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La gestion du risque de crédit

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Présentation au sujet: "La gestion du risque de crédit"— Transcription de la présentation:

1 La gestion du risque de crédit
Une approche quantitative Valérie Poulin Le 11 février 2011

2 Plan Accord de Bâle Groupe de modélisation des risques de crédit
Une banque Un client Plan Accord de Bâle Groupe de modélisation des risques de crédit Stress Testing Accords de Bâle qui régit ce que nous faisons au jour le jour Brève présentation de mon groupe qui est le groupe de modélisation des risques de crédit Et je vais focusser sur une partie importante de mes tâches qui est le Stress Testing

3 Accord de Bâle I Une banque Un client L’Accord de Bâle I fait référence à un ensemble de recommandations formulées en 1988 par le Comité de Bâle, un comité rassemblant les banquiers centraux des pays du G-10 sous l'égide de la Banque des règlements internationaux, à Bâle. Ces recommandations visaient à assurer la stabilité du système bancaire international en fixant une limite minimale à la quantité de fonds propres des banques. Ce minimum a été fixé en mettant en place un ratio minimal de 8% de fonds propres par rapport à l'ensemble des crédits accordés par les banques. L'ensemble des engagements de crédits de la banque étaient visés, avec toutefois certains aménagements: certains crédits étaient pondérés à des valeurs inférieures à 100% selon la qualité du crédit ou de la contrepartie. Ainsi, certains crédits étaient pondérés à 50% (crédits garantis par une hypothèque), 20% (contrepartie bancaire, organisme international ou état non-OCDE) ou même 0% (contrepartie = état OCDE); certains engagements, tels les engagements à moins d'un an, n'étaient pas repris dans les engagements de crédit Au Canada, le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) supervise et encadre les banques dans l’implantation de l’Accord. Fonds propres = grosso modo équité, ou le ratio de actif de la banque ajusté pour le risque sur le passif. LA RÉSERVE que la banque doit conserver en cas de pertes Fonds propres de la banque > 8 % des risques de crédits 3e point donne simplement des détails sur ce qui est pris en compte pour le calcul de la réserve. 3

4 Nouveautés par rapport à Bâle I
Accord de Bâle II Une banque Un client L’Accord de Bâle II régit les règles d’établissement du niveau des fonds propres obligatoires. L’Accord de Bâle II s’articule autour de 3 piliers fondamentaux: Le changement du calcul des exigences minimales de fonds propres Le renouvellement de la surveillance prudentielle (interne et réglementaire) La communication d’informations financières Pilier I Pilier II Pilier III Exigences minimales de fonds propres Risque de crédit Risque opérationnel Risque de marché Processus de surveillance prudentielle Discipline de marché Nouveautés par rapport à Bâle I 4

5 Accord de Bâle II En d’autres mots: Pilier 1 : calcul du capital
Une banque Un client En d’autres mots: Pilier 1 : calcul du capital Pilier 2: Maximiser les revenus, minimiser les pertes et s’assurer que la gouvernance se serve de tous les outils que nous développons Outils « looking forward » Inclut le stress testing Calcul du RWA = f(PD;LGD) x EAD où f respecte une loi normale. Ce risque est le risque inattendu. EL = PDxLGDxEAD – Perte anticipée Calcul du capital économique: Niveau de capital nécessaire pour couvrir un risque non anticipé Vendre les outils développés et les façons de faire à la gouvernance Répondre aux équipes de validation (externe et interne) « challenge » les hypothèses, les modèles, les codes de programmation, les analyses économiques, etc. Pilier 3: Divulgation externe Capital économique: le montant d’argent nécessaire pour maintenir la banque en vie en cas de scénario catastrophique. Souvent calculé comme étant la VAR : Value at risk – probabilité de perdre combien sur un horizon donné 5

6 Paramètres et modèles de risque de crédit Analyse et divulgation
Une banque Un client Sous notre direction: Mesurer le risque que représente chaque emprunteur, individus comme entreprises, par le développement de modèles quantitatifs et d’analyses Analyses sectorielles Suivi des industries Prévision des revenus par industrie (en développement) Stress Testing (prêts aux entreprises et prêts aux particuliers) Ce qui occupe la majorité du temps du département est le pilier 2 – tous les calculs et analyses Je vous amène donc ici à parler plus en détail de mes tâches

7 Analyse sectorielle 7 Une banque Un client
*** Communication, rédaction, présentation capacité d’analyse, intuition économique, vision globale, modélisation 7

8 Analyse sectorielle Indice de santé financière:
Une banque Un client Indice de santé financière: Marge bénéficiaire, ratio dette équité, ratio de couverture des intérêts Indice précurseur de profitabilité (CBoC): Tendance de la profitabilité sur une période de 6 mois Isf: tendance. Quel ratio donne la tendance à l’indice. Quelle donnée fait varié le ratio. Enjeux spécifiques de l’industrie : changements de réglementation, accords internationaux, fusions acquisition… Également un suivi des industries: rapport d’une 10aine de page qui fait état des 5 industries pour lesquelles l’indice de santé financière s’est le plus amélioré p/r à la meme periode l’année précédente et les 5 industries pour lesquelles l’isf s’est le plus dégradé. Complément aux fiches puisqu’elles sont produites 1 seule fois par année Indice précurseur de profitabilité (conference board du canada): les profits s’en vont ou au cours des 6 premiers mois. (bati comme un leading indicator de l’economie canadienne, une corrélation entre les profits de l’industrie dans 6 mois et des variables actuelles comme le rendement des bonds, le stock market, permis de batir, changement d’inventaire…) Utilisé par les gestionnaires de la banque et par les directeurs de compte pour comprendre mieux l’environnement GÉNÉRAL dans lequel évolue leur client et pour soutenir (ou pas) une demande d’augmentation d’augmentation des limites de prêts par industrie

9 Stress testing Le stress testing a pour objectif d’évaluer l’impact potentiel de facteurs de risque, correspondant à des événements exceptionnels mais plausibles, sur la santé financière d’une institution. Le stress testing permet donc d’identifier des risques qui sont insoupçonnés ou semblent en contrôle selon le Pilier I. Événements exceptionnels : crise financière américaine 9

10 Stress testing La Banque pourra ainsi mettre en place, de façon proactive et ordonnée, des stratégies pour mitiger le risque de façon intégrée et maintenir sa santé financière. 10

11 Gestion intégrée des risques Rôle accru de la haute direction
Stress testing Il y a plusieurs années que la BNGF fait du stress testing au niveau du risque de crédit ou du risque de marché. Qu’apporte donc Bâle II? Implantation d’un processus formel pour effectuer du stress testing au niveau entreprise Mesure l’impact anticipé d’un événement sur le capital réglementaire total requis Gestion intégrée des risques Rôle accru de la haute direction Gouvernance Définition et approbation des scénarios Revue des résultats de stress testing 11

12 Approche But: Prévoir la croissance des probabilité de défauts des clients de la banque en cas de changement des conditions économiques Méthodologie Les insolvabilités par industrie servent de proxy aux taux de défaut BNC (on suppose les populations d’entreprises constantes) L’utilisation de la croissance année-sur-année permet d’ignorer les effets de saisonnalité La croissance logarithmique mesure avec précision les changements causés par de larges mouvements La méthode des moindres carrés est utilisée, ce qui permet une interprétation intuitive des paramètres Critères de sélection des modèles S’assurer que les variables ne présentent pas de racine unitaire S’assurer de l’intuition économique des facteurs de risque (signe anticipé des paramètres) Sélectionner des modèles au pouvoir explicatif élevé (R-carré) S’assurer de l’absence de problème de multicollinéarité, d’autocorrélation des résiduels, d’hétéroskédasticité des résiduels et de la normalité de la distribution des erreurs S’assurer de la stabilité des coefficients à un changement de la période d’estimation du modèle S’assurer de la cohérence de la direction et de la magnitude des prévisions selon les 4 scénarios Prévision des insolvabilité: on choc le K de la banque. Si ce choc a un impact sur le ratio de capital propre de la banque, on doit augmenter les réserves 12

13 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client II – Évolution des insolvabilités et des défauts Évolution des insolvabilités et des défauts 13

14 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Insolvabilités par province et par secteur Une banque Un client On observe une tendance à la baisse des insolvabilités dans toutes les provinces. On observe une tendance à la baisse dans tous les secteurs. On note aussi que les insolvabilités se sont stabilisées pour les provinces et les secteurs. II – Évolution des insolvabilités et des défauts On regarde d’abord nos données 14

15 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Défauts des entreprises et facteurs macroéconomiques Les même tendances à la baisse et à la stabilisation s’observent pour les défauts du portefeuille de prêts aux entreprises de BNGF. II – Évolution des insolvabilités et des défauts 15

16 II – Évolution des insolvabilités et des défauts Modèles
Canada – Québec – Hors Québec 16

17 Scénarios de stress testing
Scénarios plausibles, avec divers degrés de sévérité 4. PINK : contagion des problèmes de finances publiques en Europe à l’ensemble du monde Le choc financier émane des craintes de dettes souveraines en Europe qui occasionne une contagion aux états américains et aux provinces canadiennes. L’économie américaine replonge alors en récession entraînant avec elle l’économie mondiale Le gouvernement américain doit mettre en place un plan d’austérité pour rétablir ses finances publiques La récession américaine affecte les exportatioins canadiennes et les prix des commodités, problème auxquelles s’ajoutent une crise immobilière qui affecte la demande intérieure Le gouvernement canadien doit renverser son déficit car sa santé financière est fragile. Il coupe donc les dépenses publiques La santé financière du Québec se dégrade également, les coûts de financement de la dette augment de plus de 300 points de base Plan d’austérité également pour le québec Conclusion : gros problème de demande (no exports, no consumption, no gov) 17

18 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Description des variables DIFCOURBETROISMOISL0: écart entre le taux 10 ans et le taux 3 mois, période courante DIFCOURBETROISMOISL3^2: composante non-linéaire, délai de 3 trimestres DIFPREMIUML1: écart entre le taux préférentiel 3 mois et le taux des bons du trésor 3 mois, délai 1 trimestre DDIFTCHOMAGEL2: changement en pp. du taux de chômage, délai de 2T; la vitesse de changement du chômage ne présente pas de racine unitaire DIFPMAISONL0: croissance année-sur-année du prix des maisons, période courante DIFMCHANTIERL0: croissance année-sur-année des mises en chantier, période courante DDIFDEMANDEL1: croissance année-sur-année de la demande réelle, délai 1 trimestre DIFIMPORTATIONSL4: croissance année-sur-année des importations, délai 4 trimestres DIFPETROLEL5: croissance année-sur-année du prix du pétrole, délai 5 trimestres DIFPRET11L4: croissance année-sur-année des prêts au secteur agricole, délai 4 trimestres DIFPRET21L8: croissance année-sur-année des prêts au secteur minier, délai 8 trimestres DUMMY_REG = 1 jusqu’à 1996T4; = 0 après 1997T1 II – Évolution des insolvabilités et des défauts 18

19 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Sommaire des modèles II – Évolution des insolvabilités et des défauts On calcule la croissance des insolvabilités Il faut s’assurer que les lag ne sont pas trop long pcq l’exercice de stress test se fait sur 2 ans (lag max 4) 19

20 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Modèle Canada La courbe de rendement est le facteur le plus important pour les insolvabilités commerciales canadiennes. Lorsque le taux court (3 mois) est bas par rapport au taux long (10 ans), les insolvabilités tendent à diminuer; en revanche, une inversion de la courbe laisse prévoir une hausse des insolvabilités. Les changement du prix des maisons ont un effet inverse sur les changements des insolvabilités, ce qui reflète un effet de richesse. La vitesse de changement du taux de chômage est un autre facteur explicatif de la croissance des insolvabilités. La variable « dummy » indique qu’il y a eu un changement de régime en 1997; cette date correspond à une des réformes dans la Loi sur les faillites. II – Évolution des insolvabilités et des défauts Quand la pente de la courbe est élevée, les insolvabilité diminue (signe < 0 ) Quand le court terme est bas par rapport au long terme, c’est que les investisseurs n’ont pas beaucoup confiance en l’économie, ils favorisent le long terme. Phénomène qui arrive en début de récession par exemple = les insolvabilités augmentent 20

21 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Facteurs de risque pour les insolvabilités du Canada Une relation inverse est aussi observable entre la courbe de rendement et les défauts des émetteurs corporatifs canadiens II – Évolution des insolvabilités et des défauts Les changements dans le prix des maisons, qui attestent d’un effet de richesse, apportent un signal précurseur intéressant On continue a regarder nos données, graphiquement, quel est le pouvoir de prédiction de nos données 21

22 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Évaluation hors-échantillon Le modèle est stable puisque les coefficients demeurent pratiquement inchangés lorsque le modèle est ré-estimé sur une période avec trois années de moins (1988T1-2007T2), ce qui présente un test de stabilité assez rigoureux puisque cette période exclut la crise financière. Le graphique ci-dessous démontre que le niveau des insolvabilités estimées à partir du modèle basé sur la période 1988T1-2007T2 a suivi de près celui des insolvabilités réelles. II – Évolution des insolvabilités et des défauts On doit faire différents tests pour satisfaire la validation 22

23 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Résultats statistiques et pouvoirs prévisionnels des modèles Les problèmes d’autocorrélation des résiduels et d’hétéroskédasticité sont corrigés grâce à la correction Newey-West L’hypothèse de normalité des résiduels n’est pas rejetée selon le test Jarque-Bera L’évaluation des prévisions du modèle Canada par le test du coefficient d’inégalité de Theil indique un excellent appareillement – la portée du coefficient est entre zéro (appareillement parfait) et un (aucun appareillement) Un autre test, la décomposition de l’erreur de prévision au carré moyenne, indique également un pouvoir prévisionnel élevé La proportion du biais est nulle et la proportion de la variance est de seulement 4% L’évolution de la valeur estimée par le modèle surestime légèrement les insolvabilités réelles L’intensité croissante des chocs simulés se reflète dans les prévisions progressivement plus élevées des différents scénarios II – Évolution des insolvabilités et des défauts Dernier point: important qu’il y ait une cohérence, une gradation dans l’intensité des impacts dépendamment des scénarios 23

24 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Pouvoir explicatif du modèle Canada L’évolution de la valeur estimée des insolvabilités suit de près celle des insolvabilités réelles. Les bandes présentent l’intervalle de confiance de 95% (2 erreur-type de la moyenne). II – Évolution des insolvabilités et des défauts 24

25 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Modèles Québec et hors Québec Comme pour le modèle d’insolvabilités du Canada, la courbe des taux d’intérêt a une influence négative pour le modèle Québec et le modèle hors Québec. Les tests de stabilité et de pouvoir prévisionnels sont satisfaisants. II – Évolution des insolvabilités et des défauts 25

26 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client II – Évolution des insolvabilités et des défauts Modèles sectoriels 26

27 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Regroupements sectoriels II – Évolution des insolvabilités et des défauts Les secteurs Enseignement (SCIAN 61), Santé (SCIAN 62) et Administration Publique (SCIAN 91) sont exclus de l’analyse 27

28 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Modèles sectoriels Pour le modèle du secteur primaire, seulement 20-25% de la variation des insolvabilités serait expliquée par la variation de variables macroéconomiques. Les résultats sont plus élevés en ajoutant des variables liées au crédit ou aux industries. La relation positive entre la croissance des prêts aux agriculteurs et la croissance des insolvabilités s’explique en partie par l’effet de distorsion résultant de l’aide gouvernementale. En revanche, la croissance des prêts au secteur minier présente une relation inverse avec la croissance des insolvabilités qui témoigne de la confiance des prêteurs. Dans le secteur Construction et Immobilier, la courbe de rendement a un effet linéaire inverse sur la croissance des insolvabilités et un effet non-linéaire qui vient mitiger cet effet négatif, particulièrement pour de larges changements. II – Évolution des insolvabilités et des défauts On veut développer des prévisions par industries pour éventuellement les incorporer dans nos modèles 28

29 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Modèles sectoriels (suite) Pour le modèle des secteurs manufacturier et transport, les principaux facteurs de risque macroéconomiques sont la courbe de rendement, la croissance du prix des maisons (un effet de richesse). Pour le secteur du commerce (détail et gros), une croissance plus rapide du taux de chômage est associée avec une hausse des insolvabilités. II – Évolution des insolvabilités et des défauts 29

30 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Modèles sectoriels (suite) Pour le modèle du secteur finance, les principaux facteurs de risque macroéconomiques sont la pente de la courbe de rendement et la vitesse de croissance de la demande. Pour le modèle du secteur Information, Arts & spectacles, Restauration & hébergement et Autres services de consommation, la pente de la courbe de rendement et la croissance du prix des maisons ont une relation négative avec les insolvabilités du secteur. II – Évolution des insolvabilités et des défauts 30

31 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client La moyenne des modèles Une moyenne des modèles pourrait diminuer le risque d’erreurs. Cette approche “consensuelle” offre possiblement le meilleur estimé de la croissance des insolvabilités selon les trois scénarios macroéconomiques. En outre, la comparaison des résultats selon les trois modèles agit comme outil de contrôle et permet de juger si les résultats sont vraisemblables. II – Évolution des insolvabilités et des défauts 31

32 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client II – Évolution des insolvabilités et des défauts Conclusion 32

33 II – Évolution des insolvabilités et des défauts
Une banque Un client Conclusion Ces modèles ont démontré l’importance de la pente de la courbe de rendement comme facteur explicatif de la croissance des insolvabilités et de la croissance des défauts En présentant trois modèles, il est possible de créer une moyenne des résultats afin de diminuer le risque d’erreur et obtenir un estimé plus robuste La comparaison des résultats des trois modèles permet par ailleurs de juger si les résultats sont vraisemblables II – Évolution des insolvabilités et des défauts 33


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