula (patelles), nettoyage les cadavres (Nasses), broutage des Eponges, des Bryozoaires et des Hydrozoaires (Limaces), sans oublier les Bivalves qui passent leur temps à filtrer l'eau de nos plages et les plus surprenants, ceux qui savent attraper au harpon un poisson trop curieux : qlq cônes tropicaux ! Diversité de la reproduction : depuis les Moules qui éjaculent leurs gamètes en pleine eau en laissant à la nature le soin d'organiser les rencontres, jusqu'aux accouplements mystérieux des poulpes qui savent garder leur distance et finir leur vie, ensuite, en protégeant leurs œufs. L'hétérogénéité n'est qu'apparente : les Espèces ci-dessus ne sont que des variantes d'une même structure fondamentale, l'archi-mollusque, animal mystérieux trouvé seulement dans les bouquins. écologie: La diversité favorise l'occupation de niches écologiques très variées., On trouve les Mollusque partout, dans toutes les mers, en eau douce (Planorbe, Moule zebrée) et même à terre : l'Escargot de Bourgogne. remarques : Les coquilles sont toutes plus belles les unes que les autres, elles font souvent l'objet de la convoitise des collectionneurs. Spiralées pour la plupart, certaines sont coniques (Patelles) en forme d'oreille (Ormeaux) ou d'œuf (Porcelaines). danger : le Cône textile tropical. reproduction : les Mollusques ont une seule gonade, ils se reproduisent exclusivement par voie sexuée, avec sexes en principe séparés (gonochorisme). Exception : les Limaces de mer sont hermaphrodites, bien connues pour leur ‘pas de deux’ ! évolution : affinités avec les Annélides. 060606

27 6 – MOLLUSQUES 65 – CHITONS (Polyplacophores) autres 63 – BIVALVES
Chiton gris autres Dentale Moule Huître Coque Pecten 63 – BIVALVES Poulpe Seiche Argonaute 62 - CEPHALOPODES Nasse Murex Natice Littorine ESCARGOTS DE MER (Prosobranches) 61- GASTEROPODES Flabelline Doris Aplysie LIMACES DE MER (Opistobranches) 6 – MOLLUSQUES Espèces décrites manteau sécrète coquille radula 200406

28 6 – MOLLUSQUES 63 CEPHALOPODES 62 BIVALVES Moules 61.1 GASTEROPODES
CNEB Octopus_vulgaris Mos( 64 CHITONS (Polyplacophores) Chiton vert, Chiton_olivaceus Le Granché-CNEB 63 CEPHALOPODES poulpe cadres bleu : Cliquez pour d’autres photos ! Mytilus_edulis 62 BIVALVES Moules VMStG Hinnia_reticulata Nasse CNEB Doris dalmatien (Discodoris_atromaculata) 61.1 GASTEROPODES Limace (Opistobranches) 61 GASTEROPODES Escargot (Prosobranches) 6 – MOLLUSQUES 200406

29 61 LIMACES DE MER (Opistobranches) Flabelline, Eolidiens Doris
Eric Flabelline, Flabellina_affinis Eolidiens CNEB Doris Hypselodoris_elegans Doridiens Dune - CNEB 61 LIMACES DE MER (Opistobranches) Janolus_cristatus Armina 200406

30 61 – ESCARGOTS DE MER (Prosobranches) Cône, Conus_arenatus
Murex perceur, Ocenebra_erinacea Gilli-CNEB Littorine, Littorina_saxatilis Ormeau, Haliotis_lamellosa 61 – ESCARGOTS DE MER (Prosobranches) 200406

31 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES Ophiurides Echinides Astérides Holothurides 6-MOLLUSQUES Crinoïdes 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 5-BRYOZOAIRES 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 180406

32 Les ECHINODERMES Fiche Technique 070606
nombre : environ 6000 Espèces décrites, marines exclusivement, elles sont réparties en 5 Classes dont 800 Oursins, 1500 Etoiles de mer, 1100 Holothuries, 1900 Ophiures et 700 Crinoïdes. description : Boules hérissées de piquants articulés (Oursins) ou formes caractéristiques en étoile, les Echinodermes sont difficiles à confondre avec des espèces d'un autre Embranchement sauf quelques Holothuries dont la forme de boudin plus ou moins allongé peut dérouter. En particulier certaines Holothuries tropicales et, chez nous, le surprenant Lèche-doigts dont le corps est caché dans une faille de rocher. Il lèche régulièrement ses palpes buccaux un par un pour récupérer les particules alimentaires et se confond aisément avec des algues ballottées par la houle. Symétrie d'ordre cinq avec, pour certaines Espèces, une symétrie bilatérale supplémentaire (Oursins de sable). Le squelette rigide, recouvert par une peau (échinoderme = 'peau épineuse') est constitué de plaques de calcaire jointives. La rigidité et la liaison des éléments les uns avec les autres est variable suivant les Classes : les oursins ont un test parfaitement rigide, les Ophiures sont plus souples et les Holothuries n'ont que des spicules éparpillés. Le système aquifère interne est très caractéristique de l'Embranchement avec des petits pieds couplés à des ampoules, souvent terminés par une ventouse. Ces podia, toujours en mouvement, passent à travers les plaques de calcaire et servent essentiellement à la locomotion. Des muscles tapissent l'intérieur des podia. et des ampoules. Un examen plus attentif à la base des piquants (avec une loupe) montre la présence de nombreuses petites pinces articulées à l'extrémité d'un pédoncule (genre pince à sucre modèle réduit). Ces pédicellaires sont utilisés en permanence pour éliminer les petits épibiontes indésirables. écologie : toutes les mers, benthiques, ils vivent plutôt la nuit, cachés le jour dans les anfractuosités rocheuses. critères de reconnaissance : piquants; formes généralement étoilée ou globuleuses mais certains Oursin sont très plats (le 'dollar') et certaines Etoiles n'ont pas de bras (Culcita) ! danger : Les blessures dues aux piquants à travers la combinaison des plongeurs peuvent mettre un certain temps à cicatriser. Oursins tropicaux (Asthenosum) : la piqûre peut être mortelle. relations trophiques : filtreurs (Ophiures – particules capturées par les bras très souples, sans podia visibles), limivores (Holothuries – avalent le sable en continu), charognards ou prédateurs (Etoiles de mer – dévastation des récifs coralliens par les Acanthaster), brouteurs (Oursins – lanterne d'Aristote, dents à croissance continue), l'éventail des modes de nutrition est vaste. Les Echinodermes sont très bien protégés par leurs piquants (Oursin Diadème) mais il n'est pas exclu qu'ils soient mis en pièces par des poissons (Baliste). reproduction : sexes séparés; la fécondation est externe, larves pélagiques nageuses. Il n'y a pas de reproduction asexuée chez les Echinodermes. remarque : autotomie, régénération et formes comètes fréquentes. On remarque qu'il existe quelques Etoiles de mer sans anus ou avec un anus non fonctionnel évolution : Les comatules appartiennent au groupe le plus récent. 070606

33 7 – ECHINODERMES 75 ASTERIDES 74 OPHIURIDES 73 ECHINIDES
Étoile de mer Acanthaster 75 ASTERIDES 74 OPHIURIDES Ophiure Oursin Spatangue 73 ECHINIDES 72 HOLOTHURIDES Holothurie 71 CRINOÏDES Comatule (autres : profonds) 7 – ECHINODERMES 6000 Espèces décrites squelette = plaques de calcaire sous la peau système ambulacraire hydraulique 270406

34 7 – ECHINODERMES 75 ASTERIDES 74 OPHIURIDES 73 ECHINIDES
Etoile de mer 74 OPHIURIDES Ophiure VMStG 73 ECHINIDES Oursin Chateigne Echinus_esculentus P. Le Granché-CNEB Oursins Diadème tropicaux Mayet 72 HOLOTHURIDES Comatule de Méditerranée C. tropicale Mayet CNEB CNEB 71 CRINOÏDES 7 – ECHINODERMES 200406

35 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
Crabes Homards Crevettes Pagures 82-CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 5-BRYOZOAIRES 3-CNIDAIRES 2-EPONGES 1-VEGETAUX 200406

36 Les ARTHROPODES Fiche Technique
avant-propos : sans les Insectes, les Mille-pattes et les Araignées qui ne nous intéressent pas, il reste moins de 1% pour les Crustacés Décapodes. (Crabes, Crevettes, Homards, Langoustes) qui nous concernent en plongée. nombre : caractéristiques : pattes articulées, carapace, mues. description : corps segmenté à symétrie bilatérale. Chaque segment (métamère) comporte une paire d'appendices également segmentés, plus ou moins transformés suivant le groupe (pattes également articulées avec ou sans pinces terminales, antennes, mandibules, chélicères, etc.). Corps en plusieurs parties : tête libre ou liée au thorax, abdomen, telson. Exosquelette : tout l'épiderme est recouvert de plaques de cuticule plus ou moins épaisses. Rôle de soutien du corps et, souvent, protection contre d'éventuels prédateurs. Branchies attachées à la base des appendices. Tailles variables, jusqu’à plus de 1 mètres (Araignée du Japon). Couleurs très variables (chromatophores), parfois absentes (certaines Crevettes transparentes). Système vasculaire non clos, tube digestif, système nerveux ventral et néphridies dans chaque segment. Yeux composés (ommatidies). Parfois des poils (Dromie). écologie : toutes mers, tous biotopes et toutes profondeurs, préfèrent sortir la nuit. remarques : La mue peut durer plusieurs dizaines de minutes (Langouste) ou une fraction de seconde (Moustique). Parfois elle se termine mal : l'animal est exposé aux prédateurs, il ne peut pas se défendre. danger : Tourteaux et Homards peuvent aisément sectionner ou écraser un doigt de plongeur avec leurs pinces. relations trophiques : nombreuses formes parasites mais également des filtreurs (Balanes), et des charognards au goût très recherché : Langoustes, Crabes, Homards ! Aspect commercial non négligeable. reproduction : sexuée, gonochorique. Pas de reproduction asexuée. évolution : premières formes aquatiques apparues au Cambrien, les Trilobites. Les Arthropodes terrestres sont plus tardifs (Insectes : Dévonien). Parenté phylogénétique des Arthropodes avec les Annélides L’abdomen replié des Crabes est une forme récente. 090606

37 82 - CRUSTACES DECAPODES 5 paires de pattes, 11 061 espèces décrites
c. évolués c. moyens c. primitifs Crabe marbré Tourteau CRABES VRAIS Etrille Araignée de mer Dromie Bernard l’ermite c. des cocotiers Paguridés Galathéridés ANOMOURES Galathée Porcelane (sic) Thalassinidés Crevettes fouisseuses Alpheus (avec Gobie) Palinuridés Langouste, Cigale Écrevisse % Homard Langoustine Astacidés Sténopidés Crevettes nettoyeuses Crevette nettoyeuse Crevette grise Crevette bouquet Crevette rose nordique Crevette caridine % Caridés Crevettes communes Pénéidés Grandes Crevettes Gamba Crevette Japonaise 82 - CRUSTACES DECAPODES 5 paires de pattes, espèces décrites Pierre-Yves Noël, Muséum de Paris 270406

38 82 – CRUSTACES DECAPODES Crabe Vrai Crabe enragé, Carcinus_maenas
Palinuridés Crabe enragé Carcinus_maenas Ce qu’il ne faut JAMAIS faire ! Maniette-CNEB Crevette nettoyeuse Maniette-CNEB Langouste Palinurus_argus Stenopus_spinosus (Sténopidés) 82 – CRUSTACES DECAPODES 210406

39 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
Tortues Mammifères 82 CRUSTACES DECAPODES Sirène Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 5-BRYOZOAIRES 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 210406

40 Les VERTEBRES Fiche Technique 110606
avant-propos : la raison d'être originale de notre activité : l'observation Faune & Flore en plongée subaquatique. La moitié ce groupe (que nous aimons bien, nous en faisons partie) est l'écrasante majorité des 'poissons' actuels, les Téléostéens. Les autres Espèces qui nous concernent sont observées moins souvent ou motivent moins de plongeurs : Oiseaux, Tortues et Mammifères marins. Ici, le maître mot est : adaptation. nombre : toutes Espèces confondues, marines, terrestres et aériennes. caractéristiques : de petits os consécutifs, les vertèbres, constituent la colonne vertébrale qui donnent au corps de l'animal une certaine souplesse. Sur cette colonne vertébrale viennent s'articuler des membres pairs, nageoires ou pattes. L'axe nerveux principal, protégé par les vertèbres, est dorsal par rapport à l'orientation du corps et le tube digestif qui est complet : bouche, estomac, intestin et anus. Certains Vertébrés sont homéothermes : les Mammifères (37°C), les Oiseaux (42°C). adaptations particulières : dans l'eau : corps fusiforme hydrodynamique souvent recouvert d'écailles protectrices, l'appendice caudal est généralement très musclé, il assure la propulsion (Requins, Dauphins, Carpes). Flottabilité assistée, pour de nombreux Téléostéens, par une vessie natatoire dont la gestion est automatique (à comparer au Nautile, un Céphalopode 'antique'). Détection et perception par les lignes latérales : le 'toucher à distance'. dans le froid : épaisse couche de graisse (Baleines, Phoques), fourrure (Ours blanc). dans les airs : des ailes avec des plumes, des os creux, un bréchet surdimensionné pour l'accrochage des muscles principaux, un poids limite (15 kg) et une vision très développée. écologie : toutes mers et dans les airs, tous biotopes à toutes profondeurs. danger : Peu de danger pour le plongeur : les Requins sont généralement très craintifs sans nourrissage, la taille des Baleines, qui pourraient nous écraser sans en avoir l'intention, décourage toute approche, le Barracuda et la Murène, bien qu'impressionnants avec leurs gueules pleines de dents acérées, sont inoffensifs. relations trophiques : essentiellement des prédateurs rapides (Fous de Bassan, Guépard, Carangues, Otaries). Qlqs brouteurs calmes (Saupe, Dugong) qlqs éboueurs (Goélands). Les plus grands mangent les plus petits : Homme mange Thon qui mange Sardines. Comme pour d'autres Embranchements, quelques associations d'Espèces (Rémora, poissons nettoyeurs), le camouflage-mimétisme et la vie en banc améliorent l'ordinaire. reproduction : sexuée, gonochorique. Pas de reproduction asexuée mais de possibles changements de sexe chez les Téléostéens (Mérou). évolution : longtemps considérés comme le sommet de l'Evolution, les Vertébrés se distinguent par une excellente adaptabilité à tous les environnements. 110606

41 9 – VERTEBRES 51000 Espèces décrites
La Systématique est l’Étude du Classement des Espèces. 91 – LAMPROIES Pétromyzontidés) 92 – REQUINS (Chondrichthyens) 93 – POISSONS (Téléostéens) 94 - COELACANTHES (Sarcoptérygiens) 95 – GRENOUILLES (Amphibiens) 96 – MAMMIFERES 97 – TORTUES (Chéloniens) 98-CROCODILES (Crocodiliens) 9 – VERTEBRES Espèces décrites succession de vertèbres rate et pancréas 99 – OISEAUX 270406

42 DERMOCHELYDES CHELONIDES 97 – TORTUES MARINES Q = 7
Tortue Luth CHELONIDES Tortue Verte Tortue à dos plat Tortue olivâtre Tortue de Kempe Caouanne Tortue à écailles 97 – TORTUES MARINES Q = 7 plaques osseuses, dossière et plastron ou peau résistante, la Luth. 270406

43 Jacques JOUBERT Tortue à écailles, Pacifique, Eretmochelys_imbricata Eric Tortue Verte (Chelonia_mydas) 97 – TORTUES MARINES 120406

44 92 – REQUINS ou Chondrichthyens
AUTRES R-tapis R-nourrice R-baleine ORECTOLOBIFORMES Grand blanc R-pèlerin R-renard R-taupe LAMNIFORMES (ou Isuriformes) R-pointes noires R-océanique R-marteau Roussette CARCHARHINIFORMES 92 – REQUINS ou Chondrichthyens Q = 375 os cartilagineux 5 à 7 fentes branchiales 270406

45 92 – REQUINS, Chondrichthyens
Orectolobiformes Requin Nourrice Chiloscyllium_griseum Muséum Aquarium de Nancy Lamniformes (ou Isuriformes) )Requin Taureau, Aquarium de Saint Malo, Carcharias_taurus Jacques JOUBERT Carcharhiniformes requin aileron noir, Pacifique, Carcharhinus_melanopterus 92 – REQUINS, Chondrichthyens 070406

46 92 – RAIES, Chondrichthyens
Raie pastenague (Taenyura_lymna) Raie Manta Manta_afredi Jacques Joubert 92 – RAIES, Chondrichthyens 200406

47 93 - POISSONS à nageoires rayonnées
Labridés Labres, Girelles, Vieilles Amphiprionidés Poissons-Clowns Demoiselles Scaridés Poissons-Perroquets Acanthuridés Chirurgiens Serranidés Serrans (Mérou) Sparidés Sars Chaetodontidés Poissons-Papillons Pomacanthidés Poissons-Anges Gobidés Gobies Blennidés Blennies Pleuronectiformes Poisons-Plats : Sole, Plie (quelques familles bien connues des plongeurs) 93 - POISSONS à nageoires rayonnées Les scientifiques disent : Téléostéens Q = environ os véritable 270406

48 Classement écologique
Eau douce (%) Mers tempérées Mers tropicales Classement écologique 93 - ‘POISSONS’ ou Téléostéens 210306

49 autres CETACES 96 – MAMMIFERES 96.2 MYSTICETES 96.1 ODONTOCETES
Phoque Otarie Morse Dugong Sirène autres Il est très dangereux d’approcher les Baleines en plongée ! Baleine franche Mégaptère Rorqual 96.2 MYSTICETES fanons CETACES Dauphin Marsouin Cachalot Béluga Narval 96.1 ODONTOCETES dents 96 – MAMMIFERES Q = (terrestres et marins) glandes mammaires poils 270406

50 96 - Mammifères Marins Grands Dauphins (Tursiops_truncatus)
Sandra ROBY Grands Dauphins (Tursiops_truncatus) 96 - Mammifères Marins 230406

51 96– SIRENE Q = ? 2 glandes mammaires des poils et des écailles

52 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES 6-MOLLUSQUES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES
82 CRUSTACES DECAPODES Poissons (Téléostéens) Requins Raies 8-ARTHROPODES 9-VERTEBRES Ascidiacées autres 6-MOLLUSQUES 90 ASCIDIES 4-ANNELIDES 7-ECHINODERMES 5-BRYOZOAIRES 3-CNIDAIRES 2-PORIFERES 1-VEGETAUX 180406

53 Les ASCIDIES Fiche Technique 120606
remarques : Urochordés = 'chorde dans la queue' mais seulement pendant le stade larvaire pendant lequel l'animal ressemble à un poisson, ancêtre des Vertébrés. Les adultes ont peu de ressemblance avec le plan d'organisation anatomique général des Chordés. Attention, la 'chorde' des larves n'est pas segmentée. C'est la chaîne nerveuse dorsale qui est segmentée, elle disparaît au stade adulte. nombre : 1300 Espèces recensées. caractéristiques : Synonyme, 'Tuniciers' : tunique plus ou moins rigide constituée en partie de chitine et de cellulose (tunicine). Des espèces fixées pour la plupart, discrètes, inconnues du public non plongeur (mis à part les violets très difficiles à observer en plongée car très bien camouflés par de nombreux épibiontes - ils sont très appréciés des connaisseurs pour relever la soupe méridionale traditionnelle). Dans le cas général, petites outres (environ 10 cm) ayant deux siphons opposés (ascidie solitaire : Ascidie Rouge), ou tapis encroûtant de petits éléments répétés, disposés en étoile sur des algues, des coquillages abandonnés. (ascidie coloniale : Botrylle). adaptations particulières : filtrage rapide de l'eau pour nutrition et respiration, présence de nombreux cils en mouvement sur une sorte de grillage. Débit : un volume propre par seconde en moyenne. Pas de mouvement externe apparent mise à part d'occasionnelle fermeture et ouverture rapides et imprévisibles du siphon entrant pour en chasser des particules trop grosses, en les recrachant énergiquement. écologie : toutes mers, tous biotopes à toutes profondeurs. danger : Aucun danger pour le plongeur relations trophiques : filtreurs zoo et phytoplancton. Peu de prédateurs. reproduction : sexuée et, surprise, asexuée ! Sexuée hermaphrodite avec auto-fertilisation possible. Les espèces solitaires sont ovipares, les œufs sont fécondés à l'extérieur. La plupart des espèces coloniales fixées sont vivipares et libèrent des larves nageuses fixées après qlq minutes ou qlq heures, suivie d'une métamorphose très particulière : perte de la queue, retournement du corps, ouverture des siphons. Reproduction asexuée : Bourgeonnement des stolons, les individus sont réunis en touffes (Claveline). Bourgeonnement des adultes : formation des colonies (Fraise de mer). évolution : reproduction asexuée un peu surprenante pour un groupe si proche des Vertébrés : les zoologistes le considèrent comme le groupe le plus évolué des Invertébrés (plus évolué que les Crabes ou que les Poulpes). 120606

54 90 – ASCIDIES (Urocordés) 1300 espèces décrites
AUTRES Salpe (pélagique, libre) ASCIDIACEES (benthiques, fixées) Ascidies Solitaires : Ascidies Sociales : Ascidies Coloniales : Phallusie Ascidie rouge Diazone Claveline Botrylle Fraise de mer Pour votre information : Ce classement visuel, pratique pour les plongeurs, n’est pas reconnu par les scientifiques qui, eux, distinguent trois groupes basés sur l’examen à la binoculaire du pharynx des différentes Espèces : ou APLOUSOBRANCHES PHLEBOBRANCHES STOLIDOBRANCHES 90 – ASCIDIES (Urocordés) 1300 espèces décrites vie fixée (la plupart) tunique avec tunicine, proche cellulose 270406

55 90 – ASCIDIES Ascidiacées Botrylle Clavelines Phallusie C. Mayet
Botryllus_sp ‘coloniales’ Clavelines Clavelina_lepadiformis ‘sociales’ ‘solitaire’ Eric Ascidiacées Phallusie Phallusia_mammillata Mayet 90 – ASCIDIES 110406

56 Autres Arbres Phylogénétiques
FFESSM, CNB PADI, Encyclopedia of Recreational Diving 1989

57 FFESSM CNB 91 P. Petit de Voize

58 PADI-89 Extrait de ‘The Encyclopedia of Recreational Diving
‘The Aquatic Realm – Overview of the Taxonomic System’

59 nos Conseillers 10/03/06 Re : arbre-SUPER-sympa Cher Hugo,
Vincent MARIE-SAINT GERMAIN, Marseille Yves MÜLLER, Dunkerque : Cnidaires Gérard BRETON, ancien directeur du Muséum du Havre : Mollusques Bernard METIVIER, Muséum de Paris : Mollusques Rénata RODONI-BOUCHER, Muséum de Paris : Céphalopodes Pierre-Yves NOËL, Muséum de Paris : Crustacés Nadia AMEZIANE, Muséum de Paris : Echinodermes Jean-Loup d’HONDT, Muséum de Paris : Bryozoaires Isabelle DOMART-COULON, Muséum de Paris : Eponges Françoise et Claude MONNIOT, Muséum de Paris : Ascidies Guillaume LECOINTRE, CNRS-Muséum de Paris : Systématique 10/03/06 Re : arbre-SUPER-sympa Cher Hugo, Vous avez fait exactement ce qu’il fallait faire ! Partir de l’arbre du vivant tel qu’il existe et couper les branches au sécateur ! On peut donc parler des bêtes que l’on rencontre en plongée en respectant un seul ‘cahier des charges’. Bien cordialement G. Lecointre 080306

60 ‘Arbre-Sympa’ Bon de Commande de CD Versions Coût unitaire
Je désire recevoir l’Arbre-Sympa suivant les indications du tableau : Versions Coût unitaire Quantité (CD) Total par version Junior 5 € Senior 10 € Pro 20 € === total : Il est recommandé de téléphoner pour connaître la disponibilité des versions Chèque à l’ordre du CD92 Nom, Prénom : Adresse pour recevoir l’envoi du CD 92 : Téléphone : Date : Signature : Comité Départemental Hauts-de-Seine de la F.F.E.S.S.M. Tél (mardi – jeudi 18h30 à 20h00) Siège : C.S.M.P Plongée Sous-Marine – 2, allée Georges Hassoux – Ile de Puteaux – PUTEAUX


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