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Etude de la démarche architecturale de:

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1 Etude de la démarche architecturale de:
École Polytechnique d’Architecture et d’Urbanisme Atelier d’Architecture/3ème année-Gr.02 Etude de la démarche architecturale de: PETER EISENMAN

2 House I. Pavillon Baren Holtz, Princeton, New Jersey, États-unis(1967-1968)
Vues extérieures sur la House I Dans la House I, Eisenman étudie l’architecture comme une double structure. L’édifice est engendré à partir d’une spatialité dédoublée en partant d’une hypothèse arbitraire: ‘’le dédoublement ’’.

3 Le plan carré (ou le volume c’est-à-dire le cube) est le point de départ du processus de transformation. Le glissement selon un plan horizontal d’un autre volume de plan carré crée le dédoublement. Remarque: - les 2plans (ou les 2volumes) ne sont pas égaux =>Introduction des notions de dissymétrie et d’asymétrie. - Le dédoublement fait apparaître les structures qui, de ce fait, ne sont pas issues d’un mode constructif (mais plutôt formel).=> Notion d’architecture ex-nihilo (du néant ). - L’objet garde la trace de son histoire à travers la lecture du processus qui l’a engendré.

4 House II. Maison Falk Hardwick, Vermont,États-unis 1969-1970
Vues extérieures sur la House II

5 Remarque: - On notera ici l’importance donnée par Eisenman aux diagrammes, aux axonométries et aux maquettes.

6 House III. Maison Miller Lakeville, Connecticut, États-unis 1969-1971
Afin de faire apparaître la double structure, Eisenman effectuera une rotation à 45°. Malgré leur enchevêtrement, les volumes restent clairs et lisibles. La notion de dédoublement est accentuée par une gradation d’espaces intérieurs, d’espaces extérieurs et d’espaces intermédiaires. Cette gradation crée une opposition ombre-lumière. Vues extérieures sur la House III

7 Diagrammes expliquant le processus transformationnel
45°

8 Le processus est composé de 2 volumes:
Enchevêtrement des volumes et des différentes parties de la structure. Maquette explicative Le processus est composé de 2 volumes: -Premier volume: système de poteaux et de poutres. -Deuxième volume: plans opaques avec des percements. Remarque: Malgré l’apparente complexité, l’édifice ne contient aucune ambiguïté et ceci est dû au fait que les structures formelles soient assimilées à des structures constructives. Il sera dit à cet effet que ‘’La collision des formes provoque l’effet d’une force stable’’.

9 House IV. Falls Village, Connecticut,États-unis 1971
Eisenman travaille les volumes à l’aide de surfaces et de lignes

10 House VI. Frank's Residence Washington, Connecticut, États-unis 1975
Vues extérieures sur la House VI Maquette du projet

11 Peter Eisenman veut se détacher de toute tradition culturelle (référence au Minimal Art) et met en place de nouvelles structures de l’habitation en rupture avec les structures de l’habitation traditionnelle (référence au Constructivisme russe). Le choix des solutions apportées doit être vide de connotation symbolique, traditionnelle ou émotive. Son architecture se veut être autoréférentielle. Malgré cette volonté de rupture, Peter Eisenman reste attaché au modernisme ou au mouvement De Stijl. Le processus est une suite de décompositions formelles d'un cube (le cube est choisi comme postulat de départ). A travers la House VI, Peter Eisenman apporte un questionnement sur la fonctionnalité et la signification de l'architecture. La compréhension de l'objet n'est ni évidente, ni automatique. Cette complexité est à la recherche d'une structure profonde et d’une remise en question de certaines valeurs architecturales. Ceci par la disparition de "l'en haut" et de "l'en-bas", ou encore par l’utilisation de l'escalier inversé et de la colonne qui ne touche pas le sol.

12 Choix du cube C'est un choix délibéré de Peter Eisenman pour qui le cube est la forme la plus pure ou la plus dénuée de connotation culturelle. On notera que malgré son choix, le cube reste un élément fondateur de l’architecture notamment le modernisme des années 20. Le cube n'est donc pas nécessairement une forme pure, libérée d'une quelconque filiation culturelle. « On constate alors une impossibilité de partir d'une feuille blanche, c'est notre subconscient culturel qui nous pousse à faire nos choix formels. » Le processus de conception de la House VI est composé de la combinaison des méthodes suivantes: le développement de couches parallèles (la stratification verticale des espaces), la dilatation de l’espace, et l’agglomération des volumes.

13 Stratification verticale de l’espace
Dans les premières Houses of Cards, Peter Eisenman emprunte un principe de construction de l'espace largement utilisé par les modernistes, notamment par Le Corbusier dans la villa Stein à Garches. Une lamellisation de l'espace est obtenue grâce à la multiplication de plans verticaux et parallèles entre eux. Ces plans sont, soit matérialisés par des murs, soit par des alignements de colonnes. Les murs et colonnes sont décomposés afin de créer des sous-espaces qui traversent toutes les couches du bâtiment Dans la House VI, la stratification verticale est présente dès le début du processus. Les différents plans sont tous issus des deux premières paires de murs. Ce sont les déplacements de ces premiers murs qui créent donc l'ensemble des plans. Peter Eisenman rend le système plus complexe en utilisant deux directions perpendiculaires pour les déplacements. Au fur et à mesure de l'avancement du processus, les plans se décomposent de plus en plus, certains même ne sont plus clairement perçus comme faisant partie de la stratification de l'espace. C'est le cas pour les colonnes qui se décalent ou pour les volumes qui sont également issus de déplacements parallèles.

14 Passage d’une stratification horizontale à une stratification verticale de l’espace
Peter Eisenman est en rupture avec les archétypes classiques de l'architecture. Il refuse le principe qui voudrait que les objets architecturaux soient conçus comme étant la superposition de différents éléments les uns sur les autres formant ainsi des couches horizontales hiérarchisées. Ces éléments sont par exemple le soubassement, l'étage, la corniche, le bandeau, ... Dans la House VI, Peter Eisenman a inversé ce système pour passer à une stratification verticale de l'espace. Cette stratification vise à une perception de l'espace comme étant une suite de ruptures et de continuités plutôt qu‘à une hiérarchisation symbolique de l'espace. Influencé par le mouvement De Stijl, Peter Eisenman supprimera même l'idée qu'il puisse y avoir une direction privilégiée. « L’en-haut » n'est même pas différencié de « l'en-bas ». On peut tout de même noter que malgré ces considérations, la House VI est organisée fonctionnellement d'une manière classique.

15 Dilatation de l’espace
La House VI marque une rupture avec les premiers projets de Peter Eisenman. L'introduction de la pensée du mouvement De Stijl n'y est pas étrangère. Un des apports de cette introduction est la disparition des limites finies du bâtiment. On passe alors d'un système où les espaces étaient comprimés dans une boîte blanche vers un système spatial en dilatation. En effet, dans la House VI, à partir de ses quatre murs principaux, l'espace se dilate horizontalement vers l'extérieur. Cette expansion horizontale de l'espace est générée en suivant les règles établies par la stratification verticale de l'espace. Depuis n'importe quel endroit, le visiteur perçoit cette dilatation grâce aux murs et aux porte-à-faux fuyant vers l'extérieur. Il n'y a plus de limite entre intérieur et extérieur. La structure est tantôt à l'intérieur, tantôt à l'extérieur et ce, indifféremment.

16 Agglomération des volumes
La conception des volumes apparaissant dans les derniers stades du processus de conception peut être envisagée au départ de deux points de vue. Le premier est que la conception de ces volumes s'inscrit dans la continuité du processus. Ils sont issus des déplacements de plans verticaux. Le second point de vue serait de dire que Peter Eisenman a introduit un autre système, celui de l'agglomération d'objets les uns sur les autres. En effet, si on considère les quatre plans de base comme étant la seule structure du bâtiment, les volumes n'ont pour rôle que de créer des espaces autour d'un tronc commun. En allant dans ce sens, la House VI marque une transition vers la House X ou la villa Guardiola. Ces projets postérieurs à la House VI résultent plus d'une addition de masses et d'une décomposition de celles-ci que d'une décomposition de plans.

17 Diagrammes explicatifs

18 House X. Bloomfield Hills, Michigan,États-unis 1975-1978
Maquette de la HouseX Dans la House X, Eisenman a adapté sa géométrie abstraite à un site très pentu. House X se démarque du processus comme développement d’une image préconçue et du processus comme série de transformations. Le processus sera appelé ‘’décomposition’’. Cette maison s’appuie sur plusieurs notions formelles fixées dès le départ: l’interaction des grilles incomplètes, les séquences, les progressions dans la relation des quatre éléments. Axonométrie de la maison dans le site

19 Façades Plan du RDC

20 House XIa Le ‘’el’’ tridimensionnel

21 Dans ce projet, le thème de l’inversion est poussé dans ses retranchements.
« En effet le sol est considéré comme un plan de partage entre deux cubes situés l’un en-dessus, l’autre en-dessous. » Par ce procédé Eisenman niera les différences entre le bas et le haut, le dehors et le dedans, l’arrière et l’avant qu’il considérera comme des ‘’ségrégations’’. Il utilisera dans ce projet son fameux cube à quartier manquant. Ce cube porte en lui toute une symbolique: - Il contient en lui-même la positivité (le cube) et la négativité (le quartier manquant). - La forme du ‘’el’’ tridimensionnel implique un va-et-vient entre les 2 pôles, manifestant l’instabilité de l’objet. Les dualités entre les immatériaux et les matériaux, entre la transparence et l’opacité, entre les vides et les pleins, entre les différents traitements des parois, participent à cette instabilité.

22 Fin d’Ou T Hou S Fin d’Ou T Hou S révèle le procédé à l’état pur de la décomposition. La forme du volume à quartier manquant (le ‘’el’’ tridimensionnel) témoigne de ce que Eisenman appelle « l’instabilité de l’objet ». L’objet est considéré comme une étape d’un processus interminable que d’autres architectes peuvent poursuivre (référence à la ‘’déconstruction’’ philosophique de Derrida). Le nom de cette maison ‘’Fin d’Ou T Hou S’’ est donné par un rébus, pouvant donner lieu à de nombreux commentaires sur le projet: « Si l’on lit le titre, d’une seule traite, il invite le lecteur à la découverte: «trouvez la maison!»(Find out [the] house). La réponse est incertaine, ce que suggère le son ou  («Où?» Ici «ou» là). ‘’el’’ tridimensionnel

23 L’expression marque aussi un aspect anecdotique
L’expression marque aussi un aspect anecdotique. Le projet de la maison a été terminé à la «fin d’Août». De nombreux commentaires peuvent surgir du rapprochement de mots associés : la fin (d’une série de projets) avec la finesse (d’une analyse); l’intériorité (in) et l’extériorité (out) sans distinction; la maison (house) et son enveloppe (housse); l’assertion et l’incertitude (doute). » De ce fait on pourra avoir tout un discours sur le projet, sans même le voir en représentation (axonométrie ou maquette). Diagrammes explicatifs

24 Logements,bureaux, jardin public et musée, Koch et Friedrichstrasse(Check Point Charlie) ,Berlin-Allemagne

25 Dans ce projet, Eisenman pose sur un îlot traditionnel de Berlin deux grilles légèrement décalées: « la grille la plus basse se raccorde aux bâtiments existants. Ses murs sont construits en briques berlinoises et symbolisent les fondations du Vieux-Berlin. L’autre grille superposée à la première, prend pour origine la grille de Mercator et symbolise la globalité de la ville de Berlin ».    Ce principe -qui sera appelé plus tard principe d’ ’’Archéologie fictive’’- permettra à Eisenman de créer une nouvelle ville tout en tenant compte de son histoire et de ses origines sans avoir recours aux représentations classiques (symboles et signes iconiques). Par ce procédé Eisenman exprimera aussi son refus de l’idéologie du Mur et prônera l’ouverture de Berlin sur le Monde.

26 Centre d’Arts visuels de l’Université de l’Ohio (Wexner Center), Columbus, Ohio, États-unis ( ) Armory Building Passages piétons alignés sur la grille de columbus Oval Grille correspondant au tracé du campus

27 Programme Le programme est assez complexe et doit prendre en compte un grand nombre de fonctions et les mettre en relation. Le bâtiment doit être doté d’une image et d’une forme permettant d’accueillir des œuvres d’art traditionnelles et de développer des activités expérimentales technologiquement avancées. Site Le site est divisé en 2 terrains adjacents aux caractéristiques bien différentes: -Terrain1: appelé « l’Oval », il symbolise le centre du campus universitaire. -Terrain2: se trouvant au Nord de la 15ème Avenue, il contenait à l’origine un parc de stationnement. Tour de l’Armory Building reconstruit quasiment identique à l’original. Détail de l’Armory Building ‘’déconstruit’’

28 Interprétation des données par l’équipe d’Eisenman
L’équipe d’Eisenman a choisi de relier les 2 terrains en créant un nouveau passage piéton et ceci après avoir fermé la 15ème Avenue au trafic automobile. Sur le site 2 grilles ont été superposées : Grille1 : correspondant à la ville de Columbus (notons que le passage piétonnier est dans la même direction que cette grille). Grille2 : correspondant au tracé du campus. Ces 2 grilles symbolisent les liens qu'entretiennent le campus de l'université et la ville de Columbus. Comme dans le projet de Berlin (précédemment traité), le concept « d’Archéologie fictive » est utilisé pour démontrer ou tisser des liens entre 2 éléments.

29 L’Armory Building (ancien dépôt d’arme qui se trouvait sur le site) a été reconstruit à l’identique à l’entrée du campus. Il abrite l’accès principal aux galeries d’exposition, les bureaux de l’administration et un restaurant. Cet édifice «affirme la signification d’une trace territoriale, importante mais perdue, sur le campus de l’État de l’Ohio et renvoie l’Université à une partie de sa propre histoire ». Il sera fortement critiqué et sera traité « d’ironie citationnelle ». De là se dessinera une rupture nette avec la ‘’Cardboard Architecture‘’. Eisenman dira à ce propos : «Nous avons utilisé le site comme un palimpseste* : un lieu pour écrire, raturer et réécrire l’histoire». Poteau suspendu en l’air Vue sur l’intérieur *Palimpseste :manuscrit sur parchemin ou sur papier dont on a effacé l'écriture pour le réutiliser.

30 Aronoff Center for Arts and Design, Université de Cincinnati, Etats-Unis (1988-1996)
Prise de vues extérieures

31 Prise de vues extérieures

32 Prise de vues intérieures

33 Objectif  Unifier les quatre écoles existantes de l'Université de Cincinnati, celle du département de Design, d'Architecture, d'Art et d'Urbanisme à l'aide d'espaces communs. Ces espaces communs sont censés encourager l'interdisciplinarité entre les quatre disciplines, ainsi que rendre le campus plus accessible au public. L'objectif plus symbolique du projet est de changer nos modes d'éducation. Selon Peter Eisenman, « les disciplines créatives, telles que le design et l'architecture, doivent assumer un rôle plus important dans notre société dominée par l'information. Il faut arrêter d'enseigner la création du superficiel et de l'inconséquent ». Le Aronoff Center devra exprimer une prise de position par rapport à la société actuelle et par rapport à la position de modèle que doit devenir le design.

34 Programme Extension comprenant une bibliothèque, un théâtre, un studio, un laboratoire de photo, un auditorium, des classes, une cafétéria ainsi que des bureaux pour l'administration du département. Superficie :25000m² accueillant 2000 étudiants et chercheurs. Coût global: 35 millions de $. Coupe Site Le site à faible déclivité contient un bâtiment en zigzag préexistant datant des années 1960.

35 Conclusion La forme de l'extension se développe à partir de sa situation : elle découle de la topographie du site, du bâtiment existant et de « l'Esprit de l'université » (la rencontre et le rapprochement entre les disciplines et l’ouverture au public) . Les courbes du terrain et le mouvement en zigzag du bâtiment existant s'additionnent en créant un espace multifonctionnel dynamique. Ce hall, qui réunit de façon symbolique les différentes disciplines, sert de surface d'exposition. Maquette du projet

36 Matérialisation du projet 
Transition dans les travaux d’Eisenman : Dans ce projet Eisenman adopte un modèle matériel (paradigme géologique, la sédimentation, la structuration molle, la liaison rigide) remplaçant ainsi le modèle sémiotique (c'est-à-dire un modèle se rapportant à l’étude des systèmes de signes et de significations). Eisenman dépasse les conceptions structuralistes de l’espace et développe une méthode quasi-organique (méthode inspirée des sciences de la nature et principalement de la géologie). Ce modèle matériel procède par diffusion et intégration : - La matière est le véhicule du processus produisant la différence (ex :la propagation de la chaleur). - La matière est le moyen d’assurer une élasticité infinie et une capacité illimitée à résoudre les forces externes qui agissent sur elle [c'est-à-dire que la matière peut intégrer de nouvelles propriétés] (Ex : le chaleur change la matière). De là, la matière sera considérée comme étant active, dynamique et créatrice.

37 Processus d’élaboration :
1- Chaque forme est associée à un champ de tremblement. 2- Création d’un mouvement de bascule : La forme des bâtiments existants est utilisée pour créer ce mouvement de bascule. Cette forme est accentuée par l’incrustation d’une armature en équerre (qui fait office d’ancre à l’extension). Cette structure émet des pulsations créant ainsi un mouvement en forme d’éventail (ceci est le premier champ de tremblement) La tension entre l’orthogonalité de la pulsation régulatrice et la dérive décousue et désaxée des bâtiments est exacerbée plutôt que résolue. Ceci crée le mouvement de bascule (avant/arrière) qui donnera une certaine viscosité au milieu et supprimera ainsi la rigidité des structures originelles qui deviennent colloïdales.

38 Cette onde comprend 3 types de mouvements :
3- La combinaison ‘’Bascule-dérive-pulsation‘’ forme une seule onde en mouvement à la périphérie du premier champ de tremblement (l’éventail). Ce deuxième système* constitue un ‘’lissage‘’ hyperbolique des formes irrégulières de la première forme. Mais cette onde est beaucoup plus complexe qu’il n’y parait. Elle est considérée comme une série de strates empilées (c'est-à-dire comme un dépôt d’alluvions ou de flysch** ). Cette onde comprend 3 types de mouvements : 1/ pulsations propagées en longueur donnant l’impression d’un ver de terre. 2/ mouvement horizontal programmé par une ‘’équation-bascule‘’ c'est-à-dire que chaque segment se déplace par rapport à un autre comme cela se produit dans une chaîne Markov (processus de Markov ou notion d’événements en chaîne). 3/pulsation déformante en spirale (en forme de torque). * Notons que le terme système se rapporte à un réseau de composants mobiles en constante évolution (les uns par rapport aux autres en temps réel) **Flysch: Roche produite par la désagrégation de roches anciennes, cette roche est caractérisée par le changement rapide de faciès.

39 La superposition de ces 3 mouvements provoque la fibrillation
Cette fibrillation suggère que : - chacune des perturbations s’actualise d’une façon indépendante. - l’édifice soit poussé au maximum de sa déformation créant ainsi ‘’un bassin attracteur‘’. La notion de matière active, dynamique et créatrice est ainsi concrétisée.

40 ‘’FIN‘’


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