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Pôle d’Analyse Sectorielle de Dakar Coopération Française

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Présentation au sujet: "Pôle d’Analyse Sectorielle de Dakar Coopération Française"— Transcription de la présentation:

1 Pôle d’Analyse Sectorielle de Dakar Coopération Française
Le modèle d’analyse RESEN (Rapport d’État d’un Système Éducatif National) Pôle d’Analyse Sectorielle de Dakar Coopération Française

2 Plan de la présentation
Présentation du pôle d’analyse sectorielle de Dakar Initiative Fast Track Le RESEN Difficultés rencontrées

3 Le pôle d’analyse sectorielle de Dakar
Justifié dans le cadre des engagements du forum mondial sur l’éducation(Dakar Avril 2002) et de l’initiative PPTE. Fruit d’une nouvelle approche de la Coopération française : sectorielle, inter-Etat, partenariale. En partenariat avec l’UNESCO Activités principales : Suivi EPT Analyse sectorielle (RESEN) Suivi de l’initiative Fast Track

4 Éligibilité Fast Track
ANALYSE SECTORIELLE EDUCATION STRATEGIE SECTORIELLE NATIONALE DSRP Volets sectoriels : -éducation santé etc. PNA / EPT Requête FAST TRACK Mise en cohérence Évaluation des bailleurs : 1- Au niveau local 2- Au niveau des sièges Éligibilité PPTE Éligibilité Fast Track

5 Fast Track : Rappel Chronologique
Forum mondial de l’Education de Dakar, Avril 2000 “Aucun pays sérieusement engagé dans l’Education pour tous ne sera empêché par manque de ressources” Engagement des bailleurs Déclaration du Millénaire, September 2000 Scolarisation primaire universelle d’ici 2015 Equité garçons-filles d’ici 2005 Etude sur le coût de la scolarisation primaire universelle Avril – Juin 2002 – Lancement de l’initiative Education pour tous/Procédure accélérée (Fast Track): 23 pays invités à participer Novembre 2002 : élection de 7 premiers pays Prochaine étape : mars-avril 2003

6 Fast Track : Les principes fondamentaux
Concerne le financement des deux objectifs Education du Millénaire (Scolarisation Primaire Universelle, en ciblant le taux d’achèvement, parité) : calcul du besoin de financement jusqu’en 2015 présentation d’une première requête sur Pré-requis pour être un pays éligible : 1/ Disposer d’un CSLP complet 2/ Présenter un plan éducatif “crédible” Dernière estimation WB : entre 10 et 15 milliards US$/an Bolivia Burkina Faso Honduras Mauritania Mozambique Nicaragua Niger Tanzania Uganda Zambia Albania Gambia Ghana Guyana Vietnam Guinea Ethiopia Yemen India Pakistan Bangladesh Nigeria D.R. Congo

7 Fast Track : Les principes fondamentaux
La procédure accélérée se fonde sur : le contexte général du secteur les questions d’apprentissage des élèves la nécessaire mobilisation de ressources pour stimuler la demande des populations difficiles et pallier l’impact du VIH/Sida Une approche empirique : s’inspirer des pays les plus performants (étude BM) pour mettre en place les réformes politiques qui amélioreront la production de services éducatifs. Dernière estimation WB : entre 10 et 15 milliards US$/an Bolivia Burkina Faso Honduras Mauritania Mozambique Nicaragua Niger Tanzania Uganda Zambia Albania Gambia Ghana Guyana Vietnam Guinea Ethiopia Yemen India Pakistan Bangladesh Nigeria D.R. Congo

8 Implications du Fast Track
Pays bénéficiaires : élaboration et mise en oeuvre de plan EPT crédible Mobiliser un volume adéquat de ressources nationales Réformer le système pour améliorer la production des services éducatifs Faire en sorte que les ressources nouvelles contribuent à améliorer l’efficience de l’ensemble des fonds pour l’EPT Associer les partenaires financiers au suivi de l’ensemble des dépenses Partenaires financiers: mobilisation des fonds Financer des dépenses courantes, pas seulement en capital Utiliser de nouveaux mécanismes de transfert des crédits, pas seulement par l’approche projet : Appui budgétaire Pool fund Ensemble : Cibler le suivi sur les résultats et Affiner le diagnostic pour améliorer la performance du secteur

9 Processus Fast Track Invitation à participer par le secrétariat de l’initiative Dépôt d’une requête Evaluation des bailleurs de fonds locaux (In country donors review) Sélection tenant compete de cette évaluation et d’une évaluation comparative des équipes de siège Prochaine échéance : mars-avril 2003

10 Éligibilité Fast Track
ANALYSE SECTORIELLE EDUCATION STRATEGIE SECTORIELLE NATIONALE DSRP Volets sectoriels : -éducation santé etc. PNA / EPT Requête FAST TRACK Mise en cohérence Évaluation des bailleurs : 1- Au niveau local 2- Au niveau des sièges Éligibilité PPTE Éligibilité Fast Track

11 Origine et utilisation du RESEN
Très peu d’analyses sectorielles solides et récentes dans les pays Initiative PPTE demande dans les DSRP des stratégies du secteur éducatif cohérentes Changement d’attitude de certains bailleurs de fonds : de l’approche projet à l’approche programme (optimiser l’utilisation des ressources nationales) Méthodologie développée par une équipe de la Banque Mondiale (Alain Mingat et Mamy Rakotomalala) Document NATIONAL (appui des partenaires techniques): Rapport d’État d’un Système Éducatif National Pas un document de recommandations mais un diagnostic factuel Équivalent existant dans le secteur santé (Banque Mondiale)

12 Le RESEN analyse et contextualise
Les scolarisations (chap 2) Les aspects financiers (chap 3) La qualité et l’efficacité interne (chap 4) L’équité (chap 6) Les questions de gestion (chap 7) Secteurs connexes Contexte macro-économique et démographique (chap 1) Contexte de l’emploi / Efficacité externe (chap 5) L’Approche est comparative aux niveaux national et international

13 Le RESEN propose un modèle de simulation
Permet de confronter les besoins et les ressources et ainsi mesurer le financement manquant nécessaire (Financial Gap) Permet de prévoir plusieurs scénarii avec différentes hypothèses sur: Les arbitrages budgétaires entre les différents niveaux La taille des classes Les différents statuts des enseignants (niveau de salaires) Le taux de transition du primaire au secondaire Le niveau des redoublements % des effectifs dans l’enseignement privé Permet d’aider le gouvernement à négocier avec tous les acteurs nationaux et internationaux et à valider ses grands arbitrages sur une bonne connaissance des tenants et aboutissants Est semblable au modèle Fast Track

14 Le RESEN Permet donc … De synthétiser les forces et lacunes du système et les écarts avec les grands objectifs De simuler pour planifier, expliquer et négocier les grands arbitrages du secteur avec tous les acteurs (groupes d’intérêts nationaux, société civile, bailleurs de fonds etc.) De hiérarchiser les priorités pour instruire la meilleure stratégie

15 Données nécessaires et sources potentielles
Le RESEN essaye d’optimiser l’utilisation des données existantes Fichiers scolaires Recensements et enquêtes ménages (enquêtes nationales et internationales de type MICS, DHS) Données financières : lois de finance, budgets exécutés, données de la solde, DAF des ministères, DRH Données sur l’emploi : Enquêtes de suivi professionnel, Données des agences pour l’emploi Données sur les acquisitions scolaires: résultats aux examens nationaux, enquêtes internationales de type PASEC, MLA, TIMSS

16 Les difficultés rencontrées ont trait à
La production de statistiques 1- Manque de compétences techniques dans les services 2- Manque de rationalisation dans la collecte 3- Absence de données clefs L’utilisation / l’exploitation des données 4- Manque de lien avec les utilisateurs 5- Manque de réponse aux différents niveaux d’évaluation 6- Consolidation Macro / Micro non systématique 7- Manque de confrontation entre différentes sources connexes.

17 1- Manque de compétences techniques
Les services de planifications des MEN ont très rarement des statisticiens Conséquences : - certaines sources sont exploitables avec beaucoup de difficultés ( ex : base scolaire RCI, cumulant cycle primaire préscolaire) - certains indicateurs très simples ne peuvent être calculés - nécessité de faire appel à des compétences extérieures pour l’AS Idem pour certains INS, direction financières…. Conséquences (exemples): - phénomènes d’âges ronds, fragilisant les indicateurs par âge - projections démographiques peu fiables, ne tenant pas compte de toute l’information disponible au niveau national et fragilisant fortement les indicateurs de scolarisation. ( ex.: Cameroun, Sénégal) - données macro et financières difficilement exploitables

18 2- Manque de rationalisation dans la collecte
Certains services collectent les mêmes données Ex : Au Tchad, triple collecte sur les données du personnel dans les établissements scolaires effectuées par DAPRO, DRH du MEN, rapport des inspecteurs (directions de l’enseignement de base et de l’enseignement secondaire)0 Conséquences : gaspillages de ressources, peu d’utilisation de ces données ne sachant quelles sources est la bonne. Certains services disposent de données complémentaires mais ne les recoupent pas Ex : En RCI, certaines informations sur le personnels enseignants et leur rémunération ont pu être confrontées à l’aide des services de la fonction publique, du budget et de la DRH du MEN

19 3- Absence de données clefs
Manque de données concernant l’emploi formel (enquête de suivi professionnel, enquêtes emplois, déclaration auprès des CNPS etc..) Manque de données sur le secteur informel Conséquence : Dommageable dans une optique de réduction de la pauvreté car il devient difficile de faire un bilan formation / emploi. Or : Les emplois guident les formations et non le contraire

20 4- Manque de lien entre statistiques et utilisateurs
Les statistiques devraient permettre l’élaboration d’indicateurs en lien direct avec des leviers de politiques éducatives Ex : en RCI, si peu de lien que le volet sectoriel du DSRP ne se basait sur aucune statistique pertinente  RESEN Ces indicateurs doivent être vulgarisés afin de faciliter et systématiser leur utilisation.

21 5- Manque de réponse aux différents niveaux d’évaluation /pilotage
L’actualité internationale cible certains indicateurs particuliers Ex : REM, dépenses publiques d’éducation en % du PIB, pourcentage du budget de l’éducation accordé au primaire…. Fast Track cible entre autre un REM de 40. Le pilotage National / local du système en nécessite d’autres Ex : Gestion administrative et pédagogique aux différents niveaux du système éducatif Un REM de 40 peut cacher des différences notables d’un pays à l’autre mais également d’une région à une autre.  D’autres indicateurs doivent être disponibles pour mieux cibler la bonne politique éducative

22 Des situations très variées d’un pays à l’autre

23 Des situations très diverses avec le même rapport élèves-maîtres moyen
REM Corrélation élèves/ enseignant % d’écoles avec REM supérieur à 70 PAYS A 50 0.9 5 PAYS B 50  0.4

24 6- Consolidation macro/micro non systématique
Les suivi de la dépense publique d’éducation se fait généralement en partant du niveau central (ministère) et en allant au niveau le plus fin possible (école). Un telle démarche peut être confortée par l’étude de la dépense partant de l’école et allant jusqu’au budget centralisé Idem pour le calcul des coûts unitaires, on peut - partir du budget national et arriver à un coût unitaire global - partir des grands niveaux d’éducation et recomposer un coût unitaire à partir des coûts de chaque sous secteur. Idem pour l’adéquation formation / emploi. - mise en cohérence des formation / emplois (données nationales) - calcul de rendements individuels / collectifs (enquêtes de suivi)

25 7- Absence de confrontation de sources disponibles
Plusieurs sources indépendantes permettent de conforter certains indicateurs Ex : Calcul du TBS primaire au Sénégal Mais peuvent montrer leur limites Ex : Calcul du TBS par région au Sénégal Autres exemple : analyse des facteurs influençant la qualité des apprentissages par l’utilisation d’enquêtes PASEC, et des fichiers de résultats aux examens nationaux. Source Nationale Source MICS 2000 69.4% 69%

26 Merci de votre attention.
Contacts Pôle de Dakar Pour tout complément d’information : Mathieu BROSSARD, Marie DORLEANS, Nicolas REUGE BREDA – 12 av LS Senghor – BP 3311 – Dakar Tél : Mél : Ou Merci de votre attention.


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