Animation pédagogique => durée 6 heures Martigues Cycle 1

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Transcription de la présentation:

Animation pédagogique => durée 6 heures Martigues 2017 2018 Cycle 1 l’objectif d cette animation sera de vous donner des pistes possibles pour vos classe de maternelle pour enseigner la compréhension. Donner à chaque élève le moyen accéder à des images mentales pour raconter à son tour un récit lu. Les boites à images : favoriser la compréhension des élèves Présenter un dispositif à manipuler pour aider la compréhension des livres de jeunesse => le 14 février Créer ce dispositif sur un album => le 18 avril Animation pédagogique => durée 6 heures Martigues 2017 2018 Cycle 1

Boite à images Boite à histoires Boite à raconter Boite de lecture Sac à album Sac à histoire Sac à raconter Plusieurs noms pour un même dispositif dont l’objectif est favoriser la compréhension

Boite à images Un dispositif pédagogique pour Apprendre à comprendre avec des albums… des albums, c’est une pratique s’appuyer sur des textes de fiction, adaptés à la compréhension des enfants. L lecture d’album est un schème professionnel comme pratique évidente aujourd’hui. Quels sont les objectifs d’une lecture partagée ? développer l(imaginaire enfantin-avoir une culture commune partagée)

Le nuage de vos représentations Sur le post-it : 3 mots qui définissent pour vous COMPRENDRE en maternelle

1. Introduction

Enquête PIRLS 2016 Programme international de recherche en lecture scolaire

EVALUATION DE « l'aptitude à comprendre et à utiliser les formes du langage écrit que requiert la société » - prélever des informations, - faire des déductions, - interpréter et assimiler, - examiner et évaluer le contenu. TEXTES LITTERAIRES TEXTES INFORMATIFS

Réponses du ministère de l’EN Dédoublement des CP Création d’un Conseil scientifique pluridisciplinaire Formulation de recommandations pédagogiques Renforcement de la formation continue Travail accru sur le vocabulaire en maternelle => « l’école du langage ». - 1 h/semaine spécifiquement consacrée à la lecture dans le cadre des APC ; - Au collège, 2 h/semaine sur la compréhension en lecture en AP / Programme « Devoirs faits ».

Chiffres clés du CNESCO (conseil national de l’évaluation scolaire) En 2015, 40 % des élèves sont en difficulté à la sortie de l’école primaire (CEDRE 2015). À l’entrée en 6e, un élève sur cinq a des difficultés liées à la connaissance de mots du langage courant (stable depuis 2007) (Depp, 2015). 40,5 % des élèves de 15 ans ne maîtrisent pas la lecture ;

..\..\année 2017 2018\evals CP\CONCAT_EVAL_CP_2017_MARTIGUES_VF.xlsx Evaluation CP Sept 2017 ..\..\année 2017 2018\evals CP\Eval Nat - Français début CP 2017 - Livret eleve.pdf ..\..\année 2017 2018\evals CP\Eval Nat - Math début CP 2017 - Livret enseignant.pdf ..\..\année 2017 2018\evals CP\CONCAT_EVAL_CP_2017_MARTIGUES_VF.xlsx

PLAN DE L’ANIMATION 1- Introduction / Nuage de mots pour définir la compréhension 2. Brainstorming : on remue nos méninges et nos pratiques 3. Nuage de mots synthèse 4- Apports théoriques : Qu’est-ce que comprendre ? 5- Quels sont les objectifs pour la compréhension ? les IO 6. Mise en situation : lectures 1 et 2 / Impressions => plue value PAUSE CAFE 15 min 7- Un dispositif pédagogique pour aider à la compréhension en maternelle => La plus value de la boite à images 8- Description de la boite à histoires 9- Appuis théoriques du dispositifs en vidéo 10 – Les attentes : les vôtres/ les nôtres 11-Conclusion

2.C’est vous qui commencez… avec un brainstorming

INTERROGEONS NOS PRATIQUES Brigitte TPS/PS Philippe.R PS Adeline PS Alexandra PS Myriam brigade Marie Angélique PS Marlène PS/MS Sophie PS/MS Evelyne PS/MS Pascale PS/MS Denise MS Cécile MS Hélène MS Béatrice PS/MS Valérie PS/MS Elodie MS/GS Julie MS/GS Emilie MS/GS Gaëlle MS/GS Blandine brigade Julie GS Chantal GS Véronique GS Matthieu ULIS Philippe.R brigade TROIS PISTES DE REFLEXIONS Comment enseignez-vous la compréhension avec des albums ? Outil ? Démarche ? Organisation ? Quelles sont les difficultés de vos élèves dans la compréhension ? Qu’attendez-vous de cette formation de 6 heures ?

3. Résultats du nuage de vos représentations sur COMPRENDRE EN MATERNELLE

4. Apports théoriques : Qu’est-ce que comprendre ?

DEFINITION DU MOT COMPRENDRE Retour aux sources VIENT DU MOT LATIN « COMPREHENDERE » = mettre ensemble Comprendre Prendre et mettre ensemble

=> c’est l’implicite Les inférences = ce sont les blancs, ce qui n’est pas dit littéralement => c’est l’implicite François pédalait très vite pour aller au travail .  François est à vélo (il pédale) François est en retard (il va très vite) C’est le matin (François va au travail)

Pour être un bon « compreneur », il faut : Des compétences narratives en réception 2) Des compétences narratives en production 3) Des compétences lexicales et syntaxiques 4) Des compétences inférentielles Source : Sylvie Cèbe Narramus éditions Retz

Des compétences narratives en réception - Mettre en relation les énoncés entendus avec ses connaissances antérieures => se fabriquer une représentation mentale en intégrant les informations nouvelles aux informations anciennes = Se « fabriquer un dessin animé »

Se « fabriquer un dessin animé » - en liant les évènements - en comprenant leur enchainement - en repérant les moments de l’histoire - en les mémorisant

Des compétences narratives en production C’est le rappel de récit qui « est une activité langagière qui consiste pour un enfant à dire avec ses mots à lui, à l'oral, ce qu'il a compris d'une histoire qui lui a été lue » Mireille Brigaudiot 2000

Des compétences lexicales et syntaxiques - connaissance au niveau du vocabulaire : les mots / les expressions => mémorisation => prononciation - connaissance au niveau de la structure des phrases (texte écrit lu = langage écrit scriptural)

Des compétences inférentielles -tirer des conclusions qui ne sont pas explicitement écrites - construire l’identité psychologique et sociale des personnages, leurs intentions, leurs affects, leurs systèmes de valeurs et leurs connaissances => savoir s’interroger sur les états mentaux des personnages : imaginer ce qu’un personnage pense, ressent, croit …

La qualité des futurs apprentissages en lecture est fortement influencée par l’acquisition des compétences initiales en compréhension de textes entendus Conférence de consensus sur l’enseignement de la lecture organisée par le CNESCO en 2016 (Conseil National d’Evaluation SCOlaire)

Liliane SPENGER CHAROLLES (intervention à la 2ièm Controverse Descartes Nov 2017 « Apprendre à lire entre code et sens, entre labeur et plaisir » présidé par JM Blanquer) Les enfants ayant des difficultés de compréhension ne s’expliquant ni par le décodage ni par des problèmes de compréhension orale sont des cas exceptionnels. => environ 1% sur un échantillon hétérogène => et 1,5% sur un échantillon d’enfants issus de milieux sociaux défavorisés)

Comprendre : des processus cognitifs de haut niveau •Construction d’une représentation mentale globale et cohérente du texte (Kintsch, 1998) •Processus cognitifs spécifiques dédiés (inférences,…) Contrairement au décodage qui est un processus cognitif de faible niveau.

5. Quels sont les objectifs pour la maternelle en compréhension : éléments de réponses en résonance aux textes officiels. dans les incontournables de l’animation : il y a les textes officiels sur lesquels on s’appuie et qui sont quelques fois sources de brouillages des pistes

Bo n°2 du 26 mars 2015 p6 Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions Le mot « langage » désigne un ensemble d’activités mises en oeuvre par un individu lorsqu’il parle, écoute, réfléchit, essaie de comprendre et, progressivement, lit et écrit. L’école maternelle permet à tous les enfants de mettre en oeuvre ces activités en mobilisant simultanément les deux composantes du langage : ‐ le langage oral : utilisé dans les interactions, en production et en réception, il permet aux enfants de communiquer, de comprendre, d’apprendre et de réfléchir. C’est le moyen de découvrir les caractéristiques de la langue française et d’écouter d’autres langues parlées. ‐ le langage écrit : présenté aux enfants progressivement jusqu’à ce qu’ils commencent à l’utiliser, il les habitue à une forme de communication dont ils découvriront les spécificités et le rôle pour garder trace, réfléchir, anticiper, s’adresser à un destinataire absent. Il prépare les enfants à l’apprentissage de l’écrire-lire au cycle 2.

Bo n°2 du 26 mars 2015 p7 Écouter de l’écrit et comprendre En préparant les enfants aux premières utilisations maîtrisées de l’écrit en cycle 2, l’école maternelle occupe une place privilégiée pour leur offrir une fréquentation de la langue de l’écrit, très différente de l’oral de communication. L’enjeu est de les habituer à la réception de langage écrit afin d’en comprendre le contenu. voici la partie traitée dans ces 3 heures, C'est l’objectif central de l’école maternelle, c’est pourquoi les documents d’accompagnement préconise un enseignement régulier et progressif. Les chercheurs de leur coté s'accordent à dire que l'enfant qui comprend un récit est celui qui est capable de repérer et de prendre en compte le lien de causalité entre les événements d'une histoire (les enfants âgés de 5 ans devraient en être capables). 5 niveaux d'habileté dans la reformulation par les enfants : - identifier un ou plusieurs personnages - identifier et restituer des événements disjoints d'une histoire - produire un début d'organisation (en fonction du problème, des épisodes, de la fin) - structurer le récit dans le temps (chronologie) - identifier et restituer les relations causales

Comment ? L’enseignant prend en charge la lecture, oriente et anime les échanges qui suivent l’écoute. La progressivité réside essentiellement dans le choix de textes de plus en plus longs et éloignés de l’oral. que signifie oriente et anime ?

Ce qui est attendu en fin d’école maternelle BO N°2 du 26 mars 2015 p9 - S’exprimer dans un langage syntaxiquement correct et précis. Reformuler pour se faire mieux comprendre. - Pratiquer divers usages du langage oral : raconter, décrire, évoquer, expliquer, questionner, proposer des solutions, discuter un point de vue. - Comprendre des textes écrits sans autre aide que le langage entendu. et en fin de cycle voici les attendus sélectionnés qu’il nous faudra valider.

Sylvie Cèbe Docteur en psychologie de l’enfant et de l’adolescent, maître de conférences en Sciences de l’Education à l'université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand. Elle enseigne également à l'ESPE Clermont-Auvergne. Partie 3 : « Tous les enfants naissent cablés pour parler et comprendre : les résultats de la recherche, les programmes » de 00:46 à 00:52 http://centre-alain-savary.ens-lyon.fr/CAS/education-prioritaire/ressources/theme-1-perspectives-pedagogiques-et-educatives/lire-ecrire-parler-pour-apprendre-dans-toutes-les-disciplines/narramus

Brigaudiot 2000 «  Si on veut apprendre aux tout jeunes enfants à s’intéresser à l’écrit (les mots, les phrases, le texte) et à faire un usage analogue des mots et des images, il faut dans un premier temps les empêcher d’utiliser le moyen de représentation le plus à leur portée c’est-à-dire l’image » Pourquoi ? « On sait que tous les jeunes enfants, y compris les plus performants, sont incapables d’attention partagée »

VAN DEN BROEK 1996 Lors des « lectures partagées » si le texte et l’image sont présentés simultanément, l’attention des jeunes enfants est plus captivée par l’information visuelle attractive que par l’information linguistique importante sur le plan sémantique. « Si on veut apprendre aux élèves à s’intéresser à l’écrit et à faire un usage analogue des mots et des images, il faut dans un premier temps les empêcher d’utiliser le moyen de représentation le plus à leur portée, c’est-à-dire l’image. Faute d’être clair sur cette question, on croit mettre les élèves au travail sur l’écrit alors que l’image le rend inutile » Pour faciliter la mémorisation de la représentation mentale verbalisable du texte lu, il est préconiser d’introduire le récit (lu puis raconté ou vis et vers ça) avant de présenter les illustrations. D’où la compétence attendue de fin de maternelle : « comprendre un texte sans autre aide que le langage entendu »

6. Mise en situation => Première mise en situation : Lecture de l’histoire en montrant les illustrations => Deuxième mise en situation : raconter avec le dispositif de la boite à images

Vos impressions à noter par binôme en cherchant les plus-values de la deuxième mise en situation

7. Plus values du dispositif La boite à images. La boite à histoires 7. Plus values du dispositif La boite à images La boite à histoires La boite à raconter La boite de lecture Le sac à album Le sac à histoire …. raconter et mimer ou jouer permet à davantage d’élève de se fabriquer l’image mentale de l’histoire, puis ensuite de la comprendre. Pour le maitre et pour l’élève ce dispositif permet la médiation par manipulation, et permet aussi la différenciation. Assurer la permanence des personnages, des actions, de l’énonciation : en cas de marionnettes de doigts on sait qui dit quoi. elle permet à l’enfant e pouvoir faire dialoguer, rejouer l’histoire se la raconter …se l’approprier.

La « Boîte à Histoire » est un dispositif qui permet aux élèves d’apprendre à comprendre - Elle aide à comprendre le lexique - Elle contribue au développement des compétences langagières et au goût des mots, - Elle outille le rappel de texte pour aller vers une narration autonome, - Elle favorise les passerelles entre l’oralité et l’écriture (raconter / lire), - Elle aide à la mémorisation (chronologie, moments-clés…), - Elle stimule la curiosité et le goût des histoires - Les « Boîtes à Histoires » permettent également de garder la mémoire des textes rencontrés. - Elle suscite la prise de parole chez les enfants.

Pourquoi la boite à images ? BO n°2 du 26 mars 2015 2. Des modalité spécifiques d’apprentissage 2.1 Apprendre en jouant 2.2 Apprendre en réfléchissant et en résolvant des problèmes 2.3 Apprendre en s’exerçant 2.4 Apprendre en mémorisant et en se remémorant

raconter « La sieste de Moussa » Ecoutons Charlotte MS raconter « La sieste de Moussa » https://www.youtube.com/watch?v=oZQ17xT4k9E

8. Description d’une boite à histoire

Que contiennent les « Boîtes à Histoires » ? une histoire parfois plusieurs albums un album différentes versions de l’histoire d’origine ou à d’autres qui lui font écho

=> pour aider à installer la permanence du personnage Que contiennent les « Boîtes à Histoires » ? les personnages, parfois représentés plusieurs fois, dans différentes postures, différents costumes, à divers moments de l’histoire => pour aider à installer la permanence du personnage

Photocopies couleur plastifiées

Peluches

Dessinés et coloriés sur du carton

Peints sur des galets

Des marionnettes de doigt

Des personnages codés par des formes et des couleurs

Des masques

Des playmobiles

Des cartes personnages

Que contiennent les « Boîtes à Histoires » Que contiennent les « Boîtes à Histoires » ? - les lieux, des images, des jeux, des indices de compréhension…. Le contenu des boîtes est variable en fonction des obstacles à la compréhension et de l’âge des enfants.

Comment utiliser la boite à histoire Comment utiliser la boite à histoire ? Plusieurs scénarios possibles pour les aider à « tenir toute l'histoire dans leur tête »

Scénario 1: 1. Lire pour recueillir les premières représentations 2 Scénario 1: 1. Lire pour recueillir les premières représentations 2. Raconter pour expliquer les mots 3. Expliciter avec la boite 4. Faire reformuler par les élèves pour construire le sens général 5. Relecture de l’album avec les images, pour apprécier l’album et le plaisir de lire.

Scénario 2: 1. Construire un horizon d’attente avec la boite 2. Lire 3 Scénario 2: 1. Construire un horizon d’attente avec la boite 2. Lire 3. Raconter 4. Faire raconter sans ou avec boite 5. Relecture de l’album avec les images, pour apprécier l’Album et le plaisir de lire.

Scénario 3: 1. Raconter l’histoire avec la boite 2 Scénario 3: 1. Raconter l’histoire avec la boite 2. Lire puis montrer les images 3. Faire raconter 4. Relire 5. Relecture de l’album avec les images, pour apprécier l’Album et le plaisir de lire.

Scénario 4: 1. Montrer les images et les faire décrire 2 Scénario 4: 1. Montrer les images et les faire décrire 2. Raconter avec la boite 3. Lire : sans montrer les images pour intérioriser le déroulement 4. Faire raconter 5. Relecture de l’album avec les images,

Et toutes sortes d’autres scénarios que vous inventerez…. Laissez parler votre liberté pédagogique.

Qui fabrique la boite à images ? Selon le scénario choisi, c’est : Soit l’enseignant en amont Soit les élèves dans un projet transversal en lien avec le domaine « Agir, s’exprimer, comprendre à travers les activités artistiques » Soit en co-production aussi : la boite est commencé par l’enseignant et enrichit par les élèves

Et après ? - Mettre les boites à raconter dans la bibliothèque à portée des élèves pour qu’ils se redisent les histoires. Permettre aux enfants de ramener la boite à histoire dans leurs familles…. Si les parents ne viennent pas à l’école c’est un peu de l’école qui ira dans les familles.

9. Les apports des chercheurs pour appuyer ce dispositif

Alain Bentolila Linguiste français Professeur à l’Université Paris Descartes Auteur d’une vingtaine d’ouvrages concernant l’illettrisme des jeunes adultes et l’apprentissage de la lecture et du langage chez l’enfant Fondateur du ROLL le dictionnaire mental =>de 6:22 à 15:55 https://www.youtube.com/watch?v=KkjOl72uzfI

Dans les programmes de maternelle le mot explicite apparait 22 fois Viviane BOUYSSE Inspectrice générale de l’éducation nationale spécialiste de l’école maternelle Rendre explicite l’apprentissage notamment les temps de lecture Dans les programmes de maternelle le mot explicite apparait 22 fois https://www.youtube.com/watch?v=iDGpXbb2wEo

sur le sens de l’histoire, le vocabulaire (mots et expressions) Les activités de « lecture partagée » sont d’autant plus efficace que l’enseignant attire l’attention de l’enfant : sur le sens de l’histoire, le vocabulaire (mots et expressions) et les illustrations Cela favorise un accès à des connaissances du monde physique et social qui vont bien au-delà de celles qui se développent dans les conversations de la vie quotidienne. Blewitt 2009 / Ganea 2008 / Justice et Ezell 2002

Des outils tout prêts

5 min pour réécrire 3 mots qui définissent ce que veut dire « comprendre à la maternelle » Résultat à la prochaine animation le mercredi 18 avril ET 5 min pour compléter l’affiche « Vos attentes pour la prochaine animation => Le mercredi 18 avril »

10. Nos attentes de formateurs Mise en œuvre d’une boite à raconter avec un scénario à choisir Filmer ou enregistrer vos élèves avant/après la boite à raconter (=> on se propose aussi de venir vous aider à filmer) Retours sur cette expérience

11. EN CONCLUSION Travailler sur le lexique avant de raconter l’histoire Raconter avant lire Lire sans image Utiliser des dispositifs qui mettent en jeu le corps ( boite à image / masque / marionnette /dictée de geste…) Faire reformuler épisode après épisode puis l’histoire entière Réutiliser le vocabulaire (décontextualiser et recontextualiser) Faire raconter l’histoire entière par 1 seul enfant