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MEDICATION FAMILIALE.

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1 MEDICATION FAMILIALE

2 DETERMINATION D’UN SYMPTOME PRECIS
ACCUEIL ECOUTE DIALOGUE DETERMINATION D’UN SYMPTOME PRECIS DELIVRANCE D’UN MEDICAMENT CONSEIL CONSULTATION MEDICALE EN L’ABSENCE DE REPONSE RAPIDE

3 La connaissance pharmacologique des produits dispensés doit être parfaite
Durée de traitement limitée Déceler d’éventuels risques de gravité Le conseil a ses limites: NE PAS FRANCHIR!

4 1er Juillet 2008: LIBRE ACCES Indications concernées:
Asthénie Douleur ORL: expectorants, toux, maux de gorge, rhinite, toux…etc Troubles cutanés: brûlures, irritations, herpes Troubles buccodentaires Troubles gastro-intestinaux Troubles occulaires Addiction au tabac

5 CONSEIL EN OPHTALMOLOGIE

6 L’ŒIL ROUGE Hyperhémie de la conjonctive visible
En l’absence de circonstances étiologiques, la détermination de la cause est difficile

7 2 symptômes permettent une orientation:
Questions à poser: La rougeur est-elle apparue brutalement ou progressivement? Fait-elle suite à un traumatisme? Existe-t-il des signes d’accompagnement? 2 symptômes permettent une orientation: La douleur L’altération de la vision 3 situations possibles: Œil rouge sans douleur (ou légère) et vision normale Œil rouge + douleur et vision normale Œil rouge + douleur et vision diminuée

8 Si vision diminuée et/ou douleur oculaire importante = consultation ophtalmologique urgente!
Si œil rouge non ou peu douloureux et sans baisse d’acuité visuelle = conseil officinal

9 1. Les affections des paupières
L’entropion Conseil = Collyre antiseptique + solution chirurgicale

10 L’ectropion Conseil = collyre antiseptique + Rdv Ophtalmo

11 L’orgelet ( ou compère-Loriot)
Conseil = Collyre antiseptique + Oxyde jaune de mercure ou pommade antibiotique (Atebemyxine)

12 Le chalazion Conseil = Idem orgelet (guérison dans 30 à 40% des cas) mais si persistance chirurgie ophtalmo Différence entre orgelet et chalazion difficile à distinguer

13 La blépharite Conseil = Suppression des causes d’irritation + lavage + Oxyde jaune de Hg ou pommade antibiotique

14 2. La sécheresse oculaire
Syndrome de l’œil sec = maladie auto-immune Sécheresse oculaire due à l’environnement: Causes = climatisation, soleil, vent, froid, lentilles de contact, âge Signes = sensation de corps étranger, gêne oculo-palpébrale, œil rouge diffus Conseil = larmes artificielles ou gels pour humidifier

15 3. Les affections de la conjonctive
L’hémorragie sous conjonctivale Conseil = Bilan médical (Hypertension ou diabète dans 10% des cas)

16 La conjonctivite bactérienne
Conseil = lavage oculaire + collyre antiseptique ou antibiotique (guérison en 2 à 4 jours)

17 La conjonctivite virale
Conseil = Règles d’hygiène car très contagieux + collyre antiseptique (si + de 8 jours risques de kératite)

18 La conjonctivite allergique
Conseil = collyre anti-allergique (Multicrom®, Opticron®) + anti-histaminique H1 per os

19 La conjonctivite irritative
Conseil = suppression de l’élément irritant + collyre antiseptique ou adoucissant

20 4. Médicaments conseil Collyres antiseptiques sans vasoconstricteur
A utiliser préférentiellement BIOCIDAN®: Ammonium IVaire, CI porteur de lentilles DESOMEDINE® : Hexamidine SOPHTAL® : Acide salicylique + acide borique Collyres antiseptiques avec vasoconstricteur CI: Glaucome, porteurs de lentilles, enfants<30 mois ANTALYRE®, VISIODOSE®, SEDACOLLLYRE®: Chlorhexidine + synephrine

21 Collyres antibiotiques:
POLYFRA®: Framycetine + Polymyxine + Synephrine NOVOMYXINE®: Framycetine + Polymyxine ATEBEMYXINE®: Neomycine + Polymyxine Collyres adoucissants: SENSIVISION®: extrait de plantain Collyres antiallergiques: NAAXIA® OPHTACALM®, OPTICROM®: Cromoglycate de Na

22 Règles générales pour l’utilisation des collyres:
Hygiène soigneuse des mains Ne pas porter de lentilles de contact Utilisation après ouverture de 15 jours à 1 mois selon les produits = Avantage des unidoses Pommades ophtalmiques: A base d’oxyde jaune de Mercure A base d’antibiotiques (Liste I) 1 application de la valeur d’un grain de riz 1 à 2 fois/jour (vision troublée 30 s à 1 min)

23 5. L’œil rouge traumatique
Traumatisme direct Plaie ou pas = Consultation ophtalmo Projections oculaires Actions de base: lavage abondant à l’eau ou sérum physiologique (surtout culs de sac conjonctivaux) Corps étranger: risque de lésions de la cornée = consultation ophtalmo

24 Coups d’arc, exposition aux UV et ophtalmie des neiges
Kératites superficielles très douloureuses Guérison spontanée en 48h Conseil = Lunettes de soleil + UVICOL® (actinoquinol + synephrine) et/ou collyre cicatrisant (vitamine A ou vitamine B12)

25 LES TROUBLES DIGESTIFS

26 1. Les diarrhées Plusieurs types:
Diarrhées chroniques: besoin de diagnostic médical (maladies muqueuses, diverticuloses…etc) Diarrhées aigues: souvent processus infectieux + symptômes d’accompagnement (fièvre, vomissements, malaise, anorexie) Souvent considérées comme virales Si troubles identiques et simultanés après un repas = origine bactérienne

27 Les ralentisseurs du transit
Diminution du transit et des sécrétions = action symptomatique CI: nourrissons et diarrhées bactériennes Utilisation à limiter dans le temps A base de teinture d’opium PECTIPAR®: 1 sachet ttes les 3h (0,25 g/sachet) CI: grossesse, enfants, insuffisance respiratoire A base de loperamide IMOSSEL®, INDIARAL® CI: enfants<15 ans, rectocolite hémorragique, grossesse (1er trimestre)

28 Pansements intestinaux
A base de charbon CHARBON BELLOC® Colore les selles en noir Attention aux associations médicamenteuses A base de silicates(argiles) SMECTA®, ACTAPULGITE® Antiseptiques intestinaux De moins en moins utilisés car de nature souvent virale SEPTIDIARYL®: nifuroxazide 1 gel 4fois/jour pendant 3 jours (adulte et enfant>15 ans)

29 Régulateurs de la flore intestinale
A base de levures: ULTRALEVURE® A base de bactéries: lactobacillus acidophilus LACTEOL® Action bactériostatique Mesures diététiques Apport d’eau, de glucose et d’électrolytes Risque de déshydratation (surtout nourrisson et jeune enfant): solutions pour réhydratation orale (ADIARIL®), suppression du lait et aliment adapté exclusivement pdt 1 ou 2 jours Grands enfants et adultes: diète hydrique puis régime alimentaire

30 2. La constipation Trouble du transit intestinal le plus souvent indolore Définition clinique: fréquence de selle inférieure à 3/semaine Définition physiopathologique: retard d’évacuation des selles + déshydratation Causes: Déficit en fibres alimentaires Sédentarité et manque d’activité physique médicaments

31 Les constipations secondaires
Nécessitent un examen clinique Plusieurs origines possibles Les constipations primitives Constipation par trouble de progression Constipation terminale ou dyschesie

32 3. Troubles hépato-biliaires
lourdeur digestive + digestion lente Cause = insuffisance hépato-biliaire Conseil = Produits cholérétiques et/ou cholagogues DIGEDRYL®, ODDIBIL®, OXYBOLDINE®: 1 cp avant les 3 principaux repas Produits phytothérapiques

33 4. Troubles dyspeptiques
Aérophagie, ballonnements, flatulences Régime: éviter les aliments fermentexibles Conseil = produits à base de charbon + plantes carminatives (Angelique, fenouil, anis vert, badiane)

34 5. Affections gastroduodénales
Fréquentes avec douleurs d’estomac Garder à l’esprit le risque d’ulcère! Produits conseil: Antiacides minéraux: Al, Mg, Ca, Bicarbonate de Na (Maalox®, Marga®, Rennie®) AntiH2: Stomedine®, Pepciduo®

35 LA DOULEUR

36 Douleur = symptôme Antalgique: effet symptomatique Partie très importante de l’automédication Se limiter à des antalgiques de niveau I ou parfois de niveau II

37 1. Antalgiques purs Paracetamol: peu de spécialités conseil Aspirine
Doliprane®, Efferalgan®, Dolitabs® CI: insuffisance hépatique, rénale Attention aux associations contenant du paracetamol Aspirine Aspro®, Aspirine du rhône®, Aspegic® CI: Ulcère, AVK

38 Ibuprofene: Cp 200 mg (jusqu’à 6/jour)
Attention aux effets secondaires: gastrite, stomatite…etc Nurofen®, Intralgis®, Upfen® Effet anti-inflammatoire

39 2. Antalgiques associés Certains ont une efficacité proche des précédents, d’autres ont une activité de niveau II Aspirine+paracetamol+caféine: Sedaspir®, Actron® Aspirine+paracetamol+Codéine: Novacetol® Paracetamol+codéine+caféine: Prontalgine® Effets secondaires et CI des atropiniques Paracetamol+codéine+belladone+caféine: Suppomaline®, Gelumaline® (effet antispasmodique)

40 3. Antalgiques locaux Produits stars des pharmacies familiales (Synthol®) A base de myorelaxants, antalgiques, antiinflammatoires, anesthésiques locaux, révulsifs (effet chauffant) Algipan®, Synthol® gel, Sedarthryl®, Intralgis®, Cliptol®

41 LE RHUME

42 Infection virale aigue des voies respiratoires sup
Très contagieuse, souvent apyrétique Incubation: 1 à 3 jours Invasion: 2 à 3 jours, brutale, éternuements, rhinorrhée rave aqueuse, obstruction nasale Résolution: 5 à 7 jours, épaississement des sécrétions + toux sèche Évolution favorable en 8 à 10 jours Si fièvre importante + douleur nasale ou pb auriculaire = consultation médicale

43 1. Conseils généraux Ne pas surchauffer l’habitation Boire en quantité
Éviter la dissémination à l’entourage Éviter le tabac

44 2. Traitements locaux Solutions de lavage Gouttes nasales
Évacuation des sécrétions + humidifier le mucus A base de sérum physiologique ou d’eau de mer Humer®, Sterimar® Se méfier des pulvérisateurs puissants (effet Karcher) Gouttes nasales Contiennent des antiseptiques (plus d’AB ni de vasoconstricteurs) Biocidan®, Humex®, Euvanol®

45 Inhalations Intéressantes en cas de congestion nasale importante
Huiles essentielles + teinture de benjoin Balsofumine®, Balsolene®, Perubore® 1 cp ou 1 cuillère à café dans un bol d’eau très chaude ou un inhalateur Attention chez les enfants < 30 mois si camphre ou menthol

46 3. Traitements généraux Vasoconstricteurs per os
Pseudoéphedrine, phényléphrine Action sur la dilatation des vaisseaux Action sur l’écoulement nasal EI: sécheresse buccale, tachycardie CI: hypertension, glaucome, troubles prostatiques, grossesse Antihistaminiques Doxylamine, chlorphéniramine Très actifs sur rhinorrhée et éternuements EI: somnolence, sécheresse buccale CI: Glaucome, troubles prostatiques

47 Produits conseil Sans histaminique (vasoconstricteur seul) Dolirhume®, Nurofen rhume®, Cequinyl® Pseudoéphedrine + paracetamol ou ibuprofene Avec antihistaminique et vasoconstricteur Produits jour/nuit Actifed® JN, Dolirhume® pro Antihistaminique seul Rhinofebral ®, Fervex ® Spécialités homéopathiques Coryzalia ®, L52 ®, Sinuspax ®

48 LA TOUX LES ANTITUSSIFS

49 1. Introduction Toux = réflexe physiologique
Permet de dégager les voies aériennes Ne doit jamais être négligée Plusieurs types: interrogatoire nécessaire

50 2. Mécanisme

51 CORTEX CENTRE BULBAIRE DE LA TOUX RECEPTEURS (fosses nasales, sinus…)
Influx nerveux CORTEX CENTRE BULBAIRE DE LA TOUX MUSCLES RESPIRATOIRES GLOTTE IRRITATION RECEPTEURS (fosses nasales, sinus…) MUCUS

52 3. Les différents types de toux
Toux aigue sèche ou irritative Non productive, fatigante Causes: bronchite aigue, coqueluche, laryngite, pharyngite, cancer du larynx Toux sèche chronique Toux du fumeur, toux nerveuse, toux du cancer bronchique, toux iatrogène Toux aigue grasse Productive Doit être respectée et même facilitée

53 Toux grasse chronique Persiste depuis plus de 3 à 4 semaines
Bronchite chronique

54 3. Caractéristiques de la toux
Date d’apparition: différencier aigue et chronique Toux aigues: svt avec contexte fébrile, infection ORL Toux chroniques: bronchopathies chroniques (asthme) ou infection des voies aériennes sup mal traitée

55 4. Conseil du pharmacien Demander au patient
Ancienneté Causes déclenchantes Fréquence Signes associés éventuels Sèche ou grasse Adulte ou enfant Se souvenir que la toux est un symptôme

56 En cas de toux sèche Antitussifs opiacés Antitussifs antihistaminiques
Codéine, codethyline, pholcodine, dextrometorphane CI: enfants < 30 mois, insuffisance respiratoire, toux de l’asthmatique, allaitement/grossesse EI: dépression respiratoire, constipation, somnolence Interactions: alcool, dépresseurs du SNC Antitussifs antihistaminiques Promethazine, chlorphenamine CI: insuffisance respiratoire, glaucome, troubles prostatiques, nourrissons < 1 an (apnée) EI: ↑ viscosité des sécrétions, sécheresse buccale, constipation, rétention urinaire, somnolence

57 Antitussifs non opiacés non antihistaminiques
Pentoxyverine ( CLARIX®, VICKS®) CI: grossesse, allaitement

58 En cas de toux grasse Mucolytiques vrais Mucorégulateurs
↓ le degré de viscosité du mucus et rendent la toux productive N-acétylcystéine Mucorégulateurs Rétablissent la viscosité et l’élasticité du mucus Carbocistéine, terpine, ipeca

59 CENTRE BULBAIRE DE LA TOUX
ANTITUSSIFS OPIACES Influx nerveux CORTEX CENTRE BULBAIRE DE LA TOUX ANTIHISTAMINIQUES MUSCLES RESPIRATOIRES GLOTTE IRRITATION RECEPTEURS (fosses nasales, sinus…) MUCUS ANESTHESIQUES LOCAUX BRONCHODILATATEURS EXPECTORANTS MUCOLYTIQUES

60 LES MAUX DE GORGE

61 1. Angines virales et bactériennes
Inflammation aigue de la sphère oropharyngée 75% d’origine virale Douleur constrictive, douleur et gêne à la déglutition Fièvre (élevée si origine bactérienne) céphalées

62 2. Traitements locaux Limités à 5 jours maxi Gargarismes Collutoires
Pour rincer l’arrière bouche et la gorge Hextril®, Eludril® Collutoires Plus d’AB depuis le 30/09/2005 Antiseptiques + presque tjrs un anesthésique Givalex®, Colludol® Attention au risque de fausse route

63 Pastilles à sucer Idem collutoires Strepsil®, Humex®, Drill®
Ne pas excéder 5 jours de traitement

64 3. Traitements généraux Antalgiques antipyrétiques
Paracetamol, aspirine ou ibuprofene Suppositoires à base de bismuth Biquinol®: 2/jour 3 jours maxi CI: insuffisance rénale

65 LA GRIPPE

66 1. Caractéristiques Infection virale aigue (Myxovirus influzae) sous forme d’épidémie Haute contagiosité ( 2 à 3 premiers jours) Incubation de 1 à 3 jours Début brutal fébrile (39-40°C), frissons, corbatures, céphalées puis catarrhe, dysphagie, toux sèche, fatigue Évolution en 4 à 5 jours Si + de 5 jours: surinfection bronchique Dangereuse uniquement sur terrains fragilisés

67 2. Prévention Vaccination: efficace dans 70 à 80% des cas
Homéopathie: Oscillococcinum, Influenzinum, Serum de yersin

68 3. Traitement Symptomatique: pas de ttt conseil spécifique
Repos + boisson + antipyrétiques Recommander vitamine C durant la phase aigue et la convalescence

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70 CONSEILS CONTRE LE TABAGISME

71 1ère cause de mortalité évitable (60000/an)
Risque de décès x 3 à 20 (f° de l’âge et de la qté fumée) Jeunes fumeurs de + en + nombreux: morts/an en 2025 Diminution de 4 à 12 ans de la durée de vie

72 1. Principales pathologies du tabagisme
Cancer des voies aériennes mais aussi digestif, rénal, vésical Bronchopneumopathies aigues et chroniques, insuffisance respiratoire chronique Pathologies vasculaires: artérite, athérosclérose, ischémie myocardique Chez la ♀ enceinte: retard du développement intra-utérin Chez les NN et enfants: tabagisme passif, augmentation des infections ORL

73 2. Place du pharmacien Attitude du pharmacien
Pharmacie = espace non fumeur Établir le dialogue à l’occasion de pathologies ORL, grossesse…etc Rappeler que fumer = comportement dépendant Évaluation de la dépendance à la nicotine Test de Fagerström 0-2: pas de dépendance 3-4: dépendance faible 5-6: dépendance moyenne 7-10: dépendance forte

74 Des réponses actives Conseils appropriés en fonction du d° de dépendance 0-2: substituts nicotiniques pas nécessaires 3-6: substitut nicotinique peut être utile, gommes à 2mg 7-8: le sevrage sera difficile, gommes à 4 mg ou patchs à 4 mg 9-10: les patchs sont la forme adaptée

75 3. Les produits de substitution
Les gommes: 2 ou 4 mg 1 gomme = 20 à 30 min en bouche = 2 cigarettes Interactions avec jus de fruits et prdts acides EI: pbs dentaires, douleurs gastriques, aérophagie Les comprimés sublinguaux Maxi 30/jour Efficacité comparable aux gommes

76 Les patchs Bonne observance 2 types: 24h et 16h Choix de la posologie
24h: 10 cm2 (7mg/24h), 20 cm2 (14mg/24h), 30 cm2 (21mg/24h) Nicopatch, Nicotinell 16h: 10 cm2 (5mg/16h), 20 cm2 (10mg/16h), 30 cm2 (15mg/16h) Nicorette Score ≥ 5: 21mg ou 15mg = 3 à 4 semaines puis 14mg ou 10mg = 3 à 4 semaines puis 7mg ou 5 mg = 3 à 4 semaines Score < 5: 14mg ou 10mg = 3 à 4 semaines puis 7mg ou 5mg = 3 à 4 semaines

77 CONTRACEPTION D’URGENCE

78 Toute femme ayant eu une relation sexuelle non protégée par un moyen contraceptif ou dont le mode de contraception a échoué (oubli de pilule dans les cinq jours précédents le rapport à risque) Limites du conseil : Rapport non protégé datant de plus de 72 heures

79 Médication proposée: Norlevo®
Le seul traitement sans prescription médicale disponible en officine Posologie : 1 cp (prise unique)

80 Conseils généraux Ce n’est pas une méthode contraceptive régulière
Prendre la contraception d’urgence le plus tôt possible Pas de période sans risque de grossesse dans le cycle féminin Prévenir des différents effets secondaires

81 Conseils sur l’oubli de la méthode contraceptive
Délais de rattrapage en cas d’oubli des pilules contraceptives Prendre le comprimé oublié immédiatement L’efficacité contraceptive est assurée pendant : -12 h avec les pilules oestroprogestatives  -3h avec les pilules progestatives simples Associer un moyen contraceptif non hormonal

82 Délais de rattrapage en cas d’oubli du patch contraceptif (EVRA ®)
Décollement du patch quelque soit le moment du cycle La tolérance du patch est de 24h Arrêter le cycle de contraception en cours et entamer un nouveau cycle Associer un moyen contraceptif non hormonal pendant les 7 jours

83 Oubli de changement du patch
Oubli de pose du patch 1= J1 Oubli du patch 2 ou 3 = J8 ou J15 Oubli de retrait du patch 3 =du J22 au J28

84 Rapport sexuel et oubli de la contraception hormonale
Rapport sexuel non protégé dans les 5 jours précédents l’oubli Rappel des délais de tolérance : - pilule estro-progestative : 12h -décollement du patch contraceptif : 24 h -oubli de changement du patch : 48h

85 Cas de la femme enceinte ou allaitante
Découverte d’une grossesse après la prise du Norlevo® Allaitement et contraception d’urgence Cas de la jeune femme mineure Délivrance gratuite Rappeler les risques et les moyens de contraception

86 JAMBES LOURDES

87 Physiopathologie Atteinte du réseau veineux superficiel
Stase veineuse, à l’origine d’une inflammation locale et d’un œdème Gonflement des pieds et des chevilles, un œdème croissant tout au long de la journée Nombreux facteurs favorisant: le sexe (prédominance féminine), l’âge, le statut hormonal (grossesse, contraception orale, ménopause), l’hérédité, toute exposition à la chaleur, la sédentarité, le piétinement, la station debout/ assise prolongée, l’excès de poids, la constipation

88 Limites du conseil Induration douloureuse (possibilité de phlébite)
Œdème unilatéral avec placard rouge et fièvre (possibilité d’érysipèle) Pigmentation ocre de la peau (possibilité de dermatite) ou vésicules rouges prurigineuses (possibilité d’eczéma variqueux) Ulcération cutanée et plaie chronique (ulcère veineux) Gonflement brutal

89 Médication officinale proposée
Traitement physique par du matériel de contention  Classe I (10-15 mm Hg): grossesse, stade pré-variqueux, insuffisance veineuse légère Classe II (15-20 mm Hg): insuffisance veineuse moyenne, long trajet en avion, varice de la grossesse Classe III (20-36 mm Hg): insuffisance veineuse sévère, post-phlébite Classe IV (>36 mm Hg): insuffisance chronique, ulcère ouvert

90 Traitement systémique par les veinotoniques
En complément de la contention ou en monothérapie Endotelon®, Daflon®, diosmine Traitement par phytothérapie Cassis, fragon, hamamelis, marronnier d’inde, vigne rouge…etc A limiter chez la femme enceinte Traitement local par les veinotoniques Traitement homéopathique Arnica 7CH + Hamamelis 5CH +Vipera redi 9CH

91 Conseils généraux Surélever les jambes Préférer les chaussures plates
Terminer les douches par un jet d’eau fraîche Privilégier les fruits et légumes

92

93 MAL DES TRANSPORTS

94 Physiopathologie Conflit entre différentes information permettant de se situer dans l’espace Informations visuelles Informations proprioceptives Informations vestibulaires Sensation de malaise, pâleur, vertiges, nausées, vomissements et transpiration importante

95 Limites du conseil Contexte non lié au transport Intoxication aigue
Reflux

96 Médication officinale proposée
Traitement allopathique Antiémétiques: Métopimazine ( adultes: 4/j enfants: 2/j) Antihistaminiques H1: Nautamine®, Mercalm®, Nausicalm®) min à 1 h avant le départ 6 h entre 2 prises

97 Traitement homéopathique
Cocculine® 2cp 3 fois/jour la veille 2cp avant le départ 2cp ttes les 30 min si troubles Borax 9CH, Gelsemium 15CH, Argentum nitricum 15ch

98 Conseils généraux Ne pas être à jeun ni de repas trop copieux
Choisir un endroit bien ventilé S’asseoir dans le sens de la marche Fixer un point dans le paysage

99 VERRUES

100 Physiopathologie Petites tumeurs bénignes de la peau dues à un papillomavirus humain 30 à 50 % des verrues disparaissent spontanément mais récidives Très contagieuses, contamination par voie directe ou non

101

102 Limites du conseil Localisation Nombre et/ou taille importante
Sujet diabétique

103 Médication officinale proposée
Kératolytiques Acide salicylique, lactique ou acétique Verlim®, Duofilm®, Pommade Cochon®, Le diable® Nettoyer, sécher, appliquer, poncer 6 à 12 semaines Cryothérapie Azote liquide: Cryopharma® Appliquer pendant 10 à 20 sec

104 Traitement homéopathique
Voie locale: Thuya TM 1 à 2 fois/semaine Voie générale: Thuya 15CH 1 dose/semaine Dulcamara 9CH 5gr 2 fois/jour Causticum 9CH 5gr 2 fois/jour

105 LES POUX

106 Physiopathologie La transmission s'effectue par contact direct ou indirect  Distinguer poux et lentes

107

108

109 Médication officinale proposée
Produits sans insecticide Pyréthrines Malathion Décolleurs de lentes Peigne fin Traitement répulsif éviter l'auto-contamination !

110 Rhinite allergique

111 Physiopathologie

112 éternuements en salves
rhinorrhée aqueuse souvent très abondante obstruction nasale allergènes saisonniers et perannuels

113 Médication officinale proposée
 Le traitement local : indispensable L'hygiène quotidienne de la muqueuse nasale inhibiteur de la dégranulation des mastocytes anti-inflammatoire nasal à base de béclométasone  Le traitement oral Stopper la rhinorrhée et les éternuements Lutter contre la congestion nasale Le traitement homéopathique

114 Conseils complémentaires
Eviter les allergènes ! Faut-il envisager une désensibilisation ? Limites du conseil Nécessité d'un traitement de fond recherche des allergènes par des tests cutanés

115 Coup de soleil

116 Le coup de soleil érythémateux est une brûlure du premier degré
Le coup de soleil érythémateux est une brûlure du premier degré. La cicatrisation est spontanée en 2 ou 3 jours avec desquamation L'apparition de cloques correspond à une brûlure du deuxième degré  Quels rayons solaires faut-il craindre ? - UVB (ultra-violets B) - UVA - IR (infra-rouges)

117 Conseils Se mettre à l'ombre Apaiser la sensation de brûlure
Prévenir vaut mieux que guérir Préparateurs solaires et autobronzants : pas de protection contre les UVB

118 Lucite estivale bénigne

119 Physiopathologie Essentiellement la femme de 15 à 25 ans
Des papules rouges très prurigineuses Une tendance à la récidive  Les UVA coupables

120 Traitement Conseils Se protéger du soleil Calmer les démangeaisons
Choisir des produits de toilette adaptés Attention si éruption invalidante! Conseils Le traitement préventif est indispensable  La puvathérapie en dernier recours

121 Les piqûres de tiques LA MALADIE DE LYME

122 Conseils

123 Durée d’incubation de la maladie de Lyme: 7 à 20 jours (Borrelia Burgdorferi)
2 symptômes: Auréole rouge Syndrome grippal

124 Plaies brèche cutanée due à un traumatisme ou à un trouble trophique
4 caractéristiques: saignement? Localisation? Cause de la plaie? Terrain? Conseils: Premiers gestes Choix d’un pansement adapté Limites: plaie potentiellement grave ou infectée


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