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L’approche du Service de police de la Ville de Montréal

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Présentation au sujet: "L’approche du Service de police de la Ville de Montréal"— Transcription de la présentation:

1 L’approche du Service de police de la Ville de Montréal
Prévenir et contrer le phénomène des gangs de rue L’approche du Service de police de la Ville de Montréal Mario PLANTE assistant-directeur Service des communications et des relations avec la communauté

2 Plan de présentation Contexte montréalais Structure du SPVM
1 Structure du SPVM 2 Quelques statistiques 3 Plan directeur gangs de rue 4 Approche intégrée 5 Stratégies policières 6 7 Tendances Principaux enjeux 8 Critères de succès 9

3 Contexte montréalais Île de Montréal : 1 Superficie : 496 km²
Population : Richesse multi ethnique (120 communautés différentes) Nombre d’événements festifs et culturels : 40 Exemples : Grand Prix, Festival international de Jazz de Montréal, défilé de la Fierté gaie ; Visiteurs : plus de par année Aéroport international (12 millions/an) Port international (20 millions de tonnes de marchandises/an) Métro (65 stations) Population : Statistique Canada, recensement 2006 Montréal est au deuxième rang au Canada en terme de population (Toronto vient en premier) 4342 policiers

4 SPVM : Effectif : 4485 policiers et 2641 civils
Postes de quartier : 33 Nombre de services d’ordre : 1850 / an

5

6 Structure du SPVM 2 Services à la communauté (SAC)
Insérer les cartes…… Île de Montréal Avec régions Avec pdq Ajout SES et SOC Niveaux de responsabilités : local, régional et corporatif Service des opérations corporatives (SOC) Services des enquêtes spécialisées (SES)

7 Quelques statistiques
3 Criminalité en baisse à Montréal : Criminalité générale : ↓ 24% Crimes contre la personne : ↓ 7% Crimes contre la propriété : ↓ 33% Malgré la baisse de la criminalité générale, la criminalité de violence reliée aux gangs de rue connaît une hausse. C’est pourquoi l’intervention en matière de gangs de rue demeure une priorité pour notre service. En 2005, 658 meurtres au Canada dont 35 à Montréal (5%) 97% des crimes de violence commis sur le territoire en 2006 n’étaient pas reliés à des activités criminelles de gangs de rue. Nombre de gangs : difficile à évaluer, nous travaillons à l’élaboration d’une grille de classification. Nous avons déterminé une grille de classification des critères d’appartenance aux gangs de rue qui inclut cinq niveaux différents qui s’inscrivent dans un processus de gradation au niveau de l’agir délictueux et de la capacité criminelle des groupes. Permet de conserver les démarches en matière de gangs de rue. *Plusieurs événements sont survenus au cours du mois d’octobre, mais ceux-ci n’ont pas encore été traités par le Renseignement dû, en partie, par la difficulté d’obtenir rapidement une copie des rapports. Criminalité générale : ↓ 8% Crimes contre la personne : ↓ 6% Crimes contre la propriété : ↓ 10%

8 Quelques statistiques
Criminalité de violence à Montréal : Crimes de violence SPVM 2006 2007 2008 2009* Meurtres  42 41  11 23 Tent. de meurtres  136 99  21  98  GDR    12 14   5  4 54  16  34  Malgré la baisse de la criminalité générale, la criminalité de violence reliée aux gangs de rue connaît une hausse. C’est pourquoi l’intervention en matière de gangs de rue demeure une priorité pour notre service. En 2005, 658 meurtres au Canada dont 35 à Montréal (5%) 97% des crimes de violence commis sur le territoire en 2006 n’étaient pas reliés à des activités criminelles de gangs de rue. Nombre de gangs : difficile à évaluer, nous travaillons à l’élaboration d’une grille de classification. Nous avons déterminé une grille de classification des critères d’appartenance aux gangs de rue qui inclut cinq niveaux différents qui s’inscrivent dans un processus de gradation au niveau de l’agir délictueux et de la capacité criminelle des groupes. Permet de conserver les démarches en matière de gangs de rue. *Plusieurs événements sont survenus au cours du mois d’octobre, mais ceux-ci n’ont pas encore été traités par le Renseignement dû, en partie, par la difficulté d’obtenir rapidement une copie des rapports. Ratio GDR 2006   2007 2008 Meurtres Tent. de meurtres 28% 34% 46% 31% 55% 76% *Janvier au 1er septembre 2009

9 Plan directeur gangs de rue
4 Une vision Des défis Des orientations stratégiques Des objectifs stratégiques Plan directeur Jjfijdvjfvjjzxcv;j;zckxvkckvèzkxcèvklècvklèxkclvè;lzxcè;vlè;zxcklvè;kzxcè;vkè;kxcvè;kzxcè;vkè;zxkvè;zsdk^pvŝdgfjgfdfzbsdzvzdDAvhgghjdushnjnmkjjdj;jk;kd;kf;dodfdvfv Yvan Delorme En 2007, le SPVM s’est doté d’un Plan directeur triennal dans le but de répondre ensemble et de manière cohérente aux défis que présentent les gangs de rue. L’ensemble des unités doit se doter d’un plan d’action local basé sur les orientations stratégiques du Service. Comité directeur SPVM : Orienter, développer et assurer une coordination des diverses stratégies et moyens mis en place pour prévenir et combattre la criminalité des gangs de rue : Comité de coordination GDR/MAS : Favoriser et améliorer la concertation des activités d’enquête ; Banque de données corporatives : Fournir un portrait global de la prestation de services et de l’état de situation du phénomène des gangs de rue sur le territoire. SIAD : système intégré de saisie de données Armes à feu : création d’un îlot spécifique aux armes à feu afin de comptabiliser les données Classification des gangs de rue : nous avons déterminé une grille de classification des critères d’appartenance aux gangs de rue qui inclut cinq niveaux différents qui s’inscrivent dans un processus de gradation au niveau de l’agir délictueux et de la capacité criminelle des groupes.

10 Plan directeur gangs de rue
Vision Être engagé à prévenir et combattre la criminalité des gangs de rue Travailler en synergie avec ses partenaires Défis Portrait réel et évolutif Stratégies d’intervention efficaces et adaptées Agir en amont sur la jeunesse Cueillette et partage de l’information et du renseignement Orientations stratégiques 1. Initiatives efficientes et cohérentes 2. Connaissances et compréhension 3. Cohésion et mobilisation Objectifs stratégiques 1.1 Opérations et interventions de répression 1.2 Stratégies de prévention 1.3 Stratégies de communication 2.1 Meilleures pratiques 2.2 Renseignement et connaissances criminelles et sociales 2.3 Évaluation des initiatives 3.1 Partenariats et réseaux 3.2 Approche concertée 3.3 Responsabilisation et appropriation Vision : Le SPVM est engagé à prévenir et combattre la criminalité des gangs de rue. Il travaille en synergie avec ses partenaires des milieux publics, institutionnels et communautaires ainsi que les citoyens pour relever les défis que présentent les gangs de rue. Défis : Obtenir un portrait réel et évolutif des gangs de rue Développer des stratégies d’intervention efficaces et adaptées à la réalité des gangs de rue Agir en amont sur la jeunesse et éviter leur adhésion aux gangs de rue en maintenant des partenariats avec l’ensemble des intervenants interpellés et en favorisant le travail en concertation sur la problématique Se doter de mécanismes de cueillette et de partage de l’information et du renseignement qui soient pratiques et efficients pour les partenaires internes et externes au SPVM Orientations stratégiques et objectifs stratégiques Mise en place d’initiatives efficientes et cohérentes avec la lecture de la criminalité et de l’organisation des gangs de rue. 1 Effectuer des opérations et des interventions de répression pour contrer les gangs de rue 1.2 Développer et mettre en place des stratégies de prévention pour éviter la victimisation et l’adhésion des jeunes aux gangs de rue et soutenir les jeunes, leurs familles et les victimes selon leur degré d’implication 1.3 Développer des stratégies de communication pour faire connaître et comprendre la réalité des gangs de rue et les mesures prises par le SPVM Développement des connaissances et de la compréhension de l’organisation des gangs de rue. 2.1 Rechercher les meilleures pratiques en matière d’intervention sur les gangs de rue 2.2 Maintenir à jour le renseignement et les connaissances criminelles et sociales relatives aux gangs de rue 2.3 Évaluer les initiatives mises en place et les réajuster sur la base de leur impact Renforcement de la cohésion de l’intervention en matière de gangs de rue et mobilisation avec les partenaires. 3.1 Maintenir des partenariats et des réseaux avec l’ensemble des intervenants internes et externes interpellés par la problématique des gangs de rue 3.2 Se doter d’une approche concertée en matière de gangs de rue 3.3 Élaborer des stratégies visant la responsabilisation et l’appropriation des intervenants et des citoyens face à la criminalité « gangs de rue » et à la prise en charge de la problématique de la jeunesse dans les quartiers

11 Approche intégrée du SPVM
5 Comment cela se traduit ? S’appuyant sur quatre axes d’intervention, le SPVM travaille à préserver le sentiment de sécurité des citoyens de l’île de Montréal Responsabilité partagée Concrètement maintenant Approche collective, vise la collaboration et la vigilance des parents, de la famille, des éducateurs et des intervenants des milieux communautaires et scolaires, sont primordiales, groupe de vigie.

12 Les 4 axes d’intervention
Répression Prévention Communication Recherche L’ensemble des projets doit tenir compte, dans leur développement, de l’élaboration de stratégies qui visent les 4 axes.

13 Prévention Définition : Trois principales stratégies :
Mesure d’anticipation pour empêcher qu’une situation ou un état de choses indésirables ne se produise. Trois principales stratégies : Éducation Développement Aménagement du milieu Clientèle ciblée : Jeunes : en général et à risque Parents Intervenants : scolaires, communautaires, etc. Partenaires locaux : scolaires, communautaires, etc. Définition du SPVM La stratégie préventionnelle est une mesure d’anticipation pour empêcher qu’une situation ou un état de choses indésirable ne se produise. Cet axe a pour but d’accroître les habiletés chez une population cible, soit en relation avec les situations liées aux gangs de rue, soit en rapport aux situations générales de vie et d’adapter le milieu de vie à cet égard. Cet axe inclut trois principales stratégies : l’éducation, le développement et l’aménagement du milieu. Trois principales stratégies : Éducation : accroître les habiletés personnelles relatives aux situations liées à la problématique identifiée. Développement : accroître les habiletés liées aux situations générales (stratégies qui visent le personnel). Aménagement : améliorer de façon générale les conditions de vie par des mesures physiques afin de rendre le quartier plus agréable et moins dangereux. Clientèle ciblée : Jeunes : En général (9-12 ans) et À risque ; Parents ; Intervenants : Scolaires ; Communautaires ; Partenaires locaux : Scolaires ; Communautaires ; Postes de quartier

14 Prévention Principales unités concernées : Bilan :
Local : Postes de quartier Régional : Section intervention jeunesse et prévention (SIJP) Corporatif : Section des stratégies d’action avec la communauté Bilan : En 2007, plus de jeunes, parents et intervenants ont été rencontrés. Local (par les PDQ) Entre autres : activités avec les partenaires du milieu scolaire ou municipal 64 projets sont initiés localement, en plus des projets corporatifs et/ou régionaux. Environ 30% de ces projets traitent directement du phénomène des gangs de rue, les autres étant des activités de rapprochement avec la communauté, des problématiques connexes ou des activités sportives. Ex. : rencontres dans les classes, organisations d’activités sportives structurées, jumelage avec des policiers Régional (par les SAC régionales) Entre autres : Activités qui touchent une communauté plus large, support aux postes de quartier Ex. : Projet Le parent, un allié essentiel, capsules dans les radios communautaires ciblées Corporatif (par la SSAC) Entre autres : activités corporatives, développement d’outils. 26 projets dont environ la moitié sont en lien direct avec le phénomène des gangs, les autres traitant de problématiques connexes (ex. : violence, intimidation, etc…) Ex. : Distribution des pièces de théâtre Le Prince Serpent, qui seront utilisées localement et régionalement, Camps Beaux, jeunes et forts…à l’académie de police, support pour le travail avec les propriétaires d’endroits licenciés (AVANCE) Ce sont des activités qui sont majoritairement de type « éducation/sensibilisation/information » et incluent des activités de communication. Lors d’une opération « intégrée » (4 axes), elles visent entre autres à rétablir le sentiment de sécurité des citoyens ( ex. : projet ABAT). De plus, les activités de prévention et/ou relations avec la communauté sont présentes tout au long de l’opération, soit avant, pendant et après la répression policière, par exemple par du porte-à-porte auprès des citoyens. L’évaluation des activités de prévention, le support/suivi avec les victimes et les témoins ainsi que la prévention de la victimisation sont à développer Bilan : En 2006, c’est jeunes, parents et intervenants qui ont été rencontrés. En 2007, personnes rencontrées : jeunes ; 7600 parents ; 1945 membres du personnel scolaire ; 1470 intervenants du milieu communautaire ;

15 Répression Définition : Principales stratégies :
Agir sur les individus par des mesures limitatives et par le cadre législatif qui fait appel à la force de dissuasion. Principales stratégies : Renforcement de la cible Visibilité Enquête Renseignement Création d’un comité de coordination : Assurer la cohésion entre les diverses unités concernées et l’application des stratégies. Définition : la répression inclut des mesures coercitives basées sur le profilage criminel visant à maintenir le sentiment de sécurité et à contrôler la criminalité. Cette stratégie tente d’agir sur les individus par des mesures limitatives et le cadre législatif (lois et règlements) qui fait appel à la force de dissuasion (probabilité d’être arrêté, sévérité des peines encourues, loi antigang, etc.); La répression est plus que nécessaire lorsqu’il est question des gangs de rue majeurs. Principales stratégies : Renforcement de la cible ; Visibilité ; Enquête ; Renseignement. Création du Comité de coordination gangs de rue / Moralité, alcool, stupéfiants

16 Répression Principales unités concernées : Arrestations Perquisitions
Local : Postes de quartier Régional : SIJP et Section moralité, alcool, stupéfiants Corporatif : Divisions du Crime organisé et du Renseignement Bilan : 2006 2007 2008* Arrestations 1538 1322  222  Perquisitions 90 170 98  Projets d'enquêtes 213 305  115  Local : Renforcement de la cible : Identification de lieux prioritaires en collaboration avec les analystes tactiques régionaux afin d’y accentuer l’intervention policière ; Visibilité policière : Assurer le respect des conditions émis par la Cour sur certains sujets d’intérêt ; Accentuer la présence policière près des lieux identifiés comme étant prioritaires ; Enquête : Donner une priorité aux enquêtes de gangs de rue. Régional : Principales sections concernées : Intervention jeunesse : MAS (Moralité, alcool, stupéfiants) : Objectifs : Initier des enquêtes de 2e niveau sur les activités des jeunes émergents ; Supporter les postes de quartier en fonction des problématiques ; Effectuer des analyses tactiques pour permettre l’identification des cibles opérationnelles. Corporatif : Principales divisions concernées : Division du Crime organisé : Supporter les régions dans les projets d’enquête d’envergure qui nécessitent leur expertise ; Initier des enquêtes de 3e niveau qui ciblent les têtes dirigeantes ; * Projet Abat : plusieurs membres ont été reconnus coupables de gangstérisme au sens de la loi. Division du Renseignement : Collaborer dans les projets d’enquête ; Déterminer les cibles opérationnelles ; Produire régulièrement des états de situation en matière de gangs de rue. Bilan : Bilan ensemble des interventions en matière de gangs de rue : Année 2006 : 1538 Arrestations reliées gangs de rue ; 90 Perquisitions ; 213 Projets d’enquête ; Année 2007* *En date du 31 août 2007 : 916 Arrestations reliées gangs de rue ; 156 Perquisitions ; 256 Projets d’enquête. *En date du 20 mai 2008

17 Communication Définition : Principes directeurs : Deux volets :
Augmenter les connaissances Renforcer le sentiment de sécurité Modifier les attitudes Principes directeurs : Information Concertation Responsabilisation Deux volets : Sensibilisation Définition : Augmenter les connaissances sur le phénomène gangs de rue ; Renforcer le sentiment de sécurité, de modifier les attitudes ; Assurer la collaboration et éventuellement d’influer sur les intentions d’action d’un auditoire cible ; Le principal objectif de l’axe de communication est d’informer et de sensibiliser les policiers, les élus, les partenaires, les parents, les jeunes et la population en général en vue de mieux intervenir collectivement face au phénomène des gangs de rue. Principes directeurs Information : Démontrer les efforts consentis pour assurer la sécurité Diffuser une information uniformisée et cohérente Assurer la convergence des messages entre les différents intervenants. Tenir des activités de presse pertinentes et appropriées, de façon proactive. Concertation : Rallier les partenaires internes et externes ainsi que les élus autour d’orientations communes. Mettre en commun les ressources et l’information. Maintenir la confiance de la population. Responsabilisation : Promouvoir la mobilisation. Renforcer la communication de gestion. Assurer une image crédible et responsable. Deux volets : information (au niveau des connaissances), sensibilisation (au niveau des attitudes, modification du comportement)

18 Communication Principales stratégies : Interne : Externe :
Tenir le personnel informé de l’évolution du phénomène et des plans d’intervention Faire connaître les bonnes pratiques Externe : Faire connaître le phénomène et les actions prises par le SPVM Sensibiliser au rôle que chacun peut jouer Éviter le traitement médiatique sensationnaliste Les moyens Différents moyens de communication sont utilisés pour communiquer avec nos publics. Par exemple : Rencontres à l’interne et à l’externe (depuis le début de l’année 2007 (données jusqu’au 31 août), nous avons réalisé près d’une centaine de rencontres d’information à l’externe, (majoritairement avec nos partenaires) ; Présentations dans le cadre de conférences, comités; Productions écrites (ex. : dépliant de prévention pour les jeunes, bulletin d’information pour le personnel). Activités de presse : communiqué, conférences de presse; participation à des émissions radio ou télé. Deux fois par année, rencontre avec les médias pour faire un état de la situation, rappeler des messages de prévention, mobiliser la population. Participent également à ces rencontres soit des partenaires, des chercheurs ou des intervenants en prévention. Interne : Moyens : bulletin Gangs de rue, rencontres d’information ; Externe : Moyens : activités de presse, non-publication de photos d’individus reliés gangs de rue.

19 Recherche Description : Deux volets :
Cette stratégie inclut l’ensemble des activités et travaux scientifiques permettant de mieux connaître et intervenir sur le phénomène des gangs de rue. Deux volets : Évaluation par projet local, régional ou corporatif Développement de la connaissance

20 Recherche Les trois temps de l’évaluation par projet :
Diagnostic avant-projet / lecture de l’environnement Évaluation de l’opération Évaluation de l’impact Le développement de la connaissance : Connaissance des réseaux Connaissance des carrières criminelles Étude de victimisation Les prochains projets mentionnés ont été scientifiquement évalués Le projet ABAT 2005: Évaluation du sentiment de sécurité (900 personnes interviewées) Évaluation de la criminalité pré et post projet Identification de secteur à couvrir pour une prochaine intervention Le projet Avance: Évaluation sur 2 ans confirmant l’efficacité de l’approche La vidéosurveillance: Évaluation de l’outil « vidéosurveillance » chaque année depuis la première implantation en 2004 Diagnostic de 5 quartiers prioritaires d’intervention (diagnostic avant-projet) Identification des meilleures pratiques 2005 Revue de littérature sur les meilleures pratiques 2006 En 2007 et 2008, les efforts seront concentrés sur la connaissance des réseaux criminels gangs de rue dans le but de développer la capacité d’anticipation du SPVM quant à l’évolution des gangs de rue à Montréal. De plus, la Section recherche et planification du SPVM consolide les liens de partenariat avec l’Université de Montréal (1 professeur et 4 étudiants participent aux activités de recherche).  Dans le but d’influencer les gestionnaires sur leurs décisions quant aux mesures à prendre pour prévenir et contrer le phénomène des gangs de rue.

21 Stratégies policières
6 Visibilité policière: Vidéosurveillance Projet Avance Unité Eclipse Enquêtes policières: Sans frontières Abat Satellites

22 Vidéosurveillance Mis en place en 2004 Description :
Visibilité policière Vidéosurveillance Mis en place en 2004 Description : Installation de caméras aux endroits problématiques Créer un effet dissuasif Effectuer des interventions répressives, lorsque nécessaire Évaluer annuellement Types de criminalité visés : Reliée aux gangs de rue Reliée à la vente et au trafic de stupéfiants De violence Installations à des endroits problématiques (gangs de rue, violence) Recherche l’effet dissuasif 5 sites visés avec un total de 24 caméras Confronté à une problématique importante de vente et de trafic de stupéfiants dans le centre-ville de Montréal, plus précisément dans les limites du poste de quartier 21 de l’arrondissement Ville-Marie, le Service de police de la Ville de Montréal met de l’avant son projet de vidéosurveillance le 1er mai 2004 en tant qu’outil complémentaire de prévention et de répression de la criminalité. Conscient de ses obligations et de la rigueur avec laquelle le dossier de vidéosurveillance devait être traité, le SPVM s’est doté de 10 principes directeurs, inspirés des 20 règles de la CAI, que vous retrouverez aussi en annexe. En effet, de 4 caméras sur un seul site, la vidéosurveillance s’étend dorénavant à 5 sites avec un total de 24 caméras actives. Six cadets-policiers effectuent du visionnement en direct dans un local prévu à cette fin, au quartier général, et qui comprend trois postes de travail distincts. L’observation en direct s’effectue, mais à des heures ciblées où la criminalité est la plus importante, soit de 20h00 à 04h30. Aucune des caméras de surveillance du projet de vidéosurveillance n’est équipée de son d’ambiance. Nous ne pouvons donc ni écouter, ni entendre, ni transmettre quelque information que ce soit. À noter que la rétention des images est de 7 jours.

23 Projet Avance (en 2007) Description : Moyen utilisé : Effectif :
Visibilité policière Projet Avance (en 2007) Description : Prévenir / Réprimer / Cumuler du renseignement Approche intégrée et évaluée scientifiquement Axé sur la visibilité policière aux endroits ciblés Moyen utilisé : Équipe corporative mobile : Visites d’endroits licenciés ciblés Enquêtes sur les individus reliés aux gangs de rue Lien avec le Renseignement Effectif : 46 policiers (40 policiers, 4 sergents, 2 commandants) 7/7 jours, 18h30 à 4h00 Objectif principal : intensification des interventions et unification des ressources pour prévenir, contenir et intervenir sur les activités de violence reliées aux gangs de rue. Objectifs spécifiques : Maintenir un sentiment de sécurité Assurer la paix publique Diminuer la violence dans des endroits ciblés Moyen utilisé : Formation d’une équipe corporative mobile, capable de répondre à un besoin de visibilité et d’intervention rapide et efficace Le projet Avance: Évaluation sur 2 ans confirmant l’efficacité de l’approche Projet Avance : (pour la période du 24 mai au 28 août) 206 arrestations 2014 personnes enquêtées 1703 véhicules enquêtés 577 visites de commerces et d’endroits licenciés

24 Visibilité policière Unité Eclipse Projet d’une équipe de 50 membres pour les 5 prochaines années ( ). Budget additionnel de 37 millions. Objectif principal : intensification des interventions et unification des ressources pour prévenir, contenir et intervenir sur les activités de violence reliées aux gangs de rue. Objectifs spécifiques : Maintenir un sentiment de sécurité Assurer la paix publique Diminuer la violence dans des endroits ciblés Moyen utilisé : Formation d’une équipe corporative mobile, capable de répondre à un besoin de visibilité et d’intervention rapide et efficace Le projet Avance: Évaluation sur 2 ans confirmant l’efficacité de l’approche Projet Avance : (pour la période du 24 mai au 28 août) 206 arrestations 2014 personnes enquêtées 1703 véhicules enquêtés 577 visites de commerces et d’endroits licenciés

25 Sans Frontières Créée en 2003 Policiers de différents corps de police
Enquêtes policières Sans Frontières Créée en 2003 Policiers de différents corps de police Mandat : Effectuer des enquêtes de 3e niveau sur les têtes dirigeantes (en considérant les gangs de rue comme étant des organisations criminelles). Intègre les Services a la communauté (projet conjoints), personnel assigné a la Division du crime organisé.

26 Sans Frontières Avantages: Défi:
Enquêtes policières Sans Frontières Avantages: Méthode et pratique policière augmentée Répartition des coûts Augmentation des ressources Défi: Uniformisé nos règles et méthodes

27 Projet Abat Description : Jugement / Jurisprudence :
Enquêtes policières Projet Abat Description : Démanteler un réseau de trafiquants et de revendeurs Approche intégrée Évaluation scientifique : Sentiment de sécurité des citoyens Criminalité Identification des endroits cibles Jugement / Jurisprudence : Premier procès au Canada où des membres de gangs de rue ont été reconnus coupables de gangstérisme au sens de la loi. Démanteler un groupe de particulier de trafiquants et de revendeurs étroitement associé aux gangs de rue qui dominent le marché de stupéfiants au sein des communautés haïtiennes et jamaïcaines. Le projet ABAT 2005: Évaluation du sentiment de sécurité (900 personnes interviewées) Évaluation de la criminalité pré et post projet Identification de secteur à couvrir pour une prochaine intervention Premier procès au Canada : confirmé avec Me St-Jean (lutte au crime organisé)

28 Utilisation de l’écoute électronique
Plus de 100,000 conversations interceptées: Créole (80%) Français Anglais Somalien

29 Tendances 7 Le UN gang (Gangs hybrides) United nation gang La multiethnicité des gangs Utilisation accrue d’internet pour promouvoir des messages de violence ou recrutement Meurtre en 2007 Intimidation entre eux Recrutement: juvénile et exploitation sexuelle Pratique gagnante à Toronto

30 Tendances La durée de l’adhésion aux GDR -La carrière perdure
L’intimidation -Le plan de lutte (Policiers-Procureurs-Agents correctionnels) La conquête de territoire -Affrontement

31 Tendances L’apparition de gangs latinos -MS13 + Mara 18 -CLICA

32 Principaux enjeux 8 Agir en amont sur la jeunesse afin de prévenir son adhésion aux gangs de rue S’assurer que Montréal demeure une ville sécuritaire Mobiliser l’ensemble des intervenants Pour s’assurer que Montréal demeure une ville sécuritaire, la question du financement prend toute une importance … Parler de l’importance de la prévention auprès des jeunes, leur démontrer l’envers de la médaille (notamment avec l’utilisation de porte-parole) La question du financement (13,4 millions en 2006), mais aussi les besoins en ressources humaines

33 Chacun peut faire la différence
Critères de succès 9 Appropriation Engagement Connaissance Décloisonnement Chacun peut faire la différence L’importance de s’approprier la vision, les orientations et les objectifs spécifiques en partageant la responsabilité d’assurer une vigie sur les gangs de rue ; Mise en commun des ressources ; Partage de l’information et du renseignement ; Renforcement des liens de collaboration.

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