La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

- Les différents types d’indices de présence des

Présentations similaires


Présentation au sujet: "- Les différents types d’indices de présence des"— Transcription de la présentation:

1

2 - Les différents types d’indices de présence des
PLAN DE L’EXPOSE : - Les différents types d’indices de présence des Mammifères concernés par la convention - Passage en revue des indices espèce par espèce pour : Mustélidés (sauf Blaireau et Loutre) - Principe de récolte des indices : standardisation et centralisation

3 - Passage en revue des indices espèce par espèce pour :
Blaireau Loutre Écureuil Gliridés (Loir, Lérot et Muscardin) Hérisson Autres : - Chat sauvage / Chat domestique - Renard / Chien - Lièvre / Lapin

4 Les différents types d’indice de présence :
- L’observation directe d’individu(s) vivant(s) ou mort(s) - Les empreintes et les voies - Les excréments - Les reliefs de repas - Les gîtes - Les restes osseux : crânes

5 Les indices des différentes espèces :
1) Les Mustélidés : → Observation directe - La Fouine (Martes foina L.) - La Martre (Martes martes L.) - Le Putois (Mustela putorius L.) - L’Hermine (Mustela erminea L.) - La Belette (Mustela nivalis L.)

6

7

8

9

10

11 Fouine : Martre : Putois : Hermine : Belette : Pelage Longueur totale
Brun-grisâtre foncé : - poils de jarre : moitié terminale brun foncé , moitié basale gris très claire - poils de bourre : gris très clair - plastron : bilobé, blanc - truffe : rosée Brun foncé à marron : moitié terminale brune foncée , moitié basale grise très claire - poils de bourre : brunâtres - plastron : arrondi vers l’arrière, jaunâtre - truffe : brun-noir Marron à noir : masque blanc dos : brun- jaunâtre ventre, intérieur des membres et cou : tendent vers le noir poils de bourre : jaunes- ocres, fauves dos et flancs : brun-roux - menton, cou, ventre et intérieur des membres : blancs ligne de démarcation : droite pelage blanc en hiver queue : extrémité noire (y compris en hiver) ligne de démarcation : sinueuse aucune modification de couleur en hiver chez nous Longueur totale 65 à 86 cm (23 à 36 cm pour la queue) 62 à 81,5 cm (22 à 28,5 cm pour la queue) 40 à 57 cm (15 à 17 cm pour la queue) 19 à 35 cm (8,5 à 10 cm pour la queue) 17 à 25 cm (4 à 6 cm pour la queue)

12

13 Martre Fouine Putois A proximité d’une agglomération
Au voisinage de l’eau Dans un massif forestier Martre Fouine Putois

14 Les Mustélidés : → Empreintes et voies : Les empreintes :
Les empreintes de Mustélidés présentent toutes les mêmes caractéristiques générales : dans de bonnes conditions, elles comptent 5 doigts terminés par des griffes non rétractiles. Le seul véritable critère de distinction est leur TAILLE. Les voies : Les représentants de cette famille se déplacent généralement par bonds, de sorte que les empreintes sont groupées par deux, trois ou quatre selon la vitesse de l’animal. Les dimensions de ces voies constituent à nouveau le seul critère distinctif efficace.

15 Fouine Martre Putois Hermine Belette Lg: 3,5 cm lg: 3,2 cm Lg: 4 cm

16 Fouine Martre

17 Fouine : - intervalle entre voies : 40 à 100 cm
Martre : - intervalle entre voies : 40 à 100 cm Putois : - intervalle entre voies : 35 à 60 cm Hermine : - intervalle entre voies : 20 à 70 cm Belette : - intervalle entre voies : 15 à 50 cm

18 Les excréments des différentes espèces présentent certaines
1) Les Mustélidés : → Les excréments : Les excréments des différentes espèces présentent certaines caractéristiques communes : - de couleur gris foncé à noir (jaunâtres : consommation d’œufs, violets : de baies) - de forme cylindrique et spiralée - effilés à une extrémité - recourbés sur eux-mêmes - souvent déposés en un endroit surélevé → Critère de distinction : les dimensions

19 Dimensions des laissées de Mustélidés:
Longueur Diamètre Fouine : 8 à 10 cm 1,2 cm Martre : Putois : 5 à 8 cm 0,9 à 1,2 cm Hermine : 3 à 4 cm 0,5 à 1 cm Belette : 0,2 à1 cm

20 Fouine et Martre Putois
Hermine Belette

21 Longueur C-B Largeur Zyg. Fouine : 4,5 à 5,5 cm Martre : 7,5 à 9,4 cm
1) Les Mustélidés : → Les pièces osseuses : Dimensions des différents crânes : Longueur C-B Largeur Zyg. Fouine : 7,6 à 8,5 cm 4,5 à 5,5 cm Martre : 7,5 à 9,4 cm 4,1 à 5,5 cm Putois : 6 à 7 cm 3,7 à 4,5 cm Hermine : 4,3 à 5,1 cm 2,6 à 3 cm Belette : 3 à 3,5 cm 1,7 à 2 cm

22 Fouine : 3/3 1/1 4/4 1/2 Martre : Putois : 3/3 1/1 3/3 1/2 Hermine :
1) Les Mustélidés : → Les pièces osseuses : Formules dentaires des différentes espèces : I C P M Fouine : 3/3 1/1 4/4 1/2 Martre : Putois : 3/3 1/1 3/3 1/2 Hermine : Belette :

23 1) Les Mustélidés : → Les pièces osseuses : Les crânes des différentes espèces présentent, outre leurs dimensions, certaines caractéristiques morphologiques qui permettent de les distinguer : Différences entre la Fouine et la Martre : Mâchoire supérieure : Face externe de la 3ème prémolaire : convexe => Fouine concave => Martre Bord interne de la première molaire : de même longueur que son bord externe => Fouine plus grand que son bord externe => Martre Mâchoire inférieure : présence d’une encoche sur la face labiale de la 1ère molaire => Fouine

24

25 Différences entre l’Hermine et la Belette :
Chez le Putois : la partie postzygomatique du crâne est plus longue que chez les représentants du genre Martes, mais plus courte que chez ceux du genre Mustela le rostre est plus court la largeur du crâne, au niveau des bulles tympaniques est plus importante que chez les espèces des 2 genres cités (elle égale presque la largeur zygomatique) le rétrécissement postorbitaire est assez reculé la crête sagittale est très nette Différences entre l’Hermine et la Belette : - boîte crânienne plus large au niveau du processus mastoïdien chez l’Hermine - crête sagittale plus développée chez l’Hermine que chez la Belette, mais moins que chez le Putois - processus postorbitaire plus développé chez la Belette que chez l’Hermine

26 Principe de récolte des indices:
Parcours échantillons : - Distance : environ 5 km - Tracé au choix mais identique à chaque période - Fréquence : 3 fois par an (mars-avril, juillet-août, octobre-novembre) - Éviter les zones habitées - Varier au maximum les habitats visités (massif forestier, bordure de rivière, rives d’étangs, fonds de vallée, …) - Visite des cabanes forestières rencontrées

27 Standardisation et centralisation des récoltes:
- Collectes des excréments, des crânes - Prise de note en ce qui concerne les autres indices (empreintes, cônes rongés, noisettes consommées, nids,…) hormis en cas d’incertitude - Éventuellement photos - Placer chaque indice récolté dans un sachet zippé individuel et étiqueté - Informations devant figurer sur l’étiquette : Identité de l’agent Date Localité, lieu-dit, si possible coordonnées UTM Brève description de l’environnement proche Mensurations des excréments et des empreintes

28 2) Le Blaireau (Meles meles L.) :
→ Observation directe : - Longueur : 80 à 90 cm - Hauteur au garrot : 30 cm - Queue : 15 cm - Massif et court sur pattes (mode de vie fouisseur) - Tête petite, cou large et court, membres robustes - Pelage (tout à fait caractéristique) gris clair sur le dos et les flancs - Ventre, gorge et membres noirs - Tête blanche, ornée de deux bandes longitudinales noires passant par les yeux et les oreilles et s’élargissant vers l’arrière

29 2) Le Blaireau : → Empreintes et voies :
- Empreintes constituées de 5 doigts terminés par de longues griffes (3 cm : pattes antérieures) (le 5ème doigt n’apparaît pas tjrs très nettement) - Pattes antérieures : 5 à 7 cm de long pour 4,5 à 6,5 cm de large - Pattes postérieures : 4 à 5,5 cm de long pour 3,5 à 4,5 cm de large - Pelotes digitales ovoïdes - Talon large et bien marqué (plantigrade)

30 2) Le Blaireau : → Empreintes et voies :
- Empreintes tournées vers l’intérieur - Déplacement au pas ou au trot - Pas : empreintes postérieures juste derrière les empreintes antérieures - Trot : se chevauchent partiellement à totalement suivant la vitesse - Course : empreintes postérieures en avant des antérieures - Longueur de la voie : 25 à 50 cm au pas, 70 à 80 cm au trot - Voie plus large que celle du renard

31 2) Le Blaireau : → Les excréments : - Largeur : environ 2 cm
- Longueur : 4 à 8 cm - De couleur brune à noirâtre - Consistance variable suivant l’alimentation, ressemblent à ceux du renard - Peuvent contenir des restes d’insectes, des pépins ou des poils - Le Blaireau les dépose généralement dans des « pots » rassemblés en latrines

32 → Morphologie crânienne :
2) Le Blaireau : → Morphologie crânienne : - Longueur condylo-basale : 12 à 13 cm - Largeur zygomatique : 8 à 8,5 cm - Crête sagittale très nette - Formule dentaire : 3/3 1/1 4/4 1/2 → Terrier : - 3 à 50 entrées (selon son âge) - Ouvertures (« gueules ») larges et prolongées par une gouttière lorsqu’elles sont fréquemment empruntées - Volume de déblais pouvant atteindre plusieurs m³

33

34 3) La Loutre (Lutra lutra L.) :
→ Observation directe : - Taille : mâles : 1,25 m, femelles : 1m - Hauteur au garrot : environ 30 cm - Queue épaisse à la base, dans le prolongement du corps et non arrondie (>< Ragondin) : 40 cm de long - Courte sur pattes, corps allongé et cylindrique - Oreilles ne dépassant pratiquement pas de la fourrure - Pelage épais et imperméable - Brun foncé sur le dos - Crème sur le menton, la gorge et le ventre ! Confusions fréquentes avec le Ragondin, Le Castor et le Rat musqué

35 3) La Loutre : → Empreintes et voies :
- Les empreintes comportent 5 doigts - Courtes griffes directement connectées aux pelotes digitales - Pelotes formant un arc de cercle parfait - Palmure et plante du pied rarement bien marquées - Longueur : au moins 6 cm, jusqu’à 9 cm - Largeur : environ 6 cm

36 3) La Loutre : → Empreintes et voies :
- Longueur de voie : environ 80 cm - Très variable : déplacement par bonds irréguliers - Trace de la queue parfois visible - Généralement à proximité de l’eau

37 3) La Loutre : → Les épreintes : - Sans forme ni dimensions caract-
éristiques - Déposées en bordure de rivière en des endroits stratégiques (sous un pont, à proximité d’une confluence, sur un rocher) - Fraîches : aspect de crachat gluant, vert noirâtre - Durcissent rapidement, deviennent noires et brillantes - Vieilles : friables et grises - Odeur typique de poisson séché et d’hydromel - Contiennent des écailles et des arêtes de poissons, des os de batraciens, et qlq fois des os ou des plumes

38 3) La Loutre : → Morphologie crânienne :
- Longueur condylo-basale : 11 à 12,4 cm - Largeur zygomatique : 6,6 à 7,4 cm - Rostre très court - Front très étroit - Boîte crânienne très large - Constriction postorbitaire marquée - Crête sagittale nette - Formule dentaire : 3/3 1/1 4/3 1/2

39 4) L’Écureuil roux (Sciurus vulgaris L.) :
→ Observation directe : - Longueur du corps : 20 à 28 cm - Longueur de la queue : 14 à 24 cm - Pelage du dessus rouge-brun à noir - Ventre et poitrine blancs - Queue en panache, rabattue le long du dos en position assise - En hiver, ses oreilles s’ornent, à leurs extrémités, de pinceaux de longs poils

40 4) L’Écureuil roux : → Empreintes et voies :
- Pattes antérieures : 4 longs doigts (le pouce étant très court), munis de fortes griffes : 4 cm de long, 2 cm de large - Pattes postérieures : 5 longs doigts (les doigts externes apparaissant moins nettement), pourvus de griffes puissantes : 5 cm de long, 2,5 à 3,5 cm de large

41 4) L’Écureuil roux : → Empreintes et voies :
- Déplacements par bonds successifs - Voies constituées invariablement des 4 empreintes groupées - Pattes postérieures légèrement tournées vers l’extérieur (écartement : 5 à 10 cm) s’imprimant en avant des pattes antérieures - Pattes antérieures parallèles et rapprochées (écartement : 2 à 3 cm) - Distance entre voies variant de 30 cm à 1 m - Piste débutant et se terminant tjrs au pied d’un arbre

42 4) L’Écureuil roux : → Excréments :
- Crottes courtes et de forme presque globuleuse - Légèrement aplatie à une extrémité et pointue à l’autre - Essentiellement composées de débris végétaux visibles en surface mais on peut également y distinguer de petits fragments d’insectes

43 4) L’Écureuil roux : → Reliefs de repas :
- Ébourgeonnage : coupe les rameaux des conifères, en ouvre et vide les bourgeons floraux, rarement les bourgeons terminaux, les rameaux ainsi attaqués recouvrent le sol au pied de l’arbre - Écorçage : arrache l’écorce (du tronc uniquement) des arbres en bandes plus ou moins longues qui s’accumulent au pied de l’arbre, on peut distinguer sur l’arbre écorcé des traces d’incisives

44 - Cônes de résineux épluchés : base du cône taillée en pointe, écailles
terminales subsistant formant un plumet, écailles arrachées et axes des cônes s’accumulant au pied des arbres, aspect moins régulier que ceux consommés par le Mulot

45 - Noisettes : présence d’un sillon transversal au niveau de l’extrémité inférieure du
fruit

46 4) L’Écureuil roux : → Nids : - Sphères de 20 à 50 cm de diamètre
- Faits de branchettes, herbes, mousses, recouverts de feuilles - Établis à la cime des arbres, près du tronc, dans une enfourchure de branches - Ouverture vers le bas ou sur le côté (peu visible) - Réaménage parfois d’anciens nids de Corvidés

47 → Morphologie crânienne :
4) L’Écureuil roux : → Morphologie crânienne : - Longueur condylo-basale : entre 4,5 et 4,9 cm - Largeur zygomatique : 2,9 à 3,3 cm - Diastème plus long qu’une rangée de dents masticatrices supérieures - Processus postorbitaires bien développés - Orifice occipital situé plus bas que le plan du palais - Surface des dents masticatrices en cupule - Formule dentaire : 1/1 0/0 2/1 3/3

48 5) Les Gliridés (Loir, Lérot et Muscardin) :
5.1 Le Loir (Glis glis L.) : → Observation directe : - Longueur du corps : 14 à 20 cm - Queue longue : 11 à 19 cm, très touffue (poils d’égale longueur jusqu’à l’extrémité) - Dos et flancs gris chinchilla uniforme - Joues et ventre blancs - Mince cercle noir autour des yeux Courriel : Hélène Hürner :

49 - Mœurs arboricoles : descend peu souvent au sol
5.1 Le Loir : → Empreintes et voies : - Mœurs arboricoles : descend peu souvent au sol - Semblables à celles de l’écureuil mais de plus petite taille - Les coussinets digitaux laissent des traces moins profondes - Pattes antérieures : 4 longs doigts (pouce très court, ne laisse pas de trace) 2 cm de long pour 2,2 cm de large - Pattes postérieures : 5 longs doigts, le premier nettement plus court 3 cm de long pour 2,5 cm de large - Les griffes laissent rarement des marques bien visibles - En terrain meuble, la queue laisse une trace

50

51 5.1 Le Loir : → Nids : (Forêts caducifoliées, parcs, jardins) - Construction ovoïde d’une 15aine de cm de diamètre - Faits de brindilles, mousses, feuilles, herbes sèches - Ouverture latérale - Intérieur tapissé de poils, plumes, laine, herbes - Svt construit dans un creux d’arbre, une fissure de rocher, un vieux mur un vieux nid de pie ou d’écureuil - Peut également se trouver librement dans les branches à moyenne hauteur - Les nichoirs à petits passereaux lui conviennent également - Nids d’hibernation dans le sol à une profondeur de 15 à 60 cm

52

53 5.1 Le Loir : → Morphologie crânienne : - Longueur condylo-basale : 3,5 à 3,75 cm - Largeur zygomatique : 2,3 à 2,4 mm - Pas de fenêtre à la mandibule inférieure - Molaires carrées, à surface plane mais striée (7 crêtes transversales) - Formule dentaire : 1/1 0/0 1/1 3/3

54 5.2 Le Muscardin (Muscardinus avellanarius L.) :
→ Observation directe : - Longueur du corps : 6 à 9 cm - Longueur de la queue : 6 à 8 cm, très touffue, les poils étant de longueur égale jusqu’à l’extrémité - Pelage roux doré, plus pâle sur le ventre - Menton et cou blancs - Oreilles arrondies, non poilues - Grands yeux noirs

55 5.2 Le Muscardin : → Reliefs de repas : - Noisettes : présence d’un trou rond de 8 à 10 mm de diamètre, bord interne très lisse, marques de dents observables à l’angle du trou avec la surface de la coquille

56 5.2 Le Muscardin : → Nids : - Construction sphérique d’une 10aine de cm de diamètre « posée » et non attachée - Installés dans les buissons bas (0,5 à 1,5 m), les ronciers, les tas de bois, les cavités dans les arbres, les jeunes conifères ou les nichoirs à mésanges - Composés de deux assises de matériaux - Assise interne : feuilles, herbes, écorces découpées en fines lanières - Assise externe : pls couches de feuilles entières, svt mortes, parfois fraîches (chêne, noisetier, hêtre, érable, charme, etc.) - N’utilise pas de mousse >< nids de Troglodyte - Ouverture non apparente

57

58 5.2 Le Muscardin : → Morphologie crânienne : - Très semblable à celui du Loir en plus petit - Longueur condylo-basale : 2,1 à 2,3 cm - Largeur zygomatique : 1,3 à 1,4 cm - Présence d’une fenêtre dans la partie postérieure de la mandibule - Molaires striées transversalement - Formule dentaire : 1/1 0/0 1/1 3/3

59 5.3 Le Lérot (Eliomys quercinus L.) : → Observation directe :
- Longueur du corps : 10 à 17 cm - Longueur de la queue : 9 à 12 cm - Dos et flancs brun-gris, parfois mêlés de roux - Joues et ventre blancs - Bandeau noir commençant au niveau du museau et entourant les yeux et les oreilles pour se terminer à hauteur des joues - Queue longue et velue, terminée par un plumet de poils plus longs, noirs et blancs - Grandes oreilles © Alfonso Roldán Losada.

60 5.3 Le Lérot : → Nids : - Construction sphérique d’une 15aine de cm de diamètre, assez lâche - Composés de matériaux divers - En forêt : mousses et grdes quantités de feuilles mortes - Près des habitations : laine, papier, brindilles, mousses, plumes, voire laine d’acier ou de verre - Localisés dans les lierres touffus, les creux d’arbre, les vieux tas de bûches, les amas de blocs rocheux, les faux plafonds des cabanes forestières, les nichoirs - Parfois, utilisation de vieux nids de pie ou de grive comme assise

61 5.3 Le Lérot : → Morphologie crânienne : - Longueur condylo-basale: 3,2 à 3,3 cm, largeur zygom. : 1,9 à 2 cm - Rostre se détachant moins brusquement du contour général du crâne que chez les deux autres représentants de la famille - Bulles tympaniques proportionnellement plus développées - Dents mâchelières plus proches de celles de l’Écureuil que de celles du Loir et du Muscardin, en cupules striées - Présence d’une fenêtre au niveau de la partie post. de la mandibule - Formule dentaire : 1/1 0/0 1/1 3/3

62 6) Le Hérisson (Erinaceus europaeus L.) :
→ Observation directe : - Longueur du corps : 18 à 35 cm - Longueur de la queue : 2 à 3 cm - Dos et flancs recouverts de piquants de 2 à 3 cm de long, de 2 mm de diamètre, rigides, flexibles à leur base, annelés de noir et blanc - Ventre et pattes couverts de longs poils raides et brunâtres - Se roule en boule et hérisse ses piquants en cas de danger - Museau pointu

63 6) Le Hérisson : → Empreintes et voies : - Plantigrade
- Pattes possédant 5 longs doigts terminés par de solides griffes - Pattes antérieures : 2,5 cm de long, 2,5 à 3 cm de large - Pattes postérieures : 3 cm de long, 2 cm de large

64 6) Le Hérisson : → Empreintes et voies : - Se déplace en marchant
- Ordinairement, empreintes postérieures en arrière des empreintes antérieures - Au trot, empreintes postérieures recouvrent plus ou moins, voire précèdent, les empreintes antérieures - Longueur de la voie : 20 à 25 cm - Largeur de la voie : environ 6 cm

65 6) Le Hérisson : → Excréments :
- En moyenne : 3 à 4 cm de long, 0,8 à 1 cm de diamètre - De forme cylindrique, effilés à l’une des extrémités - Noirâtres, d’aspect brillant dû à la présence de débris d’élytres de coléoptères en surface - Dispersés sur les pelouses, prairies, chemins forestiers, …

66 → Morphologie crânienne :
6) Le Hérisson : → Morphologie crânienne : - Longueur condylo-basale : 5,4 à 6,4 cm - Largeur zygomatique : 3,2 à 3,9 cm - Crâne court et large - Rostre bref -Formule dentaire : 3/2 1/1 3/2 3/3

67 Autres : Chat domestique / Chat sauvage (pointillé) : Longueur : 3 à 3,5 cm / 4 cm Largeur : 3 cm / 3,5 cm

68 Renard / Chien : Longueur : 5 cm Longueur et largeur Largeur : 4 à 4,5 cm très variables

69 Lièvre / Lapin de garenne :
Patte antérieure : 5 cm / 3 cm Patte postérieure : 6 cm / 3,5 cm Patte postérieure : 4 cm / 2,5 cm

70

71

72

73


Télécharger ppt "- Les différents types d’indices de présence des"

Présentations similaires


Annonces Google