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Album photo par Guillard
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Le circuit de 40Km au sud de la Loire.
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Le Château de Saint Jean des Mauvrets et sa chapelle, Notre Dame de Lorette.
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Hélène Benzacar est partie de l’idée que cette chapelle est consacrée aux femmes.
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L’origine de la chapelle remonte à 1517.
Cette année-là, François de Chateaubriand, seigneur de la châtellenie de Saint Jean, rapporte de son pèlerinage à Loreto une tuile de la Santa Casa, la maison où la Vierge Marie reçut l’Annonciation. Selon la légende, des anges transportèrent en 1294 la Santa Casa dans cette petite ville italienne avant que Nazareth ne soit conquise par les Sarrazins. Pour abriter la relique, F. de Chateaubriand fonde sur sa propriété une chapelle dédiée à Notre-Dame de Lorette. Inutile de chercher la fameuse tuile car à la Révolution les républicains l’auraient jetée dans la Loire.
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A gauche de l’autel, sont accrochés, parmi des chapelets et des bouquets de mariées, des chérubins et quelques ex-voto anatomiques en cire que l’on déposait autrefois pour la réalisation de vœux de fécondité ou de guérison.
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L'artiste a installé neuf plaques de marbre blanc, gravées aux prénoms des femmes rappelant les ex-voto déposés par celles-ci.
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Neuf caissons lumineux ont été disposés par l'Artiste……...
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..représentant neuf portraits de femmes aux prénoms bibliques (Judith, Bethsabée, Salomé, Rébecca, Bérénice, Suzanne, Marie, Elisabeth, Hélène)
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Depuis plusieurs années, Hélène Benzacar utilise des animaux empaillés dans sa pratique photographique. Figés dans la pose, préservés des ravages du temps, ils rappellent l’immobilité de la photographie (ici une abeille naturalisée).
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L'Eglise Saint-Pierre à Charcé Saint Elier (XI ème -XVI ème -XIX ème siècles.)
L’église paroissiale fut construite au XIème siècle, alors que la paroisse de Charcé était placée sous la dépendance de l’Abbaye de St- Florent- lès- Saumur depuis le Xème siècle. Elle était alors dédiée à St Georges.
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Au XVème siècle l’église changea de vocable et s’appela Saint-Pierre car la Paroisse revint au chapitre de Saint-Pierre d’Angers qui en resta Seigneur jusqu’ à la Révolution. Après avoir connu les aléas communs à toutes les églises de cette époque, elle fut rachetée par les communes de Charcé et Saint Elier en 1811.
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On pénètre dans l’église par une petite porte surmontée d’un préau, « le porche des lecturés », sous lequel on diffusait autrefois les informations, ordonnances ou règlements de justice. A quelques mètres, sur une petite marche, on plaçait le « diffuseur d’informations ».
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Le Chemin de Croix fixé aux murs de l'église fut la source de travail de Gilles Devaux.
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Les œuvres de Gilles Devaux
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La commune de Vauchrétien se situe dans la forêt de Brissac et de Beaulieu qui appartenait au fief de Brissac et à son domaine jusqu’à la révolution.
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La Paroisse remonte probablement au XIème siècle et son église Notre Dame, placée autrefois sous le patronage de St Laurent, fut sans doute commanditée par les Seigneurs du lieu.
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On entre par une jolie porte à accolade en pierre coquillière (XVème) .
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Fresque du XIIIème représentant la fuite en Egypte, qui se trouvait à gauche de l’Arc Triomphal. Mise au jour en 1974, elle fut replacée dans la première travée* du chœur
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L'œuvre de Nina Ponthou (licière).
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Travailler sur une pièce destinée à être exposée dans une église m'a fait penser aux liens que les hommes essayent de tisser avec l'au-delà. J'ai eu envie de travailler sur ce lien métaphysique, un lien que je voulais le plus naturel possible, un lien qui ressemblerait aux racines d'un arbre. Ces racines qui lient les hommes entre eux ici-bas et nous relient au ciel. Elles symbolisent un attachement et un appel à prendre de la hauteur. Nina Ponthou.
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Plusieurs chapelles en Anjou sont dédiées à Notre-Dame de la Salette
Plusieurs chapelles en Anjou sont dédiées à Notre-Dame de la Salette. Cette dévotion mariale est liée à l’apparition de la Vierge devant deux jeunes enfants qui gardaient quelques vaches sur la montagne de la Salette en Isère. C’était le 19 septembre 1846.
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Il était une fois Hurbinek, l’enfant sans nom d’Auschwitz
Il était une fois Hurbinek, l’enfant sans nom d’Auschwitz. Hurbinek ne savait ni marcher ni parler. Dans le camp il n’était l’enfant de personne. Jusqu’à ce que Henek, un adolescent de 15 ans, le prenne sous son aile, le cache, le nourrisse, l’habille, le protège comme un père bienveillant. Et qu’une nuit, Hurbinek dans son sommeil articule un mot.
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Marie Auger a choisi d’évoquer ce peuple des pèlerins à travers des enfants. Ce sont des enfants éternels d’hier et d’aujourd’hui. Ils sont porteurs de questions, de souffrances, de rêves et d’espoirs, que leurs attitudes et leurs expressions laissent deviner. La chapelle transfigurée par leur présence, semble être là pour les accueillir et les protéger.
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Les œuvres de Marie Auger (Peintre sculpteure).
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Les œuvres de Marie Auger.
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L'église, à l'origine une chapelle du XIIème siècle, dépendait de l'abbesse du Ronceray d'Angers et de la paroisse de Saint-Lambert-du-Lattay.
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L'ancienne église bien que restaurée en 1831, manquait de solidité
L'ancienne église bien que restaurée en 1831, manquait de solidité. En 1856 la nef qui menaçait de s'écrouler fut sacrifiée mais l'on conserva le chœur converti en chapelle.
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Les peintures murales de la voûte en cul-de-four qui avaient disparu sous un badigeon révélèrent vers 1940 un arbre de Jessé sur fond bleu, constellé d'étoiles d'or, du XVe siècle. Puis les travaux entrepris en 1979 firent apparaître la peinture primitive d'un Christ en majesté dans une mandorle, encadré par les symboles des quatre évangélistes : l'homme ailé de saint Matthieu, le lion de saint Marc, le taureau de saint Luc et l'aigle de saint Jean. Le Christ porte une tunique ocre et le manteau rouge de la Passion.
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La statue de Notre-Dame de Beaulieu est une Vierge-à-l'Enfant en bois de cormier qui date du XVIIIe siècle.
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La frise de tableaux proposée évoque les vitraux qui manquent à ce chœur.
La proposition colorée de Vincent Lemaitre semble ainsi restituer un patrimoine disparu, et constitue une forme d’hommage aux maitres verriers qui pendant des siècles ont éclairé nos églises des plus vives couleurs. Cette frise s’inscrit avec modestie, de façon à la fois lumineuse et poétique, dans ce décor qui appelait une création à la fois forte et simple. Elle favorise ainsi une méditation douce prenant appui sur les couleurs du temps."
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Les œuvres de Vincent Lemaitre
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Logis de la Constantinière (XVIIème siècle)
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Chapelle de la Constantinière
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Chapelle de la Constantinière
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Le retable du début du XVIIIème siècle dont les boiseries habillent le chœur* est décoré au-dessus de la corniche d’un fronton représentant des angelots, encadré par des pots-à-feu et surmonté d’une croix. Tous les éléments sculptés de ces boiseries sont dorés à la feuille d’or.
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Le tabernacle* et le tableau au-dessus de l’autel avaient disparu dès les années 1930; afin de remplacer le tableau, les propriétaires ont fait l’acquisition d’une toile peinte datée de année de fondation de la chapelle- toujours avec le souci de respecter l’histoire du lieu, d’un lieu devenu «L’histoire d’une vie» pour ces passionnés du patrimoine.
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Présentation de l'œuvre par PASCALE MESSINA
Traverser ce jardin clos tapissé de lierre et piqueté de roses, comme un prélude à cette découverte intime et recueillie du lieu, coiffé d’un firmament étoilé sur fond de nuit, vers lequel nous levons les yeux cherchant peut être dans ce fouillis d’étoiles, une bienveillance céleste comme un baume sur nos vies blessées…
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Présentation de l'œuvre par PASCALE MESSINA
Nos vœux forment un chœur de louanges, Ex-voto fragiles et vibrants. Découvrir sur l’autel la vierge qui d’un pas décidé nous présente son enfant comme un salut, un feu d’amour et de compassion, tabernacle de nos espoirs et de nos quêtes, cage diaphane de nos pensées voletantes…
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Présentation de l'œuvre par PASCALE MESSINA
Se tourner enfin vers ce grand Christ sans croix, qui s’élève vers le ciel entraînant avec lui toute la création : des racines encrées dans l’humus aux ondes agitées d’un ballet frénétique de poissons argentés, pour finir dans la vibration légère de l’air, traversée d’une nuée de passereaux.
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Les jardins de la Constantinière.
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Le potager de la Constantinière.
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Photos : Jacqueline et Guy
Animateur : Dominique Photos : Jacqueline et Guy Montage : Guy Juillet 2014
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