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La fiabilité.

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Présentation au sujet: "La fiabilité."— Transcription de la présentation:

1 La fiabilité

2 L’observation: la fiabilité
permet de vérifier par d’autres observateurs l’objectivité des mesures  calcul d’un coefficient ou pourcentage de fiabilité ou accord inter observateur (Baer, 1977) différents calculs en fonction de la méthode de cotation utilisée : enregistrement d’événements = [(plus petit total observé) / (le plus grand)] * 100 enregistrement d’intervalles = idem mais pour chaque intervalle accord entre 2 observateurs = [accord / (accord+désaccord)] * 100

3 L’observation: la fiabilité
Enregistrement événements: Calcul: 23/25*100 = 92%

4 L’observation: la fiabilité
Enregistrement d’intervalles: Exemple de calcul: 3/5 = 0,6

5 L’observation: la fiabilité
Accord entre 2 observateurs: Calcul: 4/6*100 = 66,67 %

6 L’observation: la fiabilité
attention, le but principal est de vérifier que les observateurs cotent le(s) même(s) comportement(s) pour améliorer la fiabilité : généralement : coefficient >= 90% si < 90% revoir la définition du comportement, définir précisément la tâche de l’observateur, simplifier le codage, un environnement trop riche peut perturber l’observateur…

7 L’observation: la fiabilité
Kazdin (1977) précise que plusieurs sources peuvent affecter la fiabilité inter observateur : la réactivité  la dérive de l’observation la complexité du système de codage les attentes des observateurs Une fois les données collectées, il faut présenter ces résultats sous forme de graphes…

8 L’observation: conclusion
déterminer et définir précisément les comportements à observer, fixer les objectifs choisir un système d’observation adapté collecter les données : « un maximum de données en un minimum de temps »  construire une grille d’observation efficace fiabilité = étape nécessaire pour publier les données de façon large (parents, éducateurs, administration…)

9 L’analyse appliquée du comportement
Partie 2

10 Quelques rappels Principe : tout comportement est inscrit dans un environnement recherche des relations entre le comportement et l’environnement Contingence à 4 termes : Stimulus discriminatif  comportement  conséquence(s) Le tout s’inscrit dans un environnement spécifique action sur ce qui précède ou ce qui suit le comportement

11 Quelques rappels Augmentation fréquence d’apparition
Diminution fréquence d’apparition Ajout Renforcement positif (stimulus appétitif) Punition positive (stimulus aversif) Retrait Renforcement négatif (stimulus aversif) Punition négative (stimulus appétitif)

12 Quelques rappels Tester les hypothèses à propos des relations
fonctionnelles entre les antécédents, le comportement cible et les conséquences.  choix de l’intervention la plus adaptée afin de modifier le ou les comportements problèmes.

13 L’analyse fonctionnelle
Les comportements peuvent avoir la même fonction et une topographie totalement différente. Grâce à l’analyse fonctionnelle, on ne se focalise pas seulement sur la forme du comportement mais surtout sur sa fonction. Ainsi, l’analyse d’un trouble du comportement est réalisée en termes d’antécédents et de conséquences

14 L’analyse fonctionnelle
4 phases importantes pour réaliser une AF: sélection et définition du comportement cible recherche des événements antécédents fonctionnellement reliés au comportement cible génération d’hypothèses concernant la nature des contingences qui maintiennent le comportement cible, les événements à l’origine ou le contexte évaluation de ces hypothèses avant l’intervention

15 L’analyse fonctionnelle
Sélection et définition du comportement cible Définir précisément le comportement cible Rechercher les types de relations potentielles qui peuvent exister entre les comportement et les processus qui le maintiennent Identifier les différentes formes ou topographies du comportement qui peuvent être maintenues par différents processus

16 L’analyse fonctionnelle
2. Recherche des événements antécédents Définir de façon opérationnelle les comportements ou antécédents supposés responsables du maintien du comportement cible Attention, écarter les causes physiologiques et neurologiques ainsi que les causes internes ou les états émotionnels Existe différents types d’antécédents: La frustration Sous-stimulation Sur-stimulation

17 L’analyse fonctionnelle
Les différents types d’antécédents: La frustration = incapacité à réussir une tâche permettant l’accès à des renforçateurs naturels ou artificiels La sous-stimulation = Manque de stimulation (ignorer l’enfant ou environnement pauvre) La sur-stilulation = Sur-stimulation (trop de stimulation peut favoriser des comportements inappropriés)

18 L’analyse fonctionnelle
Les fonctions principales des comportements: L’attention Échappement/évitement Stimulation sensorielle

19 L’analyse fonctionnelle
L’attention: Apports de renforcement positifs Utilisation de tous les moyens de communications possibles pour y accéder. Cris, pointage, langage, comportements d’auto-mutilation

20 L’analyse fonctionnelle
Éviter ou échapper à une situation aversive : Pour éviter ou échapper à une tâche Du fait de stimuli internes (mal de tête, etc.). IMPORTANT = vérifier par analyse fonctionnelle si l’échappement ou évitement = 1 ou 2

21 L’analyse fonctionnelle
Renforcement automatique : Renforcement obtenu de façon automatique par l’enfant lui même Pour se stimuler : renforcement positif Pour réduire la douleur : renforcement négatif On vérifie si le comportement n’est pas relié aux contingences sociales Mener des observations  persistance du comportement en l’absence d’interaction sociale

22 L’analyse fonctionnelle
Les étapes: Mesurer le comportement de l’enfant Les mesures indirectes L’entretien Les échelles de mesures du comportement Les méthodes d’observations directes La mesure scatter plot La méthode ABC Proposer une hypothèse et vérifier sa validité

23 L’analyse fonctionnelle
L’entretien: la topographie. la fréquence. la durée.  l’intensité. l’impact des comportements inappropriés. la situation actuelle (médicaments, problèmes médicaux, cycles de sommeil, alimentation et régime, programmes des activités journalières, etc.) les événements spécifiques (moment de la journée, activité, nom de l’éducateur en charge de l’enfant). les conséquences environnementales. les stratégies alternatives de communication utilisées par l’enfant dans le contexte des activités quotidiennes. les renforçateurs potentiels…

24 L’analyse fonctionnelle
Les échelles de mesure: les variables utilisées sont : le renforcement sensoriel (lorsque le comportement apparaît, la personne semble calme ou inattentive à ce qui se passe autour d’elle ?) le renforcement social positif (le comportement apparaît–il lorsque vous parlez à une autre personne ?). le renforcement social négatif (le comportement apparaît-il lorsque vous demandez de réaliser une tâche difficile  ?). le renforcement positif tangible (le comportement est-il stoppé lorsque vous donnez à la personne un jouet, de la nourriture ou que vous faites une activité avec elle ?).

25 L’analyse fonctionnelle
La mesure scatter plot

26 L’analyse fonctionnelle
Méthode ABC (A « Antecedent », B « Behavior » et C « Consequence ») fondée sur l’observation directe de l’enfant et sur l’enregistrement des données anecdotiques au cours de plusieurs périodes d’observation.

27 L’analyse fonctionnelle
Les procédures de l’AF: Condition « attention » Condition « demande » Condition « seul » Condition « jeu »

28 L’analyse fonctionnelle
Condition « attention » La fonction du comportement inapproprié obtenir un renforçateur On ne prête attention à l’enfant uniquement lorsqu’il émet le comportement cible Si la fonction = attirer l’attention alors augmentation de ce comportement

29 L’analyse fonctionnelle
Condition « demande » Fonction = Échapper à certaines consignes ? On présente à l’enfant la consigne aversive pour lui. Si celle ci provoque le comportement cible  on arrête de présenter la consigne. Si la fonction = échapper alors la fréquence devrait augmenter si elle est présentée.

30 L’analyse fonctionnelle
Condition « seul » Renforcement automatique ? Ou auto stimulation ? La situation ne fournit aucune activité, matériels, renforçateurs ou autre source de stimulation Si l’enfant s’engage dans le comportement cible alors la fonction = renforcement automatique

31 L’analyse fonctionnelle
Condition « jeu »: Condition contrôle Environnement riche et attention importante de l’adulte. Les comportements inappropriés doivent être faibles. Si le comportement cible apparaît, aucune conséquence explicite ne pourra en être responsable.

32 L’analyse fonctionnelle: conclusion
A l’aide de ces différentes phases, nous pouvons vérifier les hypothèses quant à la fonction des comportements inappropriés. Seule une AF menée à terme nous permet de conclure Nous devons avant de conclure vérifier scientifiquement les hypothèses posées

33 L’analyse fonctionnelle
L’analyse fonctionnelle permet de mettre en place des programmes précis : Réduction de troubles du comportement Développement de compétences Cognitives Sociales Motrices

34 Évaluation de l’intervention
La ligne de Base Plans à cas unique simples: Plans AB Plans ABAB

35 Évaluation de l’intervention
La Ligne de Base: Période pendant laquelle le comportement est observée mais aucune tentative de modification n’est mise en place 2 fonctions principales: Descriptive Permet de prédire l’évolution du comportement si l’intervention n’est pas mise en place Au moins 3 données pour estimer ATTENTION, elle doit être stable et fournir une représentation objective de la situation  2 éléments importants: stabilité et tendance de la LB

36 Évaluation de l’intervention
La Ligne de Base: conclusion une LB ascendante  traitement ok si le but est de réduire l’apparition du comportement de la même façon, une LB descendante  intervention si le comportement doit être augmenté les tendances nous révèlent des informations importantes et utiles : une augmentation peut indiquer que le comportement est renforcé ; de même, une diminution nous indique que des contingences d’extinction ou de punition sont présentes naturellement quand LB relativement stable, on peut mettre en place l’intervention et pour mesurer ses effets, différents plans d’expérience pourront être utilisés.

37 Évaluation de l’intervention
Plans AB: plan à cas unique de base, représente la condition « LB » suivie par la condition « traitement » limite : ne prouve pas scientifiquement l’effet du traitement Exemple : pour certains comportements pas de retour en LB est suffisant lorsque l’objectif est d’augmenter les capacités ou d’améliorer l’adaptation de l’enfant  avantage : simplicité, il fournit aux parents et éducateurs un moyen rapide de pouvoir comparer les observations avant et après une intervention

38 Évaluation de l’intervention
Plans AB: Figure 1 : graphe de fréquence simple : effets de l’intervention.

39 Évaluation de l’intervention
Plans ABAB: répond complètement au principe de réplication (LB+TTT) grand pouvoir de démonstration expérimentale du lien de cause à effet : permet de mettre en évidence les effets de l’intervention (la variable indépendante)  on compare les données obtenues en LB et celles obtenues lors de l’intervention et ainsi on vérifie les effets de celle-ci : la relation entre les variables dépendantes et indépendantes.  deux phases de LB (A) et deux de traitement (B)

40 Évaluation de l’intervention
Plans ABAB: Figure 2 : graphe de plan ABAB (données hypothétiques)

41 Évaluation de l’intervention
Plans ABAB: Cooper (1981)  trois éléments à prendre en compte avant de pouvoir affirmer l’efficacité de l’intervention: La prédiction : être capable de proposer une prédiction claire Vérification de la prédiction Réplication de l’effet : la réintroduction de la VI pendant la seconde phase B devra faire apparaître les mêmes changements de comportement

42 Évaluation de l’intervention
Plans ABAB: Vous pouvez répéter ce type de plan de nombreuses fois: ABABABABABABABAB Rarement nécessaire. Une seule réplication est souvent suffisante Par contre : Pas adaptée à toutes les interventions Si intérêt = trouble du comportement  impossible d’un point de vue éthique Si comportement = non réversible  impossible

43 Évaluation de l’intervention: conclusion
Intérêt de l ’intervention comportementale = mise en évidence de la pertinence du traitement utilisé Utilisation de plans expérimentaux Plans AB = base de toute intervention Plans ABAB = relation fonctionnelle entre VI et VD


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