Les enjeux de l’Internet des Objets

Présentation au sujet: "Les enjeux de l’Internet des Objets"— Transcription de la présentation:

1 Les enjeux de l’Internet des Objets
UBIMOB 9 juin 2010, Lyon

2 Les récentes évolutions
La situation en 2010… Les récentes évolutions

3 Evolution du champs d’action de l’entreprise = complexité croissante
entreprise au sein d’une chaine de valeur fermée: son environnement opérationnel Gestion verticalisée 1 fonction = 1 Progiciel Gestion intégrée pilotée par les processus BPM+ EDI (ERP, SGBD…) Entreprise communicante, mutualisation des fonctions/processus EAI, Décisionnel, SOA, EDI étendu…. (Bus applicatifs, XML, SOA, WEB 2.0, BI) entreprise au sein d’une chaine de valeur semi-ouverte : son marché étendu entreprise seule © Business-2Any 2009, all rights reserved

4 L’entreprise partage avec de nouveaux acteurs
Les « consommateurs / citoyens » Web 2.0, mobilité, Wikis, réseaux sociaux Les objets (M2M, Auto-ID, Internet des Objets, pervasive computing…) Réels (objets manufacturés, lieux, monuments, végétaux, objets logistiques, etc.) Equipés d’identifiants numériques (RFID, NFC, Barcodes, Zigbee, URI, coordonnées GPS ou GSM etc.) Virtuels (métadonnées, données agrégées et structurées, composants SOA, SMA, etc.). Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

5 Partage en « Boucles ouvertes »
Limites des solutions existantes (EDI syntaxique, SOA, ETL, bus applicatifs, « Business Intelligence », commerce mobile, etc.) surcroît d’informations de nature événementielle (en temps réel) dans les systèmes en place: « effet 11 septembre »… Contextes hétéroclites (boucles ouvertes) Signification des mêmes informations différentes selon les acteurs (référentiels, processus) : Passage du Syntaxique au Sémantique Accentuation des « exceptions » et « erreurs »

6 ? mieux gérer la complexité… S’intégrer ou disparaître !
Gestion verticalisée 1 fonction = 1 Progiciel Gestion intégrée pilotée par les processus BPM+ EDI (ERP, SGBD…) Entreprise communicante, mutualisation des fonctions/processus EAI, Décisionnel, SOA, EDI étendu…. (Bus applicatifs, XML, SOA, WEB 2.0, BI) mieux gérer la complexité… S’intégrer ou disparaître ! Evolution du champs d’action de l’entreprise = complexité croissante entreprise seule entreprise au sein d’une chaine de valeur fermée: son environnement opérationnel entreprise au sein d’une chaine de valeur semi-ouverte : son marché étendu entreprise dans un contexte / marché globalisé Limites des Modèles de conception actuels INTERNET des OBJETS Les évènements en temps réel illustrent le cycle de vie des objets qui transitent entre différents info(éco)-systèmes Nouveaux besoins ? © Business-2Any 2009, all rights reserved

7 Des organisations complexes
La situation en 2010… Des organisations complexes

8 dans laquelle plusieurs acteurs autonomes
La « COMPLEXITÉ »… c’est quoi ? UN PHÉNOMÈNE DU MOMENT OU LA PERCEPTION DE SA COMPLICATION DÉPASSE UN CERTAIN SEUIL ?  le « compliqué et incertain » serait complexe UN PHÉNOMÈNE DONT LES REPRÉSENTATIONS SONT PERÇUES NE PAS ÊTRE RÉDUCTIBLES A UN MODÈLE UNIQUE AUSSI COMPLIQUÉ, STOCHASTIQUE, SOPHISTIQUÉ SOIT-IL ?  la complexité serait associée aux limites des modélisations UN PHÉNOMÈNE REBELLE AUX ANALYSES STRUCTURELLES ?  le fractal et le complexe se confondraient B2A associe la complexité à l’auto organisation des entités autonomes, ainsi nous qualifions de complexe : toute organisation dans laquelle plusieurs acteurs autonomes sont susceptibles de concourir à la satisfaction d’une finalité commune.

9 Emergence de la complexité… Les enjeux
Devant une situation d’incertitude, de risques, de changements il n’existe qu’une seule alternative : S’ADAPTER. Les facteurs clés de réussite sont donc : la réactivité : la capacité à percevoir la modification du contexte opérationnel RFID, capteurs, actuateurs… « oui mais… : il y a percevoir & percevoir » l'aptitude à comprendre et à évaluer ce changement, la capacité à construire une réponse adaptée à l'objectif poursuivi et aux moyens disponibles,… ce dans les délais impartis, l'efficience : l'optimisation de la mobilisation des ressources, la flexibilité, l’adaptabilité : la capacité d'apprentissage face aux aléas du contexte opérationnel,…et ceci à chaque niveau dans l’organisation traitée.

10 Réponse Cybernétique: AUTONOMIE DES « ACTEURS »
Ainsi, ce besoin d'adapter les comportements, face aux situations nouvelles, va conduire, dans les faits, à une manifestation plus grande de l'autonomie des « acteurs ». Capacité à s’auto-organiser Interagir de façon intelligible avec son entourage © Mindscape, Tous droits réservés

11 …SONT-ILS PRÊTS ? Les systèmes d’Information…
Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

12 Réduction/découpage :
Rappels sur l’Analyse Fonctionnelle, Majoritaire (formation, entreprise) Principales fonctions Sous- processus Procédures, instructions FONCTION = TRANSFORMATION Réduction/découpage : Modéliser le « processus Nominal », idéalisé TOP-DOWN Jonctions mécanistes entre les fonctions : relations de causes-à-effets

13 Le poids de la « tradition »…
En Analyse fonctionnelle, l’accent est mis sur les données (schémas de données) et leur transformation ou traitement (schémas des traitements). Ainsi, l’objectif de l’analyste serait plutôt de mettre en exergue le « comment » du système et pas forcément le « pourquoi de ce comment ». Données d'entrée de sortie FONCTION Une fonction ne sait passer le relai qu’à une autre fonction Données de contrôle, contraintes, etc. OBJECTIF ACTION

14 Réalignements ponctuels (inventaires, bilans, etc.)
Les conséquences… Superposition du système d'information, du système opérant et du système de pilotage : Système de pilotage Système d'information Système opérant Communication interne Retard 2 + vision imaginée Retard 1 + vision idéalisée Communication externe Communication externe Réalignements ponctuels (inventaires, bilans, etc.) Communication interne Temps réel + réalité Flux entrant Flux traité Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

15 Présent = passé du futur
Piloter = Business Intelligence Le succès du Business Intelligence (Informatique décisionnelle) : Fonction rétroviseur Fonction prévision / anticipation (SAS, COGNOS, etc.) Manque : le pilotage décisionnel dans l’instant (temps réel) pour rompre la boucle étrange « passé  futur » (le présent conditionne le futur) Compréhension du passé Anticipation du futur Temps réel ? Présent = passé du futur BUSINESS INTELLIGENCE Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

16 Plus le système opérant se complexifie, moins le système d’information - déconnecté - sait répondre aux besoins de pilotage et de support . Quand l’entreprise s’ouvre (boucles ouvertes), elle perd le contrôle. L’arrivée des objets – en tant qu’acteurs dans les chaines de valeur – va catalyser ce phénomène (Poincaré)… Quelles solutions ? Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

17 Rompre la boucle étrange Analyse fonctionnelle
En Analyse fonctionnelle, l’accent est mis sur les données (schémas de données) et leur transformation ou traitement (schémas des traitements). Ainsi, l’objectif de l’analyste serait plutôt de mettre en exergue le «comment» du système et pas forcément le «pourquoi de ce comment». DONNÉES TRAITEMENTS DETERMINENT CONDITIONNENT Boucle étrange !  Quid si les données ne sont pas celles attendues ?  Quid si besoin d’adapter le traitement aux évolutions du processus ? Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

18 Traitement des données Contraintes opérationnelles
Introduction du modèle Décisionnel: la régulation Traitement des données La fonction est comparable à une boite noire. Elle peut être décomposée en sous-boites noires, l'organisation de ces boites n'ayant pas pour but de refléter l'organisation des « vrais » acteurs. En automatisation, la notion de boucle de régulation permet d’adjoindre un «retour» (feedback) afin de passer du traitement à la régulation. La fonction peut donc, selon l’évolution du processus, être régulée… Est-ce suffisant ?... Contraintes opérationnelles Données TRANSFORMATION Données FONCTION FONCTION COMMENT ? Contraintes matérielles TEMPS LINEAIRE

19 Introduction du modèle Décisionnel: les environnements complexes
Que se passe-t-il si l’information perçue n’a pas de sens, ou si son sens est mal interprété, si le résultat de la transformation est imprévu ? FONCTION ? autocontrôle DONNÉES TRAITEMENTS DETERMINENT CONDITIONNENT Se référer aux décisions facilite la validation de la pertinence des données et des traitements : • Données: la vision de l'état du processus piloté au niveau du décideur, indicateurs de gestion • Traitements: les modes d'élaboration des décisions et de validation des changements d'état du processus Les décisions constituent ici une référence permettant de rompre la «boucle étrange» de dépendance mutuelle entre les données et les traitement POURQUOI ? DONNÉES TRAITEMENTS DÉCISION  évaluer la situation  guider son évolution COMMENT ?

20 PILOTAGE D'UNE TRANSFORMATION
Traitement des données  Pilotage des transformations OBJECTIF DECISION ACTION PILOTAGE D'UNE TRANSFORMATION FONCTION / PROCESSUS MÉMOIRE : quel était le but poursuivi ? B2A repositionne systématiquement Le « Comment  » dans le contexte de son « Pourquoi »… DONNÉES TRAITEMENTS DÉCISION POURQUOI ? COMMENT ?  évaluer la situation  guider son évolution

21 L'Approche DÉCISIONNELLE: Les bases théoriques
Pour nous, la caractéristique la plus importante d'une organisation est sa capacité à élaborer des décisions concernant la conduite des processus  la notion de décision crée un pont entre les « traitements » et les « données », avec trois aspects indissociables : les objectifs du décideur l'élaboration des décisions la vision de l'état du processus au niveau du décideur POURQUOI ? Top down Bottom up COMMENT ?

22 Un nouveau modèle… Système d’information et organisation sont consubstantiels Environnement = finalités Système d'information = Système de pilotage Système opérant ou processus Régulation Futur Objectif Externe État Interne Objectif Interne Év. Processus État externe Décision Signalisation Action Présent Pilotage en temps réel Passé Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

23 ÉTENDUE DU DOMAINE D'APPLICATION
FINALITÉS (environnement) APPROCHE DÉCISIONNELLE Organisation = Hiérarchie opérationnelle d’activités SYSTÈME DE PILOTAGE Du Processus ACTIVITÉ Démarche récursive ACTIVITÉ : UN CENTRE ÉLÉMENTAIRE DE PRISE DES DÉCISIONS Etc. ACTIVITÉ ACTIVITÉ ACTIVITÉ POURQUOI ? SYSTÈME D'INFORMATION COMMENT ? ACTIVITÉ ACTIVITÉ ACTIVITÉ POURQUOI ? COMMENT ? PROCESSUS piloté APPROCHE FONCTIONNELLE Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

24 Évaluation de la situation
La « brique de base », l’Activité: une entité autonome moyen dont le comportement est stimulé par les objectifs qui lui sont assignés en amont par son environnement (ou activités de niveau supérieur). source des décisions satisfaisant les objectifs ainsi propagés en aval à son processus : elle régule ou pilote les activités de niveau inférieur valide l'évolution du processus, elle-même étant régulée, contrôlée par son environnement INFORMATION POUSSÉE INFORMATION TIRÉE ENVIRONNEMENT OPERATIONNEL ACTIVITÉ PROCESSUS (moyens) Fd Fe POURQUOI ? Pilotage Objectif Report Signalisation Décision Fonction : Évaluation de la situation Fonction : Décision COMMENT ?

25 B-ADSc est basée sur une algèbre, DoMIS l’automatise
Pour adopter cette nouvelle approche, il est nécessaire de disposer d’un modèle formel, réutilisable… B-ADSc est basée sur une algèbre, DoMIS l’automatise Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

26 LES ACTIVITES : DES COMPOSANTS MÉTIER
Les activités se caractérisent ainsi : chacune d'elles représente une entité opérationnelle dans son domaine d'application, chacune d'elles est entièrement concevable, réalisable et testable indépendamment des autres, dans la composition du système, elles sont externes les unes par rapport aux autres, elles ne comportent, dans leurs spécifications, aucun préjugé sur leur entourage, aussi bien au niveau supérieur qu'inférieur, la standardisation de leurs interfaces permet de les unifier facilement dans le cadre d'une application, leur réactivité est quantifiable. Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

27 ne traite qu'un seul objectif à un moment donné
ACTIVITÉ DE 1e CATÉGORIE Objectif Externe État Interne Objectif Interne Év. Processus Action État externe Décision Signalisation Structure en ARBRE ne traite qu'un seul objectif à un moment donné

28 ACTIVITÉ DE 2e CATÉGORIE
Objectif Externe État Interne Objectif Interne Év. Processus Objectifs Externes Actions État externe Décision Signalisation Structure en FILET intègre une fonction de planification qui lui permet de gérer plusieurs objectifs

29 ACTIVITÉ DE 3e CATÉGORIE (logique de 3ème ordre)
Objectif Externe État Interne Objectif Interne Év. Processus Objectifs Externes Actions État externe Décision Signalisation Structure en RESEAU / Neurone est capable de s’auto assigner et poursuivre, entre autres, ses propres objectifs

30 BOUCLES DE RÉGULATION COMMUNICANTES
3 CATÉGORIE 2 CATÉGORIE concevoir et réaliser des solutions massivement parallèles. 1 CATÉGORIE COUPLE ARBRE FILET RÉSEAU

31 Passage de l’Analyse Fonctionnelle à l’Analyse Décisionnelle
Approche Fonctionnelle  Processus et Fonctions sont confondus.  Organisation est vue comme une superposition des fonctions.  Modélisation et analyse d’une transformation « mécanique » des flux entrant en flux sortant. Notion d’Objectif et celle de Convergence des buts délaissées à l’intuition de l’analyste.  Modélisation se focalise sur le système piloté.  Indicateurs caractérisent les résultats finaux ou intermédiaires.  Impossibilité de gérer le Retour d’expérience, des Connaissances et des Compétences sinon à l’aide de démarches parallèles.  Solutions proposés « multi modèles » avec le poids important des interfaces.  Les formalismes utilisés inspirés des techniques informatiques, difficiles à comprendre pour les non informaticiens. Approche Décisionnelle  Processus correspond au Pilotage des moyens, au procédé décisionnel associé à un objectif poursuivi.  Organisation est une Hiérarchie opérationnelle d’Activités. Une Activité correspond à un centre autonome de prise des décisions pouvant être piloté par un homme ou une machine.  Modélisation et analyse du pilotage des moyens afin de satisfaire les objectifs poursuivis. Donc, la prise en compte explicite du Management par Objectifs.  Modélisation couvre, à la fois, le système de pilotage et le système piloté.  Indicateurs correspondent aux conditions déclenchant des décisions et aux résultats effectifs  La gestion du Retour d’expérience, des Connaissances et des Compétences intégrée d’une façon formelle.  Solution fondée sur un « Modèle unique ».  Le langage utilisé s’apparente au langage naturel. Tous droits réservés – copyright Business-2-Any

32 Des applications d’un nouveau type…
Utilité pour l’Internet des Objets Des applications d’un nouveau type…

33 Les enjeux Désormais, les objets « simples » : livres, palettes, valises, pots de yaourts… peuvent communiquer avec leur entourage : capter et émettre des informations. néanmoins, les contingences liées à ces objets : leur cycle de vie, valeur, ne justifient pas qu’ils soient équipés de dispositifs électroniques élaborés comme, par exemple, dans le cas d’un ordinateur embarqué dans une voiture. par contre, Internet, aujourd’hui omniprésent avec la grande puissance de calcul qui est derrière, peut servir d’« ordinateur virtuel embarqué »…

34 Les enjeux …ainsi, il est possible de doter tout objet d’un Avatar, un « ordinateur virtuel », son double informatique contenant son intelligence. Internet constitue alors une infrastructure existante et omniprésente, permettant une économie d’échelle importante.

35 Pour résumer… Généralisation des technologies sensorielles : RFID,NFC… et de mobilité : 3G…  Avec nos « activités », affecter une « intelligence associée » aux objets (web service, composant SOA, avatar) …Qui coexiste et co évolue avec son double physique (l’objet réel) en symbiose avec lui (alimenté par les remontées évènementielles : RFID, NFC, ZIGBEE…) …Et qui inter opère avec les systèmes informatiques en place (chaines de valeur)

36 Comment ? Internet = Cyberespace Monde réel
avatar Monde réel objet l’Avatar pilote et contrôle le comportement de l’objet réel. Il suit sa migration d’un milieu à l’autre, en passant d’un système informatique à l’autre sur Internet. Ainsi, l’objet, grâce à son avatar, échange et inter opère avec d’autres objets, d’autres acteurs du Web (avatars, SI, humains…).

37 Ce que l’on voit partout aujourd’hui
Moi, le livre, le portillon de l’université m’informe que je quitte le campus J’informe l’ordinateur de l’Université L’ordinateur de l’Université me transmet le nom et le téléphone de l’emprunteur J’informe l’emprunteur par SMS qu’il abuse

38 Ce que l’on ne voit pas … Des applications aussi simples, on sait les faire aujourd’hui. par contre, l’enjeu est de créer des applications beaucoup plus sophistiquées, à plus grande valeur ajoutée. Moi, le livre, le portillon de l’université m’informe que je quitte le campus J’informe l’ordinateur de l’Université J’informe l’emprunteur par SMS qu’il abuse,… Je lui suggère des lectures complémentaires selon ses études, Je le mets en relation avec les étudiants qui me citent dans leurs thèses, Sachant qu’il prépare un examen, je lui propose de le tester après ma lecture, … L’ordinateur de l’Université me transmet le nom et le téléphone de l’emprunteur

39 Les applications sont innombrables
moi, la valise, est-ce que je vais vers la bonne destination ?... moi, la palette, j’ai été déplacée 10 fois de suite. Alors je me donne pour objectif d’être contrôlée (support, houssage) et alerte les opérationnels concernés. moi, le pack de yaourts, je constate que ma DLUO va expirer dans 10J. Je décide de me mettre en promotion et en informe les consommateurs quand ils passent dans le rayon, sur leurs mobiles. Aujourd’hui les segments les plus concernés sont : Energie et développement durable Domotique, Logistique, mutualisation des transports Téléphonie mobile : géo localisation, services en temps réel, Distribution : merchandising, marketing, Services à la personne, Les autres secteurs de marché vont bientôt suivre…

40 Notre apport www.b-adsc.com
Or, les approches et les outils actuels de conception arrivent ici au bout de leurs possibilités, UML, … Notre apport : la démarche et l’ensemble d’outils d’aide à la conception et la réalisation des applications dans lesquelles les objets intelligents, cyberobjets, interagissent et collaborent. DoMIS : Atelier de conception des cyberobjets et de leurs organisations, destiné aux développeurs des applications de l’Internet des objets, B-ADSc Inside : Bucki-Approche Décisionnelle des Systèmes complexes

41 DoMIS – B-ADSc Inside Mise en œuvre de la démarche, de la conception jusqu’à la réalisation et la maintenance des applications à objets intelligents Une suite d’outils logiciels dédiés à la conception et la réalisation des applications de l’Internet des Objets.

42 Merci pour votre attention