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Théories et politiques, les coûts et les avantages de l’intégration

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Présentation au sujet: "Théories et politiques, les coûts et les avantages de l’intégration"— Transcription de la présentation:

1 Théories et politiques, les coûts et les avantages de l’intégration
Module 2 : Théories et politiques, les coûts et les avantages de l’intégration économique. Professeur Moustapha Kassé Mardi 19 Janvier de 08h30_12h30

2 Plan du module Introduction: Qu’est ce que la théorie? I/ La théorie économique face au phénomène de l’intégration II/ La conviction que le libre-échange crée la richesse III/ Le processus d’intégration à travers le schéma de Balassa IV/ Les politiques commerciales et sectorielles pour accélérer l’intégration V/ La politique monétaire et la question des ZMO VI/ Avantages et couts de l’intégration

3 Introduction: Qu’est ce que la théorie?
Théorie entendue: énoncés permettant l'interprétation, la généralisation des résultats et 1'encadrement de la recherche. Elle est structurée comme  : un ensemble de concepts qui sont des invariants fonctionnels. Elle est un ensemble d’ hypothèses testables dans un système inductif et déductibles dans un système d6ductif. Elles doivent être validées et devraient alors aboutir à des théorèmes.

4 La valeur des théories repose sur 3 exigences que lui imposent les 3 pôles de la pratique scientifique : exigence de cohérence imposée par le pô1e morphologique, exigence de pertinence imposée par le pôle épistémologique, exigence de testabilité et de falsifiabilité qu'impose le pôle technique. L’intégration repose sur un ensemble de considérations à prétention théorique et une conviction.

5 I/ Les théories économiques de référence à l’intégration
L’analyse se fait à partir de la théorie des avantages comparatifs Ricardo, HOS La nouvelle théorie du commerce international de Krugman L’ approche de J.Viner des effets de création et de détournement de trafic L’Analyse dynamique met l’accent sur la concurrence, l’élargissement des marchés, les économies d’échelle.

6 Plusieurs conceptions émergent, à côté des anciennes, opposant
l’intégration par la production planifiée par les États (conception volontariste) à l’intégration par le marché (conception libérale) : l’intégration liée aux règles (conception institutionnelle), l’intégration suscitée par les acteurs en position asymétrique et liée à des dynamiques territoriales (conception territoriale) et l’intégration politique

7 LE RENOUVELLEMENT DES THÉORIES ET DE L’INTÉGRATION RÉGIONALE
L’analyse de la régionalisation est renouvelée dans le cadre de l’économie institutionnelle mettant en avant le rôle des organisations et des règles, de la nouvelle géographie économique ou de la nouvelle économie internationale en concurrence imparfaite et de l’économie nternationale. L’espace régional est ainsi un lieu de recomposition des pouvoirs publics et privés et des stratégies des acteurs nationaux et internationaux dans un contexte de mondialisation.

8 II/ La conviction que le libre- échange crée la richesse
Utilisation plus efficace des ressources. Les avantages comparatifs permettent aux pays et aux acteurs de se procurer à l’extérieur des biens qu’ils leur reviendraient plus chers de produire eux-mêmes. Existence d’une corrélation positive entre le libre-échange et la croissance. Selon certains critères qui déterminent le degré d’ouverture d’une économie, des auteurs tentent de montrer que la croissance a été deux fois plus élevées dans les pays en voie de développement libre-échangistes que dans ceux qui pratiquent le protectionnisme.

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10 La constitution d'une zone d'intégration économique peut être considérée comme une source de croissance économique par le libre échange qu'elle instaure. Celui-ci est profitable aux consommateurs, il stimule la concurrence, fait pression sur les prix à  la baisse, favorise l'innovation. Le vaste marché permet des économies d'échelle. Une intégration est également favorable à  la croissance : la stabilité des règles de change, la monnaie unique réduisent l'incertitude et les coûts.

11 Les conclusions du fonctionnement effectif des modèles d’intégration
Les principales issues des théories économiques et l’évaluation des certaines expériences conduisent aux conclusions qui suivent: Le degré d’intégration est fonction de la taille des économies, de la diversification de leurs structures de production et de consommation diversifiées et de leur proximité géographique. Les créations d’échanges commerciaux sont d’autant plus probables que les demandes des pays sont élastiques, 3) Les gains dynamiques en termes d’économies d’échelle sont limités pour les pays à marché étroit,

12 4) Les risques de divergence sont d’autant plus grands que les pays ont de faible niveau de revenu, de faibles avantages comparatifs par rapport à la moyenne mondiale et sont dans les trappes à pauvreté 5 Les accords de libre-échange ont un coût important en termes de baisse des recettes fiscales pour les pays dont les recettes sont assises sur les droits de porte 6) Les accords régionaux Nord/Sud peuvent t contribuer à l’attractivité des IDE

13 Les ACR créent-ils du commerce?

14 Les ACR détournent-ils le commerce ?

15 III/ Le processus d’intégration à travers schéma de Balassa
Des pays qui s'intègrent sur le plan économique se proposent de constituer et passent par les quatre étapes de Bella Balassa : Le libre échange et leur généralisation Union douanière Marché commun Union économique et monétaire

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17 IV/ Les politiques commerciales et sectorielles pour accélérer l’intégration
Les politiques sectorielles et les instruments les politiques commerciales TEC la définition des règles d’origine les infrastructures au marché les politiques sectorielles pour créer un Division Régionale du Travail Cadre de convergence et les règles de stabilité

18 La question du Tarif Extérieur Commun (TEC)
Désigne le tarif douanier appliqué par les pays membres d'une union douanière vis-à-vis des pays non membres. Le TEC distingue une union douanière d'une zone de libre-échange. Dans le cas d'une zone de libre-échange, chaque pays demeure libre de déterminer son propre tarif vis-à-vis du reste du monde. Dans le cas d'une union douanière, il faut harmoniser les positions douanières, sur chaque position, déterminer un tarif commun.

19 V/ La politique monétaire et la question des Zones Monétaires Optimales.
La politique monétaire: une forme poussée de coopération telle qu’une monnaie unique accèlère les échanges internationaux et améliore les performances économiques et la production par tête d’habitant La transition vers l’union monétaire peut être progressive ou rapide. Dans le premier cas, les politiques macro-économiques de l‘union doivent convergent. MUNDEL( 2002) préconise l’adoption d’une monnaie commune pour l’Afrique et souligne les avantages d’un renforcement de la stabilité macroéconomique.

20 La théorie des ZMO: définition et critères d’optimalité:
Théorie des Zones monétaires Optimales et le triangle d’incompatibilité de Mundel La diversité des Zones monétaires: Chocs asymétriques, ajustement monétaire et taux de change La théorie des ZMO: définition et critères d’optimalité: La mobilité des facteurs L’Intégration budgétaire L’intensité des échanges extérieurs Des structures de production qui minimisent les risques des chocs asymétriques

21 L’indépendance de la politique monétaire et le triangle d’incompatibilité de Mundel.
Autarcie financière Indépendance de la politique financière Fixité des taux de change Dépendance de la politique monétaire Flottement des taux de change Libre mouvement des capitaux financiers Bretton Woods Euro/Dollar US ● France*Euroland

22 La marche vers l’intégration économique monétaire, fiscale et financière
La convergence macroéconomique et ses critères. Les Organisations d’intégration fixent des objectifs de convergence dans le cadre de leurs politiques macro-économiques et de l’intégration monétaire, fiscale et financière La politique budgétaire et fiscale : les problèmes soulevés La politique financière et la création des Bourses de Valeur

23 VI/ Les avantages et couts de l’intégration
Les coûts et les avantages des accords commerciaux régionaux (ACR) peuvent être évalués selon cinq critères : La créations ou les détournements respectifs de flux d’échanges La crédibilité et l’ancrage ou le verrouillage des politiques qui permettent la prévisibilité des opérateurs, réduisent les risques de réversibilité des politiques commerciales et favorisent ainsi en principe, l’attractivité des capitaux 

24 La dynamique des rythmes adéquats des réformes, de la construction des avantages compétitifs et de la protection d’activités vulnérables Les coûts de transaction, de négociation, de contrôle et d’accès à l’information et des relations de confiance et de proximité se nouant dans les relations extérieures ; Le cinquième critère est d’ordre politique (prévention des conflits, capacité de négociation, production des biens publics avec création ou détournement de cette production


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