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Connaissance de l ’entreprise

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Présentation au sujet: "Connaissance de l ’entreprise"— Transcription de la présentation:

1 Connaissance de l ’entreprise
Partie Stratégie Production : de la mise en œuvre au produit fini Connaissance de l’ Entreprise - UB - M1 STIC – Partie 3-4-5

2 L ’environnement industriel
Dans toute entreprise, il est nécessaire de définir l ’environnement industriel en terme de cadres et contraintes, concurrence, défi industriel par rapport à différents échanges : des flux d ’informations surabondantes, informelles, dispersées sur les concurrents, clients, fournisseurs, sur la technologie des flux physiques relatifs aux besoins en produits quantitatifs et qualitatifs, actuels et futurs Pour définir et comprendre l ’environnement industriel, le modèle de PORTER est largement utilisé.

3 Statégiques Entreprise
Le modèle de PORTER Technologies Fournisseurs Clients Domaines Activités Statégiques Entreprise + Concurrents Nouveaux entrants Barrières

4 Statégiques Entreprise
Exemple : Société de fabrication de sacs en plastique Machines Technologies Matières Polyéthylène Boutiques Fournisseurs Clients Grande distribution Industrie Domaines Activités Statégiques Entreprise + Concurrents Banques, Poste, Institutionnels Nouveaux entrants Extrudeurs, Fabricants de machine, cetrains clients (enveloppes)

5 Evolution de l ’environnement industriel
Economie de Production Economie de Marché Période de référence Années 45-75 « les 30 glorieuses Après 1975 Caractéristiques différentes Offre  Demande Offre > Demande Situation de surcapacité de production Concurrence forte Facteurs clés de succès Savoir produire et pouvoir produire Savoir appréhender et comprendre les signaux du marché. Concentrer investissements sur couples marché/produits bien déterminés Finalité gestion Calculer coûts pour fixer prix Calculer marge pour savoir sur quel couple investir

6 L ’économie de marché ou d ’environnement
Avec l ’économie de marché ou d ’environnement, on assiste à un retournement du rapport de force entre l ’OFFRE et la DEMANDE En économie de production : Prix de Vente = Coût de Revient + Marge En économie d ’environnement : Coût de revient = Prix de Vente - Marge

7 Les conséquences de l ’économie de marché
Les conséquences du retournement de rapport de force offre/demande sont diverses : Réduction de la rentabilité Nouvelles attitudes des clients Mondialisation de l ’économie Comment la production peut-elle s ’adapter à ces nouvelles exigences ?

8 Les adaptations de la production à l ’économie de marché
Rentabilité : Recherche de réductions significatives des coûts directs (conception, réalisation produits) et indirects liés à l ’organisation (structures, stocks …) Remise en cause des modes d ’organisation industrielle Clients : En face d ’exigences (délai, qualité, prix, service), segmentation pour coller aux besoins fluctuants de la clientèle. Réduction de la durée de vie des produits Elargissement de l ’offre Mondialisation : Produits à plus forte valeur ajoutée, innovation, mode Personnel plus flexible, qualification, formation, rénumération Investissement permettant la flexibilité Délocalisation

9 Les avantages compétititifs
Une entreprise peut être concurrentielle sur les points suivants : Prix (coûts) Qualité (conformité produits, réception clients) Rapidité livraison Respect délai Flexibilité (capacité d ’adaptation aux variations de la demande en diversité et en volume) Conception produit (technologie, gamme, variante, options) Service après-vente Image (entreprise, produit) Selon les cas, il s ’agit d ’Avantage Qualifiant (indispensable pour être présent sur le marché) et d ’Avantage Gagnant (pour enlever les commandes)

10 La chaîne logistique de production
CLIENTS Commande Livraison Stocks Fournisseurs Stocks Distributeurs Livraison Commande Commandes Appro. MP Stocks PF Centre logistique Stocks MP Usines Fabrication PD Montage Stocks PD Usines O.F. O.F.

11 La production dans son environnement
R§D Stocks rechange MAINTENANCE Définition Produit Analyse de la valeur Stocks PF PRODUCTION Stocks MP VENTES ACHATS Contrôle PF En-cours Contrôle fabrication APRES-VENTE Contrôle réception QUALITE Stocks rechange

12 Le coût de revient Le coût de revient d ’une pièce dépend :
du coût d ’achat de la matière affecté d ’un coût d ’approvisionnement du nombre d ’heures nécessaires pour produire et contrôler la pièce, affecté d ’un coût horaire de production CR=(matière x coût appro) + (nb heure x taux horaire)

13 La démarche Qualité ZERO DEFAUT Démarche qualité Politique Qualité
Produit ISO 9000

14 Le comportement Qualité
ZERO DEFAUT PREVENIR empêcher que le problème arrive Homme positif IMAGINER les causes essentielles CORRIGER mesures correctives ANALYSER rechercher les causes directes PALLIER agir sur l ’effet ASSUMER c ’est ma responsabilité JUSTIFIER je n ’ai pas le temps ACCUSER c ’est la faute des autres Homme négatif NIER ce n ’est pas vrai IGNORER je ne savais pas

15 L ’approvisionnement Quantité Stock sécurité
Seuil d ’alerte ou point de commande Prévision conso Stock sécurité aval Stock sécurité Délai réappro

16 Livres sur la gestion de production
Gestion industrielle et performances Gilles Lasnier, 2001, Hermès La gestion de production Anne Gratacap, 1999, Dunod Des outils pour la gestion de production industrielle JL. Brizzard, M. Polizzi, 1990, AFNOR Gestion

17 Connaissance de l ’entreprise
Partie Stratégie Marketing : de la création au lancement de nouveaux produits

18 Le marketing : pourquoi ?
Pour comprendre l’évolution de la fonction marketing, il faut comprendre l’évolution du contexte économique. Trois étapes principales sont à distinguer : l’économie de distribution l’économie de marché l’économie d’environnement

19 L’économie de production
DEMANDE En économie de production, l’offre est inférieure à la demande. Il suffit à l’entreprise de savoir ou pouvoir produire pour réussir : - les mentalités : on domine le client - la fonction commerciale : inexistante !!! - à la rigueur : administration des ventes Type de management : faire fonctionner l’outil de production OFFRE

20 L’économie de distribution
Entreprise OFFRE DEMANDE En économie de distribution, l’offre est égale à la demande. L’entreprise connaît les premières difficultés pour écouler ses produits. Il ne suffit plus de savoir produire: - il faut savoir vendre - il faut savoir agir sur le marché Type de management : faire fonctionner l’outil de production, organiser et gérer l’entreprise, s’ouvrir sur le marché, agir sur le marché AGIR Marche

21 Agir sur le marché Entreprise Actions volontaristes de l’entreprise qui va mettre en œuvre des outils d’action commerciale : VENTE : on sort les produits de l’entreprise PROMOTION DES VENTES : on amène les produits ou les services là où passe le consommateur PUBLICITE : on attire le consommateur vers les produits ou les services VENTE PUBLICITE PROMOTION Marche

22 L’économie de marché Entreprise OFFRE DEMANDE AGIR OBSERVER AJUSTER
En économie de marché, l’offre est supérieure à la demande. L’entreprise ne peut plus se contenter d’une simple action sur le marché. Savoir produire et vendre ne suffit plus. L’entreprise doit communiquer avec son marché. La fonction marketing doit observer le marché, pour élaborer des propositions appropriées à l’entreprise et au marché. Type de management : Améliorer chacune des fonctions de l’entreprise, faire travailler ensemble les différentes fonctions, communiquer avec les marchés pour élaborer des propositions. AGIR OBSERVER AJUSTER Marche

23 L’économie d’environnement
Techniques Politiques OFFRE DEMANDE En économie d’environnement, l’offre est supérieure à la demande (idem économie de marché) mais l’entreprise est dépendante de son milieu et des facteurs : - techniques : apparition de nouvelles technologies - économiques : politique monétaire, évolution produits et pouvoir d’achat - sociologiques : groupe de pression, styles de vie - psychologiques : atomisation des marchés - politiques : intervention et régulation des pouvoirs publics L’environnement est devenu incertain et déstabilisé Psychologiques Economiques Sociologiques

24 Le marketing, c’est quoi ?
Entreprise Clients Quels sont les buts du marketing ? - Augmenter la satisfaction de l’entreprise en augmentant la satisfaction des clients (fidélisation) et des autres partenaires économiques du marché SATISFACTION Autres partenaires

25 Le marketing : outil de gestion
Finances Le marketing est un outil de gestion au service de l’entreprise pour lui permettre d’être plus performante en économie de marché et en économie d’environnement. R. et D. Marketing INTERACTIVITE Production Commercial R. H.

26 Définition du marketing
Pour optimiser les profits de l ’entreprise, la pratique du marketing consiste à construire son offre, compte tenu de la demande, du jeu des autres et des moyens dont on dispose dans un cadre donné : - optimiser les profits de l ’entreprise : profits entendus dans le sens de « finalités de l ’entreprise » - le marketing est un outil de gestion, une fonction de l ’entreprise qui doit évoluer au sein de l ’entreprise en pleine interactivité avec les autres fonctions. - une construction de l ’offre, attachée à l ’analyse de nombreuses informations, traduction du processus volontariste dans l ’entreprise - une demande selon les informations relatives aux clients finaux - le jeu des autres : informations relatives à la concurrence, aux positions des concurrents sur le marché et aux différents partenaires économiques - le moyens : humain, financier, production, commercial, RetD,... - le cadre de référence fondamental de l ’entreprise

27 Qu ’est ce qu ’une étude de marché ?
Définition : La recherche en marketing réside dans la collecte, le traitement et l ’interprétation systématique et objective des informations nécessaires à la prise de décision. Etape 1 Formulation du problème CONCEPTION Etape 2 Définition de la méthodologie Etape 3 Collecte des informations EXECUTION Etape 4 Traitement et interprétation des informations Etape 5 Exploitation opérationnelle EXPLOITATION

28 Les grands types d ’action commerciale
Stimulation de la demande - PULL : attirer les consommateurs vers l ’offre de l ’entreprise Action de vente - PUSH : pousser les produits de l ’entreprise vers les consommateurs directement, ou par l ’intermédiaire de la distribution Entreprise Entreprise PULL Action Force de Vente PUSH Distribution Consommateur Distribution Consommateur Demande

29 L ’action commerciale en milieu grand public
Entreprise Vente Relations publiques Merchandising Publicité Promotion Marketing direct Connaissance de la demande Connaissance de la distribution Distribution Consommation Connaissance de l ’action de distribution

30 L ’action commerciale en milieu industriel
Les caractéristiques du marché : - le produit est vendu à une organisation - le marché est concentré - le produit a souvent un caractère durable - le processus d ’achat est rationalisé L ’action commerciale : - agir sur chaque client considéré comme un micro-marché - centrer l ’action commerciale autour de la force de vente - développer tous les appuis possibles à l ’action de la force de vente (publicité, marketing direct)

31 Les principaux outils de l ’action commerciale
Les principaux outils de l ’action commerciale sont les suivants : - la force de vente - la publicité - la promotion des ventes - le marketing direct

32 L ’efficacité de la force de vente
L ’efficacité de la force de vente passe par la mise en place d ’un système qui comprend : - la mise en place d ’une structure pour les choix qualitatifs d ’organisation (géographique, canaux de distribution, marchés) et les choix quantitatifs (nombre de vendeurs) - la formation permanente de la force de vente - l ’animation à travers le plan annuel (objectifs de vente, moyens alloués), le rôle de l ’encadrement, le mode de rénumération, le système de management - les outils pour la prospection (plaquettes, échantillons, démonstrations), pour l ’information (concurrence, société, clients) - une interface de qualité avec l ’administration des ventes

33 Le but de la publicité Avec une cible Dans le but de provoquer
Technique de communication Avec une cible Dans le but de provoquer des changements de notoriété de motivation d’attitudes de comportement

34 Le circuit de la publicité
ANNONCEUR CIBLE Objectifs Budget AGENCE Message Media Plan campagne Contrôle

35 La promotion des ventes
Ensemble de techniques qui ont pour but d ’inciter les consommateurs et/ou les distributeurs à acheter par des actions limitées dans le temps offrant un avantage supplémentaire spécifique dans un objectif à court terme

36 Caractéristiques de la promotion des ventes
Elle agit plus vite que la publicité Elle ne contribue pas à augmenter les ventes à long terme Les acheteurs fidèles ne modifient pas leur comportement Certains outils engendrent plus de fidélité que d ’autres Elle accroît son efficacité quand elle est combinée avec une action publicitaire Techniques de promotion de ventes : bons de réduction, offres spéciales, primes d ’échantillons, remises de quantité, discount, cadeaux et avantages, incentives, ...

37 Le marketing direct Toute action de communication atteignant directement et personnellement les cibles : - mailing - phoning - presse - internet, fax Les facteurs favorables au développement du marketing direct : - dispersion des clients à stimuler au moment de la commande - meilleure information des acheteurs - réduction du temps de travail - réduction des temps et coûts des déplacements - difficulté à trouver des vendeurs

38 Ouvrages sur le marketing
Philip KOTLER, Bernard DUBOIS, Marketing Management, 10eme édition, Publi-Union, 2000 Jacques LENDREVIE, Denis LINDON, Mercator : Théorie et pratique du marketing, 6eme édition, Dalloz, 2000 Paul MILLIER, Marketing industriel : L ’étude des marchés qui n ’existent pas encore, Editions d ’organisation, 2002

39 Connaissance de l ’entreprise
Partie Stratégie Commerciale : de la promotion à la vente

40 La transaction commerciale
La transaction commerciale classique correspond au schéma suivant : le produit ACHETEUR VENDEUR le paiement Cas particulier de la transaction internationale : le produit IMPORTATEUR EXPORTATEUR le paiement

41 Les acteurs internes à l ’entreprise
La transaction commerciale fait intervenir de nombreux acteurs dans l ’entreprise : - le commercial à qui revient la charge de définir « l ’offre solution » qui répondra le mieux aux attentes de son client - le juriste qui vérifie l ’adéquation des contrats à la volonté des parties, à leurs exigences de sécurité et au cadre juridique choisi comme référence - le financier qui est soucieux de préserver l ’équilibre de l’entreprise, tant pendant la durée de réalisation du contrat qu ’au cours de la période de crédit - le logisticien qui doit organiser les flux physiques et les flux d ’informations de façon à optimiser le service rendu à la clientèle dans le cadre des coûts prévus pour la transaction

42 Les acteurs externes à l ’entreprise
La transaction commerciale fait aussi intervenir de nombreux acteurs externes à l ’entreprise : - les banquiers qui interviennent lors du paiement et offrent leurs services en matière de financement et de couverture des risques - les transitaires qui jouent un rôle déterminant lors de l ’expédition des marchandises - les assureurs sur qui l ’entreprise transfère une partie des risques de la transaction - les administrations qui peuvent aider l ’exportateur dans le cadre des politiques de soutien au commerce extérieur ou s ’intéresser à la transaction en application des législations douanières, fiscales ...

43 Les acteurs de la transaction commerciale
Transitaires le commercial le juriste le commercial le juriste le produit Administrations ACHETEUR VENDEUR Administrations le financier le logisticien le financier le logisticien le paiement Banquiers Assureurs

44 L ’objet de la transaction : le produit
On appelle produit tout ce qui peut être offert sur un marché. Selon la nature des produits, la réflexion marketing (ou mercatique), l ’approche des marchés, les techniques de commercialisation, la logistique à mettre en œuvre sont à adapter. On distingue quatre types de produits : - les biens industriels - les biens de consommation - les services - les transferts de technologie

45 Les biens industriels Les produits industriels interviennent de deux façons dans le processus de fabrication : - comme investissements (renouvellement et développement de la capacité de production de l ’entreprise) - comme éléments du processus de production On distingue différents types de biens industriels : - les matières premières et produits de base - les pièces détachées et les composants - les fournitures industrielles (biens consommables) - les biens d ’équipement légers (machines-outils, stockage, manutention,…) - les biens d ’équipement lourds (avion, centre d ’usinage, usines clés en main,…) La transaction commerciale varie selon le type de bien industriel

46 Les biens de consommation
Pour les biens de consommation, la classification suivante est proposée : - les produits d ’achat courant : pour ce type d ’achat, le consommateur est « passif ». Biens non durables de faible valeur unitaire. - les produits d ’achat réfléchi : dans ce cas, le consommateur agit. Recherche d ’informations, comparaison des caractéristiques et des prix. - les produits de spécialité : produits à caractéristiques et image uniques. L ’acheteur recherche le produit autant que la réponse à un besoin. Le produit est porteur d ’un signe qui lui permet de s ’identifier à un groupe auquel il souhaite appartenir. - les produits non recherchés : ces produits nécessitent une approche très particulière. Produits nouveaux ou produits non perçus comme réponse à un besoin. Les techniques de commercialisation sont très différentes selon les produits.

47 Les services Les activités de service sont très diversifiées et hétérogènes ce qui rend une classification difficile. Parmi les plus importantes : - banque, assurance, sous-traitance, interim, consulting, négoce, ingéniérie, transport, … Il est intéressant de comparer une transaction portant sur un bien et sur un service : Un bien Un service Pour l ’acheteur, il y a production d ’utilité à travers l ’usage qu ’il peut faire du bien acquis Pour l ’acheteur, il y a production d ’utilité comme résultat direct de la prestation fournie Transfert de propriété Pas de transfert de propriété Ex : achat d ’un véhicule pour le transport des produits de l ’entreprise Ex : achat d ’une prestation pour le transport de marchandise

48 Les transferts de technologie
Un transfert de technologie correspond à une cession à titre onéreux d ’un savoir ou (et) d ’une expérience sous une forme qui permet au client leur valorisation. Le transfert de technologie peut s ’effectuer sous différentes formes : - cession de licence (pour l ’utilisation d ’un brevet d ’invention) - conclusion de contrats d ’assistance technique et de conseil - accords de coopération et de joint-venture - contrats de formation professionnelle Les contrats commerciaux pour les transferts de technologie sont très pointus et font appel à des cabinets spécialisés.

49 Le prix du produit Le prix du produit tient compte de deux facteurs :
- la situation sur le marché (prix pratiqué par la concurrence) - le coût de revient du produit ou de l ’offre faite à l ’acheteur Le prix doit aussi éventuellement tenir compte d ’autres paramètres : - les frais de transport des marchandises (INCOTERMS) - les risques de perte ou de dommage pendant le transport - les opérations douanières d ’exportation

50 Le paiement, avec quoi ? Différents types de paiement sont envisageables dans le cadre de la transaction commerciale : - le paiement en monnaie : pour les transactions internationales, le choix d ’une devise doit être effectué. Ceci suppose une gestion de trésorerie en devise, ainsi qu ’une gestion de risque des changes. Le choix de la devise se fait par rapport à l ’étendue de la cotation de la devise, la stabilité de la devise, la disponibilité de la devise dans le pays de l ’acheteur; - le paiement en nature ou compensation : ce type de paiement est demandé par les pays qui ne disposent pas de devises indispensables au règlement de la transaction.

51 Le paiement, quand ? Les conditions de paiement doivent être définies avant l ’achat du produit. Différentes possibilités existent : - l ’acompte : il n ’y a paiement d ’acompte que lorsque la nature ou l ’importance du contrat (biens d ’équipement, fabrication spéciale …) nécessite un délai de fabrication. L ’acompte est une sécurité pour le vendeur (exportateur) et une prise de risque pour l ’acheteur (importateur). - le paiement comptant défini par le contrat de vente - le paiement à crédit : délai de paiement variant de 30 à 120 jours pour les ventes de petit équipement, plus long pour les biens d ’équipement. Selon le mode de paiement, l ’entreprise doit adapter le financement des opérations commerciales.

52 Le paiement, comment ? Les modalités de paiement précisent la manière dont le vendeur (l ’exportateur) entend se faire payer : - les intruments de paiement Dans une vente nationale, le vendeur envoie une facture à son client. Le client paie en adressant un chèque ou en donnant ordre à sa banque d ’effectuer un virement. En commerce international, les techniques basées sur les transmissions informatiques sont favorisées (SWIFT : Society for Worlwide Interbank Financial Telecommunication)

53 Les techniques de paiement
Choisir une technique de paiement, c ’est décider de la façon dont sera collecté l ’instrument de paiement. Par ordre de sécurité croissante, il existe trois formes de paiement : - l ’encaissement simple ou paiement sur facture lorsque le vendeur (l ’exportateur) envoie sa facture en le priant de régler à l ’échéance. Le paiement à l ’enlèvement du matériel peut aussi exister si doute sur le client. - la remise documentaire lorsque le vendeur (exportateur) fait transiter par la banque les documents indispensables à la prise en charge des marchandises. Ceux ci seront remis à l ’acheteur contre paiement. - le crédit documentaire lorsque la banque de l ’acheteur s ’engage par écrit à payer dés que les conditions (présentation des documents, délais) fixées lors de l ’ouverture du crédit documentaire ont été respectées.

54 L ’organisation commerciale
PRODUCTION ADMINISTRATION Marketing Ventes Administratif Expéditions Fabrication Personnel Juridique Financier Définition Stratégie Développement (I) Innovation Etude marché Contrat personnel expatrié Conditions générales de vente Contrats de vente et d ’agents Définition Stratégie Développement (II) Mailing enquêtes publicité choix circuits Choix des vendeurs (revendeurs) Ventes Animation vendeurs Suivi des ventes Instruction des réclamations Instruction des réclamations Instruction des réclamations Vente étranger Mise en place mode paiement Choix des transitaires ordonnancement commandes Expédition commandes Recouvrement contentieux Facturation Recouvrement créances Facturation

55 Profil de différents postes commerciaux
L ’assistant : il assure le lien permanent avec le client, gère les commandes, coordonne la communication avec les vendeurs, organise leur planning de déplacement Le vendeur : il anime les réseaux de vente, assure le suivi des paiements, donne des informations techniques et commerciales sur la concurrence, prospecte et vend, assure le suivi administratif des commandes Le chef de zone : il anime une zone définie, applique la politique commerciale, anime la force de vente avec des objectifs, gère les clients importants, analyse les marchés, transmet les informations à la direction commerciale et participe à la stratégie commerciale Le chef de produit : il est le promoteur et défenseur de la marque et des produits auprès des vendeurs et parfois des clients, réalise les études de marché, élabore la stratégie produit, propose et gère le budget marketing. Le directeur commercial : il prépare les objectifs à réaliser, les études de marché pour les nouveaux produits, est responsable de la stratégie mise en œuvre et des résultats obtenus, est responsable du budget publicité, reçoit les clients importants.

56 Les réseaux de vente OPTIONS SOLUTIONS
Selon la stratégie commerciale adoptée, différents types de distribution des produits peuvent être adoptés : Maîtrise totale Maîtrise partielle Maîtrise réduite ou nulle OPTIONS Vente en maîtrise complète Vente en coopération Vente par intermédiaires Filiale Succursale Agents commissionnés Représentants salariés Vente directe Groupement d ’exportateurs Franchise Commissionnaires exportateurs Portage Joint-ventures Importateurs et concessionnaires Vente indirecte Bureaux et centrales d ’achats Cession licence SOLUTIONS

57 le transfert de risques Les obligations documentaires
Les incoterms le transfert de risques Les incoterms précisent le transfert des frais Les obligations documentaires du vendeur EX WORKS … NAMED PLACE (EXW) : le vendeur livre dans ses locaux le produit à l ’acheteur qui prend les risques et les frais pour l ’acheminement FREE ON BOARD (FOB) : le vendeur prend en charge le dédouanement, livre les marchandises à bord. L ’acheteur choisit le transporteur et supporte les risques à partir du moment où les marchandises sont à bord douane douane Vendeur Magasin GRUE GRUE Acheteur

58 La prospection commerciale
Axe des coûts Au plus élevé Du plus faible Publi postage Télepros pection Missions France Invitation Missions Etranger Salons France Salons Etranger Moyenne Très forte Axe de l ’efficacité commerciale

59 L ’Espace Economique Européen
AELE : Association Européenne de Libre Echange

60 Les espaces économiques
L'Union européenne (UE) est née le 9 mai 1950, lorsque la France a proposé officiellement de réaliser "les premières assises concrètes d'une Fédération européenne". Six pays (Belgique, Allemagne, France, Italie, Luxembourg et Pays Bas) ont adhéré dès l'origine. Aujourd'hui, après quatre vagues d'adhésion successives (1973 : Danemark, Irlande et Royaume Uni; 1981 : Grèce; 1986 : Espagne et Portugal; 1995 : Autriche, Finlande et Suède), l'Union européenne compte quinze États membres et se prépare à l'adhésion de treize pays d'Europe orientale et septentrionale ALENA : En janvier 1994, le Canada, les États-Unis et le Mexique ont lancé l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) et formé ainsi la plus vaste zone de libre-échange du monde

61 Les espaces économiques
L ’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l ’Uruguay ont créé en 1991 le Mercosur, en prenant modèle sur le traité de Rome pour le marché commun européen. La CEE et le Mercosur ont signé un accord de coopération en 1995. Depuis 1991, l ’APEC regroupe 18 pays riverains du Pacifique (Australie, Brunei, Canada, Chine, Indonésie, Japon, Corée du Sud, USA, Malaisie, Mexique, Nouvelle Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Philipines, Singapour, Taïwan, Thaïlande)

62 L ’APEC

63 Le commerce extérieur DREE : Direction des Relations Economiques Extérieurs Grâce à ses 166 missions économiques (PEE) implantés dans 118 pays, à ses 24 directions régionales du commerce extérieur et avec l'appui de nombreux organismes publics ou privés (Centre français du commerce extérieur, UBIFrance, Chambres de commerce et d'industrie en France et à l'étranger, fédérations professionnelles, conseillers du commerce extérieur...), la DREE diffuse aux pouvoirs publics et à l'ensemble des acteurs du développement international les informations économiques et commerciales collectées dans le monde entier et assure, en matière d'intelligence économique, la coordination d'un réseau de veille économique et commerciale

64 L ’assurance Compagnie Française d ’Assurance pour le Commerce Extérieur Société nationale créée pour garantir la bonne fin des opérations de commerce extérieur, la COFACE protège contre le risque d ’insolvabilité des débiteurs étrangers (domaine de l ’assurance-crédit). Elle peut également aider à renforcer l ’efficacité d ’une prospection (assurance-prospection ou assurance-foire), prémunir l ’exportateur contre les pertes résultant des variations monétaires, avec la garantie de changes, protéger les investissements à l ’étranger.

65 La promotion UBIFrance (ex ACTIM) : Agence Française pour le Développement International des entreprises Réaliser et coordonner des actions de promotion destinées à préparer et à favoriser le développement international des entreprises françaises Promouvoir la technologie et les produits français à l'étranger Diffuser des informations sur les technologies et les produits français dans la presse professionnelle internationale Faciliter l'implantation des entreprises françaises à l'étranger

66 Les organisations internationales
Le GATT et le Conseil du commerce des marchandises L'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) régit le commerce international des marchandises. C'est le Conseil du commerce des marchandises, composé de représentants de tous les pays Membres de l'OMC, qui veille au fonctionnement du GATT. Le Conseil du commerce des marchandises chapeaute onze comités qui s'occupent chacun d'un sujet précis (agriculture, accès aux marchés, subventions, mesures antidumping, etc.). Ces comités sont eux aussi composés de représentants de tous les pays membres.

67 Les organisations internationales
Le FMI a vu le jour en juillet 1994 à une conférence des Nations Unies qui s'est tenue à Bretton Woods (New Hampshire, États-Unis), et au cours de laquelle les représentants de 45 gouvernements sont convenus d'un cadre de coopération économique conçu pour prévenir le retour aux politiques économiques désastreuses qui avaient contribué à la Grande Dépression des années 30. L'article I des statuts du FMI stipule que ses buts sont les suivants : encourager la coopération monétaire internationale; faciliter l'expansion et l'accroissement harmonieux du commerce mondial; promouvoir la stabilité des changes; aider à établir un système multilatéral de paiements; mettre temporairement, moyennant des garanties adéquates, ses ressources générales à la disposition des États membres qui font face à des difficultés de balance des paiements. Plus généralement, et conformément à ses autres buts, le FMI a pour responsabilité d'assurer la stabilité du système financier international.

68 Les organisations internationales
Organisation de Coopération et Développement Economiques L ’origine de l ’OCDE remonte au plan Marshall. Créée pour accélérer la reconstruction de l ’Europe, elle fit adpoter un code de libération des échanges qui fixait les conditions d ’une suppression progressive des barrières douanières. Elle est devenue un lieu de rencontres des pays développés. Elle comprend aujourd ’hui outre les pays européens, les USA, le Canada et le Japon. L ’OCDE consacre son activité à l ’étude de la conjoncture économique, à la coordination de l ’aide aux pays pauvres, à l ’étude des obstacles tarifaires

69 Sources d ’information
Centre Français du Commerce Extérieur 10 Avenue d ’Iéna Paris Tel : Fax : Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie‎ 139 Rue de Bercy Paris 12e

70 Sources d ’information
BOAMP : Bulletin officiel des attributions de marchés publics Nom et adresse officiels de la personne publique : Institut national polytechnique. Personne responsable du marché : M. le président de l'I.N.P.G., 46, avenue Félix-Viallet, Grenoble Cedex 1 Objet du marché : équipement comprenant un générateur de signaux vectoriels et un analyseur de signaux vectoriels pour la qualification des émetteurs/récepteurs de 3e génération. JOCE : Journal officiel des communautés européennes SE-Lund: Appareils de contrôle et d''essai 02/S Pouvoir adjudicateur: MA-Skåne, Att: Jönsson , MA-Skåne Box 1, S Lund. 3. Critères d'attribution: L'offre la plus intéressante, appréciée sur la base: de la qualité, du coût d'utilisation, d'autres critères. Prix: SEK.


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