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Montage gt/isac/umb.

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1 Montage gt/isac/umb

2 Introduction Le cinéma a depuis un siècle formalisé la notion de montage, en définissant par là même la profession de MONTEUR. Le montage est le complément naturel du tournage. Cadreur et monteur travaillent sur un scénario,et peuvent avoir des visions différentes du mm scénario.

3 Montage et IS La réalisation en IS respecte et ne respecte pas les règles traditionnelles. Nous allons essayer de marquer les limites entre les 2 mondes L ’images de synthèses modifie ces 2 métiers, et donnent une nouvelle fonction. Mais pour les besoins des exercices futurs, vous allez faire un peu de tournage et un peu de montage.

4 Montage niveau 1 : assembler les plans
le plan : il est constitué d ’une succession de photos; c ’est aussi une portion du « champ », se situant entre le démarrage et l ’arrêt de la caméra. Pendant un tournage, il est fréquent de tourner plusieurs fois le même plan. IS : on ne calcule qu ’une fois chaque plan. Mais des « preview », permettent de visionner des images ou des plans en cours d ’élaboration.

5 Pour l ’exercice vidéo en cours, il est intéressant de monter le travail du « cadreur »; essayer de trouver une logique de montage avec des images que l ’on a pas tournées. le monteur se posera alors la question : comment vais je raconter ? Savoir lire un plan est donc crucial pour le monteur. Il doit : analyser les contenus (pour faire un choix adapté au message à transmettre) anticiper sur la succession des plans à venir percevoir les qualités intrèsèques de chaque image

6 Aucune image n ’est neutre au cours du montage
le choix se fait toujours en fonction des images qui précèdent et de celles qui suivent. L ’œil ne verra pas une image, mais une suite, en ayant une rémanence

7 En IS : les images calculées sont analysées plus précisément

8 Le plan simple : il est en général composé d ’un sujet : fixe ou animé
le plan simple ne fait appel à aucun mouvement de la caméra. Le plan simple a besoin d ’être associé à d ’autres plans; seul il est sans valeur narrative.

9 Le plan complexe : il comporte un ou plusieurs sujets et objets
il peut faire appel aux mouvements mécaniques ou optiques de la caméra le plan complexe fait apparaître en même temps dans l ’image, plusieurs éléments complémentaires que le réal désire associer et non dissocier par la biais du montage.

10 Si un plan complexe permet le déroulement de toute une action, il devient un plan séquence.

11 Les 3 paramètres définissant un plan :
le contenu la lisibilité la composition

12 Le contenu : le centre d ’intérêt de l ’image doit être spontanément identifié par le spectateur. Quand le contenu du plan est trouvé, le monteur doit vérifier qu ’il est objectivement lisible. Un cadrage lisible élimine les éléments parasites, et donne à voir une image claire.

13 Il faut trouver un rapport juste entre l ’assimilation du contenu de l ’image par le spectateur, et la durée du plan. Exemple : un plan d ’ensemble d ’une plage composé en majorité de lignes horizontales, sera vite lu. Un plan complexe comportant plan lointain, arrière plan, avant plan, sujets, et objets, demandera un temps d ’assimilation plus long. Bien sûr, suivant la cible, ces temps de lecture seront variables. Le monteur en tiendra compte.

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15 Composition : La composition de l ’image consiste en une sélection et un arrangement délibérés pour un effet spécifique à l ’intérieur du cadre. Elle est fondée sur une estimation du moyen par lequel on cherche inconsciemment à former des modèles simplifiés de structure. (cf. : gestalt) Dans la mesure du possible le monteur choisit des plans bien composés;

16 Si le caméraman n ’a pas suffisamment analysé les éléments constitutifs de son image le monteur devra examiné soigneusement : la distribution des éléments la combinaison des lignes la répartition des masses les contrastes la lumière

17 Une image bien composé ne comporte pas de zone morte; elle doit prendre en compte les différents critères objectifs de lecture. La lecture d ’un rectangle : d ’abord balayage gauche-droite, ensuite exploration des diagonales. Toujours se poser la question : dans mon image, quels sont les points attractifs ? Où sont ils situés ?

18 En réalisant les raccords le monteur, doit avoir à l ’esprit ces règles de cheminement.
Les lignes droites : elles suggèrent la précision, la franchise, la rigidité, la simplicité les verticales : solennité, dignité, importance,formalité, etc.. la perspective : espoir, inspiration,

19 les diagonales : elles suggèrent la force.
Les lignes courbes donnent l ’impression de mouvement rythmique

20 Les lignes optiques C ’est une ligne géométrique crée par plusieurs points attractifs. Elle ne se repère pas spontanément C ’est l ’œil qui la reconstruit en général C ’est la distribution des différents éléments présent dans l ’image qui favorisera ou non la reconstruction de cette ligne

21 Les surfaces optiques C ’est l ’association de lignes et de surfaces qui permet la construction par l ’œil de la notion de surface optique. Des problèmes apparaissent dans les raccords lorsque des lignes optiques ne sont pas tracés complètement. Le raccord en tiendra compte pour le confort du spectateur.

22 Mais attention : les diagonales et obliques génèrent dans l ’espace un désordre qui a besoin d ’être compensé par des verticales ou des horizontales.

23 Les diagonales ascendantes
C ’est une exception; elle est perçue comme particulièrement dynamique et ne demande pas de compensation par des verticales ou des horizontales.

24 Spécificité de l ’IS les différentes familles de ligne peuvent créer des phénomènes d ’anti aliasing L ’anti aliasinf temporel va apparaître lors de certains mouvements trop lents on y reviendra !!!

25 Les formes géométriques :
dans toute composition on tiendra compte des formes géométriques, car elles ont des propriétés distinctes.

26 Le carré Il représente l ’équilibre absolu lié à la pesanteur.
Il est souvent employé comme contrepoids. Une série de carré peut constituer une ligne optique.

27 Le triangle Considéré comme une forme géométrique active
c ’est en général une base solide ppour la composition *

28 La surface pleine c ’st une masse,
elle affecte l ’équilibre d ’une image, générant un sentiment de pression vers le haut ou vers le bas mais attention : la surface pleine a tendance a se poser durablement sur la rétine; o ne passera pas facilement d ’une sensation de plein à une sensation de vide.

29 Quelques autres paramètres dans le choix des images

30 1- La définition C ’est la précision dans les détails des images, « le piqué », la finesse

31 L ’exposition Un plan correctement exposé n ’est ni trop clair, ni trop sombre. Mais : les teintes claires doivent présentées une véritable gamme de tons les teintes foncées ne doivent pas faire effet de masque En général, dans une même séquence on veillera à ne pas mélanger des plans d ’exposition différente.

32 La lumière C ’est un art subtil : le job du chef op .. On veillera à :
la direction de la source lumineuse les ombres : sont elles toutes nécessaires . Ce sera l ’objet d ’un exercice au mois de février

33 Les différentes valeurs de plan
Par le passé les différentes valeur de plan étaient entre autre les suivantes : Gros plan : GP Plan rapproché PR Plan américain PA Plan moyen PM

34 Monter des plans de valeur différentes permet:
Mais cette nomenclature n ’a rien de fixe, et peut recevoir bien des modifications. Le dialogue entre réal et monteur, permet de définir l ’échelle en fonction du matériau. Monter des plans de valeur différentes permet: une approche progressive de l ’action une vision renouvelée

35 Valeurs de plans en IS Souvenez vous du film SIZIAF
Les IS représentaient que des plans très larges pourquoi : parce que vous en PR ou en GR les objets sont très moches La définition des objets dans une scène va dépendre des types de plans

36 Modélisation et valeurs de plans
Le story board devra définir précisément les valeurs de plans Il sera réalisé avant de commencer les travaux en IS La définition des objets sera déterminé après le découpage en plan Exemple :images d ’architecture IREPA

37 Plans fixes et en mouvement
dans un plan fixe, la caméra ne bouge pas; la prise de vue est réalisée avec un pied; la composition de l ’image est soignée. L ’élément filmé lui est susceptible de bouger. Le plan fixe induit une observation plus détachée.

38 Le plan en mouvement réclame l ’implication d ’une personnage ou de la caméra, en tant que substitut de l ’observateur.

39 Mouvement d ’accompagnement
Ils sont là pour maintenir la présence de l ’élément important du plan En général des travellings

40 mouvements descriptifs
Ils s ’effectuent sur des éléments fixes (décor, objet,sujet) le réalisateur veut les décrire en général = des panoramiques ils peuvent accompagner les réflexes oculaires des spectateurs.

41 Les mouvements de la caméra :
Se reporter au panneau camera setting Vérifier les différents paramètres possibles de la caméra

42 le panoramique la caméra ne se déplace pas; elle pivote sur l ’axe horizontal ou vertical pour réaliser des mouvements descriptifs ou d ’accompagnement. En IS : application d ’une rotation sur la cam; Suivant le nombre d ’image pendant lesquelles on voit la rot, on définira le rythme.

43 le travelling mécanique
la caméra se déplace; soit sur un DOLLY (trépied à roulette), soit sur des rails. Translation de cam. Toujours la vitesse ...

44 le travelling optique zoom, dézoom
Modification : le paramètre camera lens permet les fonctions de zoom/dezoom

45 le pano filé pano horizontal, ou travelling latéral très rapide.
On devine difficilement la composition de l ’image c ’est un volet naturel pour le monteur.

46 le travelling coup de point
effet de zoom très rapide.

47 Plan descritif : la plongée :
la caméra montre un objet fimé en surplomb

48 la contre plongée: la caméra se trouve plus bas que l ’objet filmé; l ’objet est filmé par dessous en général la CPL suggère la puissance

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