Système de Gestion de Bases de Données (SGBD)

Présentation au sujet: "Système de Gestion de Bases de Données (SGBD)"— Transcription de la présentation:

1 Séance 4 – 24/11/2005 Communication des organisations Outils de travail « collaboratif » & Groupware

2 Système de Gestion de Bases de Données (SGBD)
Rappels… Point de départ : Système de Gestion de Bases de Données (SGBD) centralisation des données partage de l’information simplification de la gestion de l’information sauvegarde intégration au Système d’Information

3 Les besoins en communication au sein d ’une organisation
Le travail en équipe sur des documents communs Le partage « structuré » de l’information La gestion et la conduite de projet Faire face à la multiplication des acteurs et intervenants (maître d’œuvre, maître d’ouvrage, sous-traitant,…) Capitaliser sur les savoir-faire, l’expérience etc.

4 Avertissements... Si on écoute les éditeurs de logiciels ou de solutions ...ils sont tous destinés au travail collaboratif Garder son esprit critique & d’analyse face aux commerciaux

5 Une définition du travail collaboratif
« Un outil de travail collaboratif est un système informatique qui aide plusieurs utilisateurs à œuvrer pour atteindre un objectif commun et qui fournit une interface pour un environnement partagé »

6 Distinction travail collaboratif / groupware
Groupware : terme « marketing » début années 80 Désigne l’ensemble des applications informatiques plus ou moins intégrées qui visent à faciliter le travail en groupe Exemples logiciels clients-serveurs, plate-formes de messagerie : Domino (Lotus), Exchange-Outlook (Microsoft),… Calendrier partagé, gestionnaire de tâches, partage de fichier, messagerie Milieu années 90 : arrivée d’Internet Outils accessibles via le WEB Véritable essor des outils de travail collaboratif (espace de travail) Groupware : outils de type « logiciel » Outil de travail collaboratif : accessible sur navigateur

7 Les principaux domaines d’application
La communication au quotidien… Travail collaboratif au sein d’un projet Formation et e-learning Relation client (GRC et CRM) Jeux interactifs …

8 Typologie des applications de travail collaboratif
Mémoire (stockage) Mettre en commun des documents du groupe Capitaliser sur des informations et des connaissances Routage (circulation) Organiser le flux des documents dans l’espace et le temps Transmission et diffusion Échange (coordination) Coopération Interactions entre les acteurs

9 1. Les solutions orientées « mémoire »
Les applications « bibliothèques » => mémoire sémantique (culture générale du groupe) GED (Gestion Électronique de Document) Processus de gestion et de valorisation de l’information Les applications « kiosques » => mémoire épisodique (enregistrement d’expériences, capacité à se rappeler des événements particuliers) Lettre d’information (newsletter) Revue de presse

10 2. Les solutions orientées « routage »
Workflow Production / Administratif / Ad hoc / Coopératif (BPM) Exemple : demande de congé à valider JBPM : (puis DEMO) Applications de messagerie Mode PUSH (on reçoit) L’une des applications les plus anciennes de l’Internet Le cœur du groupware Réception, diffusion et stockage d’information

11 3. Les solutions orientées « échange »
Applications de suivi Agenda de groupe, planning partagé Suivi de dossiers ou de clients Application de suivi de projet (Projet, phase, tâche, Jalons, affectation des ressources, proximité avec des outils gestion de projet,…) Applications de conférences Conférence Forum Brainstorming, rédaction coopérative, réunion virtuelle

12 Autres axes d’analyse Applications PUSH / PULL PUSH : je reçoit l’information PULL : je consulte l’information Application synchrone / asynchrone : en temps réel ou en différé

13 Chaîne de valorisation de l’information
Repérer Maintenir et faire évoluer Acquérir, extraire l’info Classer, indexer Analyser, interpréter Partager, diffuser Enrichir Préserver Appropriation, partage Valoriser

14 Les fonctionnalités du travail collaboratif
Gestion de contenu Partager des documents Cycle de publication et chaîne de valorisation de l’information Workflow, outil de versionning (CVS) GED (Gestion Électronique de Document) Moteur de recherche Gestion de projet Calendrier et agenda partagés Gestionnaire de tâches (to do list, avancement,…) Workflow d’alerte

15 Les fonctionnalités du travail collaboratif
Gestion de l’expertise annuaire des compétences et des profils déclaration (explicite) suivi automatique (implicite) Collaboration discussion asynchrones (forum, , mailing list, conférence téléphonique,…) discussion synchrone (chat et instant messaging) web conferencing et partage d’application (webex, VNC,…) système de notification (alerte ou invitation par , workflow…)

16 Les nouveaux outils du « collaboratif »
Blogues / blogs Sites web associés à un auteur Journal de bord en ligne WIKI Sites web éditables avec possibilité de modifier le contenu à la volée Permet de rédiger des documents collectifs Webcasting Diffusion de présentation vidéo à plusieurs personnes Peer to Peer (P2P) Échange de fichiers

17 Les limites du travail collaboratif
« Forcer la technologie » quand le contact direct ou le coup de fil est plus approprié (Cf. machine à café) Syndrome de l’éléphant qui accouche d’une souris (Cf. la mode du KM) La messagerie unique lieu de stockage de l’information Trop d’info tue l’info Manque de rigueur et de formalisation Les usages de l’organisation sont « traditionnels » L’accompagnement du changement (formation, prévenir l’échec, cibler les freins,…) De nouvelles contraintes pour les employés

18 ... Travail collaboratif Une collaboration "est un travail en commun ; un travail entre plusieurs personnes qui génère la création d’une œuvre commune " (le petit Robert, 1995). Dans le domaine de l’enseignement/apprentissage, le travail collaboratif entre apprenants et/ou enseignants se concrétise le plus souvent par un travail d’équipe, "l’équipe étant perçue comme étant un groupe de personnes interagissant afin de se donner ou d’accomplir une cible commune, laquelle implique une répartition de tâches et la convergence des efforts des membres de l’équipe " (Alaoui, Laferriere, Meloche, 1996 : p 4). Dans les cas où la cible commune d’un travail d’équipe est un but ultime à atteindre nous parlerons de travail coopératif visant l’apprentissage, lequel peut se définir comme suit : "l’apprentissage coopératif est une activité d’apprentissage en groupe, organisée de façon à ce que l’apprentissage soit dépendant de l’échange d’informations socialement structuré qui s’effectue entre les apprenants du groupe. C’est également une activité dans laquelle l’apprenant est responsable de son propre apprentissage et motivé pour participer à l’apprentissage des autres." (Lopriore, 1999 : p 134). Les tâches coopératives en formation "supposent l’assignation d’une tâche collective exercée en groupe restreint, exigeant un maximum d’interactions entre pairs, sans la supervision directe et immédiate du formateur" (Carré et Caspar, 1999 : p 298). Ainsi, contrairement à une collaboration, une coopération n’engendre pas nécessairement la création d’une œuvre commune. Nous parlerons de travail collaboratif lorsque la cible commune du travail d’une équipe consiste, outre le travail en groupe, en la réalisation d’un produit final. Par travail collaboratif, nous désignons donc, d’une part, la coopération entre les membres d’une équipe et, d’autre part, la réalisation d'un produit fini : Internet apparaît alors comme l’outil " adéquat " pour mettre en oeuvre des pédagogies "collaboratives". En effet, ses fonctionnalités de communication et de consultation sont utilisées dans le travail collaboratif pour la partie coopérative. Les possibilités qu’offre Internet en termes de création permettent la réalisation et la publication d’objets communs, le plus souvent des sites : les deux moments du travail collaboratif sont servis par le même outil. Ainsi, dans notre typologie, la distinction que nous faisons entre la communication et le travail collaboratif se situe en termes d’objectifs. Communiquer est une fin en soi et ne donne pas forcément lieu à des réalisations visibles par tous alors que, dans un projet collaboratif, le but est de créer quelque chose en groupe et notamment en communiquant. La communication est alors un moyen et non pas une fin en soi. On peut recenser 3 types d’applications relevant du travail collaboratif

19 Proximité et confusion
KM / Knowledge Management / Gestion des savoirs et des connaissances (Principes et stratégies) Portail d’entreprise (le point d’accès central) Groupware et outil de travail collaboratif Gestion de contenu / CMS (Content Management System) Internet / Intranet / Extranet (la technologie du support)

20 Implémenter une solution de travail collaboratif
De quoi a-t-on besoin ? Quels sont nos besoins fonctionnels ? Tester et comparer des solutions existantes Évaluer les risques Coût / Délais / Qualité Gestion de projet Accompagner le changement (formation, communication,…)

21 Les offres du marché Espace projet (Mayetic,…) Collaboration en temps réel (IRC, Webex,…) Localisation d’expertise (annuaire spécialisé) Groupware (Lotus Notes, MS Exchange, …) Groupe de discussion (egroupe Yahoo,…) Publication collaborative (CMS, SPIP, Wiki…) Portail et communauté Moteur Workflow (W4, Agilium, Axemble,…)

22 Des outils en pratique fr.groups.yahoo.com dotproject (suivi de projet open source en PHP) puis démo First Class (groupware très « basique ») puis demo site Moregroupware :

23 Quelques plateformes gratuites de travail collaboratif sur le WEB
Mayetic Village : Yahoo Groups : fr.groups.yahoo.com Kanari (logiciel) : Online Agora : Contact Office : Affinitiz :

24 Biblio et ressources « Les plates formes de travail collaboratif », in It-Expert, N°48, Mars-Avril 2004 « Développement collaboratif. Technologie, outils et bonnes pratiques », in L’Informaticien, N°20, Novembre 2004