La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Chap. 6 Évolution du libéralisme. Questions du chapitre.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Chap. 6 Évolution du libéralisme. Questions du chapitre."— Transcription de la présentation:

1 Chap. 6 Évolution du libéralisme

2 Questions du chapitre

3 Économie et principes du libéralisme en Amérique du Nord  L’évolution du libéralisme développe deux tendances extrêmes en Europe.  La première partie du XXième siècle a pour base, sur le rêve américain.  Sur le plan économique c’est le développement de fortune colossale, par des familles célèbres: Dupont de Nemours, Andrew Carnegie, John D. Rockefeller, Vanderbilt, Mellon, Frick

4 Personnages ou mythe de l’individu  Industriel de l’acier et producteur de coke,  Le charbon métallurgique pour faire de l’acier.  Impopulaire et antisyndicale, célèbre pour la tuerie de la grève de Homestead de 1890.  Fondateur de la US Steel.

5 John D. Rockefeller  Rockfeller inventa-t-il le trust ? (au sens de structure industrielle) Pas vraiment, et point n'est besoin de chercher ailleurs qu'à son époque pour en trouver de nombreux exemples. Au Nord, les éleveurs avaient monté un trust des carcasses de porc à Chicago.

6 Suite  Dans une première phase, Rockfeller s'entacha à conquérir la majeure partie des raffineries. Il ne s'arrêta pas à une concentration horizontale presque parfaite du raffinage, et changea son cap. Se rendant compte qu'en s'assurant le contrôle du processus de raffinage, il devenait maître de toute l'industrie pétrolière, il travailla désormais à la concentration verticale de l'industrie, englobant toutes les phases de la production, de l'extraction au commerce de détail en passant par le transport, la fabrication de barils puis la recherche scientifique et le marketing

7

8 Morgan  Le banquier aux moustaches de morses, John Pierpont Morgan, sans doute l'homme le plus puissant de son époque, n'aimait pas non plus le désordre de la concurrence naturelle. Il s'appliqua à former d'énormes trusts, United Steel, American Tobacco, General Electric, dont le contrôle était le plus souvent très centralisé

9

10 Le progressisme de T Roosevelt  Le concept du président était de limité les trust dans le secteur de la nourriture avec Le Meat Inspection Act et Pure food ans Drug Act de 1906.  Il souhait aussi limiter le contrôle des grandes entreprises, comme la Standard Oil., par la loi Sherman qui débuta sous la présidence de T Roosevelt et se termina sous Taft (1909).

11 travail  Expliquez la pratique des soins de santé au Etats-Unis et qui s’oppose à celui-ci sous Obama. (10 diapo.)  Est-ce un nouveau phénomène des trusts?  Voir critères du travail

12 Les lois anti-trust  Celles-ci ont été antisyndicales au départ,  Elles visaient les pratiques de la Standard Oil,  D’une part les lois Elkins (1903) et la Hepburn (1906) sur les chemins de fer.  En effet, la première étape a été de contrôle des étapes de la raffinerie, ensuite des tarifs de transport de chemin de fer et de pipeline.

13 Le concept vertical  Pour pouvoir travailler pour la Standard, les chemins de fer devaient s’engager à transmettre un rapport à la Standard Oil sur tous les transports de pétrole pour le compte de concurrents, indiquant le producteur, la quantité, la qualité, le prix payé et le destinataire. Rockfeller installait aussi des espions qui vérifiaient si les chemins de fer pratiquaient effectivement la discrimination des prix.

14 Plein Prix Les raffineries indépendantes paient aux chemins de fer le plein prix de $ 2.50 par baril transporté $1.00$1.00 $1.50$1.50 -... qui reverse à Rockfeller en secret les 1.00 $ que les alliés de Rockfeller auraient payés en moins pour le même trajet- Rabais secret le système

15 Phase II  La loi anti-trust avait pour but de permettre la concurrence, en 1911. Elle force la Standard Oil a se diviser en 34 entreprises. les plus importantes, en distribuant les actions à ses propres actionnaires et pas à un nouveau trust. De ces rejetons viendront Exxon, Mobil, Chevron, American, Esso  De plus, que la loi anti-trust visait aussi les syndicats mais la loi Clayton de 1914, les grèves redevenaient légales.  Sur le plan politique l’Amérique de l’époque prônaient la politique de l’isolationnisme. Mais, les compagnies américaines s’implantent beaucoup en Amérique centrale et du sud.

16 1914  Au moment où le président Théodore Roosevelt achève son mandat, on s’interroge sur la montée de l’impérialisme américain.  Il y a quarante ans, l’Alaska avait déjà changé de mains et quitté le giron russe pour sept malheureux millions de dollars.  Les Etats-Unis donnent maintenant l’impression d’être partout chez eux, sur le continent américain. Ils sont vigilants sur ce qui se passe à Samoa, aux Antilles ou à Hawaii. Ils occupent partiellement Cuba et ont veillé à l’indépendance de l’île vis à vis des Espagnols.

17 Coopératives d’épargne et crédit  La puissance des grandes familles et des monopoles sont importants, les banques comme la Morgan et la Banque de Montréal font comme aujourd’hui des profits énormes.  Ces Banques refusent de servir les petites communautés et ne donnaient pas de prêts au petit emprunteurs, aux petites compagnies qui n’avaient de garanties.

18 Caisse populaire  La création des caisses populaires Desjardins, au Québec en 1900, une caisse populaire avec des membres et C.A local qui décident des prêts locaux, pour les familles et les petits agriculteurs, avec un geste éducatif dans les écoles tout le monde avait un compte d’épargne.  Ce mouvement devient populaire à partir de 1930 dans l’Ouest canadien.

19 Fondateur

20 En 2009  La force économique du Mouvement Desjardins est très importante encore aujourd'hui. Elle a été et est encore aujourd'hui un important outil de développement économique pour le Québec. Environ 80% des citoyens du Québec ont un compte chez Desjardins et ses actifs s'élèvent à 150 milliards de dollars canadiens (31 mars 2008). Il contrôle près de 44% du marché du dépôt au Québec et 38% du marché hypothécaire. En 2007, ce sont plus de 664 millions de dollars qui ont été retournés à la communauté en ristournes, commandites, dons et bourses d'études.

21 Desjardins

22 La peur de l’Amérique  1920, l’Amérique connaît une vague d’immigration sans précédent, la statue de liberté représente un symbole de liberté et d’égalité, nous sommes au début des années folles.  L’arrivée d’immigrants développent avec la révolution russe une peur rouge ou peur du communisme ou du bolchévique.

23 Les symboles

24 Le mouvement de gauche en Amérique  Le Socialist Party of America et le US communist Party ont commencé leurs activités politiques surtout dans les organisations syndicales comme le syndicat Industrial Workers of the World.  Ils s’opposent à la guerre mondiale (1914- 1918) qu’ils qualifient de guerre impérialiste.

25 Le mouvement de la droite développe aussi ces activités  Les organisations d’extrême-droite s’organisent contre les syndicats et dans les monopoles industriels comme chez Ford, AlCOA, Standard Oil et des organisations Ukrainiennes russe blanche, comme la G. Amsinck & Comapny.  Des organisations anarchistes aussi s’organisent principalement italiens et ils sont responsables des plusieurs attaques à la bombe.

26 L’affaire Sacco et Vanzetti  Des anarchistes faussement accusés mais italiens et immigrés.  Ceci développe un tournant vers la droite et à la xénophobie, que les milieux conservateurs favorisent.

27 1921  Le président Wilson trouve la mort de façon étrange, lui grand défenseur de la paix et du développement de la S.D.N (société des Nations). La droite américaine organise des manifestations contre cette ouverture des E-U.  Donc, l’Obama de l’époque meurt et laisse la place au conservatisme de Harding et Coolidge.

28 Le mandat

29 Suite  Le Revenue Act de 1921 réduit les impôts et annule les impôts des entreprises qui ont des surplus grâce à la PGM. Laissez- faire économique.

30 Suite  Emergency Quota Act, réduit de 75% les immigrants avec une limitation à 3 % par provenance de pays.  Malgré tout, les années sont une période de Boum, pétrolier et de produits de consommation, la voiture Ford et les principes du capitalisme social, les base du consumérisme.

31 Suite  C’est l’apparition de la radio, du cinéma et le marketing de masse (école de Harvard) ou propagande.  Les villes s’urbanisent, les valeurs changent et les inégalités augmentent car il y a une disparité des revenus.  10% de la population touche 50% de tout les revenus en 1928. Cette statistique présente la fin d’une période prospère.

32 Cycle économique

33 Sur le plan social

34 1929  Ceci permet de maintenir les disparités, trouver un bouc émissaire et éloigner les masses des vraies enjeux économiques qui est la disparité.  L’effondrement boursier devient inévitable, C’est le krach boursier, les conséquences sont des valeurs qui pour base une garantie de crédit et les disparités deviennent énormes car elles ont pour base le consumérisme.

35 Suite

36 Au Canada

37 Suite  Les gouvernements s’interrogent sur le système économique classique et sur le rôle des monopoles.  Son rôle doit changer en relation avec la crise afin de réduire les variations du marché, c’est les bases de l’économie mixte.  La première présentation a été un plan…le New Deal, de Roosevelt qui se voulait un régulateur d’inflation au départ.

38 Suite  Mais pour réduire l’inflation, on devait s’attaquer à la fiscalité de l’impôt, l’utilisation de la banque centrale pour augmenter ou baiser les taux d’intérêts.  Le New Deal était un programme économique de reprise économique.

39 New Deal  Créer le Federal Deposit Insurance assurer les dépôts bancaire.  Créer le SEC, le Securities ans Excange Commission règlementer la bourse, des projets de travaux publics  Agricultural Adjustement Act (1933), gérer l’offre pour les produits alimentaires.  Donc changer l’idéologie capitaliste.

40 fiscale  Touche l’impôt:  Taux d’imposition pour les particuliers et les corporations.  Taxes et taxes spéciales  Crédits d’impôts  Revenu et bénéfice imposable

41 Prévision budgétaire  Dépenses gouvernementales  Gestion de la dette  Rapport entre les revenus et dépenses  Revenu> dépenses = surplus  Dépenses> revenu= déficit

42 Politique monétaire  Taux d’intérêts  Masse monétaire  Aussi Keynes préconise une politique de déflation sur la question de la flambée des prix ou inflation

43 Déflation  Gouvernement doit réduire la demande en réduisant ces dépenses réduire la demande, donc réduire les prix…  Augmenter les taxes.  Contrôler la masse monétaire afin de stimuler l’exportation  Augmenter les taux d’intérêt

44 Le New Deal  L’objectif de contrôlé les abus du capitalisme.  Les opposants au New Deal sont les monopoles et la droite américaine.

45 La tendance

46 La situation au Canada  Le gouvernement n’a pas intervenu comme aux Etats-Unis.  Le gouvernement conservateur de Bennett.  Il avait réduit les dépenses de l’état, il croyait à la politique du laisse-faire allait nous sortir de la crise.  Il développe une politique monétaire, c’est la création de Banque du Canada.

47 Suite  Banque du Canada prend le contrôle de la masse monétaire.  La crise est toujours aussi forte, il voir l’arrivée de l’administration King en 1935 pou voir la création de programmes sociaux et d’une économie mixte, sous l’impulsion du ministre Howe.

48 Réalisations de Howe:   employer des ouvriers au chômage dans les années 1930 pour   construire des pistes d’atterrissage partout dans le pays ; ces   pistes ont rapidement été utilisées pour développer   l’aéronautique ;   faire de Trans-Canada Airlines une société de la Couronne en   1937 (elle est plus tard devenue Air Canada) ;   créer le Conseil des ports nationaux pour centraliser   l’administration des ports du Canada ;   réformer la Compagnie des chemins de fer nationaux du   Canada, qui était très endettée ;   aider à la création de la Société Radio-Canada (SRC) en 1936.

49 Une économie mixte  L’État devient un acteur par des nationalisation (l’État propriétaire), créations d’entreprises publiques  Il est aussi un agent d’investissement, de réglementation et de consultation.  Le gouvernement canadien a créé 28 sociétés de la couronne durant la période de 1940-1945.

50 Suite

51 L’après-guerre  La loi sur l’assurance chômage en 1940.  L’office national du film (1939).  Un autre phénomène est le concept d’autonomie développer par le Québec face à Ottawa qui date de l’époque Bennett. La province développe son propre régime d’impôt sur le revenu et utilise ses fonds pour ces infrastructures et l’électricité ou projets hydroélectrique.

52 suite  Duplessis est fortement influencé par le corporatiste religieux et il est anti- communiste (loi du Cadenas de 1937) et antisyndicale (la grande noirceur).  Mais, l’intervention de la province a augmenté pour jeter les base de la révolution tranquille, ou l’état providence moderne et ainsi faire évoluer le reste du Canada (Lester B. Pearson).

53 État providence et économie mixte économie gouvernementagentacteur

54 Intervention Acteur Développeur D’innovation Il possède des entreprises Il investie Dans Des compagnies privées Mettre sur des travaux Infrastructure Gérer des appels d’offre

55 intervention Agent Mesures Fiscales Salaire minimum Santé et sécurité Qualités des produits Environnement et normes Climat politique propice aux affaires (Commision Gomery)

56 Situation économique  De 1929 à 1947, les salaires net des ouvriers augmentent de 67%, tandis que 1% des américains les plus riches chute de 17%.  Conséquence de la répartition de la richesse et l’économie mixte.

57 Entreprise publique et divers pays dans le monde  Entr. publique: Beaucoup Entreprises Pub. Peu d’entreprise publique Autriche Inde Suède France Allemagne Australie Canada Japon Etats-Unis

58 Suite  Malgré le peu d’intervention malgré la propagande que le gouvernement intervient beaucoup.  La baisse des inégalités se poursuit de 1947 à 1973, le revenu croissant de 81% et à ceux des plus riches de 38%.  La dynamique est inverse de 1972 à 2001, les 10% plus riche augmentent leurs revenus de 181% en moyenne. (état du monde 2010, p. 166), durant la période Reagan aux États-Unis et Mulroney au Canada.

59 Économie d’après-guerre  L’économie se développe sur le plan du consumérisme et de renforcir les programmes sociaux comme :  Système de santé 1966  Régimes de pension de vieillesse 1966  CRTC radio-télévision 1968  Énergie Atomique 1952.  Ces programmes sont les caractéristiques de l’état providence.

60 Situation mondiale change  C’est le début des pays émergents et des organisation autres que le G-8, comme l’OPEP(pays producteur de pétrole) principalement arabes) dont l’Égypte et la Syrie qui sont en guerre contre Israël.  L’E-U et l’Europe ont supporté Israël, donc l’OPEP, frappe la gestion de l’offre du pétrole, c’est-à-dire directement les prix par un embargo de 5 mois.

61 Suite  Donc, l,Opep développe une pénurie artificielle, donc elle provoque un rationnement (L’ère de petite voiture commence), donc il y a une inflation qui ralenti l’économie qui s’accompagne d’une dérèglementation de la monnaie, donc une stagflation (un haut taux d’inflation et une économie qui ralentie suivant la perte d’un produit)

62 pénurie

63 Inflation

64 La stagflation  Ainsi le coût des programmes sociaux augmentent par l’inflation et le ralentissement économique (donc chômage), donc moins d’impôt ou revenu.  Ainsi plusieurs pays occidentaux décident d’emprunter des l’argent sur le marché mondiaux qui est dérèglementé, ainsi la G-B emprunte 3,9 milliards $ au FMI, suivant la logique de la reprise d’une fausse crise qui pour base une fausse pénurie, le danger est une augmentation de production et réduire les prix donc augmenter davantage le déficit.

65 Suite  Cette situation développe une pensée économique qui a pour principe non pas les cycles économiques mais une politique monétaire.  Les thèse économiques de Friedman et Hayek, le contrôle de la masse monétaire et dérèglementer sur le plan international la monnaie, donc développer une idéologie méritocratique plutôt que collectiviste (théorie de Keynes)

66 Hayek et Friedman  Créer un marché de libre échange sans contrôle, qui a pour structure la détermination du prix en relation l’offre du marché.  Donc, il faut changer l’idéologie des gens pour qu’il adopte un concept collectif vers l’individuel pour réduire les programmes collectifs ou sociaux, trouver un bouc émissaire en relation les programmes collectifs, donc taxer le service.

67 Nouvelle idéologie  Le néo-libéralisme se développe sur la critique que dans la société mixte, Moral, le concept collectiviste ou égalité des chances n’est pas bon.  Car les individus deviennent irresponsable et il pense que c’est gratuit ou sans effort, rien ne dérange les individus ou l’approche relativiste.

68 Nouvelles tendances  Inégalité, égoïsme, avarice, exploitation du plus fort sur les plus faibles et les défavorisés  Indifférence morale  Rupture du sens de la communauté

69 Suite  Ronald Reagan (E-U), Brian Mulroney (Canada) et Margaret Thatcher (G-B), Mike Harris (Ontario) et Ralph Klein (Alberta) et Lucien Bouchard (Québec)  Ils avaient comme plateforme réduire la taille de l’état pour réduire les dépenses.  Toutefois, la privatisation réduit encore plus les revenus de l’État, conséquence une augmentation du déficit et une augmentation des dépenses militaires.

70 R et T

71 Budget Reagan

72 Conséquences  Philosophie qui n’est pas parfaite.  Chômage important dans le monde  Prédation environnemental  Augmentation des inégalités  Augmentation des déficits gouvernemental parce que les grands monopoles ne paient pas d’impôts ou peu.  pauvreté

73 Suite  Baisser les taxes  Éliminer les déficits  Rembourser la dette  Réduire la taille de l’état.  Éliminer les impôts des monopoles  L’impôt des particuliers sont les seuls débiteurs de l’état.  Relancer l’économie en stimulant l’offre

74 Suite  Scandale financier aux E-U, l’affaire Enron, les sub-prime, Nordbourg et etc  Scandale politique, Vente d’arme aux terroristes (Reagan), Alquaida (bush), les commandites (chrétien)  Scandale sociale: contamination de l’eau en Ontario(Harris),

75 En Alberta  Salaire minimum le plus bas au pays.  Mais peu chômage grâce au produit pétrolier  40% des assistés sociaux sont des enfants (Alberta, est critiqué au Nations Unies) Mortalité infantile est 250% plus élevé que la moyenne nationale chez les amérindiens.

76 suite  Malgré la facilité du diplôme secondaire, 50% des élèves quittent l’école  L’Alberta occupe le 2 ième rang chez le grossesse chez les adolescentes soit presque la moitié de la moyenne canadienne

77 3 ième voie  L’approche Blair représente selon le livre une approche entre la pensée monétariste individualiste et la pensée de la justice sociale collectiviste.

78 Politique économique  donna à la Banque d'Angleterre son indépendance, avec la maîtrise du taux d’intérêt. Cette décision fut populaire dans les milieux de la finance londonienne que le Labour courtisait depuis les années 1990. De même le gouvernement suivit durant ses deux premières années les plans de dépenses prévu par les conservateurs, rassurant ainsi les personnes qui craignaient que Labour rime avec dépenses et déficits Banque d'AngleterreBanque d'Angleterre

79 Politique sociale  Lors de l’élection de 2001, Tony Blair fit sa campagne sur les services publics, notamment sur la Sécurité Sociale et sur le système d’éducation. Le Labour gagna largement les élections faisant de Tony Blair le premier travailliste à gagner deux élections de suite. Sécurité SocialeSécurité Sociale

80 Politique environnemental  En septembre 2004, Blair fit un discours sur le « problème urgent » de l’environnement, favorisant la volonté de taxer les émissions de CO2.  Toutefois, Tony Blair fut critiqué par l’aile gauche de son parti pour avoir été « néoconservateur », ou « néo-Thatcher » malgré ses politiques sociales: service minimum ou mesures de réduction de la pauvreté infantile Thatcher

81 Finalement  Nelson Mandela décrivant même Blair comme le ministre des affaires étrangères des États-Unis. Blair a souvent été surnommé le « caniche de George Bush » Nelson Mandela Nelson Mandela  Cette relation a sérieusement détérioré l’image de Blair chez les Anglais, qui n’étaient pas favorables à la guerre en Irak.

82 Divers modèles  Le livre développe sur le concept de la Hollande et du modèle Polder sur le plan économique.  S'appuyant sur les travaux de l'économiste Jan Tinbergen. Cet homme est le premier économiste à avoir créé un modèle macro-économique pour aider à la gestion d'un pays. Les Pays-Bas s'appuyent encore aujourd'hui sur les chiffres du Bureau Central des Statistiques (Centraal Bureau voor de Statistiek, l'équivalent de notre INSEE) et les modèles élaborés dans le Bureau Central de Planification (le Centraal Planbureau) que Jan Tinbergen présidera de 1945 à 1955. Jan TinbergenCentraal Bureau voor de Statistiekle Centraal PlanbureauJan TinbergenCentraal Bureau voor de Statistiekle Centraal Planbureau

83 Politique et sociale  Sur le plan politique, c’est le consensus politique. Les accords de Wassenaar.  les organisations patronales et les syndicats de salariés pouvait passer d'une culture d'opposition à une culture de consensus (pour ne pas dire coopération )

84 Suite  Les réductions de salaires on été en partie compensées par des réductions d'impôts consenties par le gouvernement et la réduction du temps de travail a fortement fait diminuer le chômage.  Mais, le processus est lent car il fonctionne par consensus. Un modèle qui tente de prendre en compte les avis de chaque acteur (le compromis.)

85 Autre Modèle  Deux modèles que le livre présente, celui du Tchad!! et le Kenya  D’une part, il semble qu’il y a une guerre civile au Tchad et Darfour, donc il semble que le modèle du libéralisme africain soit difficile.  De plus, le Kenya et le harambee, lors de la dernière élection qui fut une fraude a presque déclencher une guerre civile similaire au Rwanda.

86 Suite  Le modèle Ukrainien polarisé par la révolution orange tourne autour de la diplomatie des hydrocarbures et que les réformes tardent à venir, Louchtchenko tente de réduire la corruption donc elle n’est pas encore une économie de marché.  Le Mexique représente un autre modèle qui est en relation avec l’accord nord-américain de libre échange, mais la corruption, la drogue et le crime organisé, des millions d’immigrés illégaux vers les Etats-Unis.


Télécharger ppt "Chap. 6 Évolution du libéralisme. Questions du chapitre."

Présentations similaires


Annonces Google