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EUROVAL PLUS FCP Actions Européennes « Situations Spéciales » Mars 2008.

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1 EUROVAL PLUS FCP Actions Européennes « Situations Spéciales » Mars 2008

2 2 Sommaire 1. Politique de Gestion 2. Méthodologie de Gestion 3. Les chiffres clés 4. Caractéristiques du fonds 5. Revue de Presse succincte 6. Annexes

3 3 1. Politique de Gestion EUROVAL PLUS est un fonds actions européennes (zone Euro- éligible au PEA) dont lobjectif est une performance supérieure à celle de l EUROSTOXX 50. Approche « bottom up » de sélection de valeurs : – susceptibles de bénéficier des effets dune restructuration – fortement sous-valorisées par rapport à leur valeur intrinsèque – pouvant faire lobjet dune opération sur le capital : OPA,OPE...

4 4 a) Les sociétés en restructuration : cibles potentielles Événements déclencheurs : crise financière, crise sectorielle… Conséquences sur le cours : – Perte de confiance des actionnaires – Ventes massives des titres – Fort décalage des cours Solutions pour lentreprise: se restructurer – Quelle que soit la forme de la restructuration, lobjectif est quelle permette à lentreprise de survivre et de se redéployer : Nouveau management Assainissement ou restructuration du passif Rationalisation de l outil de production Réduction des coûts Recentrage sur l activité la plus créatrice de valeur...

5 5 a) Les sociétés en restructuration: cibles potentielles Notre démarche de sélection des valeurs – Identifier les problèmes confrontés Exogènes : Marchés, secteur, tiers... Endogènes : management, endettement, outil de production... – Analyser la stratégie de l entreprise – Étudier la faisabilité des solutions envisagées Les restructurations sont-elles en rapport avec les problèmes confrontés? Les restructurations permettront-elles à l entreprise de se redéployer? Y aura t-il création de valeur? La valorisation actuelle permettra t-elle une marge d appréciation significative? – Timing de l investissement et objectif de valorisation Fixer un niveau de cours pour l achat et pour la vente Investir avant lannonce de la restructuration effective afin de mieux profiter de l appréciation du cours Attention aux faux départs! Certaines situations difficiles nécessitent plusieurs rounds de restructurations (augmentation de capital, refinancement…). Il convient d essayer de viser le dernier round.

6 6 a) Les sociétés en restructuration: cibles potentielles Quelques exemples de sociétés en restructuration détenues (ou ayant été détenues) en portefeuille Alstom Abb Alcatel Altran Bull Cap Gemini César Converium Holding Atos Origin Ericsson Groupe Open Karstadt Quelle Marsh MC Lennan Osiatis Penauille Polyservices Rhodia Scor Vivendi

7 7 b) Les sociétés sous-valorisées : cibles potentielles Le marché financier évolue par phases. – Lors de celles-ci, certaines valeurs sont sous-valorisées et certaines survalorisées, notamment du fait dun effet mode (par exemple : décote des holdings qui peut évoluer de 40% à 0%). Notre stratégie consiste à investir dans ces valeurs sous- valorisées avant que le marché ne corrige les écarts. Démarche axée sur le concept de « Value ». – Il sagit de faire la différence entre la valeur et le prix Les marchés ne sont pas parfaits, les valorisations ne reflètent pas toujours la valeur de lentreprise. Cette méthode permet de résister aux excès de marché et d éviter les pires erreurs. – Nous sélectionnons les valeurs à laide dindicateurs d évaluation... Le PER Les multiples de CA et d EBIT Le rendement, la récurrence des cash-flows Capitalisation/Actif net réévalué

8 8 b) Les sociétés sous-valorisées : cibles potentielles – …à laide d informations essentielles L évolution des valorisations dans le temps Les parts de marché Engagements hors bilan Clarté et fiabilité de linformation financière Qualité et participation du management dans le capital – Nous recherchons les éléments expliquant la faible valorisation des valeurs sélectionnées et nous les comparons à leur secteur. – Nous analysons les capacités de lentreprise à réaliser les objectifs attendus compte tenu de son management et de lenvironnement économique, sectoriel et financier de lentreprise. – Nous recherchons les événements (catalyseurs) pouvant contribuer à une revalorisation de la société: Événements exogènes : changement de cycle économique, contexte monétaire, environnement sectoriel... Événements endogènes : mouvements dans lactionnariat, nouveau management, restructuration de l endettement...

9 9 c) Les sociétés susceptibles de faire lobjet dune opération sur le capital : cibles potentielles Contexte propice aux opérations sur le capital : – Les taux dintérêts sont relativement bas – Les valorisations des sociétés sont attractives – Certaines sociétés familiales sont susceptibles dêtre retirées de la côte. – Le désendettement des entreprises a été important – Les niveaux de ROE sont élevés en Europe : >16% (en 2007) – La morosité de la croissance rend la croissance externe comme seule alternative pour les entreprises – Les fonds de private equity regorgent toujours de liquidités.

10 10 c) Les sociétés susceptibles de faire lobjet dune opération sur le capital : cibles potentielles Objectif de notre stratégie : – Investir dans des valeurs susceptibles dêtre la cible d une opération sur le capital afin de bénéficier des plus values potentielles. Notre démarche: sélectionner les valeurs en analysant principalement – L actionnariat de l entreprise: bloc de contrôle, actionnariat diffus, possible sortie du majoritaire, conflits entre les actionnaires principaux, société familiale… – La taille de lentreprise – La valorisation de lentreprise et son positionnement sur le secteur (prédateur ou proie) – Le management de lentreprise: potentiel dévolution de la gestion – Lintérêt dune éventuelle opération: fiscal, comptable ou industriel... Cette stratégie nécessite danticiper la réaction des marchés afin de profiter de la hausse des cours et de limiter la perte au cas où rien ne se passe.

11 11 c) Les sociétés susceptibles de faire lobjet dune opération sur le capital : cibles potentielles Les OPA récentes ayant contribué à la performance du Fonds AcquéreurCible AS WATSON BNP PARIBAS Clayton Dubilier & Rice, Eurazeo, Merill Lynch Global Private Equity FRANCE TELECOM GAZ DE FRANCE GENERALI HBI KKR LOGICA STARWOOD CAPITAL SUEZ ALLIANZ IMPERIAL TABACCO PENAUILLE POLYSERVICES VIVENDI MARIONNAUD BANCA NAZIONAL DEL LAVORO GALERIES LAFAYETTE REXEL EQUANT SUEZ AMB GENERALI ELIOR PAGES JAUNES UNILOG LOUVRE ELECTRABEL AGF ALTADIS CFF RECYCLING NEUF CEGETEL

12 12 2. Méthodologie de gestion Un savoir faire : Christian GINOLHAC dispose de plus de 25 ans dexpérience de gestion. Ingénieur de Centrale Paris et MBA Membre de la SFAF et de lAGPP Ancien DG de la Banque Vernes Président de Gaspal Gestion Études approfondies des Business Plan – Dans les cas de restructurations lourdes, il pourra être fait appel aux compétences d analyse des équipes de private equity de QUILVEST. – Des rencontres avec les dirigeants des entreprises concernées sont également effectuées afin de confirmer les choix dinvestissement. Règles de gestion : – Fixation dun maximum de détention par ligne dans le fonds, afin de diversifier les risques : 4%. – Fixation d un stop-loss à 20% de baisse par rapport au prix de revient.

13 13 3. Les chiffres clés Performances du fonds depuis sa création Principales lignes actions au 31/03/2008

14 14 3. Les chiffres clés Répartition sectorielle (au 31/03/2008)

15 Répartition géographique du portefeuille action (au 31/03/2008 ) 15 3. Les chiffres clés

16 Répartition des actions détenues par capitalisation boursière (au 31/03/2008 ) 16 3. Les chiffres clés

17 17 4. Caractéristiques du fonds Code ISIN : FR0010072678 Valorisation : hebdomadaire Devise : Euro Frais de gestion : 2.20% Date de création : 28 Mai 2004 Objectif de gestion : Recherche de performance en valeur absolue, à moyen terme, supérieure à la progression de l Eurostoxx 50. Société de Gestion : – GASPAL Gestion Promoteurs : – GASPAL Gestion – QUILVEST Banque privée Dépositaire : – CM-CIC Securities FCP de droit français « Actions européennes », éligible au PEA

18 18 5. Revue de Presse succincte Les Echos, 30 avril 2008. Les fonds souverains pèsent 3.500 milliards de dollars « Armés de tels montants de liquidités, qu'ils n'ont pas à rembourser, les fonds souverains sont les nouveaux maîtres de cérémonie de la finance », estime un expert de Global Insight. La formidable croissance des fonds souverains ne se dément pas. Alors que l'Arabie saoudite se prépare à entrer dans le secteur en envisageant un fonds dotés d'un capital initial de 5,3 milliards de dollars, le rapport trimestriel du cabinet d'analyse Global Insight publié lundi évalue à 3.500 milliards de dollars en 2007 leur taille globale. Sur les trois dernières années, leurs réserves ont progressé en moyenne de 24 %. A ce rythme, indique le cabinet américain, la puissance financière de ces fonds d'investissement dépassera le produit intérieur brut des Etats-Unis en 2015, et celui de l'Union européenne d'ici à 2016. « Armés de tels montants de liquidités, qu'ils n'ont pas à rembourser, les fonds souverains sont les nouveaux maîtres de cérémonie de la finance, où ils prennent la place des «hedge funds» et autre fonds d'investissements, et outrepassent les banques centrales dans leur rôle de prêteurs internationaux de dernier ressort », a estimé Jan Randolph, responsable du risque souverain à Global Insight. Selon ce rapport, les fonds souverains ont injecté 80 milliards de dollars dans le secteur bancaire aux Etats-Unis en 2007. Les tensions inflationnistes qui se sont intensifiées dans la plupart des pays dotés de fonds souverains motivent l'investissement à l'étranger plutôt que sur le sol national. A l'échelle mondiale, 93 % des investissements ont été dirigés vers le secteur financier occidental. Mais les fonds s'intéressent de plus en plus au secteur minier et à l'énergie, relève le rapport. Rien qu'en janvier 2008, le montant total des acquisitions réalisées par des fonds souverains s'est élevé à 20,6 milliards de dollars, soit près du tiers des opérations de fusions-acquisitions de l'année 2007. La Chine, forte de ses réserves de change de quelque 1.700 milliards de dollars, reste le pays le plus puissant, son fonds souverain est doté d'environ 1.200 milliards de dollars. Suivent la Russie, le Koweït, Taiwan et le Brésil. Néanmoins, au cours des cinq dernières années, les pays ayant enregistré la plus forte croissance de leur fonds sont le Nigeria (+ 291 %), Oman (+ 256 %), le Kazakhstan (+ 162 %), l'Angola (+ 84 %), la Russie (+ 74 %) et le Brésil (+ 65 %).

19 19 5. Revue de Presse succincte La Tribune, 27 Septembre 2007 La vague de rachats d'entreprise a atteint des niveaux record ces dernières années. La consolidation de certains secteurs, l'émergence du private equity et la montée en puissance des pays émergents expliquent le phénomène.

20 20 5. Revue de Presse succincte La Tribune, 27 Septembre 2007 (suite) Trois facteurs expliquent le phénomène, motivé par la nécessité de créer de la valeur. D'une part, les opérations de consolidation dans l'ensemble des F&A sont devenues majoritaires, passant de 48,7 % en 2000 à 71,4 % en 2006. " La consolidation, c'est-à-dire la fusion dans un même secteur, est une spécificité de la nouvelle vague, après celle d'Internet ", remarque Jérôme Hervé, vice-président au bureau de Paris du Boston Consulting Group. Ce mouvement de consolidation est avant tout guidé par les synergies dans la structure des coûts des entreprises et est soutenu par le phénomène de la mondialisation, de la tendance à la déréglementation et de la bonne trésorerie d'un grand nombre de sociétés. D'autre part, le rôle croissant joué par le private equity (PE) : la part de ces acteurs dans la valeur totale des transactions est passée de 6 % à 24 % entre 1996 et 2006. En 2000, ils intervenaient à hauteur de 160 milliards de dollars, en 2006, à 650 milliards de dollars. Réputé disposer de moyens financiers leur permettant d'acquérir au prix fort leur proie, les sociétés de PE paient comparativement moins cher leurs acquisitions que les groupes soumis à une logique de consolidation. " Cela s'explique par la différence des stratégies, les premières ont pour objectifs les cash-flows futurs tandis que les seconds visent les économies futures ", fait valoir Jérôme Hervé. Enfin, les marchés émergents alimentent le boom des F&A : si l'Amérique du Nord compte toujours pour une large part (46,5 %) suivie de l'Europe (29,5 %), il est remarquable que les fusions-acquisitions dont Chine et Inde sont parties prenantes grossissent en valeur au rythme annuel de 20,4 %. Outre ces trois tendances majeures, les opérations hostiles sont perçues plus favorablement par les investisseurs aujourd'hui que durant la précédente période (1997-2001). La logique de la consolidation y concourt. L'acquéreur cherche à augmenter la productivité en évitant le doublon du management et en mettant en oeuvre les meilleures synergies. et en rationnalisant les coûts.

21 21 5. Revue de Presse succincte Les Echos week-end, vendredi 26 et samedi 27 janvier 2007 OPA : Toujours et encore ! Alors quen 2006 les fusions-acquisitions ont dépassé le pic de lannée 2000, 2007 sera de nouveau une année riche en OPA. Les professionnels de la gestion sattendent à ce que 2007 soit, tout comme 2006, surtout marquée par des acquisitions pures et simples, avec une nette augmentation des OPA hostiles émanant tout autant des sociétés européennes que des fonds dinvestissement ou des industriels émergents. Sous linfluence grandissante de ces nouveaux acteurs, les OPA ont battu de nouveaux records lan passé, les transactions totalisant 3,6 milliards de dollars, contre 3,4 milliards en 2000. Tous les gérants de fonds spécialisés dans les fusions-acquisitions prévoient que 2007 sera de nouveau une année riche en OPA, touchant potentiellement toutes les tailles de capitalisations et tous les secteurs : finance, automobile, médias, luxe, les services informatiques… Ce vaste choix sectoriel présente clairement un avantage, à savoir de permettre une plus grande sélectivité. Pour autant, 2007 ne sera pas similaire en tout point à 2006. Alors que les cours des prédateurs se sont souvent comportés aussi bien que ceux des cibles lan passé, les gérants sont désormais plus partager sur ce point. Pour Olivier Cassé, «il reste possible de se positionner sur les prédateurs, et pas systématiquement sur les cibles, dans la mesure où les opérations font rapidement augmenter le bénéfice par action grâce aux conditions de financement favorable. De plus le marché est très liquide et les acquéreurs peuvent aisément trouver des repreneurs pour les activités jugées non stratégiques. »

22 22 5. Revue de Presse succincte Investir n°1723, Samedi 13 Janvier 2007 OPA : encore du potentiel : La trentaine dOPCVM qui misent sur les opérations financières à globalement bénéficié dune année 2006 record pour les fusions-acquisitions. Comme annoncé par les gérants de fonds dits de situations spéciales, lannée 2006 sest avérée un excellent cru pour les opérations financières. Le marché mondial des fusions-acquisitions a bondi à un niveau inégalé de 3,6 milliards de dollars, battant le record de lan 2000 de 3,4 milliards de dollars. A linstar de 2005 où elle sest amorcée, la reprise des opérations financières prend sa source à la fois dans la bonne santé générale des entreprises, dans un environnement monétaire favorable, de taux dintérêt bas et de valorisations boursières raisonnables. Les gérants de fonds dits de situations spéciales sélectionnent au cas par cas, avec des convictions marquées, des actions dentreprises qui, du fait de leur situation spéciale, présentent un potentiel important dappréciation. Derrière lappellation situation spéciale figurent des circonstances exceptionnelles comme les OPA (offres publiques dachats), mais aussi, plus souvent, des restructurations financières ou opérationnelles. Même en labsence dune forte activité dans le domaine des seules OPA, ces fonds typés sen sortent plutôt bien, y compris dans la durée et dans des circonstances de marché variées. Cette année encore des gérants spécialisés se disent optimistes quant aux perspectives de la thématique.Lactivité des fusions et des acquisitions, estime H. Mangin, gérant dAxa Europe Opportunités, va continuer à soutenir les marchés boursiers européens. Lenvironnement reste attrayant avec des taux dintérêt bas et des entreprises dont les bilans sont sains et qui vont chercher à faire de la croissance par des opérations externes. Conclusion : En 206, la déferlante des fusions-acquisitions a gagné presque toutes les branches de lactivité économique… … A lorigine dune grande partie de la performance des fonds situations spéciales lan dernier le thème des OPA devrait encore faire mouche en 2007.

23 23 5. Revue de Presse succincte Le journal des finances, Janvier 2007 Les fonds « situations spéciales » surfent sur la vague des OPA Restructuration, fusion, recapitalisation, situation spéciale…, autant déléments fréquemment mis en avant pour expliquer la croissance des cours de Bourse. On peut se demander si les opérations stratégiques portant sur le capital des entreprises, et qui ne se limitent plus aux PME, sont la conséquence dun excès de liquidités dans le marché, de taux dintérêt peu élevés ou même dun simple effet de mode. Les gérants de fons spécialisés sur les entreprises pouvant faire lobjet dune restructuration ou dune OPA, pour leur part, se déclarent confiants dans lavenir de ce thème, qui a généré des gains mirifiques lannée passée. Les opérations devraient continuer à animer le marché en 2007. « Les OPA nont porté que sur 10% de la capitalisation en 2006 alors quelles avaient atteint 15% en 1999 », souligne Julien Bonnin, cogérant de Caam Actions Restructurations, FCP de Crédit Agricole Asset Management, qui a gagné 30% lan dernier. Il serait donc exagéré de parler de bulle financière. Autre signe de la confiance des sociétés de gestion pour le thème des situations spéciales, Edmond de Rothschild Asset Management vient à son tour de lancer un produit sur ce thème. Appelé Saint-honoré Europe Synergie, ce FCP est confié à Philippe Lecoq, qui pourra allouer jusquà 50% du portefeuille aux valeurs en restructuration financière ou interne, la majeur partie étant dédiée aux fusions acquisitions. Conclusion : Préférer les équipes qui ont fait leurs preuves : Les performances passées ne préjugent pas du résultat futur. Dans le cas des fonds spécialisés sur le thème des situations spéciales, les performances mettent cependant en exergue le savoir-faire déquipe de gestion à opérer des choix judicieux année après année.

24 24 5. Revue de Presse succincte CM-CIC Securities Flash, 18 Octobre 2006 Lenvolée des OPA accompagne la montée en gamme des champions mondiaux Dans un univers mondialisé et libéralisé, lenvolée des fusions et acquisitions depuis trois ans accompagne la montée en puissance de champions nationaux, régionaux, voire mondiaux. En France lEtat actionnaire reste la « nurserie » des futurs champions, ailleurs, ce sont notamment les fonds de pension qui commandent lancrage territorial. Un écosystème de champions mondiaux sans cesse remis en question A la traditionnelle division internationale du travail, se substitue désormais une organisation matricielle où les lignes représentent les territoires et les colonnes les pôles dexcellence. Rien nest jamais acquis, compte tenu de la poussée des OPA hostiles qui se donne libre cours et qui amène à prévoir des stratégies de réponse. Première parade aux OPA hostiles, les arsenaux juridiques sont lourds mais peu efficaces Ce type darsenal comporte trois séries dinstruments : les directives anti-OPA, la constitution de fonds de pension à langlo-saxonne, et enfin, lintervention directe de lEtat au titre des secteurs dits « stratégiques ». Leur efficacité pratique est faible, en raison notamment du biais de plus en plus libéral des autorités de régulation supranationales. La vraie parade : les OPA de précaution Larsenal juridique montrant ses limites, la véritable dissuasion nous paraît résider dans la course préalable à la taille… et dans les OPA « de précaution »…Leffervescence qui affecte les services électriques et gaziers allemands, espagnols et français, les banques italiennes, la pharmacie allemande, le pétrole ou laéronautique européenne témoigne du caractère désormais incontournable des OPA de précaution. Conclusion : Dans un environnement 2007 datterrissage-redécollage en douceur, les OPA de précaution seront un facteur de soutien des marchés dactions.

25 25 5. Revue de Presse succincte Catalyseurs favorables aux fusions et acquisitions Coût de financement attractif Cibles potentielles : – Valorisation boursière attractive Fonds dinvestissement : – Excès de capitaux disponibles Entreprises : – Forte Capacité de Financement 19/10/2006

26 26 5. Revue de Presse succincte Boursorama, 05 septembre 2006 «OPA: la saga devrait se poursuivre en 2007 » « On constate que très peu de secteurs échappent aux fusions acquisitions. Le secteur des produites de base risque de rester propice à de telles fusions. Les producteurs de tels produites, énergétiques ou non, ont une réelle amélioration de leurs termes de léchange, cest-à-dire que le prix relatifs de leurs produits à fortement augmenté, plus que la moyenne. Le secteur bancaire compte également de très nombreuses entreprises aux profits démesurés. Ces entreprises profitent de taux longs comme les obligations qui sont relativement bas. Les opérations de fusions acquisitions coulent de sources dans un contexte si propice.» « A partir du moment où il ny a pas de fonds de pension ni même de gros investisseurs institutionnels qui contrôlent tout ou partie de lactionnariat de lentreprises alors celle-ci est très exposée à un mouvement de rapprochement. Le seul moyen déchapper à un rachat, cest davoir des noyaux durs dactionnaires ou un investisseur majoritaire clairement identifié. Dés quil y a un flottant conséquent dans une société, comme cétait le cas dArcelor, vous devenez une proie ».

27 27 5. Revue de Presse succincte Boursorama, 05 septembre 2006 «OPA: la saga devrait se poursuivre en 2007 » « On constate que très peu de secteurs échappent aux fusions acquisitions. Le secteur des produites de base risque de rester propice à de telles fusions. Les producteurs de tels produites, énergétiques ou non, ont une réelle amélioration de leurs termes de léchange, cest-à-dire que le prix relatifs de leurs produits à fortement augmenté, plus que la moyenne. Le secteur bancaire compte également de très nombreuses entreprises aux profits démesurés. Ces entreprises profitent de taux longs comme les obligations qui sont relativement bas. Les opérations de fusions acquisitions coulent de sources dans un contexte si propice.» « A partir du moment où il ny a pas de fonds de pension ni même de gros investisseurs institutionnels qui contrôlent tout ou partie de lactionnariat de lentreprises alors celle-ci est très exposée à un mouvement de rapprochement. Le seul moyen déchapper à un rachat, cest davoir des noyaux durs dactionnaires ou un investisseur majoritaire clairement identifié. Dés quil y a un flottant conséquent dans une société, comme cétait le cas dArcelor, vous devenez une proie ».

28 28 5. Revue de Presse succincte Paru le 25 Février 2006 dans INVESTIR

29 29 5. Revue de Presse succincte Le Journal des finances, semaine du 31 mars 2006 « les niveaux de valorisation incitent à plus de sélectivité » Interview de Christian GINOLHAC « Plusieurs conditions sont aujourdhui réunies pour favoriser les opérations financières. Les grands groupes industriels ont renforcé leur structure financière et sont à même de faire de la croissance externe. En 2005, il y a eu une trentaine dopérations dans lunivers des valeurs moyennes. Les deux tiers concernaient des projets industriels et un tiers des opérations financières. » « Les sociétés en phase de retournement présentent des opportunités damélioration importante de leurs résultats. Il sagit à chaque fois de paris réfléchis: je citerai Groupe Flo, Penauille Polyservice, Groupe Open et Osiatis. » Paris Match, semaine du 26 janvier 2006 « Misez sur les grandes valeurs » Interview de Christian GINOLHAC « La Bourse est la catégorie la plus attractive des trois grands secteurs, immobilier, obligations, actions. Seuls les marchés boursiers ont un potentiel de hausse acceptable. Surtout les actions européennes. Elles sapprécient grâce aux profondes restructurations qui rendent les entreprises plus profitables. » « Pour pimenter votre performance, plutôt que de chercher la perle rare parmi les petites ou moyennes valeurs, chères aujourdhui, revenez vers les grandes sociétés qui ont beaucoup souffert: Alstom, Alcatel, Carrefour, Cap Gemini. Suez est également un pari moins risqué »

30 30 6. Annexes 1. Fiche mensuelle du fonds 2. Prospectus simplifié


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