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L’UE et l’Afrique dans la mondialisation. Investissements Directs Etrangers Investissements que l’on réalise d’une économie à une autre dans le but d’avoir.

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1 L’UE et l’Afrique dans la mondialisation

2 Investissements Directs Etrangers Investissements que l’on réalise d’une économie à une autre dans le but d’avoir un intérêt durable et qui prend cette appellation dès le moment ou 10% du capital de l’entreprise est acquis. But = Exercer une influence sur l’unité dans laquelle on investit. Ces derniers sont variables en Europe d’un pays à l’autre (déficit, hausse)

3 VARIATION DES IDE EN EUROPE Selon la CNUCED, année 2010 - 2011 Déficit des IDE en 2010 en : - France - Danemark - Pays-Bas - Suède Hausse des IDE en 2011 en : - Belgique ( 89 Milliards de $ ) - Royaume-Uni ( 54 milliards de $ ) - Allemagne-France ( 40 milliards de $ ) - Italie & Espagne(29$ milliards chacun) - Pologne ( 15 milliards de $ )

4 Traité transatlantique de libre-échange TAFTA, TTPI, PTCI = projet d’accord de libre-échange entre UE et EU Traité transatlantique = projet commercial entre UE et EU qui soulève des critiques (agriculture, protection des données personnelles/des investisseurs) Ce projet d’accord commercial suscite des critiques dans le domaine de l’agriculture : Traité de libre échange transatlantique : Menace ou Opportunité pour l’UE ?

5 L’accord de Cotonou, 2000 Accord de Cotonou conclu en 2000 pour une durée de 20 ans : véritable tournant dans les relations de coopération entre l’UE et les pays Rôle : Associer dialogue politique et aide au développement, assurer la participation de la société civile et des acteurs économiques dans le processus de développement, réformer le système financier. But : Instaurer des zones de libre échanges entre l’UE et les pays ACP 76 pays signataires

6 Dossier du coton Africain à l’OMC Après le plaidoyer du Président Compaoré, devant le comité des négociations commerciales de l’OMC, l’autorité se mobilise pour la défense de la proposition de négociation. le problème d’intégration des pays africains dans le système commercial multilatéral. Menace qu’en cas de non prise de cette négociation : appliquer le droit de justice 16 au 19 Juin 2015 à Ouagadougou : conférence conjointement organisée par la commission de l'UEMOA, la BCEAO et BOAD permettre aux Etats membres de l'UEMOA de s'approprier toutes les initiatives développées en faveur de la défense et de la promotion de la filière coton, et d'élaborer une stratégie commune pour assurer la défense et la promotion de cette filière.

7 o Décision finale de la conférence : Mettre en œuvre la stratégie de défense et de promotion de la filière du coton de l’UEMOA. o Aux niveaux national et régional : la poursuite des efforts internes pour améliorer la compétitivité de la filière cotonnière africaine o Au niveau international : toutes les dispositions d'ordre politique, financier, technique et organisationnel devraient être prises pour une participation effective et efficace aux négociations à l'OMC. Le contenu de la proposition de négociation devrait être renforcé par l'élaboration d'un argumentaire économique, politique et juridique qui garantit la défense technique de la soumission à toutes les étapes et dans toutes enceintes. Dans la perspective de la mise en œuvre des différentes initiatives, la BOAD a engagé en 2003 la réalisation d'une étude, actuellement en cours, pour la création d'un fonds d'investissement dédié à la filière coton, la mise en place d'un mécanisme spécial de financement par la BOAD en faveur des investissements pour la transformation du coton-fibre Un forum d'investisseurs est mise en place mobiliser les ressources requises pour la mise en œuvre de l'agenda pour la compétitivité et la valorisation de la filière.

8 Sommet du G8 à Evian : De nouvelles promesses à l'Afrique au milieu d'un bilan global mitigé. le Sommet du G8 à Evian qui s’était tenu du 1 er au 3 juin : volonté de placer les problèmes de l'Afrique au cœoeur des priorités du G8. Et, encore une fois, l'Afrique s'est prêtée au jeu des grandes puissances en espérant que les promesses faites de longue date seront en fin tenues. Les chefs d'Etat du G8 : réaffirmé leur engagement en faveur de l'objectif d'un accès en franchise de droit pour les produits en provenance des PMA, dont 34 des 49 sont situés sur le continent africain, ainsi que leur volonté d'améliorer l'efficacité et la facilité d'utilisation de leurs programmes commerciaux préférentiels respectifs. Ils ont demandé à cet effet à leurs responsables du commerce d'examiner comment mettre en œuvre cet objectif. Cet engagement n'est cependant en rien une nouveauté… les Etats du G8 ont touché du doigt un problème majeur sur lequel tous attendaient une position claire

9 en reconnaissant que les chocs affectant le marché des produits de base & conditions météorologiques sont un défi pour les pays les plus pauvres en général, et pour les États africains en particulier. Le plan d'action du G8 pour l'Afrique s’est borné à rappeler l'importance d'une insertion plus poussée de l'Afrique au commerce mondial

10 Le G8 et le NEPAD NEPAD : Le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique Dans leur Plan d'Action pour l'Afrique, les partenaires du G8 ont réaffirmé un large partenariat avec des pays de toute l'Afrique, fondé sur : - leurs engagements à traiter les problèmes fondamentaux liés à la dignité humaine et au développement - La conclusion des partenariats renforcés avec les pays africains dont les résultats reflètent les engagements pris dans le cadre du NEPAD ( qui manifestent notamment une volonté politique et financière d'assurer la bonne gouvernance, d'investir dans leur capital humain et d'appliquer des politiques qui stimulent la croissance économique et soulagent la pauvreté ) Au final, ceux qui attendaient des avancées majeures sur les dossiers les plus importants pour l'Afrique ont été déçus.

11 Pour reprendre le problème d’intégration de l’Afrique dans le système commercial international … Le président sénégalais Abdoulaye Wade a d'ailleurs compris ces enjeux de subventions en annonçant : " Nous autres Africains sommes persuadés que nous pouvons produire de la qualité, mais la liberté du commerce est uniquement acceptable si elle se fait honnêtement, ce qui n'est pas le cas. Notre coton est l'un des meilleurs du monde, mais comment voulez-vous que nous survivions face à du coton fortement subventionné? C'est tout l'enjeu des discussions que nous menons actuellement au sein de l'OMC. "

12 L’Afrique… Grande perdante de l’OMC Les pays riches mesurent leurs forces sans faire de place aux pays du Sud «Les pays développés ont une fois de plus échoué à tendre une main solidaire aux pays pauvres». C’est ainsi que la Cosatu, une puissante organisation syndicale sud-africaine, a réagi à l’accord de Hong Kong, à l’issue de la conférence ministérielle de l’OMC. Le syndicat sud-africain a qualifié cet accord d’«échec abyssal» Ce syndicat a fait une comparaison très dure pour parler de la situation économique de l’Afrique par rapport aux pays riches, estimant que «nous restons dans la situation où il vaut mieux être une vache au Japon, subventionnée à hauteur de 7 dollars par jour, qu’un être humain en Afrique». Sur ce continent et ailleurs, on le sait, les plus pauvres vivent souvent avec un dollar par jour.

13 Les aides à la production restent inchangeables Dès 2006, Le coton Africain aura accès au marché américain, sans taxe ni droit de douane. Les Africains ont donc obtenu que des aides à l’exportation du coton. Ces aides représentent 250 millions de dollars par an. En revanche, rien ne change pour les aides à la production dont bénéficient les grands concurrents des producteurs africains. Les pays industrialisés, qui avaient promis de se pencher sur le dév. des plus pauvres, ont fait un autre geste en proposant d’ouvrir leurs marchés, sans taxes, sans droit de douanes, et sans quotas, aux 49 pays les moins avancés, essentiellement des Africains. L’ouverture concerne 97% des marchandises africaines. Chiffre au premier abord impressionnant, mais les 3% restants sont cruciaux. On y trouve du textile africain, dont les Américains veulent limiter les importations. Le Japon, de son côté, tient à protéger son marché du riz. Etats-Unis et Japon notamment, continueront de bloquer à leurs frontières les produits venant des pays les plus pauvres de la planète.

14 Une petite ouverture & de grandes pressions Les négociations qui se sont poursuivies depuis 2006 font en sorte que les pays du Nord vont pousser leur avantage dans les secteurs de l’industrie et des services des pays du Sud. C’est la contrepartie de cette percée des 49 pays les plus pauvres sur les marchés des pays développés. «Le monde en développement a été forcé d’avaler la pilule amère d’une ouverture radicale au secteur des services», estime Action Aid. L’association estime que le secteur de la distribution (notamment le géant américain Walmart et le français Carrefour) sera le grand gagnant de ce processus. «Les pays feront face à de fortes pressions pour permettre l’arrivée des hypermarchés. Les perdants seront les plus pauvres qui vendent dans les pays en développement leurs produits dans la rue, les marchés et les petits commerces». L’Afrique représente actuellement 1% du commerce mondial, un chiffre à comparer avec la population du continent qui représente 14% de la population mondiale.

15 Le revers de médaille du coton Quatre pays d’Afrique de l’Ouest ont donc réussi à faire «monter» le dossier du coton dans la négociation mondiale sur l’ouverture des marchés ( 1 round – conf OMC) Les spécialistes de l’économie africaine se demandent si un jour les pays riches accepteront de laisser de la place aux pays les plus pauvres. «En fait, libéraliser de manière spectaculaire le commerce mondial sert les intérêts des pays riches, et pas uniquement à court terme», résumait un éditorialiste du quotidien sud-africain Business Day.

16 «Une manifestation d’unité est encourageante, un coup de semonce » A Hong Kong, les pays du G20, groupe mené par de grands pays émergents comme le Brésil et l’Inde, ces pays du G20 ont annoncé qu’ils allaient avoir une «approche commune», à l’avenir, avec les pays en développement du G90, comprenant notamment les pays ACP (Afrique-Caraïbes-Pacifique) et les pays les moins avancés (PMA), cette action de définissant comme une manifestation d’unité encourageante et un coup de semonce. Même si la plainte déposée par le Brésil contre le coton américain a eu des conséquences favorables pour les pays africains producteurs, il semble difficile de croire que les grands pays du Sud, dont le développement explose actuellement, parviendront à entraîner dans leur sillage les plus petits. Ils n’auront pas la carrure pour concurrencer les grands, qu’ils soient ou non dans leur camp

17 L’Afrique : Un continent riche en ressources, pauvre en exploitation BILAN Merci de votre attention.

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