LA VEILLE INFORMATIONNELLE Dorothée DELAPORTE Myriam EL OUAFADI Mathias OLIVERO Amandine PODRINI Constance POZZETTO
PLAN Définition de la veille informationnelle Son utilisation Les différentes couleurs de l'information Comment réaliser une veille informationnelle Les erreurs à ne pas commettre
1. Définition de la veille informationnelle « Processus continu et dynamique faisant l’objet d’une mise à disposition personnalisée et périodique de données ou d’informations, traitées selon une finalité propre au destinataire, faisant appel à une expertise en rapport avec le sujet ou la nature de l’information collectée » Dictionnaire de l'information, S.Cacaly
La veille informationnelle sert à : - Récolter des informations 2. Son utilisation La veille informationnelle sert à : - Récolter des informations - Comprendre > C'est donc la base d'un projet Trois différents types de veille Commerciale Sociétale Stratégique
3. Les différentes couleurs de l'information Dans une veille informationnelle, nous traitons l'information comme une donnée brute. Afin de mieux la classifier, celle ci est répartie en trois couleurs différentes : Information libre, destinée au grand public 80% Information qui relève d'un travail intellectuel 15% Information protégée, obtenue illégalement 5% Pull Pull Pull Les chiffres représentent l'importance de la couleur par rapport à l'information mondiale, on voit ainsi que la plus répandue est l'information blanche, accessible à tout le monde.
Deux manières de recueillir l'information La méthode pull consiste à tirer l'information jusqu'à nous, à aller la chercher là où elle se trouve, par exemple sur des sites internets. La méthode push consiste à pousser l'information jusqu'à nous, à programmer nos recherches selon certains critères pour que l'on reçoive directement les informations dont on a besoin, par exemple grâce aux newsletters.
4 – Comment réaliser une veille informationnelle - Pour commencer, bien délimiter et définir le sujet,le thème (exemple : le troc etc.). Savoir ce que nous recherchons exactement, qu’elles sont les questions que nous nous posons… - Définir les moyens qui sont à notre disposition pour faire la veille (contacts, possibilité d’avoir internet, bibliothèque,…). Ainsi que les outils et les supports de recherche afin de trouver la meilleure information, il existe différents types d’outils : internet, les livres, les magazines, la presse… tout type de support est utile et aussi en allant sur le terrain, faire des interviews, aller à des conférences... - Une fois que l’on a recueilli, à l’aide de tous les canaux possibles, les informations nécessaires à notre sujet, nous devons les traiter et les analyser. On les hiérarchise afin de voir celles qui nous seront le plus utile.
- Ensuite, on les recoupe pour faire émerger d’autres informations “secondaires”. Cela va nous permettre d’avoir un autre rapport avec notre projet. Exemple pour le projet sur le troc : après des recherches sur internet, les blogs, les forums, les sites etc. les soirées troc de vêtements n’existent pas encore en région PACA : nous n'aurons donc aucune concurrence. - Faire une synthèse de toutes les informations pour voir ce qu’il en ressort et ce que nous en avons appris. Cela nous permet de revenir sur certains points de vue et de modifier les préjugés que l’on pouvait avoir sur le sujet. - Pour finir, savoir exploiter les informations à bon escient en ne prenant que les données nécessaires au projet.
5 – Les erreurs à ne pas commettre - Mauvaises informations, obsolètes, non fiables, non pertinentes - Manque d’informations, sources non indiquées - Ne pas cibler, sélectionner les informations : trop d'information tue l'information parallèlement, ne pas faire preuve de curiosité et d’ouverture d’esprit - Ne pas maitriser la pertinence de l’information et ne pas la hiérarchiser - Confondre la veille informationnelle avec de l'espionnage ou encore avec le travail du documentaliste 5 – Les erreurs à ne pas commettre